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En cas de triangulaire au second tour, la liste du candidat RN emporterait le scrutin. Un duel entre Mariani et Muselier donnerait un résultat au coude-à-coude.
Donné favori des régionales en Provence-Alpes-Côte-d'Azur, le candidat du Rassemblement national (RN) Thierry Mariani pourrait toutefois être tenu en échec au second tour en fonction de la configuration, selon notre sondage Elabe pour BFMTV.
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par Éloi Laurent, Fabio Battaglia, Alessandro Galli, Giorgia Dalla Libera Marchiori, Raluca Munteanu
Le 21 mai, la présidence italienne du G20 et la Commission européenne co-organiseront le sommet mondial sur la santé à Rome. Quelques jours après, l’Organisation mondiale de la santé tiendra son assemblée annuelle à Genève. De toute évidence, les deux événements seront centrés sur la tragédie du Covid et les réformes susceptibles de prévenir de telles catastrophes à l’avenir. « Le monde a besoin d’un nouveau départ en matière de politique de santé. Et notre renaissance sanitaire commence à Rome » a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le 6 mai. Nous partageons cet espoir et nous voulons le voir aboutir.
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Najat Vallaud-Belkacem, tête de liste socialiste pour les régionales en Auvergne-Rhône-Alpes, a visité ce lundi 24 mai le Grand-Pont, à Rive-de-Gier dans la Loire. C'est dans ce quartier qu'un policier a été grièvement blessé il y a dix jours. Elle a présenté ses propositions sur la sécurité.
La sécurité a beau ne pas être une compétence de la région, impossible d'y échapper pour la tête de liste socialiste aux élections régionales en Auvergne-Rhône Alpes, Najat Vallaud-Belkacem. Elle s'est rendue ce lundi 24 mai quartier du Grand-Pont, à Rive-de-Gier dans la Loire, là où un policier a été grièvement blessé dix jours plus tôt.
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Dans les Hauts-de-France, les militants essaient de convaincre les électeurs de voter pour l’union de la gauche, aux régionales de juin. Pas toujours simple, dans la métropole lilloise, où il faut composer avec la dispersion des listes pour les départementales.
«Tout passe à droite et ça me gave, donc je suis là pour aider la gauche», plante Bruno. Cet ancien militant libertaire, mélenchoniste à l’heure des échéances nationales, se mêle à une poignée de socialistes et d’écologistes, réunis ce samedi matin pour un porte-à-porte à Wavrin, commune semi-rurale de la métropole lilloise. Il leur reste un mois pour convaincre les électeurs de voter pour l’union de la gauche à l’élection régionale dans les Hauts-de-France. Toc, toc, toc… Un homme ouvre la première porte, en pyjama et pantoufles aux pieds.
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Les inégalités économiques s’articulent avec des inégalités environnementales. Comment peut-on les définir, les mesurer et les réduire ? Entretien avec Lucas Chancel, économiste, co-directeur du Laboratoire sur les inégalités mondiales.
Dans votre livre Insoutenables inégalités, vous proposez d’explorer les liens entre les inégalités économiques et les inégalités environnementales. Qu’entendez-vous par « inégalités environnementales », de quoi parle-t-on ?
Je tente d’analyser comment s’articulent les inégalités classiques de richesse, entre classes sociales, entre hommes et femmes, les discriminations etc. avec de nouvelles formes d’inégalités environnementales. Concrètement, ces inégalités environnementales sont liées à l’accès – facile ou difficile – aux ressources naturelles (accès à des espaces verts par exemple). Elles sont liées à l’exposition aux risques (comme la pollution aux particules fines ou aux risques industriels), qui n’est pas la même pour tous. Elles sont liées au fait que nous ne sommes pas égaux dans la façon dont nous polluons (notamment en matière d’émissions de gaz à effet de serre). Et enfin elles sont liées au fait que tout le monde n’a pas le même poids dans les décisions politiques, alors que les mesures pour protéger l’environnement n’ont pas le même impact pour tout le monde. Ces inégalités environnementales sont très intriquées aux formes plus classiques d’inégalités sociales.
