Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ps - Page 163

  • L'actualité des socialistes du 18 au 24 janvier

    PS

    Le Monde - Au PS, un nouveau siège, mais toujours pas d’alliés

    Le Parti socialiste a présenté vendredi ses vœux à la presse, le premier événement organisé dans le nouveau siège d’Ivry-sur-Seine.

    Les lieux sont tout beaux, tout neufs. Et les cartons pas tous déballés. On sentirait presque la peinture en train de sécher sur les murs... Le Parti socialiste a présenté, vendredi 18 janvier, ses vœux à la presse, le premier événement organisé dans le nouveau siège d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), un an après la vente de l’hôtel particulier du 7e arrondissement de Paris qu’il occupait depuis plus de trente ans.

    France 24 - Le PS en quête d'un référendum sur l'ISF

    Le Parti socialiste espère déposer une proposition de loi visant à aboutir à un référendum d’initiative partagée pour rétablir l’impôt sur la fortune (ISF). Première étape à franchir : réunir 185 signatures de parlementaires.

    Ce n’est pas le référendum d’initiative citoyenne réclamé par les Gilets jaunes, mais on s’en approche légèrement. Le Parti socialiste doit encore convaincre 29 parlementaires pour pouvoir déposer sa proposition de loi de référendum d’initiative partagée (RIP) visant à rétablir l’impôt sur la fortune (ISF). Y parvenir tiendrait de l’exploit tant la mise en place d’un tel référendum ressemble à une course d’obstacles.

    OXFAM

    Libé - En 2018, 26 personnes possèdent autant de richesses que la moitié la plus pauvre de l’humanité

    A deux jours de l'ouverture du Forum économique mondial de Davos, Oxfam publie son rapport annuel sur l'état des inégalités, qui pointe du doigt la responsabilité d'une fiscalité déséquilibrée et injuste.

    Alors que débute une semaine chargée pour les grandes fortunes, avec la réception ce lundi à Versailles par Emmanuel Macron de 150 chefs d’entreprises français et étrangers et la levée de rideau mardi du rendez-vous de l’élite mondiale qu’est le Forum économique mondial de Davos, les contempteurs d’un libéralisme à tous crins contre-attaquent. Oxfam publie ce dimanche soir son rapport annuel sur l’état des inégalités mondiales, qui détaille leur emballement croissant.

    Télérama - Oxfam s’est trompé, les inégalités sont un bienfait pour l’humanité

    Lundi dernier, les meilleurs économistes de LCI et de BFMTV décryptaient les rapports publiés par Oxfam et Attac, deux officines d’extrême gauche notoirement altermondialistes et anticapitalistes. Ils en ont brillamment démontré l’inanité. Car l’extrême fortune des plus riches milliardaires est naturellement proportionnelle à leur incommensurable génie. En outre, elle bénéficie à (presque) toute l’humanité.

    ATTAC

    La rapport  : https://urlz.fr/8IyK

    Observatoire des multinationales - Davos, ou comment les multinationales tentent de faire oublier leur impact désastreux

    À l’occasion de Davos et du sommet « Choose France » organisé par Emmanuel Macron à Versailles avec 150 patrons de multinationales, un rapport d’Attac en partenariat avec l’Observatoire des multinationales rappelle à quel point les pratiques actuelles du CAC40 – et au-delà – nuisent gravement à la planète et à la société. Et font obstacle à toute action ambitieuse en termes de justice sociale, fiscale et climatique.

    Nouveau rapport d’Attac : « Les grandes entreprises françaises : un impact désastreux pour la société et la planète ! »

    Attac France, en partenariat avec l’Observatoire des multinationales, publie ce rapport qui synthétise le véritable bilan des entreprises du CAC 40 en matière de justice sociale, justice écologique et justice fiscale.

    A l’occasion du Forum économique mondial de Davos 2019 et de la deuxième édition du « Choose France summit », Attac France fait une série de propositions concrètes lesquelles, si elles étaient mises en œuvre par les pouvoirs publics, contribueraient à répondre aux exigences de justice sociale, fiscale et climatique, aujourd’hui portées par la majorité de la population.

