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  • France Info - "Pandora Papers" : révélations sur les bonnes affaires fiscales de Dominique Strauss-Kahn au Maroc et aux Emirats arabes unis

    "Cash Investigation" a enquêté sur un homme d'influence, Dominique Strauss-Kahn. Depuis qu'il a quitté la vie publique, l'ancien ministre socialiste gagne le salaire d'un patron du CAC 40 tout en se jouant des frontières fiscales.

    Après le scandale du Sofitel de New York, l'ancien directeur général du FMI (2007-2011) est devenu conférencier et consultant international. Ses clients : des oligarques, des entreprises ou des chefs d'Etat pas toujours recommandables. Une activité qui rapporte gros. Depuis qu'il a quitté la vie publique, l'ancien ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie gagne le salaire d'un patron du CAC 40 tout en se jouant des frontières fiscales : il a implanté ses sociétés dans des pays où il n'y a aucun impôt sur les bénéfices.

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  • Un peu d'histoire : Enquête sur les paradis fiscaux européens (Envoyé spécial INA, 1999)

    Lors d'une conférence sur le développement, Dominique STRAUSS KAHN liste des pays qui sont des paradis fiscaux, mais sans citer Saint-Martin. Dans l'interview qui suit, il convient qu'il faut faire le ménage chez soi. Mais il omet également les paradis fiscaux européens comme le Luxembourg, Jersey ou Monaco... Suite du reportage à l'université de Genève, où sept juges européens donnent une conférence de presse pour clamer leur impuissance face à ce phénomène : extrait de la déclaration de Renaud VAN RUYMBEKE, conseiller à la cour d'appel de Rennes.

  • BFMTV - PS: Boris Vallaud tacle DSK et ses commentaires "d'outre-tombe"

    Le porte-parole du groupe Nouvelle Gauche n'a que peu goûté les critiques de DSK, ce week-end, depuis Marrakech.

  • Le Point - Le ZaPolitique : des élus PS taclent DSK et ses commentaires "d'outre-tombe" VIDÉO. Le Point.fr vous propose un zapping des déclarations politiques. Au programme ce lundi, les propos de l'ancien ministre sur le PS font polémique.

    Des responsables socialistes ont attaqué ce lundi Dominique Strauss-Kahn, Boris Vallaud assimilant ses « commentaires » à des « voix d'outre-tombe » et Alexis Bachelay critiquant l'« inélégance » de l'ancien ministre, qui « enterre ses anciens camarades ».

    L'ancien patron du FMI et ex-dirigeant socialiste avait affirmé samedi qu'il était « temps que le PS disparaisse ». « Ce parti qui est le mien – et je le dis avec tristesse, mais c'est comme ça – n'a pas su accompagner la mondialisation, se transformer quand le monde se transformait », avait-il déclaré depuis Marrakech où se tenait la World Policy Conference.

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  • Le JDD - Macron, Trump, PS… DSK parle enfin à Marrakech

    Dominique Strauss-Kahn a fait une apparition surprise samedi à Marrakech pour assister aux débats de la World Policy Conference. Et il a pris la parole dans le studio de télévision de la manifestation.

  • L'actualité des socialistes du 29 septembre au 5 octobre

    INEGALITES

    Centre d’observation de la société - Revenus : les jeunes paient le prix de la crise

    Toutes les catégories de population ne subissent pas la crise de la même façon. Les inégalités de revenus s’accroissent entre les plus riches et les plus pauvres, mais aussi entre groupes d’âges. Au cours des dix dernières années connues (2003-2013), nos calculs 1 montrent que le niveau de vie des 18-29 ans a stagné autour de 20 000 euros (1 700 euros mensuels) après impôts et prestations sociales. Pendant ce temps, le niveau de vie moyen annuel de l’ensemble de la population a augmenté de plus de 1 000 euros (un gain de 5 %) et celui des 60-69 ans de plus de 3 000 euros (+ 13 %).