46 % des habitants des quartiers les plus pauvres jugent leur environnement dégradé, 2,3 fois plus souvent que les habitants des quartiers voisins. Ils sont aussi deux fois plus nombreux à se plaindre du bruit.
Les inégalités en matière de cadre de vie sont au cœur des inégalités dites « environnementales ». Dans ce domaine, les quartiers les plus pauvres se distinguent très nettement, si l’on en croit l’enquête « Cadre de vie et sécurité » de l’Insee (données 2018) [1]. Les 1 500 quartiers dits « prioritaires » de la politique de la ville (et que nous qualifions de « quartiers pauvres ») regroupent cinq millions d’habitants, soit un peu moins de 8 % de la population. On en parle beaucoup pour le niveau du chômage ou de l’insécurité, mais leurs habitants se plaignent aussi de vivre dans un cadre peu agréable.
Les inégalités environnementales, on en parle beaucoup, mais on en donne rarement la définition. Un essai d’éclaircissement, sur une notion qui peut prendre plusieurs formes.
L’expression « inégalité environnementale » peut se diviser en deux dimensions complémentaires. Une dimension territoriale : les inégalités environnementales, à un moment donné, en fonction du lieu où l’on se trouve. Une dimension temporelle : les inégalités environnementales dans le temps, entre générations. Essayons d’y voir plus clair.
L’environnement, au fond, qu’est-ce que c’est ? Le mot vient du latin virare (qui a aussi donné le mot « virage » par exemple). C’est ce qui est autour de nous : là où nous vivons, nous travaillons, etc. C’est de l’air, de l’eau, des sons, des paysages, etc. On peut y ajouter la notion de danger : être dans un lieu plus ou moins exposé à un risque naturel ou industriel (tempête, pollution, etc.). L’environnement comprend aussi l’ensemble des ressources naturelles, des sources d’énergie aux minerais en passant par les animaux et les végétaux.
Dans un long entretien, l’historien Grey Anderson, docteur de l’université de Yale, revient avec nous sur son ouvrage La Guerre civile en France : 1958-1962, du coup d’État gaulliste à la fin de l’OAS, paru en 2018 aux éditions La Fabrique, dont la version anglaise aux éditions Verso est en cours d’élaboration. Comprendre la fondation de la cinquième République implique de revenir en profondeur sur le rôle de l’institution militaire française durant les évènements qui scandèrent la période ouverte à la fin de la Seconde Guerre mondiale. C’est à cette tâche que s’est attelé Grey Anderson, renouvelant ainsi l’approche habituelle de nombreux historiens pour envisager cette séquence majeure de l’histoire politique française contemporaine. Entretien réalisé par Victor Woillet et François Gaüzère. Retranscription réalisée par Dany Meyniel.
Le Rapport élaboré par la commission Duclert est très sévère à l’égard du gouvernement français et de sa responsabilité dans le génocide des Tutsi. Mais s’il lève le voile sur l’implication de la France, il ne répond pas à toutes les questions que l’on peut légitimement se poser aujourd’hui.
Raphaëlle Maison : En effet, il me semblait en 2015 que certains obstacles empêchaient une recherche historique sur le rôle de la France au Rwanda : les contraintes du champ académique, l’indisponibilité des sources, la crainte d’être appelé à soutenir des procédures pénales, la question de l’engagement militant, le fait que le rôle de la France ne paraissait pas prioritaire aux historiens travaillant sur le génocide des Tutsi.
Depuis la mise en place de l’euro, un écart persistant s’est installé entre inflation « perçue » par les ménages, et inflation « réelle » mesurée par l’INSEE. Au-delà des débats techniques sur les chiffres, mesurer l’inflation implique des choix méthodologiques lourds d’enjeux politiques et sociaux.
