Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualités socialistes - Page 386

  • PS - Olivier Jacquin nous présente sa proposition de loi sur l'ubérisation

    La proposition de loi d'Olivier Jacquin sur l’#uberisation est examinée aujourd'hui au #Sénat. Il propose 3 solutions pour réguler et assainir la situation : ✅ Permettre des requalifications en salarié par action de groupe ✅ Présumer salariés les travailleurs des plateformes ✅ Transparence de l’algorithme

  • Libé - Le revenu de base, une solution pour la jeunesse ?

    Pour lutter contre les inégalités, le chercheur Tom Chevalier propose de diversifier l’action publique en proposant à la fois du soutien au revenu et des services publics de qualité, plutôt que de tout miser sur un seul revenu de remplacement. Ce sujet sera abordé vendredi 11 juin à l’occasion du forum live «Revenu de base, et si on essayait ?» organisé par «Libération» et Solutions solidaires.

    Un des arguments des tenants du revenu de base (ou revenu universel) consiste à souligner son ouverture aux jeunes de moins de 25 ans, permettant ainsi de lutter contre leur précarité. En effet, aujourd’hui, le revenu minimum (RSA) n’est pas ouvert aux moins de 25 ans. Il s’agit d’un cas quasi unique en Europe, qui explique en partie l’ampleur de la pauvreté dans cette tranche d’âge. Par conséquent, mettre en place un revenu de base ouvert à partir de 18 ans permettrait aux jeunes adultes de rentrer dans le droit commun de la protection sociale : ils seraient enfin reconnus comme des citoyens à part entière, et non plus comme des «mineurs sociaux».

    Lire la suite
    __________________________
    __________________________

  • Le capitalisme et la dictature de l’image : profit et contrôle [Benoît Heilbrunn]

    C'est peu de dire que nous sommes submergés par les images. Si l'on postule que plus de 3 milliards d'images circulent chaque jour sur les réseaux sociaux, cela veut dire que plus de 3 millions d'images auront été échangées pendant que vous écoutez cette chronique. [...]

  • Libé - Brezhoneg - Dans les écoles Diwan, l’immersion menacée

    Le réseau créé en 1977, développe un enseignement gratuit uniquement en breton. Cette méthode immersive vient d’être jugée anticonstitutionnelle.
     
    Solenn n’hésite pas un instant. Prenant la parole devant les autres, la petite fille de CE2 s’exprime dans un breton courant, voyelles nasales et consonnes gutturales à l’appui de son raisonnement. Dans la classe de Yann Varc’h ce matin, c’est cours de mathématiques. Sur le tableau blanc, soustractions et multiplications attendent d’être résolues. Comme dans toutes les écoles. A la seule exception près qu’ici, tous les échanges s’effectuent en breton. Nous sommes à quelques pas de la cité des Dervallières, à l’ouest de Nantes, dans une des plus importantes écoles Diwan de France.
     
    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Libé - Génocide Rwanda : la déclaration censurée de Michel Rocard sur le rôle de la France

    Alors qu’Emmanuel Macron s’apprête à se rendre au Rwanda ce jeudi, une vieille note de réflexion du socialiste Michel Rocard sur le rôle de la France dans ce pays resurgit et révèle une analyse lucide, pourtant volontairement censurée.
     
    C’est un document inédit, ou du moins curieusement effacé, qu’a pu se procurer Libération à la veille d’une visite qualifiée d’«historique» d’Emmanuel Macron, jeudi, au Rwanda. Ce voyage présidentiel, censé acter le rapprochement entre Paris et Kigali, a été facilité par la publication fin mars du rapport d’une commission présidée par l’historien Vincent Duclert sur le rôle de la France au Rwanda. En officialisant pour la première fois la reconnaissance de «responsabilités lourdes et accablantes» pour la France, entre 1990 et 1994, aux côtés du régime qui va conduire au génocide des Tutsis du Rwanda, le travail des historiens chargés d’examiner les archives françaises a permis de briser un tabou.
     
