Actualités socialistes - Page 385
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Replay #LiveDuProjet : Quels parcours de réussite pour la jeunesse ?
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Avec l'accélération du digital, la consommation d'énergie explose [Alexandre Mirlicourtois]
Les débats qui entourent le déploiement de la 5G ont changé de registre. De l'impact hypothétique sur la santé, la nouvelle génération des réseaux mobiles fait désormais polémique sur ses répercussions sur l'environnement. [...]
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Le Figaro - Législatives partielles : LREM en tête dans le Pas-de-Calais, PS et LFI s'affronteront au second tour à Paris
Quatre élections législatives partielles se tenaient ce dimanche, dans l'Oise, le Pas-de-Calais, en Indre-et-Loire et à Paris.
En ce week-end printanier et premier jour de Roland Garros, le scrutin est presque passé inaperçu. Pourtant, les Français de quatre circonscriptions - 6e du Pas-de-Calais, 15e de Paris, 3e d'Indre-et-Loire, 1ère de l'Oise - étaient appelés à voter ce dimanche pour le premier tour des législatives partielles. Malgré une faible participation, entre 15 et 20%, ce vote a permis aux partis de jauger leur électorat et leur capacité de mobilisation. Toujours utile à moins d'un an de la présidentielle.
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OFCE - Le défi de l’instabilité par Jean-Luc Gaffard
Un grand désordre existe dans la pensée économique confrontée à la conjonction de crises financière, sanitaire et écologique. L’idée continue de dominer que ce ne sont là que de simples parenthèses que l’on devrait pouvoir refermer plus ou moins vite. Pourtant l’hypothèse d’une profonde transformation du modèle économique n’est pas dénuée de fondements. À tout le moins, il va falloir accepter que se profile une accélération des processus de destruction créatrice et de recomposition du tissu productif qui va se traduire par la formation et l’enchaînement de déséquilibres sur les différents marchés. Les économistes ne sont pas démunis de références face à cette réalité s’ils veulent bien retenir les enseignements tirés de l’observation et de l’analyse d’événements faisant suite à des ruptures importantes dans le passé, allant à l’encontre de bien d’idées reçues.
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Libé - Revenu de base : des départements PS attendent toujours un feu vert
Avant la révolution, l’expérimentation. Depuis 2018, 19 départements socialistes se déclarent volontaires pour mettre en place, localement, un revenu de base. «L’expérimentation, à notre échelle, permet une approche pragmatique, qui évite de faire peur», rassure Jean-Luc Gleyze, président PS du conseil départemental de la Gironde, à l’initiative du projet. En 2016, l’élu s’est associé à la Fondation Jean-Jaurès, au Centre pour la recherche économique et ses applications et à l’Institut des politiques publiques pour réfléchir à plusieurs pistes.
Après une consultation sur Internet, début 2018, et le traitement de 15 000 réponses, l’option d’un revenu «de base» – et non «universel» – issu d’une fusion du RSA et de la prime d’activité a été proposé : une allocation allant de 750 à 1 000 euros pour toute personne majeure ayant des revenus en dessous de ce socle. Ce revenu de base serait dégressif et automatique : aucune démarche administrative ne serait à effectuer. Cela serait d’autant plus facile avec la mise en place récente de l’impôt à la source : «Si on s’aperçoit qu’aucun salaire n’a été touché pendant un mois, on déclenche automatiquement le revenu de base», explique Jean-Luc Gleyze.
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Institut Rousseau - Réflexion pour la mise en place d’un impôt « anti-évasion » en France par Arnaud Iss et Boris Bouzol-Broitman,
La série de Policy Briefs Agenda 2030 mobilise économistes et praticiens pour identifier un agenda de réformes économiques et financières permettant d’atteindre l’Agenda 2030, aux échelons territoriaux, nationaux et supranationaux.
