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  • Kamel Daoud : "Je suis allergique à la rente du décolonial"

    Face à la “rente émotive du décolonial”, Kamel Daoud veut plaider le présent. Enfant de l’indépendance, il condamne des postures parfois victimaires, soixante ans après la fin de la guerre en Algérie.

  • Télérama - Raymond Depardon : ”Je suis un photographe de la décolonisation”

    C’était son premier voyage en Afrique. En juillet 1960, un jeune photoreporter habitué à couvrir l’actualité et les vedettes s’envolait pour Alger, dûment cravaté. Raymond Depardon y est retourné à plusieurs reprises au cours des soixante dernières années. Afin de couvrir ce que l’on nommait pudiquement « les événements », pour ne pas dire la guerre d’Algérie, tout d’abord. Dans les années 1980, ensuite. Pendant la guerre civile qui a ravagé le pays de 1991 à 2002, aussi. Et plus récemment, en 2019. Entre-temps, Depardon est devenu l’immense photographe et réalisateur que l’on sait. Celui qui s’est peu à peu éloigné des codes de l’image de presse pour s’intéresser à ces « temps morts » – qui en disent pourtant si longs – et qui composent sous son objectif une photographie documentaire éminemment personnelle, entremêlée de sa propre histoire. Lors de son dernier voyage, il a rencontré l’écrivain Kamel Daoud chez lui, à Oran. Tous deux exposent aujourd’hui ensemble à l’Institut du monde arabe, à Paris, où les images d’Algérie du premier dialoguent avec les textes qu’elles ont inspirés au second. Raymond Depardon revient ici sur son rapport à l’Algérie, photos à l’appui.

    Exposition « Raymond Depardon/Kamel Daoud. Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019 », jusqu’au 17 juillet, Institut du monde arabe, Paris 5e, www. Ima.org

    À lire : Raymond Depardon et Kamel Daoud, Son œil dans ma main, coéd. Barzakh-Images plurielles, 232 p., 35 €.

  • Peut-on vivre sans croire ? Delphine Horvilleur et kamel Daoud

    Qu’est-ce que croire ? Croire en qui, en quoi ? Jusqu’où croire ?… Conversation entre Delphine Horvilleur, rabbin au sein du Mouvement juif libéral de France, directrice de la rédaction de Tenou’a, revue de pensée juive, et auteure de différents ouvrages, et Kamel Daoud journaliste, chroniqueur et écrivain, prix Goncourt du premier roman pour Meursault, Contre-enquête, également auteur de Mes indépendances : chroniques 2010-2016 (Actes Sud, 2017) et de Le Peintre dévorant la femme (Stock, 2018).

  • Kamel Daoud: « J’ai réédité des textes qui disent que je me trompe aussi»

    Kamel Daoud a fait le tour de ses chroniques 2010-2016 pour revenir avec El Kadi Ihsane dans l'Entretien de ce dimanche 12 février sur ce qui fait son art, sa pensée.