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  • Dette : le grand raté des "Mozart de l'économie" - avec Gilles Raveaud

    16 oct. 2024

    La dette publique est souvent agitée comme un épouvantail face aux politiques d'investissement. Mais quel impact concret a-t-elle sur l'économie française ? Comment le gouvernement des "Mozart de la finance" a t'il aggravé le problème ? Que peut-on faire ? On en discute avec l'économiste Gilles Raveaud et nos journalistes de la rubrique Capital-Travail, Cyprien Boganda et Samuel Eyene.

  • Idées d'été - Gilles Raveaud - Santé au travail, santé de la démocratie

    Aujourd'hui, trop de gens sont malades de leur travail, et notre démocratie est de plus en plus malade du travail. Une situation aggravée par les nouvelles technologies, qui accroissent le contrôle des entreprises sur de nombreux salariés.

    Le travail, c’est souvent la maladie

    Ainsi que l’on montré de nombreuses enquêtes, les personnes se portent bien quand elles ont plus de contrôle sur leur travail, quand elles ne sont pas soumises à la pression permanente des clients ou de la hiérarchie, qu’elles peuvent définir elles-mêmes les meilleurs moyens d’atteindre leurs objectifs, etc. A l’inverse, le fait de s’estimer insuffisamment récompensé pour ses efforts est un facteur de risque sanitaire non négligeable.

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  • Le Média - Entretien avec Gilles Raveaud sur la crise qui vient

    Un entretien réalisé par Salomé Saqué.

    Presque chaque jour depuis plusieurs mois, le ministre de l’économie Bruno Lemaire se félicite d’un plan de relance à 100 milliards d’euros mis en place pour faire face à la crise du coronavirus : il s’agit de France Relance. Mais ce plan relance-t-il vraiment l’économie ?

    Pour en discuter nous accueillons sur notre plateau Gilles Raveaud, économiste et Maître de conférences à l’Institut d’études européennes, auteur de « Economie, on n’a pas tout essayé » aux éditions du Seuil. Son constat est sans appel : la crise économique qui arrive sera bien plus catastrophique que celle annoncée par le gouvernement. Pendant plus de vingt minutes, l’économiste démonte un par un les arguments avancés par les responsables politiques, et dresse un tableau très pessimiste, mais réaliste selon lui, des mois à venir.

    Entre explosion de la pauvreté, plongée d’une partie des étudiants dans la précarité et augmentation des inégalités, l’avenir proche semble bien sombre. Gilles Raveaud propose cependant une panoplie de solutions, qui impliqueraient un changement radical de doctrine économique, pour prévenir cette crise historique.

  • Gilles Raveaud - LIVRE GRATUIT "La dispute des économistes"

    Ceci est mon premier livre. Ecrit, à la demande du génial Guy Dreux, à destination des lycéens, il a été publié par les éditions Le Bord de l'eau, en 2013.

    Il peut être lu en deux heures devant Netflix.

    Je présente, le plus simplement du monde, les grandes traditions de pensée économiques, celles qui structurent, sans que nous en rendions toujours compte, nos débats politiques, et même, je dirais, nos visions du monde.

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  • Sélection 2019 : « La réponse au déficit des retraites, c’est l’emploi : il faut embaucher des jeunes qui cotisent »

    La réforme des retraites se justifie-t-elle ? L’argument du déficit est-il recevable ? Quels financements pour les retraites de demain ? L’économiste Gilles Raveaud, professeur à l'Institut d'études européennes de l'Université Paris 8-Saint-Denis, est l’invité de #LaMidinale.

  • Gilles Raveaud - Pourquoi la reforme des retraites est une mauvaise idée ?

    Gilles Raveaud, chroniqueur à Charlie Hebdo et professeur d'économie à Paris 8 démonte point par point les arguments avancés par le gouvernement pour la réforme des retraites.

  • Gilles Raveaud - Bernard Maris contre la loi Travail

    Dans Des économistes au-dessus de tout soupçon (Albin Michel, 1990), le premier grand ouvrage de Bernard Maris, on lit un intéressant chapitre consacré au travail, intitulé “Perdre sa vie à la gagner”. Extraits.

    L’attaque contre le monde du travail :

    L’une des plus insidieuses campagnes de dénigrement de ces dernières années fut celle menée contre le travail.

    Non tellement contre la quantité de travail, car de temps immémorial le salarié et le domestique furent paresseux. Mais bien contre le travailleur en lui-même, l’être qui offre sa force et « franchit le seuil de l’entreprise en laissant toute espérance » (Marx).

