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  • Le Figaro - Pourquoi la gauche sociale-démocrate n’existe plus... depuis longtemps

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Renée Fregosi, qui est adhérente au PS depuis 1976, considère qu’il n’y a jamais eu de véritable social-démocratie en France car depuis Mitterand, la gauche favorise la montée d’une social-technocratie sans convictions et qui préconise le modernisme.

    Qu’elle se dise «radicale» ou «réformiste», la gauche politique et «intellectuelle» en France aujourd’hui, a globalement troqué la notion d’exploitation contre la théorie de la domination chère aux partisans de Pierre Bourdieu, et la lutte des classes contre la lutte des races. Ce qui reste de la gauche (qui s’exprime dans les médias) est devenue islamo-gauchiste, multiculturaliste, féministe victimaire, et en tout point moralisatrice. Et si certains comme François Hollande en fin de mandat, Bernard Cazeneuve sondant une candidature future, ou aujourd’hui Laurent Joffrin, avec le lancement de son mouvement, prétendent être devenus «sociaux-démocrates», ce ne sont que nouvelles impostures!

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  • Le Figaro - «Face à l'islamisme, certains reproduisent les erreurs de leurs aînés face au nazisme»

    Pour la philosophe Renée Fregosi, la réponse au nouveau totalitarisme islamiste passe par le réarmement tant idéologique que militaire. Il faut en finir avec la mentalité pacifiste, prétexte à tous les renoncements.

    Après chaque attentat, ce sont les mêmes scènes de pleurs et de prières œcuméniques, bougies, fleurs et peluches étalées sur le bitume, minute de silence pour les victimes, appels à la paix et au «vivre ensemble». Cherche-t-on à détourner les futurs candidats djihadistes de leurs funestes projets en les convertissant au peace and love? Aussi absurde que de tenter de trouver une thérapie psychiatrique miracle pour tous ces «déséquilibrés», ces «malades mentaux» que seraient les terroristes! Certes pour planifier l'assassinat de milliers d'inconnus qui ne leur ont pas fait d'autre offense que de vivre hors des règles rigoristes de leur islam, faut-il que ces islamistes soient fous.

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  • Le Figaro - Comment sauver le Parti socialiste ? Par Renée Fregosi

    Pour Renée Fregosi, s'il veut survivre, le Parti socialiste doit rompre avec l'idée désormais stérile de l'« union des gauches », qui l'empêche de définir une réelle base doctrinale.
     
    La nouvelle direction provisoire de la Rue de Solferino rassemble une fois encore les débris du hollandisme et les derniers avatars des frondeurs. Sinistres fossoyeurs d'un vaisseau fantôme, ils se présentent en défenseurs héroïques d'un parti en lambeau qu'ils ont largement contribué à détruire. Mais ce n'est pas en rejouant Epinay que le Parti socialiste trouvera une nouvelle dynamique. Les mutations profondes au niveau mondial comme le bouleversement de la vie politique nationale produit par Emmanuel Macron, interdisent la réussite d'une nouvelle entourloupe mitterrandienne.
     
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  • Le Monde - Mort de Fidel Castro : « Ce qui reste de la révolution cubaine, c’est aujourd’hui sa répression »Par Renée Fregosi (Philosophe, directrice de recherche en science politique à l'université Paris-III-Sorbonne-Nouvelle)

    Pour la philosophe et politologue Renée Fregosi, le mythe de la belle révolution tropicale a la vie dure. La « réussite » du régime castriste est bien davantage idéologique que matérielle.

    La mort de Fidel Castro, qui affirmait volontiers « Je suis la révolution », conduit tout naturellement à s’interroger sur la fin de son régime. Comme son « lider máximo », l’agonie de la révolution cubaine est bien longue. En dissonance avec les éloges en faveur de la Cuba castriste notamment en France, en Russie et au Venezuela chaviste, rappelons l’anecdote signalée par Marcel Niedergang (1922-2001) dans l’un de ses derniers articles en 2001 (repris par Le Monde du 26 novembre) : au fameux slogan « Le socialisme ou la mort ! » proclamé par le régime sur les murs de La Havane, des opposants ont répondu courageusement en écrivant furtivement « Quelle différence ? »

    Car ce qui reste de la révolution cubaine, c’est aujourd’hui essentiellement sa répression. Dès les premiers mois après la prise de La Havane en 1959, avait commencé l’épuration au sein de l’opposition démocratique au dictateur Batista et parmi les compagnons mêmes des Castro (comme Huber Matos, comandante dans la Sierra, condamné à vingt ans de prison).

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