    Dans ce rapport il est révélé qu’entre 2010 et 2017 : les impôts versés par les entreprises du CAC 40 ont baissé de 6,4 % en valeur absolue, alors que leurs bénéfices cumulés ont augmenté de 9,3 % et les dividendes versés aux actionnaires de 44 % en valeur absolue également sur la même période, tandis que leurs effectifs en France ont baissé de 20 %.

    DEMOCRATIE INTERACTIVE

    Fondation Jean Jaurès - Démocratie interactive : pour un grand débat

    Avec les « gilets jaunes », c’est sans doute la première fois depuis longtemps en France qu’un mouvement, social en apparence, est aussi clairement politique. C’est aussi la première fois que le cadre institutionnel et même constitutionnel est aussi directement et aussi fortement impliqué dans des revendications. Ces circonstances exceptionnelles contraignent tous les acteurs à réagir, à critiquer, à proposer dans le cadre du grand débat national. Jacques Lévy, professeur à l’École polytechnique fédérale de Lausanne et à l’Université de Reims et membre du rhizome Chôros, livre ici une analyse critique de la « démocratie directe » et formule des propositions pour la mise en place d’une véritable démocratie interactive.

    I - La démocratie directe contre le politique : ce que nous dit la Suisse

    Il existe plusieurs alternatives à la démocratie représentative. La démocratie directe n’est pas représentative, mais elle n’est pas non plus participative car elle est la plus radicalement délibérative. La Suisse est, de loin, le pays du monde où la démocratie directe occupe le rôle le plus central dans le système politique. Elle présente une expérience historique originale qui mérite d’être analysée avec précision.

    POPULISME

    La Vie des idées - Peut-on défendre le populisme ? À propos de : Chantal Mouffe, Pour un populisme de gauche, Albin Michel

    Le populisme, explique Ch. Mouffe dans un manifeste, est une stratégie pour conquérir le pouvoir qui consiste à opposer le peuple aux élites afin de lutter contre l’hégémonie néolibérale. Mais cette stratégie tourne délibérément le dos à tous les principes qui ont construit la démocratie moderne.

    Chantal Mouffe, professeure au département de sciences politiques et de relations internationales à l’université de Westminster, propose, dans le prolongement de ses écrits, une synthèse de (qui est en même temps une variation sur) ses principales thèses. Elle n’en est pas à son coup d’essai, car elle travaille sur la question du populisme depuis les années 1980 dans le sillage des réflexions qu’elle a pu mener avec Ernesto Laclau.

    France Info - Chantal Mouffe, philosophe : "La France vit une situation populiste".

    Chantal Mouffe, philosophe et auteure de "Pour un populisme de gauche", était ce matin l'invitée de Gilles Bornstein dans l'instant politique.

    Libé, Laurent Joffrin - Les dangereux affects de Chantal Mouffe

    La philosophe prône un populisme de gauche, fondé sur la conquête de l’hégémonie culturelle et la construction d’un peuple. Une idéologie qui frôle la démagogie ?

    Ce livre est un manuel : celui du parfait petit Mélenchon. Sous une forme résumée et pédagogique, on y trouve le raisonnement théorique et pratique qui sous-tend la stratégie de La France insoumise (LFI). Philosophe politique, professeure à l’Université de Westminster à Londres, Chantal Mouffe est la principale théoricienne du «populisme de gauche». Avec son compagnon Ernesto Laclau, universitaire post-marxiste argentin (aujourd’hui décédé), elle a longuement étudié les mouvements populistes d’Amérique latine, le péronisme notamment. Leur livre commun, Hégémonie et stratégie socialiste, a servi de base théorique au mouvement espagnol Podemos, dont La France insoumise s’est largement inspirée.

    REGULATION

    Fondation Jean Jaurès - Pour une régulation économique internationale démocratique

    Que pourrait – et devrait – être une régulation démocratique ? L’ancien ministre algérien Smaïl Goumeziane rappelle que le phénomène des « gilets jaunes » s’inscrit dans le contexte de la mondialisation néolibérale dont il examine la signification et les conséquences économiques, environnementales, politiques et sociales.

    Au-delà des revendications immédiates, disparates et parfois contradictoires qu’il exprime, le mouvement dit des « gilets jaunes » est le signe, le plus récent, d’un mal profond qui touche l’ensemble des sociétés depuis l’avènement, puis la domination, de la mondialisation au cours des trente dernières années. Un mouvement qui, à bien des égards, est le « petit frère » des mouvements sociaux de type « émeutier » en vogue dans bien des pays pauvres, ou encore des « printemps arabes » qui ont fleuri, il y a quelques années, au sud de la Méditerranée. Car la misère, les questions de dignité et le déficit démocratique n’ont pas de frontières. Ils sont, eux aussi, mondialisés.

