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  • Le Figaro - «Face à l'islamisme, certains reproduisent les erreurs de leurs aînés face au nazisme»

    Pour la philosophe Renée Fregosi, la réponse au nouveau totalitarisme islamiste passe par le réarmement tant idéologique que militaire. Il faut en finir avec la mentalité pacifiste, prétexte à tous les renoncements.

    Après chaque attentat, ce sont les mêmes scènes de pleurs et de prières œcuméniques, bougies, fleurs et peluches étalées sur le bitume, minute de silence pour les victimes, appels à la paix et au «vivre ensemble». Cherche-t-on à détourner les futurs candidats djihadistes de leurs funestes projets en les convertissant au peace and love? Aussi absurde que de tenter de trouver une thérapie psychiatrique miracle pour tous ces «déséquilibrés», ces «malades mentaux» que seraient les terroristes! Certes pour planifier l'assassinat de milliers d'inconnus qui ne leur ont pas fait d'autre offense que de vivre hors des règles rigoristes de leur islam, faut-il que ces islamistes soient fous.

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  • Non Fiction - Comment nous sommes devenus américains : entretien avec Régis Debray

    La culture française peut-elle désormais être autre chose que l’affirmation d’un certain particularisme au sein d’une civilisation occidentale finalement américaine ? Pour le philosophe Régis Debray, le glas a sonné sur la vieille civilisation européenne désormais en marche au rythme des GAFAM. Dans cet entretien, il revient sur ce constat posé on gré de son dernier livre, Civilisation. Comment nous sommes devenus américains (Gallimard, 2017).

    Nonfiction : Dans Civilisation, vous répétez, en bon homme de science, que la fin de la civilisation européenne ne doit pas susciter de nostalgie, et que d’une destruction peut naître une heureuse nouveauté. Cependant, les pages où vous vous peignez en Hibernatus dévoilent un Debray mélancolique, qui ne reconnaît plus sa chère patrie. N’y a-t-il pas contradiction entre ce postulat de neutralité et la tristesse qui paraît parfois vous accabler ?

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  • Non Fiction - La politique est-elle une vocation ?

    Depuis l'analyse magistrale de Max Weber dans Le savant et le politique, l'étude des responsables politiques est devenue un classique de la sociologie. Vivant par et pour la politique, selon la formule célèbre de Weber, les hommes (et, bien plus tardivement, les femmes) politiques ont progressivement fait de leur activité une vocation (Beruf en allemand, dans le texte de Weber), sinon une profession ou un métier, alors même que l'exercice des fonctions politiques pour les notables traditionnels était complémentaire de leur activité principale (avocat ou médecin par exemple), comme l'avait expliqué Daniel Halévy dans son célèbre essai La fin des notables.

    Aujourd'hui, alors que la professionalisation du champ politique est volontiers critiquée par les citoyens, qui considèrent souvent que les responsables politiques ne doivent pas vivre uniquement de leurs activités d'élus, et tandis que les récentes élections législatives (les premières depuis la loi sur le non-cumul des mandats) ont témoigné d'un profond renouvellement du personnel parlementaire classique, où en est-on à ce sujet ?

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  • Le Parisien - PS : un dernier tour pour Cambadélis ?

    Le premier secrétaire du parti, en séminaire ce week-end, qui avait annoncé son retrait après les déroutes électorales, doit bientôt tirer sa révérence. Vraiment ?

    Jean-Christophe y es-tu ? Que fais-tu ? Comme le loup de la comptine, le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, joue à cache-cache. Depuis son retrait le 18 juin, au lendemain de la cinglante défaite de son parti aux législatives (dont il avait été lui-même éliminé dès le 1er tour à Paris), les militants socialistes le guettent partout.

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  • Gérard Filoche sur la réforme Travail: «une vraie rupture qui s'aggrave avec Macron»

  • Huffington Post - Ces trois signes qui montrent que le Parti socialiste n'est pas (encore) mort

    La direction organise un séminaire pour refonder le mouvement, qui vient de connaître une double débâcle historique.

    Peut-être changera-t-il de nom (Stéphane Le Foll opterait pour "Les socialistes"), sans doute déménagera-t-il de la rue de Solférino, mais les cadres du Parti socialiste sont persuadés que leur mouvement ne va pas disparaître.

