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Intervention de Joaquim Pueyo sur la loi de programmation militaire 2019-2025
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Discours Valérie Rabault au Congres Versailles 2018
Suite au discours d'Emmanuel Macron devant le Parlement réuni en Congrès ce lundi 9 juillet 2018, retrouvez le discours de Valérie Rabault, présidente du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée nationale.
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Intervention d'Olivier Faure à l'Assemblée nationale
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Disours Patrick Kanner Congres Versailles 2018
Suite au discours d'Emmanuel Macron devant le Parlement réuni en Congrès ce lundi 9 juillet 2018, retrouvez le discours de Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Sénat.
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Marie-Noëlle Battistel : nos propositions pour une agriculture durable
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Congrès de Versailles : "C'est un devoir de tout parlementaire" assure Stéphane Le Foll
INVITÉ RTL - Le maire du Mans, qui va quitter son poste de député mardi 10 juillet, sera présent à la séance exceptionnelle à Versailles. Malgré des désaccords notables, il assure que c'est "un devoir".
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Congrès : pour Olivier Faure, "le président cherche toujours à s’élever en majesté"
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Olivier Faure : "Le Congrès de Versailles est un procédé monarchique"
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Sélection été : Fondation Jean Jaurès, Rémi Lefevre, Après la défaite. Analyse critique de la rénovation au Parti socialiste (2002-2007-2017) (07/02/2018)
2002, 2007, 2017 : le Parti socialiste a subi trois grandes défaites ces quinze dernières années. À chaque fois, le même diagnostic. À chaque fois, la même réponse, qui tient en un mot : rénovation. En 2002 et 2007, les dirigeants socialistes ont donné le change sans changer la donne : le changement annoncé n’a pas été pas au rendez-vous. Qu’en sera-t-il en 2018, où la refondation a remplacé la rénovation ? Le parti dépassera-t-il l’incantation alors que son existence même est désormais en jeu ? Rémi Lefebvre propose ici une analyse critique des discours de l’organisation sur ses défaites.
Le Parti socialiste a essuyé en avril et juin 2017 une double défaite historique. Le candidat socialiste Benoît Hamon est arrivé en sixième position à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, avec 6,36 % des suffrages exprimés. À l’issue des élections législatives, le groupe parlementaire socialiste, rebaptisé Nouvelle Gauche, a atteint un étiage historique, passant de 284 à 31 députés. Les conséquences de la défaite sont immédiates et tangibles. Le 19 septembre, l’annonce est faite de la vente du siège de Solférino. Le financement public du parti passe de 27 millions d’euros entre 2012 et 2017 à 7 millions[1]. Un vaste plan social touchant plus de la moitié des permanents du parti est annoncé en octobre. De nombreux militants quittent le parti. Cette « débâcle » est-elle comparable à d’autres épreuves électorales que le Parti socialiste a connues au cours de sa longue histoire ? Historiens, observateurs et dirigeants politiques ont évoqué ces derniers mois les précédents historiques de 1969, 1993 ou 2002. Depuis plus de cent ans, le socialisme français a traversé des crises innombrables et s’est relevé de situations politiques particulièrement critiques. Cette résilience organisationnelle nourrit un imaginaire de « la renaissance » et de l’« éternelle » refondation du Parti socialiste. Elle fonde les espoirs d’une partie des dirigeants socialistes qui pensent que la crise n’est que transitoire, que le PS peut retrouver son espace politique et que le balancier qui assurait jusque-là la place centrale du Parti socialiste à gauche peut le restaurer dans son statut de parti de gouvernement[2].
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Conclusion du colloque "Gauche, année zéro" par Emmanuel Maurel
Emmanuel Maurel, député européen socialiste, membre du bureau national du Parti socialiste, intervenait à 18h15 pour conclure le colloque "Gauche, année zéro" qui se tenait au Sénat samedi 9 juin 2018 après-midi.
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Colloque "Gauche, année zéro" intervention de Bastien Faudot en conclusion
Bastien Faudot, porte-parole du MRC et conseiller départemental du Territoire de Belfort, intervenait en conclusion du colloque "Gauche, année zéro" samedi 9 juin 2018 au Sénat vers 18h.