    Jamais le travail ne fut tant calomnié au nom du peu de travail, du privilège d’avoir un travail, de la stabilité du travail, de la sécurité du travail, et divers défauts comme le manque de productivité, de mobilité, de flexibilité, de mérite, d’initiative et même d’humilité : l’ « orgueil mégalomaniaque des mutuelles de salariés », oracle-P-DG Alain Minc dixit très justement, car quiconque a croisé des frénétiques du marteau-piqueur n’a pu qu’être frappé par la suffisance de ces gens-là. » (p. 263)

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  • Réflexions, analyses, témoignages pour l'été : des sites pour penser plus loin

    ALTERNATIVES ECONOMIQUES

    Alterecoplus - Zone euro : Ambiguïtés allemandes par André Gauron

    Que cherche le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, en prônant la sortie de la Grèce de l’euro ? Obtenir davantage de réformes, faire tomber le gouvernement de la gauche radicale ou, comme l’a affirmé le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, « mettre en œuvre son plan pour sortir la Grèce de l’euro » ? Dans l’interview qu’il a donnée à la télévision grecque au lendemain de l’accord, Alexis Tsipras dit l’avoir compris « dès mars », sans visiblement avoir trouvé la parade.

    Le gouvernement grec, mais aussi les autres chefs d’Etat et de gouvernement, se sont trouvés acculés à subir une surenchère permanente du ministre allemand non pour mettre en place un plan viable de réformes mais pour relancer, à l’occasion de la crise grecque, le projet initial allemand d’un euro construit autour d’un noyau dur de pays, dont la Grèce, mais aussi l’Italie et quelques autres seraient exclus.

    Alyernatives Economiques dans Wikipedia

    La page Facebook

    OBSERVATOIRE DES INEGALITES

    Fracture sociale : ce déni qui va vous coûter très cher

    17 mars 2015 - En refusant de voir l’ampleur des difficultés des classes populaires et moyennes, notre société prend des risques. La fracture sociale s’ouvre et le ressentiment augmente. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.

    Les catégories populaires et moyennes vont se rappeler au bon souvenir du pouvoir lors des élections départementales des 22 et 29 mars. Le Front national va conquérir un grand nombre de cantons. Le Parti socialiste est progressivement balayé de la scène politique. L’une des explications est à chercher dans la violence de la crise subie par une partie de la population. Les catégories aisées, gourmandes, continuent à s’enrichir quand les couches populaires voient leur niveau de vie baisser. Entre les deux, les classes moyennes constatent avec amertume le décalage entre leurs aspirations et la réalité sociale. Une fracture sociale s’ouvre et le ressentiment augmente.

    Les classes populaires - en particulier les jeunes qui en sont issus - sont aux premières loges du mal emploi. Les trois quarts des chômeurs supplémentaires depuis 2008 sont ouvriers ou employés. Le taux de chômage des bac +3, lui, n’a pas bougé alors que le nombre de chômeurs total a grimpé en flèche.

    « L’Etat social produit des effets positifs ». Entretien avec Patrick Savidan, professeur de philosophie politique, président de l’Observatoire des inégalités

    12 juin 2015 - Les politiques fiscale et sociale jouent un rôle non négligeable pour limiter les écarts de niveaux de vie. Mais l’heure n’est malheureusement pas au renforcement de la protection sociale. Entretien avec Patrick Savidan, professeur de philosophie politique, président de l’Observatoire des inégalités. Extrait du magazine Alternatives Économiques.

    Le site de l'Observatoire des inégalités

    L'Observatoire sur Wikipedia

    FINANCE WATCH

    Vanity Fair - Défi d'initiés

    Finance Watch, des super-héros en costume-cravate contre les excès des marchés financiers

    Ils ont été traders ou banquiers d’affaires, gagné des fortunes et connu l’adrénaline des salles de marché. Aujourd’hui, ils mettent à profit leurs connaissances du système pour combattre les excès de la finance dans une petite ONG basée à Bruxelles, Finance Watch. Dans le numéro de juin 2015 de « Vanity Fair », Sophie des Déserts a confessé ces activistes en costume-cravate qui veulent donner du sens à l’argent.

    Libé, le 24 juin - Christophe Nijdam «Si les taux remontent, il va y avoir du ketchup sur les murs des salles de marché !»

    Sept ans après la crise des subprimes, l’Europe n’est toujours pas à l’abri d’un krach financier. La régulation du secteur bancaire qu’avait appelée de ses vœux le candidat François Hollande au Bourget est en panne, selon Christophe Nijdam de Finance Watch, groupe d’experts indépendants. Et les petits déposants pas vraiment plus protégés

    Les Echos - Christophe Nijdam, le croisé  de Finance Watch

    Ex-trader, il a connu les excès de Wall Street, avant de devenir le pourfendeur de la banque universelle à la française. Cet ancien analyste financier dirige depuis janvier l'ONG Finance Watch, désormais incontournable à Bruxelles.

