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  • Le 18 février 2015, Finance Watch à l'audition au Sénat français sur les règles de séparation des activités bancaires

  • INA (1962) Journée universitaire anti OAS

    Manifestations et meeting organisés "pour la défense des libertés", à l'initiative de la Fédération de l'Education Nationale et de l'UNEF. - Rassemblement dans Paris - calme - des agents - Palais de la Mutualité : rassemblement - Dominique WALLON, Président de l'UNEF dans une salle, au micro, parle (muet) - ainsi que Georges DESVALLON - le Président du Syndicat des Instituteurs.

  • INA (1962) Manifestation anti OAS, Charonne, 8 février 1962

    Reportage sur la manifestation du 8 février, interdite par le Ministère de l'Intérieur, pendant laquelle huit personnes trouvent la mort, tuées par les forces de l'ordre à la station de métro Charonne.

  • Réflexions, analyses, témoignages pour l'été : des sites pour penser plus loin

    ALTERNATIVES ECONOMIQUES

    Alterecoplus - Zone euro : Ambiguïtés allemandes par André Gauron

    Que cherche le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, en prônant la sortie de la Grèce de l’euro ? Obtenir davantage de réformes, faire tomber le gouvernement de la gauche radicale ou, comme l’a affirmé le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, « mettre en œuvre son plan pour sortir la Grèce de l’euro » ? Dans l’interview qu’il a donnée à la télévision grecque au lendemain de l’accord, Alexis Tsipras dit l’avoir compris « dès mars », sans visiblement avoir trouvé la parade.

    Le gouvernement grec, mais aussi les autres chefs d’Etat et de gouvernement, se sont trouvés acculés à subir une surenchère permanente du ministre allemand non pour mettre en place un plan viable de réformes mais pour relancer, à l’occasion de la crise grecque, le projet initial allemand d’un euro construit autour d’un noyau dur de pays, dont la Grèce, mais aussi l’Italie et quelques autres seraient exclus.

    Alyernatives Economiques dans Wikipedia

    La page Facebook

    OBSERVATOIRE DES INEGALITES

    Fracture sociale : ce déni qui va vous coûter très cher

    17 mars 2015 - En refusant de voir l’ampleur des difficultés des classes populaires et moyennes, notre société prend des risques. La fracture sociale s’ouvre et le ressentiment augmente. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.

    Les catégories populaires et moyennes vont se rappeler au bon souvenir du pouvoir lors des élections départementales des 22 et 29 mars. Le Front national va conquérir un grand nombre de cantons. Le Parti socialiste est progressivement balayé de la scène politique. L’une des explications est à chercher dans la violence de la crise subie par une partie de la population. Les catégories aisées, gourmandes, continuent à s’enrichir quand les couches populaires voient leur niveau de vie baisser. Entre les deux, les classes moyennes constatent avec amertume le décalage entre leurs aspirations et la réalité sociale. Une fracture sociale s’ouvre et le ressentiment augmente.

    Les classes populaires - en particulier les jeunes qui en sont issus - sont aux premières loges du mal emploi. Les trois quarts des chômeurs supplémentaires depuis 2008 sont ouvriers ou employés. Le taux de chômage des bac +3, lui, n’a pas bougé alors que le nombre de chômeurs total a grimpé en flèche.

    « L’Etat social produit des effets positifs ». Entretien avec Patrick Savidan, professeur de philosophie politique, président de l’Observatoire des inégalités

    12 juin 2015 - Les politiques fiscale et sociale jouent un rôle non négligeable pour limiter les écarts de niveaux de vie. Mais l’heure n’est malheureusement pas au renforcement de la protection sociale. Entretien avec Patrick Savidan, professeur de philosophie politique, président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du magazine Alternatives Économiques.

