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ps - Page 167

  • Colloque "Gauche, année zéro" 2nde table-ronde "République, des paroles aux actes"

    Samedi 9 juin 2018 au Sénat, à partir de 16h20 se tenait la seconde table ronde du colloque "Gauche, année zéro", intitulée "République, des paroles aux actes". Y participaient : Fathia Boudjhalat, Gérald Andrieu, Jérôme Sainte-Marie et Virginie Rozière.

  • Colloque "Gauche, année zéro" Réponses aux questions du public de la 1e table ronde

    Les intervenants de la première table-ronde "Fin du Travail, triomphe du Capital ?" répondaient aux nombreuses questions du public.

  • Colloque "Gauche, année zéro" introduction de Lucien Jallamion, SG de République & Socialisme

    Lucien Jallamion, secrétaire général de République & Socialisme, intervenait en introduction du colloque "Gauche, année zéro" vers 14h15 samedi 9 juin 2018.

  • E. Maurel(PS): «Macron devrait écouter le Pape sur les migrants et le rapport au monde de l’argent»

  • Emmanuel Maurel (eurodéputé PS) sur les européennes: «Il faut s’inspirer de l’état d’esprit de 2005»

  • Le Figaro - Génération.s nie tout rapprochement avec le PS

    Le mouvement fondé par Benoît Hamon, qui va tenir sa première convention fin juin, rejette toute négociation en vue des européennes ou des municipales.

    Olivier Faure et Benoît Hamon sont-ils en train de se rapprocher? La question est posée depuis un récent échange téléphonique entre le premier secrétaire du PS et l'ex candidat socialiste à la présidentielle, qui a fondé son propre mouvement. Elle n'est pas anodine alors que les uns et les autres à gauche tentent de s'organiser en vue des européennes et des municipales. Mais aussi à 10 jours de la première convention de Génération.s, les 30 juin et 1er juillet à Grenoble. Selon les organisateurs, entre 1500 et 2000 personnes seront présentes.

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  • Le Parisien - Quelle opposition à Macron ? Au PS, on veut laisser du temps au temps

    Critiquée en interne, la nouvelle direction socialiste, incarnée par Olivier Faure, mise sur la durée pour proposer autre chose que le projet présidentiel.

    Parti socialiste, es-tu là ? Un an après une défaite historique à la présidentielle et deux mois après l’élection d’Olivier Faure, nouveau premier secrétaire du PS, beaucoup jugent - déjà - trop timide la « renaissance » tant attendue du parti à la rose. Les socialistes en sont pourtant persuadés, avec un Macron positionné plus à droite que prévu, ils ont un espace à occuper. Mais encore faut-il y parvenir…

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  • Patrimoine économique et social: la question d'actualité au Gouvernement de Valérie Rabault

    Valérie Rabault interpelle le Premier Ministre sur la privatisation annoncée du groupe ADP et les déclarations d’Emmanuel Macron sur les aides sociales. « Mon groupe vous le demande solennellement. Il vous demande de respecter le patrimoine des Français, renoncez aux privatisations annoncées hier et à la découpe de notre socle social ».

  • Le Monde - Benoît Hamon retisse le lien avec le Parti socialiste

    Alors que l’accord avec EELV est au point mort pour les européennes, l’ex-candidat à la présidentielle a téléphoné, il y a une quinzaine de jours, à Olivier Faure, premier secrétaire du PS.

    Avec le temps va, tout s’en va. Même l’acrimonie des brouilles politiques. Près d’un an après avoir quitté le Parti socialiste, Benoît Hamon renoue le dialogue avec la « vieille maison ». Cela a commencé par un coup de téléphone, il y a une quinzaine de jours, à son ancien colocataire Olivier Faure, devenu au mois d’avril premier secrétaire du PS.

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  • L'Express - Olivier Faure (PS) prône "un droit d'asile européen"

    Paris - Le premier secrétaire du Parti Socialiste Olivier Faure a plaidé mardi pour un "droit d'asile européen" qui prendrait en compte "la culture", "la langue", "la profession" des migrants, pour mieux les répartir selon "leurs besoins" et ceux des pays européens.

    "Je prône un droit d'asile européen qui permette à ceux qui demandent l'asile de le faire en lien avec leur culture, leur langue, leur famille qui est peut-être déjà installée dans un pays européen, et (leur) profession", a-t-il déclaré sur LCP.  

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  • PS - Abandon des 1000 créations d’emplois en France par General Electric

    Le groupe américain General Electric (GE), qui a acquis la branche énergie d’Alstom il y a 4 ans, a annoncé ce jeudi qu’il ne tiendrait pas son engagement de créer 1.000 emplois en France d’ici la fin 2018. Cette décision est non seulement regrettable, elle est inadmissible.
     
    GE a indiqué qu’il ne respecterait pas ses engagements et qu’il n’avait créé que 323 emplois en France à la fin avril. Cela ne peut être satisfaisant. Si, comme invoqué par le nouveau PDG John Flannery, le groupe américain est « confronté à un environnement difficile » dans le secteur de l’énergie, force est de constater que cette situation n’est pas uniquement due à la conjoncture : en 2016-2017, General Electric était le premier distributeur de dividendes et de rachats d’actions avec 33 milliards de dollars. Le groupe paye aujourd’hui une gestion de l’entreprise sur un modèle de courte-vue pour satisfaire les actionnaires. Ces gestions actionnariales nous conduisent collectivement dans le mur, c’était le sens des propositions apportées par le groupe Nouvelle gauche à l’Assemblée dans sa proposition de loi « Entreprise nouvelle » que l’actuelle majorité n’a pas voulu examiner.
     
    Le Gouvernement, qui s’honorerait d’avoir une politique industrielle, doit être intraitable dans la défense de nos bases industrielles et de l’emploi en France. Il doit exiger le respect des engagements pris et peser de tout son poids. Il en va de la confiance entre l’entreprise et l’État, entre les salariés et leurs représentants politiques et du respect des accords passés.