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ps - Page 172

  • Le Vent se lève - Comment le PS s’est technocratisé pour conquérir le pouvoir

    La peur du saut dans l’inconnu. Cette appréhension a longtemps barré la route du pouvoir à la gauche. Dans les années 1970, le Parti Socialiste s’est engagé de manière résolue dans une stratégie de conquête du pouvoir. Mais sa réputation d’incompétence économique continuait de lui coller à la peau. Pour corriger cette image et apparaître légitime à gouverner, François Mitterrand a su mettre en place une stratégie de respectabilisation en recrutant des experts économiques capables de contester au camp giscardien le monopole de la compétence économique. Un moment historique dont toute force politique qui prétend à l’exercice de la responsabilité suprême se doit aujourd’hui de tirer des leçons.

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  • Libé - Marseille Un ex-député PS devant la justice pour des croisières suspectes

    Henri Jibrayel, député socialiste des quartiers nord de Marseille de 2007 à 2017 et toujours conseiller départemental des Bouches-du-Rhône, est renvoyé devant le tribunal correctionnel pour «abus de confiance» et «prise illégale d’intérêt».

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  • Europe 1 - Qui est Paul Magnette, ce Belge attendu au chevet du PS français ?

    Le bourgmestre de Charleroi, ancien ministre-président de la Wallonie, a été contacté par le PS français pour conduire leur liste européenne en mai 2019.

    PORTRAIT

    Il en a été le premier surpris. "Oui, j'ai bien reçu une proposition du PS français, avec un certain étonnement, je l'avoue, car ils me proposent la première place sur leur liste européenne, pas moins", a déclaré jeudi Paul Magnette, ex-ministre-président de la Wallonie, au quotidien belge Le Soir, confirmant ainsi une information du Figaro. Homme fort du Parti socialiste belge – il pourrait bien succéder à Elio Di Rupo en 2019 – son nom est généralement associé par les Français au Ceta. En octobre 2016, l'opposition de son gouvernement à ce traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada a en effet bien failli faire capoter une décennie de négociations, et a placé du même coup ce fringant quadragénaire sous les projecteurs internationaux.

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  • Paris Match - Le parti socialiste en banlieue c'est maintenant

    Olivier Faure inaugurera les locaux du Parti socialiste à Ivry-sur-Seine le 21 septembre. Un changement de lieu qu’il veut accompagner d’un changement d’état d’esprit. 

    Le QG est à quelques centaines de mètres de Paris mais qu’importe. Le PS quitte la capitale pour s’installer dans le Val-de-Marne. Dans cet ancien quartier d’usines où les ateliers d’artistes jouxtent un centre d’hébergement pour migrants, l’atmosphère n’a plus rien à voir avec celle du VIIe arrondissement. Avec un des permanents du parti, Olivier Faure, qui garde un oeil sur l’avancée du chantier, est allé rencontrer, à leur demande, des voisins ravis de les accueillir.

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  • Libé - Européennes : un socialiste belge pour mener la liste PS ?

    Le PS a confirmé avoir sollicité le maire socialiste de Charleroi, Paul Magnette, pour prendre la tête de sa liste aux élections européennes de mai 2019.

    Volonté d’ouverture, ou pénurie de têtes d’affiche ? Le Parti socialiste a bien proposé à l’homme politique belge Paul Magnette, ancien ministre-président (le chef du gouvernement) de la Wallonie, de figurer en tête de la liste du mouvement pour les élections européennes de mai 2019. Divulguée mardi par le Figaro, l’information a été confirmée par l’intéressé au quotidien belge Le Soir, et à l’AFP par le PS, qui évoque une simple «hypothèse».

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    Le Soir - Paul Magnette candidat aux Européennes en France? Il n’exclut rien

    Le PS français lui offre la tête de liste aux Européennes de 2019. Paul Magnette explique au « Soir » : « Je suis flatté, je me concentre sur les communales, je parlerai de cela dans mon parti, je veux être candidat là où c’est le plus utile ».