    Le site de l'Observatoire des inégalités

    L'Observatoire sur Wikipedia

    FINANCE WATCH

    Vanity Fair - Défi d'initiés

    Finance Watch, des super-héros en costume-cravate contre les excès des marchés financiers

    Ils ont été traders ou banquiers d’affaires, gagné des fortunes et connu l’adrénaline des salles de marché. Aujourd’hui, ils mettent à profit leurs connaissances du système pour combattre les excès de la finance dans une petite ONG basée à Bruxelles, Finance Watch. Dans le numéro de juin 2015 de « Vanity Fair », Sophie des Déserts a confessé ces activistes en costume-cravate qui veulent donner du sens à l’argent.

    Libé, le 24 juin - Christophe Nijdam «Si les taux remontent, il va y avoir du ketchup sur les murs des salles de marché !»

    Sept ans après la crise des subprimes, l’Europe n’est toujours pas à l’abri d’un krach financier. La régulation du secteur bancaire qu’avait appelée de ses vœux le candidat François Hollande au Bourget est en panne, selon Christophe Nijdam de Finance Watch, groupe d’experts indépendants. Et les petits déposants pas vraiment plus protégés

    Les Echos - Christophe Nijdam, le croisé  de Finance Watch

    Ex-trader, il a connu les excès de Wall Street, avant de devenir le pourfendeur de la banque universelle à la française. Cet ancien analyste financier dirige depuis janvier l'ONG Finance Watch, désormais incontournable à Bruxelles.

    Je ne fais pas de révolution, et elle n'est pas souhaitable.  » Ceux qui pariaient que le nouveau secrétaire général de Finance Watch ferait de l'ONG, aujourd'hui reconnue à Bruxelles pour son expertise, un Greenpeace européen de la finance davantage porté sur les actions coups de poing, en seront pour leurs frais.

    Le site de Finance Watch

    Finance Watch sur Wikipedia

    LES ECONOMISTES ATTERRES

    Marianne, le 17 juillet - Une autre politique n'est possible qu'à condition d'ouvrir une crise en Europe

    Henri Sterdyniak, sur le blog des Economistes atterrés, tirent longuement les enseignements de la crise grecque. Pour lui, "le texte imposé à la Grèce, comme la conduite des négociations, posent la question de la nature de la zone euro". "L’Allemagne, écrit-il, ses chevau-légers (la Finlande, la Slovaquie, les pays baltes, etc.), la Commission, la BCE ont imposé leurs vues… avec la bénédiction des dirigeants de l’ensemble des Etats membres. Pour eux, l’euro est indissociable de politiques d’austérité et de réformes structurelles libérales. Les votes qui peuvent avoir lieu au niveau des nations n’ont aucune importance." Et d'en conclure : "A l’avenir, les partis politiques, les mouvements sociaux, les peuples qui voudront mettre en œuvre une autre politique sauront qu’ils devront ouvrir une crise en Europe."

    Les Economistes Atterrés - La leçon grecque

    Une rupture nécessaire…

    En janvier 2015, la Grèce avait voté pour un parti, Syriza, qui proposait un tournant radical par rapport aux politiques suivies par les gouvernements précédents. Alternant de longues années au pouvoir, le Pasok et la Nouvelle démocratie avaient maintenu la domination de quelques familles d’oligarques, la corruption généralisée et l’inefficacité de l’administration. Après l’entrée dans la zone euro, les dépenses publiques ont nettement augmenté, ce qui pouvait se justifier dans une perspective de rattrapage, mais les impôts ont fortement baissé, induisant un fort déficit public : le solde primaire (hors charges d’intérêts) est passé d’un excédent de 3% en 2000 à un déficit de 2,4% en 2007. Les classes dirigeantes n’ont pas profité des bas taux d’intérêt permis par l’appartenance à la zone euro pour développer l’industrie et le secteur productif en Grèce. La croissance a été forte (4,1% de 1998 à 2007), mais insoutenable : le déficit extérieur dépassait 10% du PIB en 2007.  Cette dérive participait au creusement des disparités dans la zone euro entre les pays du Nord, en particulier l’Allemagne, qui avaient choisi une stratégie de recherche de compétitivité et d’accumulation d’excédents extérieurs, nuisible à leurs partenaires, et les pays du Sud, dont la croissance soutenue s’accompagnait de forts déficits extérieurs, financés sans peine jusqu’à la crise grâce à la confiance des marchés financiers en la solidité de l’euro.