Introduction
Les experts de la zone euro constatent, pendant les années qui suivent le passage à l’euro, un écart important entre d’un côté l’évolution de l’inflation telle qu’elle était mesurée par les instituts de la statistique et de l’autre l’évolution de l’inflation telle qu’elle était perçue par les ménages : pourquoi une telle discordance ? Qui dit vrai ? Quel phénomène la mesure cherche-t-elle à exprimer statistiquement ? Comment est-elle mesurée ?
Lorsqu’une bonne partie des stars du paysage audiovisuel français s’est retrouvée à l’isolement suite à l’enregistrement d’une émission spéciale «On est tous en direct et sans masque parce que les règles c’est pour les gueux», on a pu mesurer à quel point ceux qui sont censés nous informer se dispensent des mesures de sécurité imposées au peuple. De Laurent Ruquier, on n’attendait guère mieux que ce cluster médiatique : l’ancien gendre idéal célèbre pour glousser à ses propres blagues (et pour avoir placé Eric Zemmour sur orbite) a décidé de livrer un duel sans merci à Bernard-Henri Lévy et à André Bercoff pour aligner le plus d’âneries pseudo-libertaires sur la «dictature sanitaire».
Le glacier Thwaites, un énorme bloc de glace en Antarctique occidental, fond à grande vitesse. Une équipe de chercheurs vient de découvrir l’ampleur des flux d’eau chaude qui menacent sa stabilité. Si le glacier se désagrège, il pourrait provoquer une hausse globale du niveau des mers de 65 centimètres.
Ils le surnomment le « glacier de l’apocalypse ». Depuis une dizaine d’années, des scientifiques observent de près le glacier Thwaites, une masse glaciaire en Antarctique occidental de 120 kilomètres de large, 600 kilomètres de long et dont l’épaisseur peut atteindre 3 kilomètres. Car ce géant de glace de 192 000 km2 (soit près du tiers de la superficie de la France) menace de fondre et de se détacher de la calotte glaciaire. « La vitesse de fonte de Thwaites a quasiment doublé », explique à Reporterre Gaël Durand, chargé de recherche sur la dynamique des glaciers au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). En cause : des flux d’eau chaude circulant dans des canaux sous-marins à la base du glacier.
A l’instar de la candidate écologiste Fabienne Grebert lançant sa campagne pour les élections régionales sous les fenêtres de l’Hôtel de Région (Lyon 2e) au mois de février, son homologie socialiste Najat Vallaud-Belkacem a également choisi la Confluence pour présenter son programme et ses listes lundi matin.
En l’occurence au MOB Hôtel, entre un portrait de Marx et un autre de Krasucki, entourée par les poids lourds régionaux du PS que sont les maires de Clermont-Ferrand, Bourg-en-Bresse, Villeurbanne et Vaulx-en-Velin, ainsi que le président de la Métropole de Grenoble.
En décidant d’apporter un soutien « personnel » à Najat Vallaud-Belkacem pour les élections régionales, David Kimelfeld, l’ancien président de la Métropole de Lyon, dit assumer un choix « basé sur les projets ». Ainsi qu’une rupture semble-t-il définitive avec le parti d’Emmanuel Macron, dont il juge la stratégie politique « cynique et dangereuse ».
Vendredi : retour à la normale. La candidate du Parti socialiste en Ile-de-France, Audrey Pulvar, a déposé sa liste à la préfecture. Des sourires et un cliché sur les réseaux sociaux pour immortaliser le moment. Ce n’était pas une première. L’ancienne journaliste avait déjà déposé une liste en début de semaine. Mais un épisode est venu bousculer l’ordre des choses : le chef de file en Seine-Saint-Denis, Bertrand Kern, a jeté l’éponge. Le maire de Pantin a mis en avant une «perte de confiance» et des «désaccords stratégiques». Un départ qui interroge toujours les huiles socialistes en Ile-de-France et ailleurs. Pourquoi partir après le dépôt des listes ? Ses copains ne comprennent toujours pas. Le mot «irrationnel» revient tel un gimmick.