    Centre d’observation de la société - Du collège aux filières d’excellence, la disparition des enfants d’ouvriers

    Au fil de la scolarité, la part des enfants d’ouvriers se réduit alors que celle des cadres s’accroît. La quasi-totalité des enfants suivent la filière générale du collège, quelle que soit leur origine sociale. On y compte un peu plus d’un quart d’enfants d’ouvriers et un peu moins de 20 % d’enfants de cadres supérieurs (données 2016 du ministère de l’Éducation nationale). Ceux, déjà en difficulté qui ne suivent pas la filière générale (moins de 3 % du total), sont orientés en Section générale d’enseignement adapté (Segpa) : parmi eux, on trouve plus de 40 % d’enfants d’ouvriers et 2 % d’enfants de cadres. Les inégalités sociales se forment pour partie dans l’enseignement primaire.

     

    UTOPIE
     

    Miguel Abensour a profondément renouvelé la réflexion sur la démocratie : attentive au désir d’émancipation, sa philosophie politique s’est organisée à partir d’une conception originale de l’utopie qui entend rompre avec la mythologie de la « cité idéale » ou de la « bonne société ».

    Ce qui frappe d’emblée, lorsque l’on jette un coup d’œil rétrospectif à l’œuvre de Miguel Abensour, c’est la grande diversité des thématiques et des auteurs sur lesquels celui-ci travaillait, qu’on ne peut cependant appréhender dans toute sa richesse qu’à condition de prendre en compte la trame d’ensemble qui la sous-tend : que ce soit à propos de sa réflexion sur la démocratie sauvage, de son travail sur le lien entre mélancolie et révolution chez Auguste Blanqui et Walter Benjamin, de son interrogation sur la pensée d’Emmanuel Levinas, notamment à propos du rapport entre éthique et politique, Miguel Abensour se sera toujours efforcé de penser la possibilité de l’émancipation en donnant à l’utopie toute sa valeur, entendue non comme le balbutiement d’un projet révolutionnaire en bonne et due forme, mais dans un lien indissoluble avec la démocratie, comme la forme même de la politique.
     
    GUILLAUME DUVAL
     
     
    Alors que le gouvernement met en place une politique de droite, prenant aux pauvres pour donner aux riches, ceux qui ont voté Macron restent silencieux. Sont-ils devenus des bourgeois thatchériens ?
     
    Pour être honnête, je n’ai jamais pour ma part été vraiment tenté par le macronisme, même si j’aurais très probablement voté moi aussi pour Emmanuel Macron dès le premier tour si le risque d’un duel Fillon-Le Pen était apparu sérieux.
     
    MELENCHON
     
     
    L’un des grands résultats de la séquence électorale de 2017 est la montée en force sans précédent du populisme. Les candidats qui s’y référaient d’une manière ou d’une autre, dans des directions politiques différentes – de Jean‑Luc Mélenchon à Philippe Poutou et de Marine Le Pen à Nicolas Dupont-Aignan ou François Asselineau – ont en effet réuni 46 % des suffrages exprimés au premier tour de l’élection présidentielle.

    Cette vague populiste repose sur des fondamentaux communs : réaffirmation de la souveraineté nationale, critique de l’Europe et de sa dérive capitalistique, rejet des élites politiques en place mais pas de toutes les élites (La France Insoumise défend ainsi vigoureusement les scientifiques), recherche d’une démocratie directe venant concurrencer ou amender la démocratie représentative.

     

    DSK
     

    L’ancien patron du FMI qui s’exprimait au cours d’un hommage rendu à Nicole Bricq donnait son premier discours politique depuis l’affaire du Sofitel de New York, en 2011.

    A leur manière, François Hollande, Emmanuel Macron et Dominique Strauss-Kahn ont marqué les engagements successifs de Nicole Bricq, ancienne sénatrice et ministre disparue brutalement début août. Rien d’étonnant donc à ce que les trois hommes se soient retrouvés ensemble au Conseil économique, social et environnemental où était rendu un dernier hommage à celle qui fut élue de Seine-et-Marne.

    GUILLUY

     

    53% des français jugent que la politique du gouvernement bénéficiera en premier lieu aux plus aisé. Pour Christophe Guilluy, le fait que le monde d'en haut ne prenne plus en charge les aspirations du monde d'en bas est une rupture historique.
     