    Le site des Economistes Atterrés

    Les Economistes Atterrés dans Wikipedia

    OFCE

    OFCE - Un nouveau monde économique. Mesurer le bien-être et la soutenabilité au 21e siècle, 7 mai 2015

    Éloi Laurent et Jacques Le Cacheux, Un nouveau monde économique, Mesurer le bien-être et la soutenabilité au 21e siècle, Odile Jacob, 2015.

    Introduction : La mesure des possibles

    « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre ! »

    Devise inscrite au fronton de l’Académie fondée par Platon à Athènes.

     Nous vivons sous le règne du produit intérieur brut (PIB), dont l’année 2014 a marqué le soixante-dixième anniversaire. Créé par l’économiste américain Simon Kuznets à l’orée des années  1930, le PIB fut adopté comme norme internationale de la comptabilité souveraine lors de la conférence qui se tint entre puissances alliées dans la petite bourgade de Bretton Woods, au beau milieu de nulle part, en juillet 1944. Mesure des activités marchandes monétisables, indicateur de référence de la croissance économique  et du niveau de vie, le PIB est devenu au fil des décennies l’étalon suprême de la réussite des nations, précis, robuste et comparable.

    Le site de l'OFCE

    L'OFCE sur Wikipedia

    JEAN GADREY

    Jean Gadrey - Quelques liens vers des textes récents qui parlent de crise(s), de solutions et de mobilisations

    1. Lettre à une croissance que nous n’attendons plus, Le Monde du 3 juillet, par Manon Dervin, étudiante à Science Po Rennes. Ce texte a beaucoup circulé en réseau. En voici le début :

    « Ô très chère Croissance. Ma bien-aimée. Ton retour s’est fait attendre. Ton dogme fondé sur la valeur centrale du « travail » conditionne encore aujourd’hui toute la vitalité du système économique. Tu fabriques l’Emploi et en tires ta force. Les médias, les politiques et tous les travailleurs retiennent leur souffle… Mais aujourd’hui je ne t’attends plus, Croissance… Je te prie de m’excuser pour les mots qui vont suivre. Il me fallait te conter mes désillusions… Suite via ce lien.

    Ajout : je me permets de mentionner, bien qu’elle soit moins brillante que la lettre de Manon, ma vieille « ode à la croissance et à la productivité », qui date de 2011. Et aussi une chanson sympa sur ce thème, « prière à la croissance », par la Parisienne libérée, en 2013.

    Le blog de Jean Gadrey

    Jean Gadrey sur Wikipedia

    GILLES RAVEAUD

    Gilles Raveaud - Accords commerciaux régionaux : des machines infernales, selon Dani Rodrik

    Pour Dani Rodrik, professeur à Princeton et l’un des meilleurs analystes de la mondialisation, tant l’Accord de Partenariat transpacifique (TPP) que le TTIP sont des traités aux gains douteux en termes d’emplois, et qui permettent un véritable “putsch des entreprises multinationales” à l’encontre des États.

    Au final, avec ces accords, “les intérêts des investisseurs et exportateurs porteront plus que jamais préjudice aux objectifs sociaux et environnementaux”.

    Bref, ce ne sont même pas des traités libéraux.
     
    Le blog de Gilles Raveaud

    FREDERIC LORDON

    La pompe à phynance - La gauche et l’euro : liquider, reconstruire

    1. L’euro interdit radicalement toute politique progressiste possible.

    2. S’il en était encore besoin, le traitement criminel infligé à la Grèce en six mois de brutalisation (rebaptisée « négociation ») prouve que l’entreprise de « transformer l’euro », ou l’hypothèse d’un « autre euro possible », sont des chimères qui, par désillusions successives, ne mènent qu’à l’impasse et à la désespérance politiques.

    3. Abandonner aux extrêmes droites (qui au demeurant n’en feront rien [1]…) toute perspective politique d’en finir avec l’euro et ses institutions est une faute politique qui condamne les gauches européennes à l’impuissance indéfinie.

