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Europe : Retrouvez la conférence de presse d’Olivier Faure du 19 septembre 2018
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Emmanuel Maurel : «François Hollande prépare son retour»
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Gabrielle Siry, porte-parole du parti socialiste français
Gabrielle Siry porte-parole du Parti socialiste réagit aux plans santé et pauvreté du président Emmanuel Macron. Le chef de l'État français amorce-t-il un virage à gauche ?
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Nos causes communes : Atelier "Penser la transformation avec Marx, Polanyi & Gramsci"
avec - Jérôme Maucourant, économiste - Bruno Tinel, politologue - Martine Chantecaille, philosophe, membre du bureau national du PS Marx, Polanyi, Gramsci: trois auteurs de la pensée économique et politique pour la gauche. Leur œuvre a-t-elle encore quelque chose à nous dire? sont-ils de simples références historiques ou des inspirateurs utiles pour penser le monde qui vient?
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Nos causes communes : Table ronde "La Planète, malade du capitalisme (?)"
avec - Angèle Préville, sénatrice du Lot, membre du bureau national du PS - David Cormand, Secrétaire national d'EÉLV - Younous Omarjee, eurodéputé France insoumise La récente démission de Nicolas Hulot du ministère de la transition énergétique a mis en exergue l'une des grandes contradictions de l'époque: le développement du capitalisme mondialisé apparaît incompatible avec la protection de notre planète. Biodiversité, respect du vivant, préservation des ressources, lutte contre le réchauffement climatique: peut-on seulement agir sans une profonde remise en cause du modèle de développement? Comment allier progrès technologique et protection de l'environnement au XXIè siècle?
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Nos Causes communes - Table ronde "L'Afrique est-elle notre avenir ?"
avec - Aminata Traoré, écrivaine, ancienne ministre du Mali - Kako Nubukpo, macroéconomiste, ancien ministre du Togo - Marie Arena, eurodéputée du Parti socialiste belge - Jean-François Corty, médecin humanitaire - Gaëtan Gorce, ancien député, ancien sénateur, membre du bureau national du PS Le continent africain est passé en un demi-siècle du mouvement des indépendances à la tutelle des multinationales. L'Afrique a trop souvent été regardée avec commisération, mais le continent reste aujourd'hui largement sous-développé ; ses atouts sont pourtant nombreux. Comment les nations africaines peuvent gagner définitivement une indépendance qui ne soit pas seulement formelle ? Quel rôle la France peut-elle tenir alors que cet immense continent mitoyen est d'ores-et-déjà le principal espace francophone dans le monde ? Qu'est-ce que le phénomène des migrations nous dit des relations franco-africaines ?
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Nos causes communes : Atelier "Que reste-t-il du clivage gauche-droite ?"
avec - Rachid Temal, sénateur, secrétaire national du PS - Lenny Benbara, directeur de la publication "Le vent se lève" - Pierre Dharréville, député PCF - Christian Proust, ancien président MRC du conseil général du Territoire de Belfort. Le clivage gauche-droite s'est installé dans la vie française depuis la Révolution française et a survécu à de nombreuses crises. En 2017, l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République a pourtant semblé consacrer son extinction. Mais le clivage a-t-il réellement disparu ou bien est-il en cours de redéfinition ? Comment la Gauche peut-elle se définir au XXIème siècle ?
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Nos causes communes - Atelier "la souveraineté populaire face au marché"
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Huffington Post - Européennes 2019: sondage inquiétant pour LREM, alarmant pour Les Républicains et désastreux pour le PS
..... A huit mois de l'élection, qui sera le premier scrutin intermédiaire du quinquennat en France, LREM et le RN devancent Les Républicains (14%), La France insoumise (12,5%).
Suivent Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan (6%), Europe Ecologie-Les Verts (5%) devant le PS (4,5%), le parti Générations de Benoît Hamon (4%) et les centristes de l'UDI (3%).
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PS - Le chemin du progrès social passe par la mise en place du revenu de base.