    Atlantico : À la rentrée 2016, vous publiiez "le crépuscule de la France d'en haut". Selon un sondage viavoice publié par Libération en début de semaine, 53% des français jugent que la politique du gouvernement bénéficiera en premier lieu aux plus aisés, quand 60% d'entre eux craignent une précarisation. Un an après, quel constat portez-vous sur cette "France d'en haut" ? 

    AUTO-ENTREPRENEURS

    La Vie des idées - Exploite-toi toi-même

    À propos de : Sarah Abdelnour, Moi, petite entreprise : les auto-entrepreneurs, de l’utopie à la réalité, PUF

    Au prisme de l’auto-entreprise, la sociologue Sarah Abdelnour révèle les dynamiques de fragilisation du salariat. Elle en explore les différentes facettes, depuis ses enjeux idéologiques et politiques jusqu’aux réalités vécues par des acteurs qui ne distinguent plus leurs clients de leurs patrons.

    Recensé : Sarah Abdelnour, Moi, petite entreprise : les auto-entrepreneurs, de l’utopie à la réalité, PUF, 2017.

    Alors qu’il referme l’ouvrage de Sarah Abdelnour, le lecteur n’a pas seulement le sentiment d’avoir fait le tour de la question de l’auto-entreprenariat, et ce « de l’utopie à la réalité » comme l’indique le sous-titre du livre. Il a aussi la nette impression d’avoir effectué une plongée dans les transformations actuelles du travail et de leur traitement politique.

    BUDGET

    Libé - Budget: les députés LREM exhortés à «corriger le déséquilibre» par des PS

    Les députés LREM, «à un tournant», ont «la possibilité de corriger le déséquilibre» d’un budget de «cadeaux» aux plus riches et «en trompe-l’oeil» pour le pouvoir d’achat, plaident des députés PS, dont leur président Olivier Faure, dans une lettre ouverte publiée mardi.

    PARITE

    Observatoire des inégalités - La part de femmes au Sénat progresse modestement

    Avec 29 % de sénatrices, la parité progresse très lentement au Sénat alors qu’en juin dernier la part de femmes à l’Assemblée nationale avait fortement augmenté.

    Avec les élections sénatoriales du 24 septembre 2017, la part des femmes dans la chambre haute du Parlement progresse mais à un rythme... de sénateur. Alors que le sénat a été renouvelé de moitié, les femmes occupent désormais 29 % des sièges, contre 25 % en 2014. À cette vitesse, il faudra attendre les années 2030 pour atteindre la parité. Représentées à quasi-égalité avec les hommes parmi les candidats au Sénat selon le Haut commissariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes, les femmes sont beaucoup plus rarement en tête de liste.

    ISLAMISME

    Le Figaro - Amine El Khatmi: «Derrière l'affaire Sonia Nour, la banalisation du discours ‘indigéniste'»

    Amine El Khatmi revient sur les propos de Sonia Nour, qualifiant de «martyr» le terroriste de Marseille. Un discours «islamo-indigéniste» qui se répand en banlieues avec la complaisance de certains élus.


    Amine El Khatmi est adjoint au maire d'Avignon.


    «Martyr». 6 lettres. 6 petites lettres ont suffi, hier, à déclencher l'une de ces mémorables polémiques dont Twitter a le secret.

     

    «Martyr» donc. Sonia Nour était jusqu'alors l'une des collaboratrices du Maire communiste de La Courneuve, Gilles Poux.

    Rue 89 - L’Université Lyon 2 annule son colloque sur l’islamophobie

    Une journée sur le thème « Lutter contre l’islamophobie, un enjeu d’égalité » devait se tenir le 14 octobre prochain. Mais face à la polémique, la présidence de l’Université Lyon 2 a préféré annuler le colloque.

    Ce n’est pas le premier colloque sur l’islamophobie qui devait se tenir à l’université Lyon 2.
    Une première journée d’étude avait été organisée en partenariat avec l’Institut supérieur d’Etude des religions et de la laïcité (ISERL) le 5 mars 2016. Le thème était « Islamophobie, le poids des mots, la réalité des maux ». À l’époque, nulle polémique.

