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  • PS - La filière STAPS nécessite toute notre attention

    A  l’appel  de  l’ANESTAPS  et  de  ses  associations  adhérentes,  les étudiants en STAPS ont manifesté ce jour dans plus de 20 villes de France. Le parti socialiste appelle à entendre à travers ce mouvement trois messages qui sont adressés aux élus de la République.

    Le premier concerne la nécessaire réforme du système de formation aux métiers du sport qui souffre aujourd’hui d’un manque de lisibilité et d’une trop grande complexité. La perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques à Paris en 2024 doit être une chance à saisir pour la
    Promotion de la pratique sportive pour toutes et tous, le développement du sport professionnel et amateurs dans l’ensemble des territoires. La prochaine loi de finances pourrait traduire concrètement cette intention notamment dans des enjeux de santé, bien-être et de vivre ensemble.

    Le deuxième concerne les conditions d’études des étudiants qui ne sont pas satisfaisantes face à l’évolution démographique : locaux vétustes, mal adaptés à l’utilisation des nouvelles technologies, places insuffisantes, difficultés à se loger, se soigner,… Il faut aujourd’hui amplifier l’effort de rénovation du parc universitaire et l’accompagnement des étudiants dans leur réussite et insertion professionnelle.

    Le troisième concerne l’accès à l’enseignement supérieur. Plus de 10 000 jeunes n’ont pas pu s’inscrire en première année de licence STAPS lors de cette rentrée. La problématique du tirage au sort et de la plateforme APB n’est qu’en conséquence , cette situation de la faiblesse de nos capacités d’accueil, mais aussi de la complexité à s’orienter dans les différents systèmes de formation aux métiers du sport. Elle illustre plus que jamais le manque de moyens des universités et la nécessité de la mise en place d’un guichet unique d’orientation.

    Ces trois réflexions sont indispensables pour que notre pays relève le défi de porter 60% (cf Stratégie Nationale de l’enseignement supérieure – STRANES) d’une génération diplômée l’enseignement supérieur. Le Parti socialiste, avec ses élus, y prendra toute sa part.

  • Observatoire des inégalités - 600 000 pauvres de plus en dix ans

    12 septembre 2017 - La France compte entre 5 et 8,9 millions de pauvres selon la définition adoptée. Entre 2005 et 2015, le nombre de personnes concernées a augmenté de 600 000 personnes au seuil à 50 % et de près d’un million au seuil à 60 %. Principalement sous l’effet de la progression du chômage.


    La France compte cinq millions de pauvres si l’on fixe le seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian [1] et 8,9 millions si l’on utilise le seuil à 60 %, selon les données 2015 (dernière année disponible) de l’Insee. Dans le premier cas, le taux de pauvreté est de 8,0 % et dans le second de 14,2 %. Au cours des dix dernières années (2005-2015), le nombre de pauvres a augmenté [2] de 600 000 au seuil à 50 % et d’un million au seuil à 60 %. Le taux de pauvreté s’est élevé de 0,5 point au seuil à 50 % et de 0,9 point au seuil à 60 %.

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  • PS - Présentation des ordonnances Macron-Pénicaud devant le conseil des Ministres

    Le Parti Socialiste a rencontré la plupart des syndicats représentatifs des salariés durant le mois de septembre et a entendu leurs analyses et leurs commentaires sur les ordonnances Macron-Pénicaud visant à modifier le code du travail.
     
    Ce qui ressort de ces échanges est clair : l’application des ordonnances ne bénéficiera pas aux travailleurs. Le Parti Socialiste maintient son opposition contre ces ordonnances.
     
    Cette volonté de bouleverser le code du travail n’apportera aucune solution nouvelle dans la lutte contre le chômage, ni aucun progrès social pour les salariés.
     
    Non, faciliter les licenciements n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, prévoir le coût d’un licenciement abusif, à travers le plafonnement des indemnités prud’homales, n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, exclure les syndicats des négociations dans les petites et moyennes entreprises n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Par ailleurs, les ordonnances ne répondent pas aux besoins réels des entreprises. Elles n’ont pas besoin de pouvoir licencier plus facilement pour recruter mais de carnets de commande remplis et d’une relance de l’investissement productif et de l’innovation.
     
    Enfin, ces ordonnances sont archaïques. Elles ne tiennent pas compte de la mutation des formes de travail et oublient les victimes de l’ubérisation croissante. Elles n’apportent rien non plus à la sécurisation des parcours professionnels, initiée par la gauche et laissée à l’abandon pour le gouvernement d’Edouard Philippe.
     
    Pour toutes ces raisons, le Parti Socialiste appelle le gouvernement à se ressaisir, à écouter les syndicats, à organiser de nouvelles concertations et à revoir sa copie.

  • Mediapart - Emmanuel Todd: les mutations de l'Occident

    Pour Emmanuel Todd, la déflagration inégalitaire qui menace nos démocraties n’est pas seulement liée à des configurations économiques, mais aussi à l’action inconsciente, et divergente, d’archétypes familiaux et religieux ancrés dans l’inconscient des territoires. Entretien méthodologique et politique.

  • La Gazette des communes - Face à Emmanuel Macron, le PS veut redevenir le parti de la décentralisation

    Le Parti socialiste tire à boulet rouge sur la « casse territoriale ». Une manière pour le PS de se refaire une virginité girondine à la veille d’un scrutin sénatorial du 24 septembre prochain.

    Le PS bouge encore. Lors d’une conférence de presse, le 21 septembre 2017, il a dit tout le mal que lui inspirait la politique du nouveau pouvoir en matière territoriale. Le patron de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains François Rebsamen, maire de Dijon et deux cadres du parti montés en graine ces dernières semaines, les conseillers régionaux Rachid Temal et Nadège Azzaz ont fustigé pêle-mêle « la baisse des contrats aidés », « la suppression de la taxe d’habitation » et l’effort financier supplémentaire de trois milliards d’euros au regard des engagements du candidat Macron…

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  • La Tribune - Code du travail : 68% des Français estiment que la réforme va "favoriser les licenciements"

    Syndicats affaiblis, précarité en hausse des salariés, les Français interrogés par Viavoice - dont le sondage a été révélé par Libération - sont plutôt critiques face à la réforme du Code du travail décidée par le gouvernement.

    La réforme du Code du travail n'a pas la cote. Plus des deux tiers des Français (68%) estiment que les ordonnances vont "favoriser les licenciements" et 53% considèrent que la politique du gouvernement bénéficie "aux plus aisés", selon un sondage réalisé par Viavoice et publié par Libération.*

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  • Slate - La vie après la politique est plus compliquée quand on est de gauche

    Les règles de non-cumul des mandats vont-elles signer la fin des professionnels de la politique?

    La cause serait entendue, les professionnels de la politique se détourneraient de ce métier pour rejoindre la société civile. Les reconversions récentes des anciens premiers ministres François Fillon, comme associé d’une société d’investissement, et Bernard Cazeneuve, comme avocat, l’illustreraient. Du côté droit de l’échiquier politique, parmi les 68 anciens ministres ou secrétaires d’État des gouvernements Fillon, ils ne sont que quatre à avoir réélus députés en 2017, alors qu’ils étaient 30 en 2012. Du côté gauche, ils sont bien neuf (dont Annick Girardin restée au gouvernement) à avoir, parmi les 74 anciens ministres ou secrétaires d’État des gouvernements Ayrault, Valls et Cazeneuve, été réélus députés en juin. Mais ils sont 23 à avoir été battus, alors que les anciens ministres de Sarkozy ne sont que cinq à avoir subi le même sort.

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