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  • François Kalfon, conseiller régional PS d'Ile de France - Macron "le masque se fissure"

  • Le Monde - Pénibilité : Edouard Philippe donne satisfaction au patronat

    Quatre risques professionnels sur dix seront traités différemment, et les cotisations spécifiques seront supprimées.
     
    Le lobbying patronal, exercé depuis de longs mois, a fini par porter ses fruits. Samedi 8 juillet, Edouard Philippe a dévoilé la nouvelle mouture du compte personnel de prévention de la pénibilité (C3P) – dispositif fustigé par les organisations d’employeurs, depuis sa création en 2014, au motif qu’il serait beaucoup trop complexe donc inapplicable. Les mesures annoncées par le premier ministre visent à simplifier cet outil tout en modifiant son financement. Des « évolutions » saluées par le Medef, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), ainsi que par l’Union des entreprises de proximité (U2P).
     
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  • La Marseillaise résonne au Metropolitan Opera de NYC

    Ajoutée le 15 nov. 2015

    L'orchestre du Metropolitan Opera de New York, dirigé par Placido Domingo, a joué samedi "La Marseillaise" de façon totalement inattendue la Marseillaise, en hommage aux victimes des attentats survenus à Paris le vendredi 13 novembre, et faisant au moins 129 morts et 352 blessés.

  • La Croix - Benjamin Coriat : « Donald Trump ne peut pas diriger le pays contre son business »

    Le commerce mondial peut-il se passer des Etats-Unis ? L’avis de Benjamin Coriat, professeur d’économie à l’université Paris 13 et membre du conseil d’administration du collectif des Économistes atterrés.

    La position des États-Unis est très paradoxale. Ils ont été et continuent d’être les grands bénéficiaires des échanges internationaux. Cela dit, une des causes du déficit commercial américain provient de la délocalisation massive pratiquée par ses firmes dans les pays d’Asie. Les formes de déréglementation pratiquées depuis trois décennies, auxquelles les États-Unis ont contribué, ont causé une perte d’emploi pour de nombreux Américains.

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  • Le Parlement bafoué, le code du Travail menacé

    13 juillet 2017

    L’Assemblée nationale a adopté ce soir le projet de loi « d’habilitation pour le renforcement du dialogue social ». La majorité acte ainsi un nouveau rôle pour le parlement, celui de chambre d’enregistrement au service du gouvernement et non plus celui d’une chambre de débat et d’écriture de la loi.

    Le statut même du projet de loi, habilitant le gouvernement à légiférer par ordonnance, ôte toute possibilité de débattre sur le fond et ne permet pas à l’opposition de proposer des améliorations concrètes à une loi essentielle. Pire, il a été demandé aux députés de se prononcer sans attendre la fin des concertations avec les syndicats et sans connaître les intentions précises du gouvernement.

    Tels qu’ils sont rédigés, les neuf articles de ce projet de loi permettent au gouvernement de remettre en cause des acquis fondamentaux, tels que la juste réparation d’un préjudice lors d’un licenciement injustifié, le repos quotidien et le travail de nuit, la prise en compte de la situation d’un groupe et non d’une simple filiale pour la mise en place d’un plan social, l’instauration d’un PSE dès dix licenciements économiques, et même le CDI, seul contrat de travail non précaire.

    En légiférant ainsi, le gouvernement prétend aller vite pour permettre la relance de l’économie et de l’emploi. Pourtant, quand seules neuf entreprises sur cent considèrent que le code du travail est un frein à l’embauche, prétexter l’urgence pour éviter le débat ne se justifie pas.

    Le Parti socialiste dénonce à nouveau cette méthode, appelle le gouvernement à la raison et à l’écoute des partenaires sociaux dont l’inquiétude se fait chaque jour plus forte.

  • Le Monde - Réforme du code du travail : l’Assemblée autorise le recours aux ordonnances

    Le texte va maintenant être transmis au Sénat pour être voté définitivement avant la fin de la session extraordinaire début août.

    Sans surprise, à 270 voix contre 50, les députés ont autorisé, jeudi 13 juillet, le gouvernement à légiférer par ordonnances sur la réforme controversée du code du travail, premier gros chantier du quinquennat Macron. « C’est un moment important, le premier texte du quinquennat est sur le travail, c’est un symbole », s’est réjouie la ministre du travail, Muriel Pénicaud, à l’issue du vote.
     