    RURALITE

     
    En 2005 Nicolas Renahy a montré que les changements socio-économiques des dernières décennies, loin de ne concerner que les zones urbaines, ont aussi bouleversé le monde rural, ses classes populaires et en particulier sa jeunesse ouvrière. Retour sur l’enquête et sur ses principaux résultats.
     
    Sociologue, Nicolas Renahy est directeur de recherche au département sciences sociales de l’INRA et directeur du CESAER (Centre d’économie et de sociologie appliquées à l’agriculture et aux espaces ruraux). Il a notamment publié Les Gars du coin. Enquête sur une jeunesse rurale (La Découverte, 2005), Sociologie des classes populaires contemporaines (écrit avec Yasmine Siblot, Marie Cartier, Isabelle Coutant et Olivier Masclet, Armand Colin, 2015), et récemment dirigé Mondes ruraux et classes sociales (avec Ivan Bruneau, Gilles Laferté et Julian Mischi, EHESS, 2018) et Le Laboratoire des sciences sociales. Histoires d’enquêtes et revisites (avec G. Laferté et Paul Pasquali, Raison d’Agir, 2018).
     
    JEAN GADREY
     
     
    Bon d’accord, d’autres commentateurs vont aussi être recalés à cette épreuve, mais raison de plus pour les recadrer, eux et leur président. Je cite ce dernier : « Nous dépensons en fonctionnement et en investissement pour notre sphère publique plus de la moitié de ce que nous produisons chaque année. ». Je ne sais pas si Macron énonce délibérément une « fake news » pour enfumer ceux qui l’écoutent, ou s’il y croit vraiment. Mais le système de formation et de déformation des élites est tel qu’on ne peut même pas exclure qu’on lui ait enseigné cette ânerie à l’ENA et qu’il la répète en boucle en même temps que ses petites phrases sur « le pognon de dingue ».
     
     
    Emmanuel Macron n’est pas le seul à enchaîner des inepties économiques (voir mon billet précédent). Benjamin Griveaux fait partie de ses meilleurs disciples. La dernière de ses formules choc remonte à son « grand entretien » du 7 janvier matin sur France Inter (vers 19 minutes 30) : « Toutes les autres grandes démocraties occidentales, en mettant de côté l’Espagne et le Portugal, ont réglé le problème du chômage de masse, toutes. Nous sommes les seuls à avoir un taux de chômage à 9 % quand tous les autres sont entre 4 et 6 % ».Emmanuel Macron n’est pas le seul à enchaîner des inepties économiques (voir mon billet précédent). Benjamin Griveaux fait partie de ses meilleurs disciples. La dernière de ses formules choc remonte à son « grand entretien » du 7 janvier matin sur France Inter (vers 19 minutes 30) : « Toutes les autres grandes démocraties occidentales, en mettant de côté l’Espagne et le Portugal, ont réglé le problème du chômage de masse, toutes. Nous sommes les seuls à avoir un taux de chômage à 9 % quand tous les autres sont entre 4 et 6 % ».
     
    PODEMOS
     
     
    Jeudi dernier a eu lieu un coup de tonnerre dans la politique espagnole. Íñigo Errejón, ex bras droit de Pablo Iglesias et cerveau de la stratégie populiste à l’origine des campagnes innovantes de Podemos, a annoncé par une lettre aux madrilènes qu’il allait se présenter sous le label Más Madrid aux élections de la communauté de Madrid – l’équivalent de la région -, en binôme avec Manuela Carmena, actuelle maire de Madrid et tête de liste aux élections municipales de mai prochain. La réaction de Pablo Iglesias ne s’est pas fait attendre. Il a annoncé qu’une liste de Podemos sera présente face à celle d’Íñigo Errejón, mais pas face à celle de Manuela Carmena. Pablo Etchenique a appelé Errejón à démissionner de son mandat de député national, ce qu’il vient de faire ce lundi. Retour sur les causes et les conséquences du dernier épisode d’un conflit politique larvé qui menace d’emporter le parti avec lui.
     
