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  • Le JDD - Avant la rentrée, les jeunes socialistes ont le blues

    Encore déboussolés par les revers électoraux subis par le PS en 2017, les jeunes socialistes s’interrogent sur leur avenir au sein du parti d’Epinay.
     
    "Je ne m’attendais pas à ce qu’on soit au second tour mais pas à un tel échec…" Comme Rémi Marchand, jeune socialiste de 24 ans dans la Sarthe, de nombreux jeunes socialistes se souviendront longtemps de cette soirée du 23 avril 2017. Lorsque les résultats tombent à 20h, c’est l’hécatombe. Leur candidat Benoît Hamon est bas, très bas. Il s’aligne tout juste à la cinquième position avec un très fébrile 6,36% des voix, à des années lumières du quatuor de tête Emmanuel Macron (24,01%), Marine Le Pen (21,3%), François Fillon (20,01%) et Jean-Luc Mélenchon (19,58%).
     
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  • Le Parisien - Le financement d'un meeting de Hamon pose question au PS

    Comment l'ancien candidat PS à la présidentielle a-t-il financé son meeting du 1er juillet, où il annonçait quitter le parti ? A gauche, les doutes se font de plus en plus entendre.

    Benoît Hamon a-t-il payé le meeting de lancement de son mouvement, sur la pelouse de Reuilly à Paris (XIIe), le 1er juillet, avec de l'argent discrètement soustrait de sa campagne présidentielle financée quasi intégralement par le PS ? La question peut paraître brutale. C'est pourtant celle que posent de plus en plus de responsables socialistes... non hamonistes.

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  • Libé - Tribune Stop au cyberharcèlement islamophobe contre l'association Lallab

    Je partage le point de vue de Laurent Bouvet au sujet de cette tribune
    YLP

    Laurent Bouvet : La clarification se poursuit à gauche.

    C'est Benoît Hamon qui tombe aujourd'hui du côté où il penchait depuis un bon moment déjà en cosignant cette tribune dans Libération.

    Ce côté, c'est celui d'une (extrême) gauche identitaire dont les préférences et les choix s'expriment systématiquement en faveur d'associations "décoloniales" , "indigénistes", "non-blanches" voire carrément pro-islamistes, comme ici en faveur du "féminisme musulman areligieux" (sic) de Lallab, association qui s'érige en victime d'un "harcèlement" de l'extrême-droite et de la gauche laïque (assimilées dans un même mouvement pour tenter de discréditer cette dernière).

    Cette clarification politique est finalement une bonne chose pour le combat idéologique essentiel de notre époque contre les dérives identitaires, au premier rang desquelles figure, en raison du terrorisme permanent qui l'accompagne, celle de l'islamisme.
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    La tribune de Libé  :

    Un collectif d'associations et de personnalités dont Benoît Hamon, Rokhaya Diallo et Océanerosemarie se mobilise pour soutenir l'association antiraciste Lallab, victime d'une nouvelle campagne misogyne et islamophobe sur les réseaux sociaux.

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  • Centre d'Observation de la Société - Comment évolue la mobilité sociale en France

    La mobilité sociale est stable en France depuis le milieu des années 1980. Selon les calculs du chercheur Yves Besançon à partir des données de l’Insee, en 2012, 64 % des hommes de 40 à 59 ans n’appartenaient pas à la même catégorie sociale que celle de leur père 1. Le chiffre était de 62 % en 1985, soit à peu près la même chose compte tenu des marges d’erreur.

    Les statisticiens calculent la part de la mobilité sociale non liée à ces évolutions, qu’ils appellent mobilité “nette” ou “fluidité sociale”, sorte d’indicateur de mesure de l’égalité des chances d’accéder aux différentes positions sociales, quelles que soient les modifications de l’emploi par ailleurs. Pour cela, ils retirent de la mobilité totale celle qui résulte des transformations de l’emploi. Cet indicateur (appelé aussi fluidité sociale ou mobilité nette) a augmenté de 37 à 40 % entre 1977 et 1985 puis a oscillé entre 40 et 43 %.

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  • LVS - Entretien avec Rita Maestre : “nous ne devons pas nous considérer comme des invités au sein des institutions”

    Rita Maestre est membre de la direction de Podemos et porte-parole de la mairie de Madrid. Sa trajectoire est emblématique de ces jeunes Indignés espagnols qui, après avoir occupé les places en 2011, tentent aujourd’hui de changer la vie depuis les institutions municipales. Nous l’avons interrogée sur son parcours, le rôle du mouvement des Indignés, ainsi que sur l’étendue et les limites de la pratique politique au sein des institutions.

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  • Non Fiction - Quelles valeurs pour le présent ? Entretien avec Abdennour Bidar

    La société multiculturelle peut-elle se rassembler dans une communauté de questionnement sur la condition humaine ? Tel est le pari d’Abdennour Bidar, philosophe, Inspecteur général de l’Education nationale, et mieux connu du grand public comme producteur de l’émission Cultures d’islam sur France Culture. Fin 2016, il a publié chez Albin Michel Quelles valeurs partager et transmettre aujourd'hui ? sur lequel il revient ici avec Hocine Rahli.

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  • La mise en garde de François Hollande à Emmanuel Macron "n'est pas illégitime", juge Olivier Faure