    Un an et demi plus tard, la chaire « Égalité, Inégalité, Discriminations » de l’Institut d’Etude du Travail (IETL) devait organiser la suite de ce premier colloque le 14 octobre prochain, sous le thème « Lutter contre l’islamophobie, un enjeu d’égalité? ».

    PS

     

     
    Chaque lundi d’octobre, un socialiste s’allonge sur le divan de «Libé». Aujourd’hui, le premier secrétaire sur le départ. Il revient sur la genèse d’un échec cuisant, dresse sa liste de coupables, tout en traçant des perspectives d’avenir.
     
    Un dernier verre. Ce lundi soir, Jean-Christophe Cambadélis, tout nouvel ex-premier secrétaire, organise son pot de départ à Solférino. Tous les dirigeants de sa famille sont invités. L’occasion de jeter un œil sur le passé douloureux. De bavarder de son livre, Chronique d’une débâcle, 2012-2017 (L’Archipel). Avant d’éteindre la lumière et d’enfiler son nouveau costume - celui de «spectateur désengagé» -, il s’allonge sur le canapé pour nous livrer ses confidences.

    RTL - Parti socialiste : comment tente-t-il de se relever après la débâcle ?

    DÉCRYPTAGE - Samedi 30 septembre, le Conseil national a donné les clefs du Parti à la rose à une direction collégiale.

    Il y a cinq ans, il était majoritaire à tous les échelons de la vie politique française. Les pétales du Parti socialiste ont depuis perdu de leur éclat. 2017 a été le point d'orgue d'une série de désillusions. Plongé dans les eaux profondes de l'impopularité, François Hollande a déclaré forfait avant la présidentielle et la ligne de Benoit Hamon, en contradiction avec la logique de gauche de gouvernement défendue par les ténors en place, n'a convaincu ni le parti, ni les électeurs.

    Libé - Seuls 22% des Français pensent que le PS pèsera dans cinq ans

    Seuls 22% des Français pensent que le Parti socialiste sera une force qui compte dans la vie politique dans cinq ans, selon un sondage Opinionway pour Public Sénat, Les Echos et Radio Classique publié jeudi.

    Le Figaro - Les députés PS présentent leur "contre -budget" 2018

    Maintien de l'impôt de solidarité sur la fortune, suppression de la "flat tax" sur les revenus du capital, taux réduit d'impôt pour davantage de PME, engagements à tenir à l'égard des collectivités: les députés socialistes ont présenté mercredi leur "contre-budget" pour 2018. "Il existe une autre voie que celle de l'injustice sociale", a déclaré leur chef de file Olivier Faure, entouré notamment de membres PS de la commission des Finances, lors d'une conférence de presse. La droite n'a pas présenté un tel projet alternatif, a relevé le président du groupe Nouvelle Gauche, estimant que les mesures gouvernementales "correspondent à ce qu'elle aurait proposé". "Notre boussole est la réduction des inégalités" et aussi "renforcer la reprise", a exposé Valérie Rabault, ex-rapporteure générale du Budget.

    Telos - Refonder le PS sur la condamnation du «libéralisme» macronien: un projet raisonnable? Elie Cohen, Gérard Grunberg

    Que le PS veuille sortir de la phase de l’introspection et des recherches en paternité de son désastre électoral, qu’il entende retrouver une voix dans le débat public et qu’il s’organise à cette fin est une bonne chose. Qu’il jette les bases du débat tel qu’il le fait dans la Résolution votée par son Conseil national le samedi 30 septembre 2017 l’est beaucoup moins.

    Les Inrocks - Portrait de Boris Vallaud, le dernier socialiste ?

    Sur les ruines du Parti socialiste, rares sont les personnalités à émerger. Parmi elles, le tout nouveau député des Landes Boris Vallaud. Entre la bataille contre la loi travail et la recomposition socialiste, l'avenir du mari de Najat Vallaud-Belkacem s'annonce chargé.