    LES CLASSES POPULAIRES
     
     
    La classe ouvrière n’est plus, la France populaire se fragmente entre classes moyennes et précarisation croissante. Ce nouvel ouvrage de la collection Vie des idées - Puf dresse une cartographie fine et vivante d’un milieu en pleine recomposition qui tente de faire face, individuellement et collectivement, aux inégalités sociales.
     
    Ce livre étudie les classes populaires à travers des prismes variés (travail et emploi, trajectoires résidentielles, conditions de revenus, pratiques culturelles, ressorts moraux). Il a pour but de dresser une cartographie des classes populaires, en repartant du constat de leur différenciation. L’éclatement du monde ouvrier, scindé entre d’une part des strates qui se rapprochent des classes moyennes ou, à tout le moins, de leurs échelons inférieurs que sont les professions intermédiaires, et d’autre part des groupes qui s’enfoncent dans la précarité voire la pauvreté, a été un élément décisif du désarmement identitaire et politique du groupe.
     
    ISLAM
     
     
    Alors que se lance le campus numérique crée par la Fondation de l'islam de France, son président se dit prêt à collaborer avec Macron, à certaines conditions.
     
    "Sapere aude!" : "Ose savoir !" Voici la devise latine que l'on peut lire sur la page d'accueil du nouveau campus numérique lancé par la Fondation de l'islam de France (FIF) le mois dernier. La référence à Horace et aux lumières kantiennes n'est pas un hasard, puisque le site s'appelle "Campus Lumières d'Islam" et est dédié à la connaissance scientifique de la deuxième religion de France.
     

    ROSA

    Fondation Jean Jaurès- Les choix de Friedrich Ebert

    Le 19 janvier 1919 porte toutes les ambiguïtés de la République de Weimar et du rôle qu’y joua la social-démocratie allemande. Quelques jours à peine après la répression sanglante de la révolution spartakiste, dont Rosa Luxemburg et Karl Liebknecht furent les victimes, les élections à l’Assemblée constituante consacrèrent la prééminence du SPD avec 38 % des voix, et ouvrirent la voix à l’élection de Friedrich Ebert à la présidence de la République le 11 février. Cent ans après, Emmanuel Jousse revient sur le parcours de Friedrich Ebert, les enjeux de cette période et ses implications ultérieures pour la social-démocratie allemande.

    L'Humanité - Rosa Luxemburg, dialogues avec Jaurès et Lénine

    Tribune libre par Jean-Numa Ducange, maître de conférences en histoire à l’université de Rouen.

    Avant de devenir une des principales animatrices des spartakistes, Rosa Luxemburg fut une des figures de la social-démocratie allemande et de l’Internationale socialiste d’avant 1914. Dans ce cadre, elle eut de rudes confrontations avec un des principaux dirigeants du socialisme français, Jean Jaurès. Le républicanisme de ce dernier lui a toujours semblé suspect, contraire à l’idée qu’elle se faisait du mouvement ouvrier, qui devait ne jamais manquer de souligner sa distance par rapport à tout ce qui pouvait l’intégrer à l’État. Luxemburg publia notamment un compte rendu très critique de l’Armée nouvelle, qu’elle voyait comme une réforme trop modérée là où il aurait fallu défendre un antimilitarisme sans concession. Malgré ces divergences profondes, leurs socialismes se retrouvent à la veille de la guerre pour combattre le péril qui approche.

    Le Vent se lève - Berlin, 15 janvier 1919 : socialistes et nationalistes assassinaient Rosa Luxemburg

    Il y a cent ans, le 15 Janvier 1919, Rosa Luxemburg et Karl Liebknecht étaient assassinés à Berlin. Le mouvement révolutionnaire, qui constituait l’avant-garde du pacifisme en Allemagne, était ainsi décapitéLa jeune République allemande, née en novembre 1918 des cendres de la Première Guerre Mondiale, était dirigée par des sociaux-démocrates. Hostiles aux mouvements révolutionnaires, ils font appel aux troupes militaires et para-miliaires dirigées par des officiers d’extrême-droite pour écraser les foyers de révolte. Les « corps francs », lâchés sur Berlin, mènent une répression sanglante.

