Face à la “rente émotive du décolonial”, Kamel Daoud veut plaider le présent. Enfant de l’indépendance, il condamne des postures parfois victimaires, soixante ans après la fin de la guerre en Algérie.
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Face à la “rente émotive du décolonial”, Kamel Daoud veut plaider le présent. Enfant de l’indépendance, il condamne des postures parfois victimaires, soixante ans après la fin de la guerre en Algérie.