Le 15 mai 2021 marque le dixième anniversaire du mouvement des Indignés en Espagne. Issu du mécontentement populaire lié à la crise financière de 2008, ce cycle de mobilisation sans précédent a secoué le paysage politique en remettant en cause le bipartisme du Parti Populaire et du Parti Socialiste. Les partis nés après le 15M se sont présentés comme des formations « anti-système » et ont revendiqué le discours populiste des Indignés. Or, suite à la démission de Pablo Iglesias et à l’émergence de Vox, un populisme de nouvelle nature semble s’affirmer. 10 ans après, que reste-t-il du mouvement des Indignés en Espagne ?
À propos de : Fernando Rosenblatt, Party Vibrancy and Democracy in Latin America, Oxford University Press
Si les partis politiques sont des institutions majeures de la démocratie, certains restent dynamiques quand d’autres tendent à péricliter. Comparant le Chili, le Costa Rica et l’Uruguay, F. Rosenblatt propose un cadre conceptuel innovant pour expliquer les ressorts de la « vitalité partisane ».
Tiré de la thèse de Fernando Rosenblatt défendue à l’Université catholique du Chili en 2013, ce livre porte sur ce que l’auteur dénomme la « vitalité partisane » (party vibrancy) ou, en d’autres termes, le dynamisme des partis politiques. D’après le postulat général qui donne son titre à l’ouvrage, la vitalité partisane a un lien direct et positif avec la qualité de la représentation démocratique. D’après l’auteur, plus un pays compte de partis politiques dynamiques, meilleure est sa santé démocratique. Ce postulat fonctionnaliste peut être critiqué, mais il a le mérite de poser les bases d’une recherche originale et rigoureuse.
La Fondation recueille les témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez l’entretien avec Marie-Noëlle Lienemann, ancienne ministre, sénatrice, interrogée par Émeric Bréhier, ancien député, directeur de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès.
OLIVIER FAURE
Olivier Faure @faureolivier
Je veux être clair. Mon expression « droit de regard » de la police était malheureuse. La démocratie fonctionne avec des institutions où le rôle de chacun est défini, et les pouvoirs séparés. Jamais je ne transigerai avec ces principes.
Après avoir provoqué un tollé à gauche, le premier secrétaire du Parti socialiste regrette une "expression malheureuse".
Marche arrière. Face à la polémique provoquée à gauche par sa proposition de “droit de regard” accordé aux policiers sur les décisions de justice, le patron du Parti socialiste Olivier Faure rétropédale. Dans un tweet publié ce jeudi 20 mai, le député de Seine-et-Marne revient sur cette déclaration qui a dérouté jusque dans son propre parti.
Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste
Antoine Pelissolo, secrétaire national adjoint à la Réforme du système médical et hospitalier
La pandémie a mis au grand jour les compétences et l’engagement des professionnels de santé, confrontés à une crise exceptionnelle à la fois par son intensité et par sa durée. Cette crise est survenue alors que le système de santé, et en particulier l’hôpital public, connaissait déjà des difficultés majeures de fonctionnement depuis des années. Le manque de moyens et l’insuffisance de reconnaissance des métiers du soin décourageaient de plus en plus de professionnels de poursuivre leur activité. Ils ont pourtant répondu présents et ont sauvé des centaines de milliers de patients, au risque de leur propre santé et parfois de leur vie.
Aujourd’hui, nous faisons avec eux le constat des inégalités d’accès aux soins, d’une qualité dégradée dans de nombreux secteurs, et de l’épuisement des soignants. Malgré des effets d’annonce, les mesures du Ségur de la santé n’ont pas répondu aux attentes des professionnels, et n’ont pas enrayé les vagues de départ ni permis de combler les postes vacants dans les hôpitaux. Parallèlement, des restructurations hospitalières comportant des réductions de lits sont toujours portées par le gouvernement, dans une logique purement économique ne tenant pas compte des besoins de santé publique pourtant criants aujourd’hui.