    Je ne fais pas de révolution, et elle n'est pas souhaitable.  » Ceux qui pariaient que le nouveau secrétaire général de Finance Watch ferait de l'ONG, aujourd'hui reconnue à Bruxelles pour son expertise, un Greenpeace européen de la finance davantage porté sur les actions coups de poing, en seront pour leurs frais.

    Le site de Finance Watch

    Finance Watch sur Wikipedia

    LES ECONOMISTES ATTERRES

    Marianne, le 17 juillet - Une autre politique n'est possible qu'à condition d'ouvrir une crise en Europe

    Henri Sterdyniak, sur le blog des Economistes atterrés, tirent longuement les enseignements de la crise grecque. Pour lui, "le texte imposé à la Grèce, comme la conduite des négociations, posent la question de la nature de la zone euro". "L’Allemagne, écrit-il, ses chevau-légers (la Finlande, la Slovaquie, les pays baltes, etc.), la Commission, la BCE ont imposé leurs vues… avec la bénédiction des dirigeants de l’ensemble des Etats membres. Pour eux, l’euro est indissociable de politiques d’austérité et de réformes structurelles libérales. Les votes qui peuvent avoir lieu au niveau des nations n’ont aucune importance." Et d'en conclure : "A l’avenir, les partis politiques, les mouvements sociaux, les peuples qui voudront mettre en œuvre une autre politique sauront qu’ils devront ouvrir une crise en Europe."

    Les Economistes Atterrés - La leçon grecque

    Une rupture nécessaire…

    En janvier 2015, la Grèce avait voté pour un parti, Syriza, qui proposait un tournant radical par rapport aux politiques suivies par les gouvernements précédents. Alternant de longues années au pouvoir, le Pasok et la Nouvelle démocratie avaient maintenu la domination de quelques familles d’oligarques, la corruption généralisée et l’inefficacité de l’administration. Après l’entrée dans la zone euro, les dépenses publiques ont nettement augmenté, ce qui pouvait se justifier dans une perspective de rattrapage, mais les impôts ont fortement baissé, induisant un fort déficit public : le solde primaire (hors charges d’intérêts) est passé d’un excédent de 3% en 2000 à un déficit de 2,4% en 2007. Les classes dirigeantes n’ont pas profité des bas taux d’intérêt permis par l’appartenance à la zone euro pour développer l’industrie et le secteur productif en Grèce. La croissance a été forte (4,1% de 1998 à 2007), mais insoutenable : le déficit extérieur dépassait 10% du PIB en 2007.  Cette dérive participait au creusement des disparités dans la zone euro entre les pays du Nord, en particulier l’Allemagne, qui avaient choisi une stratégie de recherche de compétitivité et d’accumulation d’excédents extérieurs, nuisible à leurs partenaires, et les pays du Sud, dont la croissance soutenue s’accompagnait de forts déficits extérieurs, financés sans peine jusqu’à la crise grâce à la confiance des marchés financiers en la solidité de l’euro.

    Le site des Economistes Atterrés

    Les Economistes Atterrés dans Wikipedia

    OFCE

    OFCE - Un nouveau monde économique. Mesurer le bien-être et la soutenabilité au 21e siècle, 7 mai 2015

    Éloi Laurent et Jacques Le Cacheux, Un nouveau monde économique, Mesurer le bien-être et la soutenabilité au 21e siècle, Odile Jacob, 2015.

    Introduction : La mesure des possibles

    « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre ! »

    Devise inscrite au fronton de l’Académie fondée par Platon à Athènes.

     Nous vivons sous le règne du produit intérieur brut (PIB), dont l’année 2014 a marqué le soixante-dixième anniversaire. Créé par l’économiste américain Simon Kuznets à l’orée des années  1930, le PIB fut adopté comme norme internationale de la comptabilité souveraine lors de la conférence qui se tint entre puissances alliées dans la petite bourgade de Bretton Woods, au beau milieu de nulle part, en juillet 1944. Mesure des activités marchandes monétisables, indicateur de référence de la croissance économique  et du niveau de vie, le PIB est devenu au fil des décennies l’étalon suprême de la réussite des nations, précis, robuste et comparable.

    Le site de l'OFCE

    L'OFCE sur Wikipedia

    JEAN GADREY

    Jean Gadrey - Quelques liens vers des textes récents qui parlent de crise(s), de solutions et de mobilisations

    1. Lettre à une croissance que nous n’attendons plus, Le Monde du 3 juillet, par Manon Dervin, étudiante à Science Po Rennes. Ce texte a beaucoup circulé en réseau. En voici le début :

    « Ô très chère Croissance. Ma bien-aimée. Ton retour s’est fait attendre. Ton dogme fondé sur la valeur centrale du « travail » conditionne encore aujourd’hui toute la vitalité du système économique. Tu fabriques l’Emploi et en tires ta force. Les médias, les politiques et tous les travailleurs retiennent leur souffle… Mais aujourd’hui je ne t’attends plus, Croissance… Je te prie de m’excuser pour les mots qui vont suivre. Il me fallait te conter mes désillusions… Suite via ce lien.