  • Public Sénat - Projet de loi Pacte : le groupe PS, en « désaccord » avec plusieurs articles, veut faire « bouger les lignes »

    Le groupe socialiste du Sénat aborde la discussion du projet de loi pour la transformation et la croissance des entreprises avec de nombreuses réserves et inquiétudes, qu’il s’agisse des privatisations ou des modifications sociales. Il promet une bataille pour proposer une autre ligne.

    Après les débats budgétaires de la fin 2018, le Sénat s’apprête à réaliser un nouveau marathon législatif, en examinant à partir ce mardi les quelque 200 articles du projet de loi Pacte, ou plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises. Ce texte dense – « fourre-tout » diront certains de ses détracteurs – contient une batterie de mesures économiques pour lever les contraintes et simplifier la vie des entreprises (notamment les PME), favoriser l’intéressement des salariés, ou encore organiser la cession de plusieurs actifs de l’État. Pour le groupe socialiste du Sénat, les points d’alerte sur ce texte transmis par l’Assemblée nationale sont nombreux.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Les Echos - Les socialistes repartent à la charge sur le revenu de base

    La proposition de loi des députés PS est débattue ce jeudi à l'Assemblée. L'exécutif reste pour le moment sourd à leur demande d'expérimentation.

    C'est leur autre grande bataille du moment. Non content de pousser un  référendum d'initiative citoyenne dans l'espoir de rétablir l'ISF , les socialistes remontent à la charge sur le revenu de base. Les députés PS avaient décidé, il y a plusieurs mois, d'utiliser leur « niche parlementaire » - une fenêtre permettant aux groupes minoritaires d'être maître de l'ordre du jour - pour imposer un débat sur leur proposition de loi visant à expérimenter ce dispositif, pendant trois ans, dans dix-huit départements volontaires (tous à gauche).

    Lire la suite
    __________________
    __________________

    PROPOSITION DE LOI d’expérimentation territoriale visant à instaurer un revenu de base,
  • Européennes : Olivier Faure déplore "la folie de cette gauche" divisée

    Interrogé par Audrey Crespo-Mara sur Europe 1, le Premier secrétaire du Parti socialiste estime que les forces de gauche seraient en capacité de remporter les élections européennes si elles parvenaient à faire front commun.

  • Europe 1 - Olivier Faure : "Les questions de bonshommes ou de bonnes femmes doivent passer après

  • L'Obs - Faure fait tourner la page Hollande au PS, avec l'union de la gauche en tête

    Paris (AFP) - Olivier Faure dresse lundi soir l'inventaire du quinquennat de François Hollande, une initiative jugée trop tardive par beaucoup au PS, mais qui donnera l'occasion au premier secrétaire d'envoyer des signaux aux autres formations de gauche en vue des Européennes.

    M. Faure doit prononcer un discours d'une heure environ au nouveau siège du PS, à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), quelques jours avant de dévoiler, samedi, la stratégie des socialistes pour le scrutin de mai. Comme lors de ses voeux à la presse, il devrait à nouveau plaider de toutes ses forces pour le rassemblement de la gauche.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Olivier Faure : "Je préfère les 'gilets jaunes' qui se confrontent au suffrage universel à ceux qui appellent à des 'nuits jaunes'"

    Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, a réagi à l'annonce de la constitution d'une liste de "gilets jaunes" pour les élections européennes.

    "Je préfère très largement des 'gilets jaunes' qui se confrontent au suffrage universel plutôt que ceux qui appellent à des 'nuits jaunes' et qui, en réalité, sont dans une dérive dangereuse", a estimé jeudi 24 janvier le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure, sur France Inter, après l'annonce de la formation d'une liste de "gilets jaunes" en vue des élections européennes.

    Lire et écouter la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Talk de Jean-Pierre Sueur: «C'est une illusion de régler les choses par référendums»

  • France Inter - Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

  • L'actualité des socialistes du 11 au 17 janvier

    PS

    Le Parisien - Grand débat : Olivier Faure appelle «les Français à faire entendre leur voix»

    Le premier secrétaire du Parti socialiste souhaite contraindre Emmanuel Macron à ouvrir le débat sur le rétablissement de l’ISF par le biais d’un référendum d’initiative partagée.

    Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste, encourage les Français à participer au grand débat. Evoquant les prochaines élections européennes, il n’exclut pas de prendre la tête d’une liste de gauche.