    Le journal du Mauss - La puissance des institutions, Frédéric Lordon

    A partir d’un commentaire sur le retour opéré par Luc Boltanski à une forme de sociologie critique, Frédéric Lordon reprend la question de savoir ce qui confère leur pouvoir aux institutions, leur capacité à dire le vrai, et, dans le sillage de Spinoza, le trouve dans le pouvoir de la multitude.

    Le site de Frédéric Lordon

    Frédéric Lordon sur Wikipedia

     


  • La Vie des idées : L’émancipation politique et son avenir

    La dynamique des révolutions nationales de l’après-Guerre paraît remise en cause par la montée de courants théocratiques rétrogrades. Selon M. Walzer, c’est en grande partie parce que ces révolutions n’ont pas su négocier avec les traditions religieuses nationales.

    Recensé : Michael Walzer, The Paradox of Liberation. Secular Revolutions and Religious Counterrevolutions, Yale University Press, New Haven 2015, 170 p.

    Critique des révolutions nationalistes séculières

    Dans The Paradox of Liberation, à partir de l’examen de trois exemples historiques de « libération nationale » (l’Algérie, l’Inde et Israël), choisis en raison même de la diversité de leurs contextes politiques, géographiques et culturels, Michael Walzer tente de comprendre la relation entre la perte de dynamique des mouvements séculiers de libération nationale de l’après-guerre et la résurgence du religieux, sous une forme moderne et contre-révolutionnaire, dans les États-nations issus de ces révolutions.

    Dans chacune de ces trois situations, le processus de libération nationale s’entend toujours comme l’émancipation d’une double oppression, externe et interne. La première correspond à l’asservissement d’une population par une puissance étrangère, asservissement qui s’exprime d’abord par la répression violente de tout mouvement de résistance ; la seconde procède de l’intériorisation coutumière de cette domination par la population assujettie. La dimension révolutionnaire d’une libération nationale tient à la victoire à la fois sur l’oppresseur externe, mais aussi sur tout ce qui naturalise l’expérience du joug dans les mœurs, pratiques, croyances, coutumes, hiérarchies sociales — soit sur ce que La Boétie a appelé « servitude volontaire ».

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  • L'actualité des socialistes du 13 au 23 juillet (mise à jour)

    Les vidéos de l'été se subsituent à cette revue de presse à partir du 24 juillet jusqu'au 24 août : les chansons de la gauche, un parcours dans l'histoire de la Gauche à travers les archives de l'INA mais aussi des réflexions et des analyses.

    A la une

    L'Obs - #Présidentielle2017 Pour la socialiste Marie-Noëlle Lienemann, une primaire à gauche est "inéluctable" en vue de la présidentielle 2017

    "Une primaire me paraît inéluctable", juge la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, membre de l'aile gauche du PS, dans un entretien au "Figaro". "D'abord parce que cela donnera de la force au candidat de gauche. Ensuite parce que cela permettra aux Français de s'exprimer. La primaire doit être un moment de clarification avec le peuple de gauche."

    21, 22 et 23 juillet

    Le Figaro - Stéphane Le Foll se rendra finalement à Caen cet après-midi

    La venue du ministre de l'Agriculture était une des conditions imposées par les éleveurs pour la levée des blocages. Un peu plus tôt, François Hollande annonçait la présentation d'un plan d'urgence mercredi en conseil des ministres.

    Web-Agri - Eleveurs en colère « Tout le monde doit faire un effort » déclare la porte-parole du PS

    Paris, 21 juil 2015 (AFP) - Consommateurs, distributeurs, industriels : « Tout le monde doit faire un effort » pour résoudre la crise qui secoue actuellement l'élevage en France, a déclaré mardi Juliette Méadel, porte-parole du PS.