    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Reporterre - En Occitanie, José Bové soutient les socialistes « pour faire face au Rassemblement national »

    Pour faire barrière au Rassemblement national aux régionales, José Bové a décidé de soutenir Carole Delga, actuelle présidente socialiste de l’Occitanie. La candidate est pourtant favorable à deux projets destructeurs de l’environnement : l’agrandissement du port de Port-la-Nouvelle et le projet d’autoroute entre Toulouse et Castres.

    Le paysan, militant anti-OGM et ex-député européen met son grain de sel dans les élections régionales. En Occitanie, José Bové a annoncé son soutien à la liste menée par l’actuelle présidente de la région, Carole Delga. Il est sur sa liste dans l’Aveyron, en dernière position, non éligible. La socialiste est pourtant favorable à la liaison autoroutière entre Toulouse et Castres, et porte avec la région l’agrandissement du port de Port-la-Nouvelle, dans l’Aude. Deux projets décriés par les associations écologistes et la Confédération paysanne, syndicat agricole que José Bové a contribué à créer.

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Héritiers de l'avenir : Claude Bartolone

    La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Claude Bartolone, ancien président de l’Assemblée nationale, interrogé par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.

    Claude Bartolone revient sur son itinéraire personnel, son engagement au Parti socialiste en Seine-Saint-Denis, et les combats électoraux qu’il y a menés. Il évoque ensuite son itinéraire au sein du PS aux cotés de Laurent Fabius, et un sujet sur lequel il s’est particulièrement investi, les rapports de la gauche française et les institutions.

  • Zap Parlementaire | Semaine du 24.05

  • LVSL - Pavlina Tcherneva : « Soit on garantit l’emploi, soit le chômage »

    Pavlina Tcherneva est professeur d’économie à la Bard University de New York. Figure influente de la Théorie moderne de la monnaie (MMT), elle est l’autrice de La Garantie d’emploi – l’arme sociale du Green New Deal, traduit aux éditions La Découverte. Aux États-Unis, la Garantie d’emploi est une proposition particulièrement populaire, défendue par les partisans du New Deal vert et l’aile gauche démocrate. Elle consiste à mettre en place une offre d’emploi public à toute personne en faisant la demande, rémunéré à 15 dollars de l’heure – le salaire minimum fédéral défendu par le Parti démocrate – et permettant d’ouvrir les droits aux prestations sociales attachées à l’emploi conventionnel (cotisations pour la retraite, assurance maladie, congés payés, etc.). L’État agit ainsi comme employeur en dernier ressort afin de garantir le plein emploi, tout en établissant un seuil plancher en termes de salaire minimum et conditions de travail. Si la proposition a de quoi séduire, elle soulève de nombreuses questions, en particulier sur son financement et sa mise en œuvre concrète. En France, la sortie du livre a suscité du débat à gauche, relayé à travers de nombreux argumentaires publiés – entre autres – par Mediapart. Outre les aspects pratiques de la réforme, la question qui semble cliver est celle du dépassement du capitalisme. La Garantie à l’emploi est-elle un outil pour y parvenir, ou un leurre ? Nous avons interrogé Pavlina Tcherneva pour lui permettre de répondre aux principales critiques et nous éclairer sur l’applicabilité de sa proposition dans un pays comme la France. Entretien réalisé par Politicoboy.

    Lire la suite
    _________________________
    _________________________

     

  • Reporterre - Total et le climat : vers une assemblée générale mouvementée

    Réunis en assemblée générale vendredi 28 mai, Total proposera à ses actionnaires une stratégie climat. Mais une trentaine d’entre eux ont déjà annoncé qu’ils voteraient contre ce plan permettant au géant pétrolier de laisser davantage de place aux énergies fossiles.

    Total sera-t-il contraint de revoir sa copie en matière de lutte contre le changement climatique ? La réponse sera en partie donnée ce vendredi 28 mai lors de son assemblée générale. La major pétrolière y proposera notamment le renouvellement du mandat de son président-directeur général, Patrick Pouyanné, et sa nouvelle dénomination, TotalEnergies. Une stratégie climat sera soumise « pour vote consultatif » aux actionnaires, mais une trentaine d’entre eux ont déjà annoncé qu’ils voteraient contre.

    Lire la suite
    ___________________________
    ___________________________