    L'Express - Olivier Faure veut que le PS participe au grand débat

    Invité de France 3 dimanche, le patron du Parti socialiste a néanmoins récusé toute alliance avec La République en marche.

    "Oui je souhaite participer à ce grand débat, [...] je demanderai aux militants socialistes d'y apporter leur contribution", annonce Olivier Faure. Invité de Dimanche en politique sur France 3 en partenariat avec L'Express, le premier secrétaire du Parti socialiste a toutefois estimé que tous les partis de gouvernement ont tous "une part de responsabilité" dans la crise sociale qui mine le pays.

    GILETS JAUNES

    France Inter - "Pour la première fois, on a un gouvernement incapable d'écouter et un peuple incapable de s'exprimer"

    Alors que le gouvernement a décidé de répondre au mouvement des "gilets jaunes" en lançant son grand débat pour donner la parole aux citoyens, le sociologue Bruno Latour, professeur émérite au Medialab de Sciences Po est l'invité du grand entretien de France Inter.

    Bruno Latour voit dans la crise des "gilets jaunes" une "occasion rêvée pour rebondir politiquement" 

    L'Obs - Eric Drouet et Maxime Nicolle : que nous apprennent leurs pages Facebook ?

    La Fondation Jean-Jaurès a analysé les profils Facebook de deux des principaux meneurs des "gilets jaunes".

    Comment une pétition en ligne et un appel Facebook, semblables à des milliers d'autres, ont-ils pu aboutir en quelques semaines à la constitution du mouvement des "gilets jaunes" ? Que révèle l'analyse des pages Facebook de ses principales figures médiatiques, que sont Maxime Nicolle et Eric Drouet ?

    Pour la Fondation Jean-Jaurès, Roman Bornstein s'est plongé dans les groupes Facebook des "gilets jaunes". Un travail qui permet d'éclairer la nature de ce mouvement et l'imaginaire politique de ses principaux meneurs.

    Fondation Jean Jaurès - En immersion numérique avec les « gilets jaunes »

    Comment une pétition en ligne et un appel Facebook, semblables aux milliers d’autres qui naissent et meurent chaque jour dans l’anonymat des réseaux sociaux et l’indifférence des médias, ont-ils pu aboutir en quelques semaines à la constitution d’un mouvement en fonction duquel l’ensemble des acteurs du jeu démocratique sont désormais contraints de définir leur ligne politique et éditoriale ? Le journaliste Roman Bornstein se livre à une analyse inédite.

    EUROPE

    À propos de : Luuk van Middelaar, Quand l’Europe improvise. Dix ans de crises politiques, Gallimard

    Au fil des crises sévères survenues ces dix dernières années, l’Europe a indéniablement montré sa capacité à faire face à l’imprévu. En improvisant, elle est devenue un acteur politique à part entière : telle est l’analyse optimiste et vivifiante que le philosophe Luuk van Middelaar livre à quelques mois des élections européennes.

    Quand l’Europe improvise prolonge et amplifie la démonstration entamée dans Le Passage à l’Europe, précédent ouvrage de Luuk van Middelaar paru en français il y a six ans. Le philosophe néerlandais y livrait un regard profondément renouvelé sur l’histoire de la construction européenne et, dans une inspiration assez proche des thèses réalistes d’Alan Milward [1], n’hésitait pas à battre en brèche un certain nombre d’idées reçues véhiculées par l’historiographie mainstream. Le lecteur retrouve ici le même ton, libre et revigorant, la même profondeur d’analyse, et le même souci de ne pas enfermer le discours savant sur l’Europe dans un langage de spécialistes.

    INEGALITES

    Observatoire des inégalités - Le Gini est mort, vive le Palma ?

    Le ratio de Palma est méconnu. Cet indicateur est pourtant pertinent et facile à comprendre. Prendra-t-il bientôt la place qui lui revient dans l’analyse des inégalités de revenus ?

