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ps - Page 163

  • Réaction du Parti socialiste à la démission de Nicolas Hulot

    Nicolas Hulot vient de décider courageusement de quitter le gouvernement.

    Ne plus mentir, ne plus se mentir. La démission de Nicolas Hulot nous parle d’une trahison. Celle d’un pouvoir qui a abandonné toute référence au progressisme et à l’écologie. Les masques sont tombés un à un : Écologie, fiscalité, social, politique migratoire, exemplarité…

    La liste des arbitrages perdus par l’ex ministre était trop longue et l’impuissance à agir était devenue insupportable : report de l’interdiction du glyphosate, importation de 300 000 tonnes par an d’huile de palme pour Total, report du rééquilibrage du mix énergétique, application anticipée du CETA, refus de placer au rang de principe constitutionnel la défense des biens communs face aux multinationales…
    Les choix à venir sur la politique de l’énergie menaçaient de ne pas être plus positifs.

    L’alerte de Nicolas Hulot doit être entendue. L’urgence écologique exige un autre modèle de développement : priorité à l’économie circulaire, décarbonée, au développement des énergies renouvelables, à la lutte contre le réchauffement climatique, à une approche liant enjeux environnementaux et enjeux sanitaires. C’est une vraie révolution des modes de production qu’il faut atteindre.

    Le Parti socialiste entend prendre toute sa place dans ce débat. Social et écologie sont intimement liés. Ce sont toujours les individus, les régions, les pays les plus faibles qui sont les premières victimes. Et c’est le modèle de développement libéral qui tourne le dos avec la même constance à l’essentiel : la préservation de l’Humanité.

  • Boris Vallaud (PS) : "Le gouvernement ne veut pas changer une méthode qui échoue"

    Le député socialiste des Landes a largement critiqué les annonces budgétaires faites par Édouard Philippe dimanche.

    Le député PS Boris Vallaud a assuré dimanche, après l'entretien d'Édouard Philippe au Journal du dimanche sur les priorités économiques de la rentrée, que "le gouvernement ne veut pas changer une méthode qui échoue".

    Vallaud dénonce "un an de politique de démolition". "Alors que la croissance était vigoureusement revenue et que le chômage baissait de manière constante lors des deux dernières années du précédent quinquennat, un an de politique de démolition du président Macron aura suffi à casser la croissance, à augmenter le chômage et relancer l'inflation. Cela malgré les dizaines de milliards d'euros données aux premiers de cordée et les dérogations au code du travail offertes aux entreprises", a accusé Boris Vallaud dans un communiqué.

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  • Le Dauhiné Libéré - Le PS reste à quai à La Rochelle

    Toujours sonné, le PS se pose des questions. Entre inquiétude sur leur chef de file, doute sur leur capacité à rebondir seuls lors des prochaines élections et ombre de François Hollande, les socialistes semblent se perdre en conjectures.

    Grisaille persistance au-dessus de l’université d’été du Parti socialiste (PS) à La Rochelle. L’ambiance n’est pas à la fête, plutôt aux interrogations.

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  • Le Monde - Le socialiste Emmanuel Maurel de plus en plus proche de La France insoumise

    Le député européen ne cache pas sa proximité avec Jean-Luc Mélenchon et ses idées.

    C’est la question qui revient sans cesse depuis plusieurs mois à la gauche du Parti socialiste : Emmanuel Maurel rejoindra-t-il La France insoumise (LFI) ? Le leadeur de l’aile gauche du PS ne cache pas sa proximité personnelle et politique avec Jean-Luc Mélenchon. Il échange régulièrement avec l’ancien candidat à la présidentielle et les convergences politiques sur l’Europe, la laïcité et l’économie sont nombreuses entre les deux hommes.

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  • Sud Ouest - Le PS lancera sa campagne des municipales depuis La Rochelle

    Le Parti socialiste organisera de nouveau son Université d’été à La Rochelle, l’an prochain. L’occasion de lancer sa campagne pour les élections municipales de 2020

    La Rochelle pourrait retrouver un rôle majeur dans la vie du Parti socialiste.