    On a dû batailler un long moment avant que Boris Vallaud accepte notre demande d'entretien. Le nouveau député de la 3e circonscription des Landes, étiqueté "Nouvelle Gauche" n’y était pas forcément enclin. "Je comble un vide", répète-t-il à l’envi dans les nombreux articles que lui a consacrés la presse ces dernières semaines.

    Le JDD - PS : 28 questions pour une direction à 28

    Le Parti socialiste vient d'acter le départ de son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, pour une direction collégiale de 28 personnes. D'ici à la "refondation" du mouvement, on s'est donc posé 28 questions sur l'avenir du parti.

    Une "refondation" pour tirer un trait sur les échecs de 2017 et relancer un parti devenu moribond. Le PS a entamé ce week-end une nouvelle étape de sa reconstruction qui doit le mener jusqu'à un nouveau congrès. A sa tête depuis 2014, Jean-Christophe Cambadélis a officiellement quitté ses fonctions de premier secrétaire du Parti socialiste. C'est désormais une direction collégiale, déjà installée en juillet, qui va assurer la transition. Mais une direction avant tout pléthorique… puisqu'elle est composée de 28 membres. L'occasion pour nous de questionner l'avenir de la famille socialiste à travers 28 questions.

    Slate - Le PS va-t-il disparaître à jamais du paysage politique? Gaël Brustier

    Concurrencé à sa gauche par la France insoumise et à sa droite par La République en marche, le PS peine à se trouver un espace politique. Un premier pas vers la porte de sortie de l’histoire politique de notre pays?

    Le Parti socialiste vient de remporter un relatif succès aux élections sénatoriales. Largement défait à la présidentielle puis aux législatives quelques mois plus tôt, le PS se retrouve néanmoins toujours dans la situation d’autres partis qui, dans le passé, ont connu le déclin et la marginalisation. Ce, après avoir joué un rôle central dans la vie politique de notre pays. À quelques égards, les socialistes ont subi en peu d’années ou de mois un déclin comparable à celui de l’antique Parti radical. Il existe encore, probablement pour longtemps mais sa mort politique possible signifie surtout qu’il ne pourrait demeurer qu’en tant que force mineure du système partisan qui prend forme depuis avril dernier.

  • Invité par des blogueurs, Strauss-Kahn se lâche sur le PS et le gouvernement de Valls

    Invité la semaine dernière par des blogueurs dans un bar PMU du Kremlin-Bicêtre, Dominique Strauss-Kahn n'a pas mâché ses mots concernant le PS et les décisions du gouvernement actuel. Concernant un éventuel retour en politique, l'ancien patron du FMI est catégorique, il ne reviendrait que "s'il y avait un million de manifestants" en bas de chez lui.

  • L'actualité des socialistes du 13 au 23 juillet (mise à jour)

    Les vidéos de l'été se subsituent à cette revue de presse à partir du 24 juillet jusqu'au 24 août : les chansons de la gauche, un parcours dans l'histoire de la Gauche à travers les archives de l'INA mais aussi des réflexions et des analyses.

    A la une

    L'Obs - #Présidentielle2017 Pour la socialiste Marie-Noëlle Lienemann, une primaire à gauche est "inéluctable" en vue de la présidentielle 2017

    "Une primaire me paraît inéluctable", juge la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, membre de l'aile gauche du PS, dans un entretien au "Figaro". "D'abord parce que cela donnera de la force au candidat de gauche. Ensuite parce que cela permettra aux Français de s'exprimer. La primaire doit être un moment de clarification avec le peuple de gauche."

    21, 22 et 23 juillet

    Le Figaro - Stéphane Le Foll se rendra finalement à Caen cet après-midi

    La venue du ministre de l'Agriculture était une des conditions imposées par les éleveurs pour la levée des blocages. Un peu plus tôt, François Hollande annonçait la présentation d'un plan d'urgence mercredi en conseil des ministres.