    Le « Palma » va-t-il détrôner le roi Gini en matière de mesure des inégalités de niveaux de vie ? Autant le débat sur les inégalités de revenus est virulent, autant celui autour des outils pour les mesurer reste embryonnaire. Pourtant, le choix des instruments est éminemment politique [1]. Né il y a quelques années, un nouvel indicateur prometteur est passé inaperçu en France : le ratio de Palma qui rapporte la masse du revenu national qui revient chaque année aux 10 % les plus aisés à celle que reçoivent les 40 % les plus pauvres (à ne pas confondre avec le patrimoine qu’ils détiennent). Inventé en 2011 par Jose Gabriel Palma, un économiste chilien professeur émérite d’économie à l’université de Cambridge [2], « le Palma » a été baptisé ainsi par deux économistes anglais, Alex Cobham et Andy Sumner [3]. Depuis, il est utilisé notamment par la Banque mondiale et l’OCDE mais sa renommée internationale n’a pas encore débarqué dans l’Hexagone, ce qui est regrettable.

    Observatoire des inégalités - Les inégalités de revenus à la lumière du « Palma »

    Aux États-Unis, les 10 % les plus riches reçoivent l’équivalent de 1,8 fois la masse globale des revenus qui revient aux 40 % les plus pauvres. En France, ce rapport est de 1,1. Les inégalités passées à la loupe du ratio de Palma.

    Avec un indicateur de Palma de 1,8, les États-Unis se détachent nettement des autres pays occidentaux par leur niveau d’inégalités. Cet indicateur rapporte la masse des revenus (après impôts et prestations sociales) que reçoivent les 10 % les plus riches à celle qui va aux 40 % les plus pauvres (lire notre article « Le Gini est mort, vive le Palma ? »). Cela signifie que les plus riches reçoivent une masse de revenus 1,8 fois supérieure à celle qui revient aux plus pauvres, alors qu’ils sont quatre fois moins nombreux. L’écart est considérable avec l’Allemagne et la France où le dixième le plus favorisé en perçoit environ 1,1 fois plus. Le ratio se situe autour de 1,3 en Espagne et en Italie et atteint 1,5 au Royaume-Uni.

    AMAZON

    Le Monde - Amazon, vendeur de destruction massive

    En 2018, le géant du commerce en ligne aurait détruit 3,2 millions de produits invendus en France, selon les estimations de la CGT. Un documentaire choc diffusé ce soir sur M6.

    Au rayon des aberrations commerciales, on connaissait déjà le gaspillage alimentaire ou encore l’obsolescence programmée, deux thèmes abordés dans Capital, le magazine d’information de M6, dimanche 13 janvier à 21 heures. Le sujet d’ouverture, en revanche, est inédit : Amazon organise la destruction massive de ses invendus. Près de 300 000 objets neufs ont été jetés en trois mois dans son entrepôt de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), le plus petit des cinq établis en France par le géant de la vente en ligne – les autres sont à Montélimar (Drôme), Orléans, Amiens et Lille. Au niveau national, cela représente 3,2 millions d’objets manufacturés neufs jetés en 2018, selon les estimations d’élus CGT.

    ISLAM

    Non Fiction - De l'impensable dans l'Islam à l'exigence de (re)penser l'Islam

    Dans ce recueil, on peut lire des articles écrits relativement tardivement par Mohammed Arkoun et qui présentent la triple qualité de rappeler quelques-uns des acquis de son œuvre, de proposer des pistes et exigences méthodologiques pour approfondir l’étude de l’Islam et de mettre en lumière – ce qui semble plus rare dans le reste de son œuvre – la considération et la qualification du rapport par certains à l’Islam contemporain.

    Des outils conceptuels qui ont fait leur preuve

    Parmi les différents outils conceptuels qu’a apportés M. Arkoun à l’étude de l’Islam et qui sont rappelés dans ce livre, on peut en évoquer plusieurs qui s’avèrent fort pertinents. Mentionnons d’abord le questionnement de la pensée et du discours musulman à partir de son épistémè. Pour M. Arkoun, il s’agit de découvrir et d’analyser les postulats implicites du discours pour en valider l’épistémologie. M. Arkoun pose la question des régimes de vérité dans l’Islam (et ailleurs) . Par exemple, l’idée d’un « problème de Dieu » est impensable dans l’Islam. Puisque, en effet, Dieu ne peut pas être considéré comme problématique, il est parfaitement connu par le Coran (car l’homme ne peut qu’intérioriser/méditer ce que Dieu dit de lui dans le Coran), ses attributs ne sont pas analysés, mais récités comme des noms de Dieu. Mais ils ne sont pas pris comme sujet d’investigation intellectuelle. Ce qui ne laisse pas d’être tout à fait dommageable.