Des habitants de Sevran se mobilisent contre l... par Europe1fr
Actualités socialistes - Page 1257
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Des habitants de Sevran se mobilisent contre l'islamisme radical
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Thomas Guénolé à Houria Bouteldja : "Vous êtes raciste, misogyne, homophobe" - Ce soir (ou jamais !) - 18/03/16
Thomas Guénolé à Houria Bouteldja : "Vous êtes... par ce-soir-ou-jamais -
"Une minorité de la gauche est mal à l'aise mais il faut condamner le communautarisme" Sébastien Pietrasanta (23/03/16)
"une minorité de la gauche est mal à l'aise... par radioclassique -
Slate - La loi Travail, le contre-exemple d’une concertation bien menée
François Hollande voulait réformer sur la base de la concertation. Avec le projet de loi Travail, la négociation a eu lieu après la présentation du projet et la menace par Manuel Valls d’un vote bloqué. Tout le contraire.
François Hollande, à son arrivée à l’Élysée, voulait construire un mode de gouvernance sur la base de la concertation, quitte à prendre un peu plus de temps pour avancer sur les réformes nécessaires. Mais s’agissant de la loi Travail, alors que beaucoup de temps s’est écoulé depuis le début de son mandat, tout se passe comme si la méthode avait été appliquée à l’envers: avec une concertation après la présentation du projet de texte de loi.
Bien sûr, cette présentation du scénario est schématique. Mais l’explosion sociale déclenchée par le texte et les tours de table organisés ensuite pour déminer le terrain et introduire des aménagements laissent immanquablement l’impression que les protagonistes au gouvernement ont marché sur la tête. Même si, depuis quelques mois, de missions en rapports autorisés (Combrexelle, Badinter…), les opérations de communication ont été multipliées pour imprimer dans l’opinion publique la nécessité d’une réforme. La ficelle était un peu grosse. Une réforme, oui. Mais laquelle?
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Anne Hidalgo : l’arrestation de Salah Abdeslam est "un soulagement"
Anne Hidalgo : l’arrestation de Salah Abdeslam... par FranceInfo -
Non Fiction - Électeurs du FN, qui êtes-vous ?
Résumé : Une analyse de géographie électorale qui montre comment se répartissent les votes FN sur le territoire national et à une échelle micro-local
L'ouvrage d’Hervé Le Bras, Le pari du FN, a pour objectif d’analyser et de documenter la répartition géographique du vote en faveur du parti dirigé par Marine Le Pen. Le démographe et historien constate ainsi au travers d’une trentaine de cartes et d’infographies qu’il y a d'énormes disparités selon les régions et que ces différences sont relativement stables depuis la création du parti.
Qui vote Front national et pourquoi ? Les protestataires, les racistes, les exclus, les islamophobes, les antisémites ? Comme le lecteur le pressent, cette seule grille de lecture serait bien trop simple et n’est pas suffisante pour saisir correctement les enjeux. Au-delà des discours de l'extrême-droite sur son électorat et des sondages nombreux sur le sujet, cet ouvrage permet d’observer et d’expliquer la géographie réelle d’un vote qui s’est peu à peu normalisé, à tout le moins dédiabolisé.
De quoi le vote FN est-il le nom ?
Les cartes révèlent à une échelle très fine et précise le trouble ressenti par de nombreux Français autour de réalités sociologiques tangibles : disparition des relations de voisinage, expulsion des métropoles face au coût du logement, blocage de l'ascension sociale. Le Front national paraît dès lors pour certains l'unique moyen de changer la donne.
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Primaires à gauche, loi travail, Benoît Hamon est l'invité de Patrick Cohen
Primaires à gauche, loi travail, Benoît Hamon... par franceinter -
Crise de la gauche, primaire pour 2017 : Benoît Hamon répond aux auditeurs
Crise de la gauche, primaire pour 2017 : Benoît... par franceinter -
"J'apostrophe tous les dirigeants de la droite" Jean-Christophe Cambadélis (21/03/2016)
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Les Matins / Mobilisation 2.0 : vers un printemps démocratique ?
Les Matins / Mobilisation 2.0 : vers un... par franceculture -
Jean Gadrey - Revenu de base : réponses à quelques objections
Mes trois billets récents, faisant suite à un billet de janvier 2015 et à trois autres en novembre dernier, exprimaient de sérieux doutes et des critiques, mais pas de rejet. Je fais partie de ceux et celles qui ne sont pas prêts à « signer » parce que le contrat est encore flou et les résultats incertains, mais le débat reste ouvert et important. D’ailleurs le site du MFRB (mouvement français pour un revenu de base) a fait preuve lui aussi d’ouverture en relayant mes billets récents.
Parmi les commentaires reçus, plus un entretien téléphonique stimulant avec Baptiste Mylondo (l’un des bons avocats d’un RB de gauche), je retiens quelques objections et suggestions. J’y réponds en commençant par des questions plus techniques où je resterai bref, et en poursuivant par une question politiquement centrale pour moi.
Les questions techniques portent sur les très nombreuses possibilités de financer le RB. Des commentateurs/trices évoquent ainsi la création monétaire, la taxation des transactions financières (TTF), divers impôts, la « flat tax », etc.
Il faut selon moi financer un éventuel RB par l’impôt progressif et peut-être par des cotisations sociales « récupérées » (la majeure partie des exonérations et déductions actuelles sont inefficaces, sans contrepartie et bien trop coûteuses en termes de création d’emploi), et pas avec la création monétaire ni des taxes spéciales dont la TTF. Je m’en explique très sommairement, cela aussi doit faire partie des débats ouverts.
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