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  • Libé - «Pénibilité», le mot de trop pour l’Elysée

    «Ce qui n’est pas nommé, n’existe pas», avait averti le psychanalyste Jacques Lacan. C’est ainsi que le compte pénibilité, cette mesure phare du quinquennat de François Hollande qui permet à des salariés exposés à des métiers «pénibles» de partir plus tôt à la retraite ou de bénéficier d’une formation, change de nom. Le Premier ministre veut l’appeler désormais «compte de prévention».

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  • Le livre posthume de Charb sur l'islamophobie

    Peu avant d'être assassiné dans l'attentat contre « Charlie Hebdo », Charb venait de terminer un livre, dans lequel il répondait à l'accusation d'islamophobie.

    Lettre ouverte aux escrocs de l'islamophobie qui font le jeu des racistes. Le titre de l'ouvrage posthume de Charb annonce la couleur. Peu avant son assassinat, le 7 janvier, dans l'attentat contre le siège de Charlie Hebdo, l'hebdomadaire satirique dont il était directeur de la publication, Charb venait de terminer un livre, dont L'Obs publie des extraits.
     
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    Avignon Off 2017, du 14 au 18 juillet au Théâtre de l'Oulle à
     
     
    Le Théâtre K et Charlie Hebdo organisent 5 soirées événements autour du livre posthume de Charb « Lettre aux escrocs de l'Islamophobie qui font le jeu des racistes ».
    Alors que l'hebdomadaire fête ses 25 ans, Gérald Dumont, auteur et metteur en scène, présente une lecture « irresponsable », mêlant musiques et vidéos, de ce texte finalisé deux jours avant le 7 janvier 2015.
    Cette mise au point nécessaire sera suivie d’une rencontre avec des personnalités (journalistes, dessinateurs, philosophes, sociologues, etc.). Nous y parlerons notamment de laïcité, de liberté d'expression, de citoyenneté, avec réponses aux questions du public. Une exposition des dessins de Charb sera proposée. 5 programmations différentes avec un même slogan : « oser rire sans retenue » !
  • RFI - Luc Carvounas (NG): «LREM est un mouvement de centre droit, nos compatriotes s’en rendent compte»

    Luc Carvounas, député PS du Val de Marne, membre de la nouvelle direction collégiale du parti socialiste, était ce lundi l'invité du matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière. « Manuel Valls pense que son avenir est au sein de ce parti extrêmement verrouillé et vertical qu’est LREM »...« Manuel Valls et Benoit Hamon sont-ils au rendez-vous de l’histoire de la gauche française ? je ne le crois pas »...« il va falloir que le président Macron apprenne à compter avec des voix d’opposition ».

  • PS : Compte de « prévention » : le gouvernement abandonne la pénibilité

    10 juillet 2017

    Le gouvernement vient d’annoncer, par la voix du Premier ministre, la réforme du Compte personnel de prévention de la pénibilité, transformant celui-ci en simple « compte de prévention ». Au delà du nom, ce sont deux modifications d’importance qui interviennent : d’une part, le financement de la pénibilité ne sera plus à la charge de l’entreprise mais intégré à la branche accident professionnel de la sécurité sociale ; d’autre part, quatre critères de pénibilité sont supprimés et le départ à la retraite anticipé devient conditionné au diagnostic d’une maladie professionnelle invalidante.

    La question du financement est centrale. Alors que le gouvernement ne cesse de dénoncer le niveau de dépense de l’Etat, en y intégrant la protection sociale, se refuser à appliquer à la prévention le principe du pollueur–payeur est une faute. Cela risque de condamner à terme le dispositif et de mener au déficit la seule banche excédentaire de la sécurité sociale. Surtout, cela bafoue l’esprit de la réforme qui reconnaissait que la charge de la maladie revenait à l’entreprise et non au salarié.

    La suppression des quatre critères si souvent dénoncés par le Medef (les postures pénibles, le port de charges, les produits toxiques et les vibrations) est une profonde remise en cause des questions de pénibilité. Si le principe d’une réforme du mode de prise en compte de ces critères était accepté par les syndicats, leur suppression pure et simple ne permet plus de garantir la prévention : il faudra dorénavant être malade et non plus exposé au risque pour bénéficier d’un départ anticipé.

    Le Parti socialiste condamne cette contre-réforme conduite par un gouvernement qui semble faire chaque jour plus la preuve de son ancrage à droite, tant dans l’approche idéologique des problèmes que dans les solutions proposées. Il demande le rétablissement des mesures favorables à une réelle prévention de la pénibilité pour les millions de Français qui en subissent durablement les conséquences.