Loi Travail : Philippe Martinez (CGT) veut... par FranceInfo
Actualités socialistes - Page 1260
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Loi Travail : Philippe Martinez (CGT) veut "reprendre tout à zéro"
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Laurent Berger (CFDT) : "Le gouvernement a reculé"
Laurent Berger (CFDT) : "Le gouvernement a... par FranceInfo -
Michel Sapin : "Un texte de réforme ne peut pas être un texte d'unanimité"
Michel Sapin : "Un texte de réforme ne peut pas... par FranceInfo -
OFCE - Dette de l’assurance chômage : quel est le problème ?
10 mars 2016
par Bruno Coquet, Chercheur affilié à l’OFCE, & IZA
La dette de l’assurance chômage atteint 25,8 Md€ à la fin de 2015. Sous la pression d’un chômage élevé, elle va continuer de s’accroître jusqu’à dépasser 35 Md€ en 2018 (Unedic, 2015b), un niveau inédit qui représentera près de 1,5% du PIB et 100% des recettes annuelles de cotisations.
L’Unedic peut-elle rembourser cette dette ?
La Note de l’OFCE (n°60 du 10 mars 2016) montre que même en faisant l’hypothèse d’une conjoncture très favorable, et compte-tenu de la difficulté d’augmenter le taux de cotisation qui est déjà l’un des plus élevés au monde, les réformes des règles d’indemnisation susceptibles de produire suffisamment d’économies pour rembourser la dette et assainir les comptes au cours du cycle conjoncturel à venir devraient être drastiques. Il faudrait en effet réduire au minimum de 50% les droits potentiels des chômeurs, tout en préservant la paix sociale, ce qui apparaît très improbable.
L’Unedic, ne remboursera donc pas sa dette avec les recettes qu’elle a utilisées par le passé. Le régime qui survivrait ce tsunami paramétrique serait très loin de l’assurance optimale nécessaire au bon fonctionnement du marché du travail et de l’économie.
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Lienemann (PS) sur la loi Travail : "un mauvais texte"
Lienemann (PS) sur la loi Travail : "un mauvais... par Europe1fr -
"La mort clinique des partis sous leur forme classique" (L'Edito politique)
"La mort clinique des partis sous leur forme... par franceinter -
La Tribune - Pour une relance de la demande
La politique monétaire montre ses limites. Pour sortir l'Europe du marasme, une relance de la demande par l'investissement est nécessaire. Par Sébastien Charles (Université Paris 8, LED), Thomas Dallery (Université du Littoral Côte d'Opale, CLERSE) et Jonathan Marie (Université Paris 13, CEPN)
L'OCDE, dans son dernier rapport du 18 février 2016 , plaide ouvertement pour une politique de relance par la demande. La dépense publique étant de plus en plus conspuée et inlassablement rendue responsable, avec le coût du travail, de la crise déclenchée, en réalité, par l'endettement privé, on se demande bien ce qui a pu traverser l'esprit de Catherine Mann. L'économiste en chef de l'institution propose ce que les économistes appellent une politique de relance keynésienne. En lisant les prévisions de croissance de l'économie mondiale pour l'année en cours on comprend aisément. En effet, on constate qu'elles ont été rabaissées par rapport à celles de novembre 2015...elles-mêmes diminuées par rapport à celle de septembre. Après un rapide travail d'exhumation des prévisions de juin, on saisit qu'il y a véritablement de quoi s'inquiéter. Ainsi, en l'espace de huit mois, nous sommes passés d'une croissance attendue du PIB mondial de 3.8% à 3% pour 2016. Hormis l'Inde, qui fait figure d'exception, tous les pays sont concernés par ce ralentissement marqué à commencer par la France.
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Projet de loi travail : "Le PS ne doit pas aller au naufrage" pour le chef de file des frondeurs
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Le Figaro - Hollande, Cambadélis et la primaire à gauche : des militants désespérés pour un PS laminé
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Jean-Christophe Cambadélis a évoqué la possibilité que les cadres du Parti socialiste puissent choisir ou non que François Hollande se représente à la présidentielle de 2017. Un signe de la décomposition accélérée du PS et de la crise d'autorité que traverse la président.
Laurent Bouvet est professeur de science politique à l'UVSQ-Paris Saclay. Son dernier ouvrage, L'insécurité culturelle, est paru chez Fayard.
LE FIGARO. - Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis a déclaré ce matin sur iTélé: «Le problème n'est pas de savoir si François Hollande est candidat ou pas, c'est de savoir si les dirigeants du PS sont pour qu'il soit candidat ou pas. La question que je vais poser maintenant à chaque dirigeant du PS, c'est ‘Êtes-vous favorable à la candidature de François Hollande?'»? Le fait que la candidature à sa réélection d'un président de la République soit remise en cause est-elle une première dans l'histoire de la Ve République?
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OFCE - Le Jobs Act de Matteo Renzi : un optimisme très mesuré
9 mars 2016
par Céline Antonin
A l’heure où le débat sur la réforme du marché du travail cristallise les passions en France, l’Italie tire quant à elle les premiers enseignements de la réforme mise en place il y a un an. Il faut dire que la réforme du marché du travail, baptisée Jobs Act, faisait partie des promesses de campagne de Matteo Renzi. Le marché du travail italien souffre en effet de faiblesses chroniques, notamment la segmentation, la dualité entre salariés protégés et non protégés, le fort taux de chômage des jeunes, ou encore l’inadéquation des coûts à la productivité du travail. D’inspiration sociale-libérale, la réforme de Matteo Renzi prône la flexisécurité, avec l’introduction d’un nouveau contrat de travail à durée indéterminé et à protection croissante, une baisse des charges sociales sur les entreprises, et une meilleure indemnisation et un accompagnement des chômeurs. Le premier bilan est certes positif en termes de chômage et de créations d’emploi. Cela étant, il faut se garder de tout triomphalisme hâtif, car cette réforme intervient dans des circonstances particulièrement favorables avec le retour de la croissance, le policy mix accommodant, ou encore la stagnation de la population active.
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Marcel Gauchet répond aux questions des auditeurs
Marcel Gauchet répond aux questions des auditeurs par franceinter