    France Inter, L'invité du week-end : Benoît Hamon ancien ministre, député PS des Yvelines

    19 et 20 juillet

    Le Lab - Benoît Hamon ne sera pas à la fête de la Rose aux côtés d'Arnaud Montebourg parce qu'il est "en vacances"

    C'est triste mais c'est comme ça : cette année, vous ne verrez sans doute pas Benoît Hamon à la Fête de la Rose, déguster un verre de la Cuvée du Redressement – il paraît qu'il en reste plusieurs bouteilles – ni chanter en remuant les mains avec Arnaud Montebourg. A priori, l'ancien ministre de l'Éducation nationale ne sera pas à Frangy-en-Bresse à la fin du mois d'août.

    JDD - SONDAGE. Hollande stagne, Valls gagne 5 points

    Baromètre Ifop-JDD - François Hollande reste stable et Manuel Valls rattrape le terrain perdu lors de son escapade en jet à Berlin.

    L'Obs - DSK à ses "amis allemands": "Les conditions de l'accord avec la Grèce sont effrayantes"

    Dans une tribune en ligne, l'ancien directeur du FMI déplore que "le contexte dans lequel ce diktat a eu lieu crée un climat dévastateur" en Europe.

    Côté Toulouse - Régionales 2015. Cambadélis à Toulouse pour accélerer l'accord entre le PS et le PRG

    Le premier secrétaire du PS a participé à une réunion d'urgence, vendredi 17 juillet à Toulouse, pour « débloquer » la situation entre les socialistes et les radicaux de gauche.

    Le Monde - Varoufakis, invité vedette de Montebourg à Frangy pour la rentrée politique

    Décidément, la Fête de la rose de Frangy-en Bresse (Saône-et-Loire), qui marque chaque année la rentrée politique d’Arnaud Montebourg, réserve son lot de surprises. Cette année, c’est Yanis Varoufakis, le désormais ex-ministre des finances grec, qui sera l’invité d’honneur du traditionnel ban bourguignon, dimanche 23 août, qui précède l’université d’été des socialistes à La Rochelle. La nouvelle a été annoncée par un communiqué des amis d’Arnaud Montebourg, qui organisent l’événement.
     

    L'ancien ministre grec des Finances Yanis Varoufakis, qui a mené la vie dure aux créanciers de la Grèce avant de démissionner, sera l'invité d'honneur de la 43e Fête de la Rose, organisée chaque été autour d'Arnaud Montebourg à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire).

    17 et 18 juillet

    Cambadelis - Lettre ouverte à un ami allemand

    ... C’est la solidarité de la France et de l’Europe qui permit dans le cadre des accords de Londres de 1953 de réduire considérablement la dette allemande. Berlin doit se souvenir de cette leçon de l’histoire au moment où elle fait la leçon budgétaire à Athènes. Notons d’ailleurs au passage que si nous avions annulé la dette grecque il y a trois ans et si nous avions laissé s’organiser un référendum, nous n’en serions sans doute pas là aujourd’hui.

    Le Monde - Pour soutenir les Grecs, Cambadélis rappelle l’Allemagne à son histoire

    Après l’économiste Thomas Piketty, c’est au tour de Jean-Christophe Cambadélis de vouloir mettre l’Allemagne d’Angela Merkel face à son histoire. Quatre jours après l’accord permettant à la Grèce de rester dans la zone euro, le premier secrétaire du PS a posté sur son blog une « lettre ouverte à un ami allemand » dont le message, outre l’allusion aux articles publiés sous ce titre par Albert Camus dans Combat en 1945, est clair : la Grèce est l’Allemagne d’hier.
     
     
    Nommé en juin secrétaire national à l'alliance populaire, Julien Dray a la dure mission de rassembler la gauche en vue de 2017. Il espère isoler Jean-Luc Mélenchon pour éviter l'émergence d'un Syriza à la Française.
     
    L'Obs - #Grèce Les "frondeurs" du PS vont majoritairement voter en faveur de l'accord avec la Grèce ce mercredi après-midi, même si certains s'abstiendront

    C'est ce qu'a indiqué à l’AFP, en milieu de journée, le député de la Nièvre Christian Paul, l'un des animateurs du courant. "C’est un accord incontournable, ça n’en fait pas un bon accord", a-t-il résumé, jugeant que "tout reste à faire" notamment sur la question de la dette.

