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  • Après la gauche - Le film documentaire de Jérémy Forni, Geoffroy Fauquier et Gaël Bizien

    Nous sommes de la génération Mitterrand, du sida et du chômage de masse, nous sommes d’une génération qui cherche bien plus que des repères car elle se cherche toute entière. Une génération de l’image qui connaît pertinemment la puissance et les dévoiements des médias. Une génération élevée à l’heure du 20h par des parents qui ne peuvent aujourd’hui mesurer notre désarroi face au monde qu’ils nous laissent en héritage. Nous posons une question simple : que signifie être de gauche aujourd’hui ?

    Le film tente de répondre à cette question essentielle en interrogeant de grandes figures de la pensée contemporaine. Celles-ci procèdent à un diagnostic sans complaisance de la gauche aujourd’hui, soulignent les avancées et les espoirs que suscitent les luttes sociales et réaffirment avec force la nécessité de penser l’utopie. De la disparition de l’URSS à la dernière crise financière, Après la gauche est un voyage à travers 20 années qui ont bouleversé la gauche mais c’est surtout, un acte de résistance.

  • Challenges - Socialistes: pourquoi il faut occuper le siège historique de Solférino Par Nicolas Domenach

    On ne brade pas les bijoux de famille. Mieux vaut ruser. Tergiverser. On ne s’incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu’on a été le premier mouvement politique de France!

    S'il reste encore quelques socialistes au PS, ils devraient occuper "Solfé", le 10 rue de Solférino, siège du parti socialiste, et empêcher la vente annoncée par un quarteron de dirigeants en retraite... D'abord parce qu'on ne brade pas les bijoux de famille, sinon, c'est qu'on accrédite la débâcle. Mieux vaut ruser. Tergiverser. Mais on ne s'incline pas piteusement devant les créanciers lorsqu'on a été le premier mouvement politique de France qui ne saurait avoir honte d'occuper un hôtel particulier dans les beaux quartiers. C'était un choix stratégique très réfléchi.

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  • Alternatives Economiques "Si on veut préserver l'avenir pour ces sites, il faut renforcer les pouvoirs des salariés"

    Guillaume Duval sur France Info 27/09/17

  • PS - Le Parti socialiste regrette la cacophonie et le flou artistique qui marquent la communication du gouvernement à propos du glyphosate

    Pour la seule journée de lundi, les annonces du Premier ministre, Edouard Philippe, et  celles du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, se sont non seulement télescopées mais contredites, passant de l’interdiction totale aux  « progrès à accomplir d’ici 2022 »… On y voit flou !

    Il est temps de clarifier la situation. Le glyphosate est un herbicide dangereux, reconnu comme « cancérigène probable » par  l’OMS et dont les agriculteurs sont les premières victimes. Il faut en sortir.

    Si aujourd’hui, l’absence de solutions alternatives crédibles rend difficile de supprimer son utilisation du jour au lendemain, il est tout à fait irresponsable de prolonger son autorisation pour 5 ans. Pourquoi, en application du principe de précaution, ne pas envisager une prolongation annuelle, permettant à la recherche de progresser et de proposer de nouvelles solutions ? La France, comme pour les perturbateurs endocriniens, aurait-elle déjà capitulé face aux lobbys de l’industrie allemande ?

    Car l’enjeu n’est pas tant national qu’européen. Le vote sur la proposition de la Commission européenne de renouveler le glyphosate pour 10 ans est prévu pour le 5-6 octobre prochain par le Comité permanent des plantes, des animaux, des denrées alimentaires et des aliments pour animaux (PAFF). Le Parti socialiste soutient la demande des eurodéputés de le reporter après l’audition publique sur le glyphosate et les Monsanto Papers, prévue le 11 octobre.

  • Le Monde Festival : comment toucher les exclus de la culture ?

    Le Monde - Ce débat entre la ministre Françoise Nyssen, le directeur du festival Nuits Sonores Vincent Carry et le comédien Philippe Torreton, s’est tenu dimanche 24 septembre dans le cadre du Monde Festival au Théâtre des Bouffes du Nord.

  • RTL - "Le quinquennat de Hollande a manqué de sens", pour Jean-Christophe Cambadélis

  • L'Obs - Démissionnaire du PS, Cambadélis allume Hollande (et les autres) dans un livre

    Jean-Christophe Cambadélis, façon Attila. Alors que le Premier secrétaire du Parti socialiste s'apprête à quitter ses fonctions - lors du conseil national du PS samedi prochain -, l'ancien député de Paris règle ses comptes. Dans "Chronique d'une débâcle" (à paraître ce mercredi 26 septembre aux éditions L'Archipel), Jean-Christophe Cambadélis - dont le bilan à Solferino est loin de faire l'unanimité - tire à boulets rouges sur le quinquennat de François Hollande.

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  • Le Monde - La mission de « médiation » sur Notre-Dame-des-Landes irrite les partisans du projet

    Les trois personnalités chargées de la médiation sur le dossier du nouvel aéroport nantais ont publié, mardi 26 septembre, un premier bilan de leur mission.

    En consultant le site qui vient d’être ouvert (et rendu public), mardi 26 septembre, par la « mission de médiation au projet d’aéroport du Grand Ouest », les visiteurs seront peut-être déçus.

    Sur ce site, www.mediation-aeroport-du-grand-ouest.fr, les trois personnalités choisies, au début de juin, par les ministres Nicolas Hulot, pour la transition écologique et solidaire, et Elisabeth Borne, pour les transports, publient un point d’étape de leur mission qui doit s’achever par la remise de leur rapport final au plus tard le 1er décembre.

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  • "Le quinquennat de Hollande a manqué de sens", analyse Cambadélis

    INVITÉ RTL - Premier secrétaire du Parti socialiste jusqu'au 30 septembre, Jean-Christophe Cambadélis fait l'inventaire du quinquennat Hollande dans "Chronique d'une débâcle".

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  • PS - Pour les emplois aidés, le compte n’y est pas et c’est la double peine

    25 septembre 2017

    Face à la grogne qu’il a levé dans le pays en annonçant la suppression sèche de 150.000 emplois aidés, le Premier ministre a présenté des correctifs pour atténuer la brutalité de son plan social. Mais pour le Parti socialiste, le compte n’y est pas car l’inflexion demeure timide, tardive et précipitée.

    Le nombre des emplois aidés sera en chute libre : de 460.000 en 2016, à 320.000 et seulement 200.000 en 2018. Cette baisse de 40% représente autant de personnes, souvent en situation de fragilités sociales et en difficultés sur le marché du travail, qui se retrouveront demain dans les files de pôle emploi.

    Les services publics et les associations n’échappent pas au couperet. Les critères posés par l’Etat sont à ce point restrictifs qu’ils condamnent à la suppression les contrats aidés dans les cantines scolaires, les jardins et espaces verts ou les associations sportives, quelques jours après la désignation de Paris 2024.

    Le gouvernement applique la double peine aux emplois aidés : non seulement il diminue leur nombre mais il baisse leur prise en charge qui passe de 70% à 60%.

    Le Parti socialiste réitère sa demande au gouvernement de sursoir à la suppression de tous emplois aidés tant qu’une discussion générale n’aura pas permis d’imaginer un autre système. Les personnes en contrats aidés et les services de proximité ne doivent pas payer le politique d’austérité mise en œuvre par le Premier ministre, Édouard Philippe.