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Actualités socialistes - Page 737

  • Le Vent se lève - Élections présidentielles brésiliennes : comment expliquer l’émergence de l’extrême-droite ?

    Le premier tour de l’élection présidentielle brésilienne a donné lieu à des résultats extrêmement polarisés. Jair Bolsonaro (PSL), celui que l’on surnomme le « Trump Brésilien », est arrivé en tête avec 46,03% des votes exprimés. Il devra affronter au second tour l’ancien préfet de São Paulo, Fernando Haddad (PT) qui a totalisé 29,28% des suffrages.


    Que proposent les deux candidats en tête ?

    Jair Bolsorano, ancien militaire de 63 ans quasi-inconnu de la scène politique brésilienne il y a encore un an, s’est fait remarquer tout au long de la campagne présidentielle pour ses propos racistes, homophobes et misogynes. Il est parvenu à convaincre l’électorat grâce à un discours ultra-conservateur et populiste.

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  • Dérapages de Jean-Luc Mélenchon : "les hommes politiques ont un devoir d’exemplarité", estime Olivier Faure

  • Fondation Jean Jaurès - Brésil : la menace de l’extrême droite

    Après le premier tour de l’élection présidentielle au Brésil, le 7 octobre 2018, la position de favori du candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro fait peser une très grande menace sur la démocratie. Quelles seraient les conséquences de sa victoire ? Carol Proner, avocate et professeure de droit international à l’Université fédérale de Rio de Janeiro, livre son analyse à Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation Jean-Jaurès.

  • France Culture - Dominique Méda : "Le Parti socialiste a un problème structurel"

    Depuis le séisme de 2002, lorsque le FN a évincé la gauche du second tour de l'élection présidentielle, le Parti socialiste semble en perdition. Entre manque de clarté idéologique et pratique du pouvoir en décalage avec ses discours, les reproches faits au PS sont nombreux, et pourtant aucune analyse en profondeur de cet échec n’a été faite. Dominique Méda, directrice du laboratoire de sciences sociales de l’université Paris Dauphine et professeure de sociologie, dresse à notre micro un état des lieux de cette gauche éclatée.

  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants du Parti socialiste

    S’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, dresse, dans cette étude inédite menée à partir d’un échantillon sans équivalent de 1058 sympathisants socialistes, un véritable portrait-robot. Elle permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

  • La Vie des idées - Bien nommer le mal, À propos de : Ugo Palheta, La possibilité du fascisme. France, la trajectoire du désastre, La Découverte

    Que faire face à la lente montée du racisme et à l’enracinement de l’extrême droite ? Le fascisme est re-devenu possible en France, affirme le sociologue Ugo Palheta. Face à une crise protéiforme de l’État, il faut nommer le mal si l’on veut le combattre.

    Les images d’un groupe cagoulé, pénétrant dans un amphithéâtre de l’Université de Montpellier en mars 2018, pour passer à tabac des étudiants mobilisés contre la loi ORE, ont donné à réfléchir sur la situation politique actuelle. Le fait que le doyen de l’Université ait encouragé cette action n’a fait qu’ajouter à la stupeur [1]. L’absence de réaction massive dans l’opinion publique de même. Utilisation de la violence politique, intimidation de militants, compromission des élites responsables : les ingrédients rappellent un cocktail, celui du fascisme. Pourtant, le terme n’a pas été utilisé dans les médias, pour la simple raison qu’il semble aujourd’hui ressortir du vocabulaire militant plutôt que d’une catégorie analytique fiable.

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  • Fondation Jean Jaurès - Appel à la solidarité avec le Brésil : la démocratie en danger

    La Fondation Jean-Jaurès, membre du Comité international pour la libération de Lula et la démocratie au Brésil, parraine un appel à défendre les libertés et les droits humains menacés par un candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle. La Fondation, au nom de ses engagements démocratiques et républicains, vous invite à participer à cette campagne de solidarité.

    Les puissants de l’économie, des finances, de l’agro-industrie, de l’établissement social et médiatique, soutiennent au Brésil un candidat présidentiel, Jair Bolsonaro, qui propose un grand retour en arrière.

    Un retour vers un Brésil de violences, un Brésil raciste, xénophobe, misogyne, intolérant, inégalitaire, des privilégiés, hier maîtres des habitations et reléguant les esclaves dans leurs cases.

    Le Brésil a reconquis dans la douleur ses libertés après vingt-un ans de dictature militaire. De 1964 à 1985, les Brésiliens ont vécu tortures, assassinats, disparition, incarcérations, exil, suspension de la liberté d’expression, du droit de manifester, du droit de s’organiser.