    Olivier Faure, le premier secrétaire du parti, a clôturé ce samedi, en début d’après-midi, le traditionnel séminaire de rentrée de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains que préside François Rebsamen. Il a alors annoncé qu’après trois ans d’interruption, le PS organiserait à nouveau son Université d’été – un événement ouvert aux militants contrairement au séminaire de la FNESR qui ne s’adresse qu’aux élus – à La Rochelle dès l’été prochain.

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  • Le Monde - A La Rochelle, le doute et les divisions planent sur l’université d’été du PS

    Symbole fort : aucun des anciens adversaires du congrès du premier secrétaire, Olivier Faure, n’assistera à son discours de clôture samedi.

    « Avant, c’était le Festival de Cannes ! », se souvient un journaliste local. « Ça grouillait, c’était tellement festif ! », abonde Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice socialiste. Cette année à La Rochelle, l’ambiance n’est plus celle des grands jours « où l’on voyait Strauss-Kahn, Aubry et Hollande et qu’on était trois mille », termine Stéphane Le Foll, sans nostalgie.

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  • Mélenchon : l’aile gauche du Parti socialiste plus proche que jamais des Insoumis

    À Marseille, depuis l’université d’été de La France insoumise, l’eurodéputé et chef de file de l’aile gauche du PS Emmanuel Maurel a invité certains de ses camarades socialistes à "balayer devant leur porte". 

    L’heure de la clarification serait-elle venue au Parti socialiste ? Alors que ce dernier a quitté La Rochelle ce samedi, après trois jours de débats, Emmanuel Maurel, l’eurodéputé et chef de file de l’aile gauche (les frondeurs du quinquennat Hollande), a préféré intervenir aujourd’hui à Marseille, à l’université d’été de la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon. Séchant donc le discours de clôture du Premier secrétaire, Olivier Faure. Mais au-delà du symbole, qui au fond ne surprendra personne, Emmanuel Maurel a surtout profité de son passage dans la cité phocéenne pour marquer un peu plus encore sa différence. En particulier sur la question européenne.

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  • Libé - Olivier Faure à La Rochelle : «La gauche doit montrer qu’elle peut se donner des combats communs»

    Le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a proposé samedi à l’ensemble de la gauche française de mener «des combats communs» dans la lutte contre le glyphosate, et dans celle en faveur de l’égalité homme-femme, lors d’un discours à La Rochelle..... Alors que des voix critiquent son leadership au sein du PS, Olivier Faure a lancé : «mon rôle est de nous faire, de vous faire, tous travailler ensemble. Ce n’est pas toujours le plus facile, je suis patient, parfois trop, on me le reproche, mais je sais où je vais». Son but : «redevenir le principal parti de gauche à l’issue du cycle électoral des élections territoriales».

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  • Discours d’Olivier Faure lors du séminaire de la FNESR

  • PS : Olivier Faure “refuse la résignation”

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a proposé ce samedi à l'ensemble de la gauche française de mener "des combats communs" dans la lutte contre le glyphosate, et dans celle en faveur de l'égalité homme-femme, lors d'un discours à La Rochelle. Clôturant la réunion de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESER), le numéro un du PS s'est placé dans la perspective des Européennes 2019.

  • L'Express - Le PS ferme le poing, les Insoumis tendent la main

    Alors que les élus socialistes se cloîtrent, l'université d'été de la France insoumise invite bien au-delà de ses rangs.

    Des ténors socialistes bronzés et souriants, débarquant à l'université d'été de La Rochelle au milieu d'une nuée de caméras et de supporters enthousiastes ? Ça, c'était le monde d'avant. Celui où le Parti socialiste dictait le tempo de la rentrée politique. En 2018, comme l'an dernier, le PS se contentera d'un simple séminaire d'élus. De jeudi à samedi, seuls 400 à 600 d'entre eux plancheront studieusement à l'Espace Encan, aux dimensions bien trop vastes depuis que les grands messes estivales du PS ne s'y tiennent plus.  

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