    15 et 16 juillet

    Le Monde - Hollande profite du 14-Juillet pour s’afficher en protecteur de la nation

    Le contexte diplomatique eût pu être désastreux, il s’est révélé en réalité particulièrement porteur. Fort de deux accords majeurs conclus, en moins de quarante-huit heures, sur le maintien de la Grèce dans la zone euro et le nucléaire iranien, François Hollande a pu pousser à des hauteurs inespérées, mardi sur TF1 et France 2 lors de ses quarante-cinq minutes d’intervention télévisée à l’occasion du 14-Juillet, la posture qu’il ambitionnait d’endosser depuis plusieurs semaines en vue de ce rendez-vous : celle d’un président protecteur.
     

    La scénographie et les acteurs demeurent, mais la pièce sera d’un tout autre genre. C’est dans un contexte national, européen et international particulièrement anxiogène, entre risque terroriste et menace du « Grexit », que François Hollande aborde l’exercice de la traditionnelle prise de parole à l’occasion de la fête nationale.

    13 et 14 juillet

    Libé - Hollande salue le «courage» de Tsípras

    Après l'accord signé ce lundi à Bruxelles, le président français, qui a défendu Athènes lors des négociations, se félicite de l'issue trouvée.

    Atlantico - Benoît Hamon : “La primaire à gauche n’est pas taboue”

    Deux jours avant la grande interview présidentielle du 14 juillet, l’ancien ministre de l’Education Benoît Hamon a accordé à Atlantico un entretien fleuve au cours duquel il analyse les erreurs commises par François Hollande au cours de ses trois ans de mandat. Il lui demande de clarifier le projet européen de la France et annonce, pour la rentrée, la mise en place d’un mouvement destiné à être représenté lors des primaires de la gauche qu’il appelle de ses vœux.

    Le Monde - Le SPD allemand pris dans la tourmente grecque

    Quelle que soit l’issue de la crise grecque, celle-ci a déjà fait une victime en Allemagne : le parti social-démocrate. Coincé entre la solidarité gouvernementale et une gauche européenne plutôt encline à soutenir les Grecs, le SPD n’a plus de boussole, et son président, Sigmar Gabriel, multiplie les sorties de route.

    Le Parisien - Grèce: le SPD soutient la position de Hollande, assure Cambadélis

    Le Parti social-démocrate allemand (SPD), dont le président Sigmar Gabriel est le vice-chancelier allemand, soutient la position de François Hollande dans le dossier grec, a assuré dimanche soir le Premier secrétaire du Parti socialiste français, Jean-Christophe Cambadélis.

    Boursier.com - Le PS invite le SPD à cesser la "surenchère" sur la Grèce

    PARIS (Reuters) - Le premier secrétaire du Parti socialiste français, Jean-Christophe Cambadélis, a exhorté dimanche son parti frère en Allemagne à faire pression sur Angela Merkel pour qu'elle mette fin à la "surenchère allemande" sur le dossier grec.

    Le Lab - Régionales dans le Nord : Martine Aubry multiplie les arguments en faveur de la candidature de Pierre de Saintignon (PS)

    Stop au "Saintignon bashing". Longtemps, le nom de Marine Aubry fut mis en avant comme le seul moyen pour la gauche de remporter les régionales en Nord-Pas-de-Calais - Picardie, notamment face à Marine Le Pen. Mais la maire de Lille n'en avait aucune envie. Elle a donc poussé la candidature de Pierre de Saintignon, son premier adjoint à l'hôtel de ville. Car elle jugeait (et juge encore) que le meilleur candidat pour le PS dans la région, c'est lui.

  • INA (1961) Manifestation anti OAS

    Reportage sur la manifestation, interdite, qui s'est déroulée le 19 Décembre à PARIS à l'appel de la CGT, de le CFTC et de l'UNEF, contre l'OAS et pour l'ouverture de négociations sur la paix en Algérie.

  • INA (1979) Decaux évoque la rencontre de Clémenceau et Louise Michel dans son école de Montmartre puis ses engagements