I. Problème identifié : l’absence de lutte contre l’optimisation fiscale légale, mais abusive
Le terme optimisation fiscale peut parfois prêter à confusion. Il existe en effet deux types d’optimisation fiscale. L’une, illégale, consiste à contourner les règles des impôts en allant à l’encontre de la loi. Son coût pour les finances publiques françaises pourrait atteindre 100 milliards d’euros selon le syndicat Solidaires finances publiques[3]. L’autre, légale, consiste à jouer avec les règles fiscales en vigueur, tant en France qu’à l’étranger, afin de payer le moins d’impôt possible. Celle-ci est par nature difficile à chiffrer, puisque la frontière entre ce qui relève de l’optimisation ou non est subjective. Et ce notamment concernant les départs de contribuables à l’étranger. Comment définir si un départ à l’étranger s’est fait dans le but de payer moins d’impôt ou non ? Cela peut parfois relever d’une mosaïque de raisons, parmi lesquelles figure en bonne position le fait de pouvoir payer moins d’impôt.
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Paulette Decraene nous raconte son 10 mai 1981
« Cela a été une grande date dans la mesure où c’était un changement, c’était quelques chose de nouveau ». Paulette Decraene, secrétaire de François Mitterrand, nous raconte son #10Mai1981.
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Biden doit-il renoncer à sa politique budgétaire par peur de l’inflation ? Jonathan Marie, membre des Economistes atterrés
Les débats concernant la politique économique, en particulier aux États-Unis, se focalisent aujourd’hui sur un possible retour de l’inflation. L’annonce d’un taux d’inflation en avril 2021 de 4,2 % en glissement annuel aux États-Unis relance les discussions. Depuis février dernier, ils sont nombreux, comme Martin Wolf, le célèbre éditorialiste du Financial Times, à évoquer le spectre de l’inflation comme menace immédiate sur l’économie américaine. La figure du spectre ou du mort-vivant est souvent mobilisée tant l’inflation semble appartenir au passé, les économies développées évoluant dans des régimes de (très) basse inflation depuis les années 1980.
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Sésame - Pesticides : réduire ou interdire, et comment ?
Par Yves Guy1, Pierre Guy, 2, Anne Judas, 3
Notre premier article « Pourquoi l’usage de produits phytosanitaires augmente-t-il en France ? » a ouvert un débat avec de nombreux lecteurs, plusieurs collègues, chercheurs ou anciens chercheurs Inrae, notamment sur des pistes de sortie des pesticides. Nouveaux éléments de réponse.
Il n’apparaît pas pour nous de réponse simple ni même principale à cette question. Un écheveau serré de nœuds, de blocages, freine la généralisation de pratiques à faible usage de phytosanitaires pourtant connues et mises en œuvre par des milliers d’agriculteurs. Mais, et c’est peut-être plus grave, nous n’avons pas su, lors des dernières décennies tout au moins, rendre compatibles des objectifs légitimes. Depuis quatre-vingts ans, la hausse des rendements est associée à la mécanisation et à la chimisation de l’agriculture, donc à une nette amélioration des conditions de travail et des revenus agricoles, en même temps qu’à l’exode rural et à l’effondrement de la biodiversité au champ.
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Observatoire des inégalités - Covid-19 : pourquoi nous devons tous payer l’addition
Points de vue 21 mai 2021
Pour payer le coût de la crise, faire payer les ultra-riches ne suffira pas. La justice sociale commande un effort fiscal partagé par une majorité de la population, de manière progressive. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités, extrait de Libération.
« Quoi qu’il en coûte », a dit le président de la République. Face à l’impact de la crise sanitaire, pour éviter une implosion économique, le gouvernement n’a pas regardé à la dépense. Le surcoût pour la collectivité sera d’au moins 200 milliards d’euros pour la période 2020-2022. Chaque année, la dépense totale de l’État est de l’ordre de 340 milliards d’euros : le choc est énorme, il faudra bien un jour payer la note.
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PS - Olivier Jacquin nous présente sa proposition de loi sur l'ubérisation
La proposition de loi d'Olivier Jacquin sur l’#uberisation est examinée aujourd'hui au #Sénat. Il propose 3 solutions pour réguler et assainir la situation : ✅ Permettre des requalifications en salarié par action de groupe ✅ Présumer salariés les travailleurs des plateformes ✅ Transparence de l’algorithme