Actualités socialistes - Page 382
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Tiens, voilà du vaccin - La chanson de Frédéric Fromet
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Jean Birnbaum : la nuance est-elle encore possible dans le débat public ?
Jean Birnbaum publie "Le courage de la nuance", aux éditions du Seuil. Sonia Devillers : "Vous ouvrez votre livre avec Camus : La polémique consiste à considérer l’adversaire en ennemi, à le simplifier et à refuser de le voir. Devenu aux trois quarts aveugle par la grâce de la polémique nous vivons dans un monde de silhouettes… voilà qui caractériserait parfaitement le paysage médiatique comme machine à recycler les idées.
Jean Birnbaum : "Cette phrase de Camus donne à réfléchir sur notre paysage médiatique et le rôle des Réseaux Sociaux qui composent tout un théâtre d’ombres. Chacun est rivé à un camp, je trouve cela effrayant. J’essaye de montrer que la facilité c’est l’arrogance comme disait Barthes qui a des pages magnifiques sur l’arrogance idéologique.
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Fondation Jean Jaurès - Quand la gauche pensait la nation
La gauche doit-elle défendre la nation ? Crise du projet européen, mises en cause des frontières, retour des nationalismes et xénophobie font chaque jour l’actualité. Le dépassement des frontières nationales, qui semblait un temps aller de soi, n’était-il pas une erreur de diagnostic ? Dans des sociétés plurielles, comment peuvent coexister des populations qui ne disposent pas, à l’origine, d’une histoire partagée ? Toutes ces interrogations furent débattues par la gauche européenne au cours de son histoire. Jean-Numa Ducange restitue ce grand débat qui occupa les têtes pensantes du socialisme, comme le quotidien des militants. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les premiers partis socialistes durent se confronter à une évidence : l’extension du marché et du capitalisme, pas plus que les luttes des travailleurs à l’échelle internationale, n’ont conduit à la disparition des nations. Le Parti social-démocrate allemand n’est à l’époque pas seul à proposer des solutions, mais nul n’a alors plus d’influence à l’étranger : de Paris à Moscou, il fascine. Surtout, lui et son alter ego autrichien sont confrontés aux problèmes posés par la coexistence de multiples nationalités, tandis que la question coloniale s’impose sur le devant de la scène.
Cet entretien de Jean-Numa Ducange, professeur des universités (université de Rouen), auteur de Quand la gauche pensait la nation. Nationalités et socialismes à la Belle époque (Fayard, mars 2021), avec Bastien Cabot, doctorant contractuel à l’EHESS, montre la tension permanente dans l’histoire de la gauche entre nation et internationalisme. Retrouvez le livre de Jean-Numa Ducange, "Quand la gauche pensait la nation. Nationalités et socialismes à la Belle époque" sur le site de Fayard : www.fayard.fr/histoire/quand-la-gauche-pensait-la-nation-9782213711393
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Le Monde - France-Rwanda : un pas décisif vers la vérité
Le rapport d’une commission d’historiens remis à Emmanuel Macron confirme l’engrenage qui a conduit la France de François Mitterrand à soutenir aveuglément un régime dictatorial qui a perpétré et encouragé le génocide des Tutsi.
Editorial du « Monde ». « Des responsabilités lourdes et accablantes. » Vingt-sept années ont été nécessaires pour que ces mots, à propos du rôle de la France dans le génocide des Tutsi du Rwanda en 1994, soient écrits dans un rapport commandé par le président de la République.
Deux ans après avoir chargé l’historien Vincent Duclert de faire la lumière sur l’implication française dans l’un des derniers génocides du XXe siècle qui, en cent jours, coûta la vie à près de 800 000 Tutsi, Emmanuel Macron a désormais entre les mains un document solide, établi par des chercheurs indépendants et fondé sur des archives enfin ouvertes. Après des années de déni puis d’euphémisation, c’est un pas décisif sur la voie de la vérité.
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Café socialiste | Épisode 5 : La situation étudiante au temps du Covid
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Laissez-moi clamser - La chanson de Frédéric Fromet
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Marianne - Antisémitisme, financement de mosquée… La polémique à la mairie de Strasbourg en trois actes
La municipalité écolo de Strasbourg est dans la tourmente depuis le vote d'une subvention à la construction d'une mosquée soutenue par une fédération controversée. Le même jour, la majorité a refusé de reconnaître la définition de l'antisémitisme fournie par l'Alliance Internationale pour la mémoire de l'Holocauste.
Deux polémiques en une seule journée. Ce lundi 22 mars, les élus du conseil municipal à majorité EELV ont pris deux décisions qui ont suscité une vive réaction politique. D'abord le rejet d'une définition possible de l’antisémitisme, ensuite le vote d'un « principe d’une subvention » de 2,5 millions d’euros à une mosquée soutenue par une fédération liée à la Turquie et qui a refusé de signer la Charte des principes de l’islam de France.
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Vaccination des enseignants - Question de Jean-Louis Bricout
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PS - Effets de la crise sur les associations - Intervention de Christine Pirès Beaune
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Rembourser ou non la dette : le choix entre la peste et le choléra ? [Olivier Passet]
La dette Covid fait l’objet de débats passionnés. Entre ceux qui voudraient la rembourser au prix du sang et de la sueur en réduisant les dépenses de l’État, ceux qui la considèrent indolore tant que les taux sont à zéro et ceux qui considèrent qu’il faut lui administrer un traitement d’exception : soit la rendre perpétuelle pour ne pas exposer les États à une obligation de remboursement, soit carrément l’annuler. [...]
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Débat sur la situation sanitaire - Question d'Alain David