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Le Monde - Election présidentielle 2022 : la proposition de primaire formulée par Anne Hidalgo rejetée par la plupart de ses concurrents à gauche

Interrogée mercredi sur TF1, la candidate du PS dit avoir « pris acte » de la faiblesse et de l’éparpillement de l’offre à gauche. LFI, EELV et le PC lui ont aussitôt opposé un net refus.

Interrogée sur la suite qu’elle compte donner à sa campagne, Anne Hidalgo, la candidate du Parti socialiste (PS) à l’élection présidentielle, dit avoir « pris acte » de la faiblesse et de l’éparpillement des candidatures à gauche, déplorant « une gauche fracturée, qui désespère beaucoup de nos concitoyens ». « La conséquence que j’en tire est qu’il faut organiser une primaire de cette gauche », a-t-elle déclaré alors qu’elle était l’invitée du journal de 20 heures de TF1, mercredi 8 décembre.

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Après l’échec de son appel à l’union de la gauche la veille, la candidate du PS a franchi une nouvelle étape en affirmant sa volonté de participer à cette désignation citoyenne. Et à «en accepter le verdict».
 
 
Alors que les candidats de gauche ont tous refusé sa proposition de candidature commune de la gauche, Anne Hidalgo confirme qu'elle se présentera devant la primaire populaire.

Pas question de renoncer. Après sa tentative de présenter une candidature unique à gauche ce mercredi soir sur TF1, soldée par un échec, Anne Hidalgo confirme sa volonté d'aller jusqu'au bout de l'union.

Huffington Post - Anne Hidalgo et la primaire à gauche, seulement un coup d'épée dans l'eau?

Refusée par tous ses concurrents de gauche, sa proposition a néanmoins mis un coup de projecteurs sur les enjeux qui travaillent la gauche.

Libé - Présidentielle: la gauche s’unit contre Anne Hidalgo

Tour à tour, les écologistes, les insoumis et les communistes ont fait savoir qu’ils ne comptaient pas participer à un système de désignation d’un candidat commun à gauche, comme l’a proposé la socialiste mercredi soir sur TF1.
 
En tentant un coup de poker pour la tenue d’une primaire de la gauche, la maire de Paris aura tout tenté pour échapper à la malédiction d’une gauche en miettes. Elle paie, en partie, le délitement inexorable du PS.


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