12 juil. 2024 Dans sa lettre aux Français, publiée ce jeudi dans la presse régionale, Emmanuel Macron a appelé les formations politiques à une grande coalition centrale en capacité de gouverner, dont serait issu le premier ministre. Ce faisant, il balaie l'idée d'un premier ministre venant des rangs du Nouveau Front populaire, arrivé en tête au second tour des législatives. Pour Benjamin Morel, constitutionnaliste et auteur de "Le Parlement, temple de la République : "L'objectif de Macron, c'est de briser le Front populaire en le laissant pourrir".
Actualités socialistes - Page 35
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"L'objectif de Macron, c'est de briser le Front populaire en le laissant pourrir"
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Choix du Premier ministre, méthode pour gouverner: l'interview en intégralité de Marine Tondelier
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Le Grand Continent - Les intellectuels russes entre les deux Occidents
En Russie, des intellectuels conservateurs non inféodés à Poutine débattent de l’hypothèse d’une Europe « effrontée » qui pourrait rechercher l’alliance avec Moscou. En opposant une « Europe de Popper » à une « Europe de Spengler », ils donnent à voir la controverse qui tiraille les tenants d’une Russie-civilisation contre ceux qui veulent croire à « l’Occident d’après ».
La question de l’identité russe et de son rapport à l’Europe a toujours été au cœur des interrogations des intellectuels et hommes politiques russes depuis au moins le XVIIIe siècle.
Au fil des années, le régime russe contemporain est passé de l’idée de la Russie comme partie intégrante de la civilisation européenne — avec certes des particularités en termes spatiaux, puisque le territoire russe s’étend jusqu’à l’Asie-Pacifique et que Moscou a toujours insisté sur cette vocation asiatique ou eurasiatique — pour finalement lui préférer la la notion de Russie comme un État-civilisation. Cette évolution du positionnement civilisationnel est bien évidemment le résultat des relations de plus en plus tendues avec l’Occident et la recherche progressive d’une « voie particulière » russe qui justifie la rupture progressive des liens avec les Occidentaux.
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Fondation Jean-Jaurès, l’Institut Georges Pompidou et la Société française d’histoire politique - C’était 1974 : la France en Europe
23 mai 20241974 en France est une année politique marquée par le décès du président de la République Georges Pompidou, puis par l’élection de Valéry Giscard d’Estaing le 19 mai 1974 face à François Mitterrand, porté par l’union de la gauche. Pour revenir sur les dynamiques à l’œuvre il y a cinquante ans, une rencontre organisée par la Fondation Jean-Jaurès, l’Institut Georges Pompidou et la Société française d’histoire politique le 16 mai 2024 a permis de rappeler, au-delà du scrutin présidentiel de mai, les mutations en cours dans la société et l’économie française, dans un contexte national et européen en rapide évolution. L'exposé introductif de cette table-ronde sur "La France en Europe" était assuré par Christine Manigand, Institut Georges Pompidou, et suivi par trois interventions thématiques : - 1974, année tournant face au défi terroriste en Italie, par Alexandre Chabert, Sciences Po, - L’actualité politique européenne dans la campagne présidentielle française de 1974, par Judith Bonnin, université Bordeaux Montaigne, - La France, la coopération politique européenne et la création du groupe d’experts des Neuf sur l’Europe de l’Est, par Matthieu Boisdron, Nantes université.
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Marylise Léon : "Emmanuel Macron ne parle pas vraiment aux Français : il parle aux politiques"
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L'affaiblissement de l'Etat mine la cohésion sociale
Lorsque l'ordre social cesse d'être perçu comme légitime, chacun juge les responsables politiques et leurs actions à l'aune de sa situation personnelle. Luc Rouban analyse cette crise.
Le Baromètre de la confiance politique, l'enquête par vagues du CEVIPOF, scrute depuis bientôt une quinzaine d'année la confiance en soi, dans les autres, dans les institutions et le personnel politique, mais aussi le rapport à la démocratie, à ses principes et à son fonctionnement en France. Elle les compare désormais aux autres pays. Elle constitue une base de données sans équivalent pour analyser la crise démocratique que nous traversons.
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Boris Vallaud : "Les socialistes ont leur légitimité" à proposer un nom de Premier ministre (9 juillet)
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Fondation Jean-Jaurès, l’Institut Georges Pompidou et la Société française d’histoire politique le 16 mai 2024 -C’était 1974 : dynamiques culturelles
23 mai 20241974 en France est une année politique marquée par le décès du président de la République Georges Pompidou, puis par l’élection de Valéry Giscard d’Estaing le 19 mai 1974 face à François Mitterrand, porté par l’union de la gauche. Pour revenir sur les dynamiques à l’œuvre il y a cinquante ans, une rencontre organisée par la Fondation Jean-Jaurès, l’Institut Georges Pompidou et la Société française d’histoire politique le 16 mai 2024 a permis de rappeler, au-delà du scrutin présidentiel de mai, les mutations en cours dans la société et l’économie française, dans un contexte national et européen en rapide évolution.
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Olivier Faure sur France Info le 9 juillet
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Boris Vallaud : "Les socialistes ont leur légitimité" à proposer un nom de Premier ministre
9 juil. 2024Boris Vallaud, député PS réélu des Landes, et invité de Sonia Devillers, estime que le futur Premier ministre pourrait être "un ou une socialiste".
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Observatoire des inégalités - Voyages : l’empreinte du milieu social
93 % des cadres supérieurs partent en voyage au moins une fois par an, contre seulement 76 % des ouvriers. Ressources et milieu social jouent aussi sur la fréquence et la durée des déplacements. Extrait du Centre d’observation de la société.
Depuis 20 ans, l’Insee ne mesure plus le taux de départ en vacances [1] des Français. Après des années d’interruption, l’institut publie toutefois de nouvelles données sur un sujet proche : les « départs pour motifs personnels ». Résultat : une fracture sociale marquée.
Selon l’Insee, huit Français sur dix sont partis en voyage en 2022. Il ne s’agit pas de vacances proprement dites, car il suffit de s’éloigner une seule nuit de son domicile pour être compté comme « partant » : un mois de congé à 10 000 km équivaut à un week-end chez des parents à 20 km… Même avec ce critère trop large, d’importants écarts sont constatés selon le niveau de vie : alors que 90 % des ménages dont le revenu est supérieur à 3 000 euros par mois sont partis dans l’année, c’est le cas de seulement 62 % de ceux qui vivent avec 1 500 euros ou moins [2].
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