    Web-Agri - Eleveurs en colère « Tout le monde doit faire un effort » déclare la porte-parole du PS

    Paris, 21 juil 2015 (AFP) - Consommateurs, distributeurs, industriels : « Tout le monde doit faire un effort » pour résoudre la crise qui secoue actuellement l'élevage en France, a déclaré mardi Juliette Méadel, porte-parole du PS.

    France Inter, L'invité du week-end : Benoît Hamon ancien ministre, député PS des Yvelines

    19 et 20 juillet

    Le Lab - Benoît Hamon ne sera pas à la fête de la Rose aux côtés d'Arnaud Montebourg parce qu'il est "en vacances"

    C'est triste mais c'est comme ça : cette année, vous ne verrez sans doute pas Benoît Hamon à la Fête de la Rose, déguster un verre de la Cuvée du Redressement – il paraît qu'il en reste plusieurs bouteilles – ni chanter en remuant les mains avec Arnaud Montebourg. A priori, l'ancien ministre de l'Éducation nationale ne sera pas à Frangy-en-Bresse à la fin du mois d'août.

    JDD - SONDAGE. Hollande stagne, Valls gagne 5 points

    Baromètre Ifop-JDD - François Hollande reste stable et Manuel Valls rattrape le terrain perdu lors de son escapade en jet à Berlin.

    L'Obs - DSK à ses "amis allemands": "Les conditions de l'accord avec la Grèce sont effrayantes"

    Dans une tribune en ligne, l'ancien directeur du FMI déplore que "le contexte dans lequel ce diktat a eu lieu crée un climat dévastateur" en Europe.

    Côté Toulouse - Régionales 2015. Cambadélis à Toulouse pour accélerer l'accord entre le PS et le PRG

    Le premier secrétaire du PS a participé à une réunion d'urgence, vendredi 17 juillet à Toulouse, pour « débloquer » la situation entre les socialistes et les radicaux de gauche.

    Le Monde - Varoufakis, invité vedette de Montebourg à Frangy pour la rentrée politique

    Décidément, la Fête de la rose de Frangy-en Bresse (Saône-et-Loire), qui marque chaque année la rentrée politique d’Arnaud Montebourg, réserve son lot de surprises. Cette année, c’est Yanis Varoufakis, le désormais ex-ministre des finances grec, qui sera l’invité d’honneur du traditionnel ban bourguignon, dimanche 23 août, qui précède l’université d’été des socialistes à La Rochelle. La nouvelle a été annoncée par un communiqué des amis d’Arnaud Montebourg, qui organisent l’événement.
     

    L'ancien ministre grec des Finances Yanis Varoufakis, qui a mené la vie dure aux créanciers de la Grèce avant de démissionner, sera l'invité d'honneur de la 43e Fête de la Rose, organisée chaque été autour d'Arnaud Montebourg à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire).

    17 et 18 juillet

    Cambadelis - Lettre ouverte à un ami allemand

    ... C’est la solidarité de la France et de l’Europe qui permit dans le cadre des accords de Londres de 1953 de réduire considérablement la dette allemande. Berlin doit se souvenir de cette leçon de l’histoire au moment où elle fait la leçon budgétaire à Athènes. Notons d’ailleurs au passage que si nous avions annulé la dette grecque il y a trois ans et si nous avions laissé s’organiser un référendum, nous n’en serions sans doute pas là aujourd’hui.

    Le Monde - Pour soutenir les Grecs, Cambadélis rappelle l’Allemagne à son histoire

    Après l’économiste Thomas Piketty, c’est au tour de Jean-Christophe Cambadélis de vouloir mettre l’Allemagne d’Angela Merkel face à son histoire. Quatre jours après l’accord permettant à la Grèce de rester dans la zone euro, le premier secrétaire du PS a posté sur son blog une « lettre ouverte à un ami allemand » dont le message, outre l’allusion aux articles publiés sous ce titre par Albert Camus dans Combat en 1945, est clair : la Grèce est l’Allemagne d’hier.
     
     
    Nommé en juin secrétaire national à l'alliance populaire, Julien Dray a la dure mission de rassembler la gauche en vue de 2017. Il espère isoler Jean-Luc Mélenchon pour éviter l'émergence d'un Syriza à la Française.
     
