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La députée Wonner répète devant des foules que la vaccination doit être évitée car : « Le vaccin ne protège pas contre les formes graves. Le vaccin ne vous empêche pas d'être contaminé. Le vaccin ne va pas empêcher la contamination inter-individuelle. » Si c'est vrai, elle a raison. Et elle ne peut quand même pas dire et répéter tout ça si c'est faux...
Le 7 décembre dernier, le média et ONG Disclose a révélé une note rédigée par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) « classifiée défense ». Celle-ci s’opposait vigoureusement à la mission d’information parlementaire proposant d’impliquer le Parlement dans le processus de contrôle des exportations françaises en matière d’armement. La révélation de cette note interroge sur le processus actuel et la position du gouvernement autour d’un secteur vital pour l’économie hexagonale. La question du contrôle des exportations d’armement se pose avec d’autant plus d’acuité après le scandale de l’utilisation des armes françaises par la coalition de pays menée par l’Arabie Saoudite contre les populations civiles dans la guerre au Yémen en 2018, qualifiée par le secrétaire général adjoint des affaires humanitaires des Nations Unies, M. Mark Lowcock, de « pire crise humanitaire au monde ».
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Haraway, ou comment abolir la folle domination humaine sur toutes les espèces vivantes... Peu connue en France, sa réflexion, qui spécule sur l’avenir des relations entre l’homme et les autres êtres vivants, est réputée dans le monde depuis quarante ans. La crise écologique et sanitaire a remis ses idées en avant. Ses derniers livres mêlent, comme à l'accoutumée, enquêtes rigoureuses, culture encyclopédique et histoires personnelles. Ses thèses font espérer une autre mondialisation, plus juste et plus pacifique. Magazine de Jean-Bernard Andro (France, 2021, 26mn)
Tout ce que fait un directeur de recherche au CNRS n'est pas automatiquement de la science, surtout quand s'accumulent les signes d'un mépris des règles de la recherche au profit de la mise en avant d'un narratif personnel. Sans une vigilance permanente, la science devient un argument d'autorité inepte et dangereux.
Laurent Mucchielli est dans une forme de croisade qui le pousse à servir la soupe à la sphère des anti-sciences et des pires conspirationnismes. Oubliant méthode, prudence, retenue et respect des compétences des spécialistes des questions de santé, il néglige la déontologie qui s'applique à la parole précieuse des universitaires.
Les SOURCES sont disponibles dans la version Blog de cette vidéo, ici : https://menace-theoriste.fr/le-complotisme-de-laurent-mucchielli/
J'ai écouté Wonner-Perrone-Boutry et Cie sous les hourras des anti-masque et antivax ordinaires devenus conspis du covid. Une question se pose : peuvent-ils être aussi cons que les propos qu'ils profèrent le laissent supposer ? Eh bien probablement pas, et c'est une bonne nouvelle. Mais il serait temps que ces cons s'en rendent compte !
La violence provoquée par la quête de la pureté de l’engagement au sein des groupes militants n’est pas nouvelle. Les années post-68 en témoignent : harcèlement moral, phallocratisme, homophobie, police des mœurs y faisaient des ravages.
Depuis quelques mois, des voix s’élèvent pour témoigner de la violence des relations interpersonnelles ou intergroupes au sein du milieu militant de gauche, notamment féministe. Certaines accusent l’effet amplificateur et délétère des réseaux sociaux qui, de par leur nature même, généreraient une montée de l’intolérance et en quelque sorte de la chasse en meute, quand d’autres y voient surtout une pente mortifère de « dérive identitaire » venue d’outre-Atlantique conduisant à des comportements sectaires et une fragmentation des causes dans des niches toujours plus restreintes et hostiles les unes aux autres.
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Thierry Ardisson reçoit Latifa, une femme Afghane auteur d'un livre "Visage volé, avoir vingt ans à Kaboul" qui raconte la vie des femmes en Afghanistan avant et après les Talibans. Vêtue du Tchadri, elle est accompagnée de Chékéba HACHEMI, présidente de l'association "Afghanistan libre" qui traduit ses propos. Elle répond à une interview "Vérité". Née en 1980 dans une famille aisée, elle n'a connu que la guerre. Jusqu'à l'âge de 16 ans elle a malgré tout une vie assez insouciante et envisage de devenir journaliste. Puis les Talibans prennent le pouvoir en 1996 signant ainsi la fin de la liberté et le début de l'enfer pour les femmes. Elle raconte leur quotidien fait d'interdictions de tout ordre sans compter les viols et les mutilations alors que les femmes n'ont pas le droit de se faire soigner. Au début de l'invasion, Elle a refusé de sortir de chez elle afin de ne pas porter le tchadri, vécu comme une prison. Elle finit par quitter le pays avec sa famille et une fatwa est lancée contre elle. Un débat s'engage sur le plateau afin de savoir ce que pourrait faire la France pour aider l'Afghanistan
Le dernier rapport du Giec confirme une hausse continue du niveau des océansL Depuis 2006, elle est de 3,6 mm chaque année. Une montée qui menace les côtes françaises. Modélisées par l'organisation Climate Central, des cartes montrent les zones qui seront submergées et dessine le futur visage du littoral, avec un scénario de hausse des température de 3 à 4 degrés. Côte d'Opale, estuaire de la Gironde, Marais poitevin, Côte d'Amour et Camargue : nous avons zoomé sur cinq zones particulièrement exposées
Évacuations par hélicoptère, chaos à l’aéroport, tirs sporadiques… la capitale afghane a vu son destin basculer en moins de vingt-quatre heures, les 15 et 16 août 2021. Des témoins et journalistes ont filmé les événements. En quelques heures, et sans combattre, les talibans ont pris le contrôle de Kaboul, la capitale de l’Afghanistan. A l’annonce de la progression fulgurante des soldats islamistes, des milliers de personnes ont tenté, désespérément, de fuir le pays. La situation à l’aéroport de Kaboul, dont les pistes ont été envahies, a empiré, au point que tous les vols, civils et militaires, ont dû être suspendus lundi après-midi, a annoncé le Pentagone. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient des scènes de totale anarchie, comme ces centaines de personnes courant près d’un avion de transport militaire américain, qui roule pour aller se mettre en position de décollage, pendant que certains tentent follement de s’accrocher à ses flancs ou à ses roues. D’autres images font apparaître des milliers de personnes attendant sur le tarmac même et des grappes de jeunes hommes, surtout, s’accrochant aux passerelles pour tenter de monter dans un avion. Après avoir tiré en l’air dimanche, les forces américaines ont ouvert le feu lundi, tuant deux hommes « qui ont brandi leurs armes d’un air menaçant », a déclaré à Washington un responsable du Pentagone à l’Agence France-Presse (AFP). Cette foule désespérée n’est pas convaincue par les promesses des talibans selon lesquelles personne n’a rien à craindre d’eux, a expliqué à l’AFP un témoin.