Sympathisants d’un PS en sale état, ils naviguent entre désillusions et espoir d’un renouveau…
C’est la désillusion finale et les lendemains qui déchantent pour le Parti socialiste. Jamais depuis sa création en 1969, le PS n’avait connu une défaite si cuisante à la présidentielle et aux législatives. Abîmé par l’impopularité du quinquennat Hollande, rongé par les divisions entre légitimistes et frondeurs, le parti est en lambeaux.
La démission tardive du premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, les départs successifs de Valls et de Hamon, l’un pour rejoindre la majorité présidentielle, l’autre pour créer son mouvement dans l’espoir de refonder la gauche, n’ont rien arrangé
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