    L'Obs - #Grèce Les "frondeurs" du PS vont majoritairement voter en faveur de l'accord avec la Grèce ce mercredi après-midi, même si certains s'abstiendront

    C'est ce qu'a indiqué à l’AFP, en milieu de journée, le député de la Nièvre Christian Paul, l'un des animateurs du courant. "C’est un accord incontournable, ça n’en fait pas un bon accord", a-t-il résumé, jugeant que "tout reste à faire" notamment sur la question de la dette.

    15 et 16 juillet

    Le Monde - Hollande profite du 14-Juillet pour s’afficher en protecteur de la nation

    Le contexte diplomatique eût pu être désastreux, il s’est révélé en réalité particulièrement porteur. Fort de deux accords majeurs conclus, en moins de quarante-huit heures, sur le maintien de la Grèce dans la zone euro et le nucléaire iranien, François Hollande a pu pousser à des hauteurs inespérées, mardi sur TF1 et France 2 lors de ses quarante-cinq minutes d’intervention télévisée à l’occasion du 14-Juillet, la posture qu’il ambitionnait d’endosser depuis plusieurs semaines en vue de ce rendez-vous : celle d’un président protecteur.
     

    La scénographie et les acteurs demeurent, mais la pièce sera d’un tout autre genre. C’est dans un contexte national, européen et international particulièrement anxiogène, entre risque terroriste et menace du « Grexit », que François Hollande aborde l’exercice de la traditionnelle prise de parole à l’occasion de la fête nationale.

    13 et 14 juillet

    Libé - Hollande salue le «courage» de Tsípras

    Après l'accord signé ce lundi à Bruxelles, le président français, qui a défendu Athènes lors des négociations, se félicite de l'issue trouvée.

    Atlantico - Benoît Hamon : “La primaire à gauche n’est pas taboue”

    Deux jours avant la grande interview présidentielle du 14 juillet, l’ancien ministre de l’Education Benoît Hamon a accordé à Atlantico un entretien fleuve au cours duquel il analyse les erreurs commises par François Hollande au cours de ses trois ans de mandat. Il lui demande de clarifier le projet européen de la France et annonce, pour la rentrée, la mise en place d’un mouvement destiné à être représenté lors des primaires de la gauche qu’il appelle de ses vœux.

    Le Monde - Le SPD allemand pris dans la tourmente grecque

    Quelle que soit l’issue de la crise grecque, celle-ci a déjà fait une victime en Allemagne : le parti social-démocrate. Coincé entre la solidarité gouvernementale et une gauche européenne plutôt encline à soutenir les Grecs, le SPD n’a plus de boussole, et son président, Sigmar Gabriel, multiplie les sorties de route.

    Le Parisien - Grèce: le SPD soutient la position de Hollande, assure Cambadélis

    Le Parti social-démocrate allemand (SPD), dont le président Sigmar Gabriel est le vice-chancelier allemand, soutient la position de François Hollande dans le dossier grec, a assuré dimanche soir le Premier secrétaire du Parti socialiste français, Jean-Christophe Cambadélis.

    Boursier.com - Le PS invite le SPD à cesser la "surenchère" sur la Grèce

    PARIS (Reuters) - Le premier secrétaire du Parti socialiste français, Jean-Christophe Cambadélis, a exhorté dimanche son parti frère en Allemagne à faire pression sur Angela Merkel pour qu'elle mette fin à la "surenchère allemande" sur le dossier grec.

    Le Lab - Régionales dans le Nord : Martine Aubry multiplie les arguments en faveur de la candidature de Pierre de Saintignon (PS)

    Stop au "Saintignon bashing". Longtemps, le nom de Marine Aubry fut mis en avant comme le seul moyen pour la gauche de remporter les régionales en Nord-Pas-de-Calais - Picardie, notamment face à Marine Le Pen. Mais la maire de Lille n'en avait aucune envie. Elle a donc poussé la candidature de Pierre de Saintignon, son premier adjoint à l'hôtel de ville. Car elle jugeait (et juge encore) que le meilleur candidat pour le PS dans la région, c'est lui.