Pour toutes ces raisons, le Parti socialiste, qui travaille depuis plusieurs mois à un programme présidentiel répondant à ces enjeux cruciaux de santé, soutient les revendications des collectifs et associations appelant à manifester le 29 mai pour défendre l’égalité d’accès à des soins de qualité. Les priorités que nous partageons sont en particulier l’accessibilité universelle aux soins et aux médicaments, le déploiement d’une véritable politique de santé publique à l’échelon national mais aussi européen, autour de la prévention et de la santé mentale notamment, et une augmentation massive de l’investissement dans les moyens humains et matériels du soin.
Créée en 2019, la Foncière de la Ville de Paris s’appuie sur le dispositif du Bail réel solidaire pour proposer aux classes moyennes l’achat de biens immobiliers à moitié prix. 23 ménages seront prochainement sélectionnés pour devenir les futurs acquéreurs des premiers logements construits dans le cadre de ce dispositif.
Ils ont été quelques 2 685 ménages à candidater en l’espace de 3 semaines pour l’achat d’un des 23 premiers appartements proposés à moitié prix par la Ville de Paris. Situés à l’emplacement de l’ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul (14ème arrondissement), ces appartements devraient être livrés en 2025 par la Foncière de la Ville de Paris.
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Jeune collaborateur du candidat MITTERRAND, Jean GLAVANY devient chef de cabinet du Président de la République, après la victoire du 10 mai 1981. Il nous livre ses souvenirs de ces journées si particulières, la prise en mains de l'appareil d'Etat, et les petites surprises qu'elle réserve...
1O mai 1981 à 18h30 : nous sommes à l’hôtel du Vieux Morvan et j’assure la permanence téléphonique dans la petite chambre 15 au premier étage, celle « habituelle » de François Mitterrand où l’on a fait installer une ligne directe. Celui qui n’est encore que le candidat pour quelques minutes encore est au rez-de-chaussée, devisant agréablement dans la grande salle de l’hôtel avec des amis et journalistes venus là librement. Le téléphone sonne, c’est Lionel Jospin : "Tu peux dire au Président qu’il est élu. Tous les instituts de sondage le donnent gagnant avec 51 ou 52%". Je raccroche le cœur battant et dévale l’escalier pour retrouver François Mitterrand dans la petite foule: il discute avec quelques amis dont le journaliste Ivan Levaï et s’est lancé dans une grande tirade -que je connais par cœur tant, depuis quelques années je l’ai entendue dans sa bouche- sur la forêt du Morvan, forêt de lumière, de hêtres et de chênes, menacée par la course folle au profit qui la voit envahie par les résineux...je n’ose l’interrompre mais mon pouls bat de plus en plus fort et mon secret me bat les tempes !
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VIDÉO. La sécurité devient-elle le sujet de préoccupation majeur des Français ? La société se droitise-t-elle ? Autant de questions abordées dans « Le Point des idées ».
Voyons-nous poindre le thème central de l'élection présidentielle de 2022 ? « La question de l'insécurité n'est pas nouvelle, en 2002 elle a déjà joué », rappelle Jérôme Fourquet, directeur du département opinion à l'Ifop et contributeur régulier du Point, dans l'émission Le Point des idées. Alors que les policiers se sont réunis cette semaine pour manifester devant l'Assemblée nationale, après le meurtre du brigadier Éric Masson à Avignon le 5 mai, l'auteur de L'Archipel français (éd. du Seuil) dresse le constat de la montée du sujet de la sécurité au cœur des premières préoccupations des Français.
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Le leadership technologique de la Chine, avec pour arrière-plan le décrochage américain, est-il inexorable à terme ? La Chine on le sait a surpassé tous les pronostics en matière de montée en gamme. Le pays atelier de piètre qualité investit aujourd'hui tous les segments-clé qui lui permettent de prendre à terme le leadership : dans le domaine des biotechnologies, et notamment du génome, de l'aéronautique et aérospatial, des énergies vertes [...]