    Ajout : je me permets de mentionner, bien qu’elle soit moins brillante que la lettre de Manon, ma vieille « ode à la croissance et à la productivité », qui date de 2011. Et aussi une chanson sympa sur ce thème, « prière à la croissance », par la Parisienne libérée, en 2013.

    Le blog de Jean Gadrey

    Jean Gadrey sur Wikipedia

    GILLES RAVEAUD

    Gilles Raveaud - Accords commerciaux régionaux : des machines infernales, selon Dani Rodrik

    Pour Dani Rodrik, professeur à Princeton et l’un des meilleurs analystes de la mondialisation, tant l’Accord de Partenariat transpacifique (TPP) que le TTIP sont des traités aux gains douteux en termes d’emplois, et qui permettent un véritable “putsch des entreprises multinationales” à l’encontre des États.

    Au final, avec ces accords, “les intérêts des investisseurs et exportateurs porteront plus que jamais préjudice aux objectifs sociaux et environnementaux”.

    Bref, ce ne sont même pas des traités libéraux.
     
    Le blog de Gilles Raveaud

    FREDERIC LORDON

    La pompe à phynance - La gauche et l’euro : liquider, reconstruire

    1. L’euro interdit radicalement toute politique progressiste possible.

    2. S’il en était encore besoin, le traitement criminel infligé à la Grèce en six mois de brutalisation (rebaptisée « négociation ») prouve que l’entreprise de « transformer l’euro », ou l’hypothèse d’un « autre euro possible », sont des chimères qui, par désillusions successives, ne mènent qu’à l’impasse et à la désespérance politiques.

    3. Abandonner aux extrêmes droites (qui au demeurant n’en feront rien [1]…) toute perspective politique d’en finir avec l’euro et ses institutions est une faute politique qui condamne les gauches européennes à l’impuissance indéfinie.

    Le journal du Mauss - La puissance des institutions, Frédéric Lordon

    A partir d’un commentaire sur le retour opéré par Luc Boltanski à une forme de sociologie critique, Frédéric Lordon reprend la question de savoir ce qui confère leur pouvoir aux institutions, leur capacité à dire le vrai, et, dans le sillage de Spinoza, le trouve dans le pouvoir de la multitude.

    Le site de Frédéric Lordon

    Frédéric Lordon sur Wikipedia

     


  • Gilles Raveaud - C’est prouvé : les riches trichent plus que les autres

    C’est un résultat très important. Des études menées à l’université de Berkeley (Californie) par Paul Piff ont mis en avant un nombre de comportements anti-sociaux des personnes aux plus hauts revenus.

     

    Ainsi, si 90% des conducteurs s’arrêtent pour laisser traverser les piétons (et oui, ça se passe comme ça, en Californie !), seuls 50% des personnes conduisant des voitures de luxe le font.

    Dans une autre expérience, on laisse un bol de bonbons devant des personnes laissées seules dans la pièce, en leur disant que ces bonbons sont destinés à des enfants. Mais il est possible d’en prendre, bien sûr, puisque personne ne regarde… sauf une caméra qui filme tout. Résultat : les riches prennent deux fois plus de bonbons que les pauvres

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  • Gilles Raveaud - Orientation scolaire : 33 000 bacheliers sacrifiés chaque année

    Olivier Bouba-Olga, professeur à l’université de Poitiers, spécialiste des stratégies des entreprises, est aussi un fin observateur des politiques éducatives. A partir des erreurs d’orientation créées par notre système éducatif, il a, dans deux billets successifs, estimé le nombre de bacheliers de bacs techniques et professionnels qui “choisissent” d’étudier à la fac où leurs taux d’échec sont très, très élevés.

    Résultat : environ 33 000 lycéens seraient dans ce cas en 2011.

    Pour rappel, il y a, en France, trois grands types de bacs : les bacs généraux, les bacs technologiques et les bacs professionnels. Les bacheliers détenteurs de bacs généraux ont plutôt vocation à faire des études longues (Université ou grandes écoles). Pour les bacheliers technologiques, la logique les destine plutôt aux études “courtes”, de type STS (les anciens BTS), ou IUT. Enfin, les bacheliers professionnels ont vocation, quant à eux, à entrer directement sur le marché du travail - ou à poursuivre un peu en STS, éventuellement en IUT.

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