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Kamel Daoud : "Enfermer la femme, c'est s'emprisonner soi-même"
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Libé - La direction collégiale du PS maintenue jusqu'au Congrès, Temal coordinateur
Jean-Christophe Cambadélis a quitté la direction du partie, Rachid Temal prend le relais.
Le Conseil national du PS a approuvé samedi une résolution prenant acte du départ du premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, et maintenant en place la direction collégiale installée en juillet, avec en charge «l’administration et l’animation politique». Le texte a été adopté à l’unanimité moins trois voix, selon l'ancien premier secrétaire du parti. «Elle s’organisera autour de quatre pôles: Coordination, Expression, Relations extérieures, Administration», précise le texte.
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France 24 - Le Parti socialiste tourne la page Cambadélis
À cinq mois de son congrès, le Parti socialiste a lancé samedi des "forums de la refondation". Après la déroute électorale de la présidentielle et la démission de son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, le PS tente de rebondir.
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France Culture - L'esprit du Capitalisme (1/4) Dans la peau de Max Weber
A travers la vie et l'oeuvre monumentale de Max Weber, nous reviendrons aux origines de la naissance et de la diffusion de l' "esprit" du capitalisme.
Nous commençons, aujourd’hui, une nouvelle série consacrée à l’esprit du capitalisme.
Le capitalisme dont les auteurs ont identifiés des racines différentes. Des racines d’abord historiques - mises en évidence par Marx qui voit dans l’origine du capitalisme des facteurs principalement politiques - et des racines également culturelles et religieuses sur lesquelles s’est penché le sociologue Max Weber qui a inspiré cette série.
Nous nous glissons aujourd’hui dans la peau et l’oeuvre de Max Weber, sociologue en compagnie de Patrice Duran, et d'Hinnerk Bruhns.
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France Culture - Les Crises en thème (2/4) La crise en fiction
Lorsque la fiction s'empare de la crise au cinéma, en littérature que cela nous apprend-il ?
Deuxième jour de notre série consacrée aux crises.
Hier, l’économiste Steve Keen évoquait les signes annonciateurs de la crise. Celle de 2008 a fait couler beaucoup d’encre. Elle a, d’abord, engendré des remises en cause théoriques et des prises de décisions politiques notables. Avant de se retrouver sous la plume des artistes ou sur grand écran.
Aujourd’hui, nous allons suivre les bulles jusque dans la fiction en compagnie de Christian Chavagneux et Florent Papin.
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France Inter - Régis Debray répond aux questions de Nicolas Demorand
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Le Monde - Philippe Torreton : « Sans mon prof de cinquième, je ferais partie des exclus de la culture »
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France Inter - Régis Debray répond aux questions de Nicolas Demorand
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Les Crises en thème (1/4) Steve Keen : "Les économistes étaient très fiers avant la crise"
L'économiste australien Steve Keen, auteur du fameux livre L'imposture économique, dans lequel il critique la pensée néo-classique dominante, vient nous présenter ses théories, pourquoi il a su voir venir la crise de 2008 et comment on pourrait penser autrement l'économie.
Aujourd’hui, c’est le premier jour de notre nouvelle série consacrée aux crises.
Cette semaine les chercheurs vont nous livrer leurs analyses et leurs critiques du phénomène économique le plus redouté. Nous allons tenter de comprendre comment les grandes théories économiques envisagent les crises - leur apparition et leurs résolutions - mais aussi les représentations que la fiction nous en offre.
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Gérard Grunberg - La gauche, Mélenchon et la démocratie
En mai 2016, j’appelais dans ces colonnes Jean-Luc Mélenchon à prendre une position ferme sur la dérive dictatoriale du régime chaviste dirigé par Nicolas Maduro. Peu de temps auparavant, en effet, il voyait encore dans le Venezuela bolivarien une source d’inspiration et « l’idéal inépuisable de l’espérance humaniste ». Chavez, affirmait-il, « n’a pas seulement fait progresser la condition humaine des Vénézuéliens, il a fait progresser d’une manière considérable la démocratie. C’est sans doute, ajoutait-il, sa contribution majeure à la lutte socialiste de notre siècle. » Exemple significatif à ses yeux de la supériorité de la démocratie chaviste sur nos vieux Etats de droit libéraux, Mélenchon, en 2012, citait en premier la création « des référendums révocatoires permettant de faire partir un député, un gouverneur (…) voire même le président de la République ».
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