  • Le Figaro - Mélenchon convie des députés LR, PS et PCF à son université d'été

    Le leader de la France insoumise fera sa rentrée à Marseille les 24, 25 et 26 août. Des députés de tous bords politiques seront présents.

    Jean-Luc Mélenchon peaufine sa rentrée politique. Le leader de La France insoumise (LFI), très visible en juillet lors de l'affaire Benalla, veut soigner sa posture de premier opposant à Emmanuel Macron. Ainsi, il a eu l'idée d'inviter plusieurs députés d'autres partis que le sien à l'université d'été de son mouvement les 24, 25 et 26 août à Marseille. «Le but est de montrer que face à la politique d'Emmanuel Macron, la première force d'opposition a cœur de donner la parole à tout le spectre politique, malgré des divergences», explique au Figaro Manuel Bompard, le directeur des campagnes de LFI.

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  • France Inter - Julien Dray :"Je suis un bon marxiste"

    Julien Dray, ancien député PS de l'Essonne, conseiller régional d'Ile de France est l'invité du Grand entretien. Pourquoi se présente-il en tête de liste du PS aux élections européennes ? Comment conçoit-il l'avenir du parti socialiste ? Quelle vision porte-il sur la politique européenne actuelle ?

  • Le Point - Européennes: au PS, le retour des éléphants

    Le Parti socialiste se cherche une tête de liste pour les européennes. Trois candidats, à ce stade, sont déclarés. Trois historiques.

    On les avait un peu perdus de vue, touchés de près ou de loin par l'écroulement du Parti socialiste depuis la fin du dernier quinquennat. Quelques-uns des anciens cadres socialistes ont choisi de changer de vie, de produire du miel, comme Arnaud Montebourg ou de travailler dans des cabinets de conseil. D'autres, après un temps de silence, ne semblent pas prêts à tourner la page. Et pour revenir dans le jeu, les élections européennes de 2019 constituent pour eux une idéale porte d'entrée.  

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  • Sélection d'té - Emmanuel Maurel : Contre-feux républicains (mai 2018)

    En France, les Républicains ne sont pas à la fête. Certes, personne ne remet en cause la République comme régime politique. Mais les principes qui la fondent sont en revanche malmenés, voire contestés, aussi bien par le pouvoir en place que par une partie croissante  du monde politique.

    Oui, le « modèle républicain», fait l’objet d’attaques insidieuses ou frontales. Et l’exemple vient d’en haut. En libéral assumé, Emmanuel Macron s’en prend logiquement aux protections (droit du travail, assurance chômage) et au patrimoine collectif (privatisations, réforme de la SNCF), au risque de fissurer la cohésion sociale. Mais sa volonté transformatrice ne se limite pas à la sphère économique et sociale. A l’instar de Thatcher, le président pense que la société n’existe pas. Seuls valent les individus, qu’il convient d’armer pour la compétition et la concurrence. D’où une défiance pour les corps intermédiaires (syndicats, élus locaux, parlementaires, associations) qui, traditionnellement, contribuent à organiser l’action collective. D’où aussi une tentation, celle de renvoyer les individus ainsi plongés dans le grand bain libéral à une ultime bouée, la communauté supposée première, c’est à dire ethnico-religieuse.
     
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  • Challenges - Motion de censure de gauche: Mélenchon salue une "ambiguïté levée" au PS

    Le leader de La France Insoumise Jean-Luc Mélenchon s'est félicité vendredi d'une "ambiguïté levée" sur la ligne politique au PS avec la décision de travailler à une motion de censure commune des trois groupes de gauche contre le gouvernement..... "Hier, le bureau national du PS a donné son accord pour une motion de censure. Bon, c'est bien et nous sommes très contents. D'autant que comme elle ne peut pas se déposer sans nous, nous voyons que c'en est fini du +ni-Macron, ni-Mélenchon", a poursuivi cet ancien candidat à la présidentielle.

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