    "Une bataille s'annonce, une scission est désormais inéluctable au PS, expliquait le politologue Rémi Lefebvre juste après l'appel de Manuel Valls à voter Emmanuel Macron plutôt que Benoît Hamon. Cela ne veut pas dire pour autant que la structure va disparaître." C'est pour réfléchir à la refondation de leur parti que les cadres du PS ont été conviés ce samedi 26 août pour un séminaire de deux jours organisé à Paris.

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  • La Tribune - Sapin dénonce une politique budgétaire et fiscale « clairement de droite »

    Dans une interview accordé à La Nouvelle République, l'ancien ministre socialiste de l'Economie et des Finances a dénoncé une politique "parfois même plus à droite que certains à droite".

    Après la mise en garde de François Hollande à Emmanuel Macron sur la réforme du code du travail, Michel Sapin, l'ancien ministre socialiste de l'Economie et des Finances a quant à lui dénoncé la politique budgétaire et fiscale du gouvernement qu'il qualifie de "clairement de droite".

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  • INSEE - Malgré la progression de l’emploi qualifié, un quart des personnes se sentent socialement déclassées par rapport à leur père par Tiaray Razafindranovona, division Emploi, Insee

    Sur une génération, la structure sociale s’est modifiée vers le haut, avec notamment une progression de la proportion de cadres. Ainsi, en 2014-2015, près de quatre personnes de 30 à 59 ans sur dix considèrent que le niveau ou le statut de leur profession est plus élevé ou bien plus élevé que celui de leur père. À l’inverse, un quart des personnes expriment un sentiment de déclassement.

    La profession, le milieu d’origine et la trajectoire sociale expliquent avant tout ce ressenti. Ainsi, 36 % des ouvriers et employés non qualifiés et 53 % des personnes occupant une moins bonne position sociale que leur père se sentent déclassés. Le sentiment de déclassement, tout comme celui d’ascension sociale, concerne tous les milieux sociaux : environ un cadre sur cinq estime que sa position sociale est moins élevée que celle de son père ; environ un employé ou ouvrier non qualifié sur cinq considère occuper une meilleure position sociale que son père.

    Parmi les employés et les ouvriers, le sentiment de déclassement varie très fortement, de 16 % à 45 %, pouvant refléter des différences de conditions d’emploi, de rémunérations ou encore de prestige des professions.

    Par rapport à leur père, les femmes se sentent plus souvent déclassées que les hommes (27 % contre 23 %), en lien avec des situations plus défavorables sur le marché du travail. Mais par rapport à leur mère, seules 11 % se sentent socialement déclassées, reflet de la profonde transformation de la place des femmes sur le marché du travail sur une génération.

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  • La Dépêche - À La Rochelle, le PS reprend tout à zéro

    Si l'expression ne renvoyait à une époque et des pratiques avec lesquelles elle a pris l'engagement de rompre définitivement, la nouvelle direction collégiale du parti (DCP) pourrait annoncer qu'au PS, le changement c'est maintenant.

    Réunie cette semaine à La Rochelle, la vingtaine de membres de la DCP a rédigé le texte fondateur du Parti socialiste tel qu'il renaîtra probablement après le cataclysme électoral de 2017 qui l'a laissé pour mort, ou presque. Ce document sera soumis aux secrétaires départementaux rassemblés ce week-end dans la ville fortifiée par Vauban, avant d'être envoyé à la consultation militante puis validé au prochain congrès, au printemps 2018.

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  • Le Monde - Les failles des civilisations à l’origine des conflits

    Retours sur le futur (4/5). Des auteurs ont tenté d’anticiper la société à venir. En 1996, Samuel Huntington redéfinit la géopolitique globale dans « Le Choc des civilisations ».

    Au sortir de la guerre froide, avec la chute du mur de Berlin en 1989, un climat d’euphorie régnait à l’Ouest. L’économie de marché semblait avoir triomphé, pour améliorer le quotidien des citoyens partout où elle allait être appliquée. L’idée de démocratie devait s’imposer progressivement. Le temps où des sommes pharaoniques étaient allouées au budget de la Défense appartenait au passé, tandis qu’apparaissaient de nouvelles élites, réunies à Davos (Suisse), composées de dirigeants politiques, de chefs d’entreprises, de journalistes et de banquiers – tous convaincus que la démocratie allait amener une paix perpétuelle.

    C’est dans ce contexte apaisé que Samuel Huntington, professeur à Harvard, publie un article intitulé « Le choc des civilisations ? » dans la revue Foreign Affairs, en 1993.

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