Hier, dans une tribune parue dans le journal Le Monde 19 présidents socialistes de département demandent un projet de loi d’expérimentation du revenu de base dans le « plan pauvreté ».
Le Parti socialiste soutient cette démarche et demande au gouvernement de s’engager à adopter rapidement un texte législatif permettant sa mise en œuvre rapide. Près de 9 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté, nous ne pouvons plus attendre pour améliorer notre système de solidarité et apporter de nouvelles réponses aux changements de la société.
Le revenu de base est un outil plus efficace, car il permet d’apporter une réponse au non recours aux prestations sociales (environ 35 % pour le seul RSA), et aux jeunes de moins de 25 ans (majoritairement exclus du RSA).
Il est un outil plus juste, car il répond également à la précarité de nombreux travailleurs qui touche de plus en plus certains métiers, comme les agriculteurs, en apportant un complément de ressources qui leur permette de maintenir leur activité dans les années difficiles.
Il est un outil plus moderne, car il permet de soutenir les parcours personnels d’insertion et d’engagement de chacun.
Une solidarité plus efficace, plus juste et plus moderne, c’est la proposition du Parti socialiste, portée par ces départements.
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Réaction du Parti socialiste au « plan pauvreté » du gouvernement
Toutes les actions menées pour aider nos concitoyens les plus pauvres sont à saluer et c’est le cas d’un certain nombre de mesures du « plan pauvreté » du gouvernement. Mais si ce plan va dans le bon sens, les moyens ne sont clairement pas à la hauteur de l’enjeu et marquent le manque d’ambition de cette majorité pour lutter contre la pauvreté.
L’arbuste des 8 milliards d’euros en 4 ans du plan pauvreté, dont 4 milliards qui sont du redéploiement, cache mal la forêt des 16 milliards d’euros de coût de la suppression de l’ISF et des 8,9 milliards de la « flat tax », soit un total de près de 24,9 milliards d’euros pour le « plan richesse » du quinquennat.
Comme le dit l’Observatoire des inégalités : « 2 milliards d’euros par an pour 9 millions de pauvres, 3 milliards par an pour 300 000 assujettis à l’ISF. La France fait des choix. » 8 milliards sur 4 ans, c’est 62 centimes par personne pauvre par jour : c’est sûr que ce n’est pas un « pognon de dingue ».
Le nouveau monde a-t-il tout inventé ? L’extension à 50 nouveaux territoires du dispositif « Zéro chômeurs de longue durée » est une heureuse reprise de l’innovation et de l’expérimentation engagées par les députés socialistes lors du précédent quinquennat. L’extension de la Garantie jeunes est la reconnaissance de l’efficacité de ce dispositif conçu et porté par les socialistes européens. L’élargissement de la CMU complémentaire est une mesure utile qui consolide une politique publique initiée lors de la précédente législature.
Le revenu universel d’activité annoncé comme une grande nouveauté par le président de la République n’est que le revenu de base que 19 départements socialistes demandent d’expérimenter depuis 1 an ! Et nous demandons son extension aux jeunes.
Ce plan pauvreté intervient hélas par ailleurs dans un premier bilan de ce gouvernement : comment faire en même temps l’accompagnement renforcé des bénéficiaires du RSA vers l’emploi et supprimer des milliers de postes à Pôle emploi ? Quelle cohérence à développer plus de contrats par l’insertion économique et en même temps supprimer des centaines de milliers d’emplois aidés ? Quelle logique à annoncer un plan pauvreté lorsque l’on baisse les APL dont un tiers des bénéficiaires vit sous le seuil de pauvreté ? Quelle sincérité dans l’annonce d’un plan pauvreté lorsque l’on décide de geler les aides sociales ? Comment prétendre se préoccuper de nos aînés les plus démunis quand – en même temps – le gouvernement ponctionne la CSG des retraités modestes et refuse de revaloriser le minimum retraite des agriculteurs ? Les effets de la politique d’Emmanuel Macron aggravent la pauvreté depuis 1 an.