    Jair Bolsonaro fait l’apologie publique de la dictature, de la torture, du viol, du meurtre, de l’intolérance. Plaçant son Dieu vengeur et cruel au-dessus de la démocratie et des hommes, il refuse le débat avec son adversaire du deuxième tour.

    L’enjeu du deuxième tour, le 28 octobre 2018, va bien au-delà des étiquettes partisanes. Ce qui est en jeu, ce n’est ni le Parti des travailleurs de Haddad et Lula, ni le PSL de Bolsonaro. C’est la liberté, la vie, la sécurité, la dignité, la démocratie.

    Nous, démocrates français du Comité de solidarité internationale en défense de Lula et de la démocratie au Brésil, affirmons : sauver la démocratie brésilienne aujourd’hui, c’est voter sans état d’âme Fernando Haddad.

  • Paris Match - Mitterrand : le PS veut sa part de mémoire

    Une partie de la bibliothèque ayant appartenu à l’ancien président va être mis aux enchères. Le PS s’y intéresse de près…

    Après ses meubles, ses bouteilles de vins et même ses pantoufles, ses livres : année après année, la mémoire de François Mitterrand fait le bonheur des salles de ventes. La maison Piasa met aux enchères une partie de la bibliothèque de l’ancien président les 29 et 30 octobre prochains*. Hasard du calendrier, cet événement intervient quelques jours seulement après la date anniversaire de la naissance de «Tonton», le 26 octobre 1916.

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  • La Vie des idées - Ce que demande la non-demande, Autour du non-recours aux aides sociales

    Le non-recours aux aides sociales peut prendre plusieurs formes et s’expliquer diversement ; mais elle traduit fondamentalement, selon Philippe Warin, une attente de justification adressées aux pouvoirs publics.

    Depuis plusieurs années, de nombreux constats attestent qu’un nombre important de personnes renoncent à faire valoir leurs droits en matière d’aides sociales. Le phénomène de non-recours n’est certainement pas nouveau, mais comme il fait de plus en plus l’objet de mesures, son ampleur apparaît et le besoin de réponses grandit. Avec des taux de non-recours variant entre 40 et 60 % dans les pays de l’Union européenne [1], des solutions techniques se mettent en place pour faciliter l’accès des aides sociales et services publics.

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  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants du Parti socialiste

    S’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, Gilles Finchelstein dresse, dans cette étude inédite menée à partir d’un échantillon sans équivalent de 1058 sympathisants socialistes, un véritable portrait-robot. Elle permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

    Quelques chiffres

     
     
    • 9 % des Français se disent proches du PS (14 % LREM et LR ; 13 % FN ; 7 % FI ; 25 % aucun parti)
    • En 2017, 25 % des sympathisants socialistes ont été des électeurs socialistes ; ils étaient plus de 75 % en 2012 et 2015
    • 59 % des sympathisants du PS jugent le bilan d’Emmanuel Macron « assez » ou « très » négatif (55 % chez l’ensemble des Français ; 93 % chez les sympathisants de la FI)
    • 70 % des sympathisants socialistes pensent qu’Emmanuel Macron et son gouvernement sont trop autoritaires dans la mise en place des réformes et ne laissent pas assez de temps à la négociation (55 % chez l’ensemble des Français, 43 % chez les sympathisants LR, 18 % pour les sympathisants LREM)
    • Pour 89 % des sympathisants du PS, la politique économique et sociale profite avant tout aux catégories aisées (76 % chez l’ensemble des Français, 95 % chez les sympathisants de la FI)
    • 80 % des sympathisants du PS ont le sentiment que le pouvoir politique est soumis aux puissances économiques (79 % chez l’ensemble des Français ; 78 % chez les sympathisants de la LREM)
    • 19 % des sympathisants du PS estiment qu’il faudrait réduire le nombre de fonctionnaires (contre 52 % chez les sympathisants LREM, 66 % chez les sympathisants LR)

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  • Libé - Le Parti socialiste a le «halo» loin du «noyau»

    D’impénitents optimistes en voie de disparition rapide. C’est le portrait-robot des sympathisants socialistes que la Fondation Jean-Jaurès (FJJ) vient d’établir après une enquête auprès d’un millier d’entre eux, issus d’un panel de 12 500 personnes. En 2012, à la victoire de François Hollande, 22% des Français se disaient proches du PS. Six ans et une catastrophe présidentielle plus tard, cette base électorale socialiste - à ne pas confondre avec les militants encartés - a rétréci de plus de moitié : ils ne sont plus que 9%.

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