Soutenez Blast, nouveau média indépendant : https://www.blast-info.fr/soutenir C’est l’histoire deux hommes politiques aux ambitions présidentielles. Au commencement, Jean-Luc Mélenchon et François Ruffin semblaient faits pour s’entendre, mais aujourd’hui, ils apparaissent irréconciliables. Face à la déferlante médiatique qu’a connue cette histoire, les proches des deux protagonistes ont accepté de revenir sur ces événements qui ont marqué un tournant à gauche. Trahisons, réunions secrètes et ambition personnelle, l’histoire que nous allons vous raconter a failli faire exploser la gauche.
melenchon
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MÉLENCHON/RUFFIN : L'HISTOIRE QUI A FAILLI FAIRE EXPLOSER LA GAUCHE
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Revue de presse : avec le NFP (mise à jour du 13 décembre)
A LA UNE
Fondation Jean Jaurès - L’exode informationnel
Les Français sont des millions à fuir un écosystème médiatique saturé d’informations répétitives, anxiogènes et conflictuelles. Ce rejet du système informationnel dans son ensemble ressort très nettement de la deuxième vague de l’enquête sur la fatigue informationnelle : on y observe cet exode progressif, momentané ou plus pérenne, et qui pose un problème démocratique, dans la mesure où l’information est censée contribuer à l’émancipation de chacun. Plus que jamais, il devient donc nécessaire d’explorer des pistes pour réengager les citoyens dans un rapport plus sain, plus constructif avec l’information.
13 décembre
Les deux principales composantes du Nouveau Front populaire, qui s'affrontent sur les négociations autour du Premier ministre, s'accusent mutuellement de saper l'alliance. Au sein du mouvement, l'attitude des insoumis irrite de plus en plus.12 décembre
Les 4 vérités - Marine Tondelier
Pacte de non-censure : solution pour sortir de la crise ? - L’édito de Patrick Cohen - C à vous
Public Sénat - Face aux tensions entre PS et LFI, le Nouveau Front Populaire en pleine turbulence
Alors que le PS fait un pas vers le socle commun, en proposant un pacte de non-censure pour sortir du blocage à l’Assemblée, LFI dénonce une trahison. Reçus par Emmanuel Macron ce lundi, les écologistes saluent la proposition du Président d’une réunion commune à plusieurs partis. Les communistes assument la main tendue.
11 décembre
Le premier secrétaire du PS a dit ce mercredi ne pas vouloir la nomination du président du Modem à Matignon. Il n'annonce cependant pas de censure immédiate d'un éventuel gouvernement Bayrou.
HuffPost - Nouveau Premier ministre : Olivier Faure précise ses critères (et écarte François Bayrou)
Le numéro 1 du PS plaide toujours pour un Premier ministre de gauche. Mais s’il venait à en être autrement, il exige des garanties pour ne pas censurer à nouveau.
RFI - France: le PS prêt à larguer les amarres avec le Nouveau Front populaire?
Les lignes commencent à bouger après la censure du gouvernement de Michel Barnier. Le parti socialiste, jusque-là lié au Nouveau Front populaire, n’écarte pas la possibilité d’entrer dans « l’arc de gouvernement » voulu par Emmanuel Macron pour sortir de la crise de régime qui couve. Un changement de ton notable après la séquence post-législatives mais qui, pour le moment, ne débouche sur rien de concret.
10 décembre
Le fondateur de La France insoumise appelle ses partenaires de gauche "à ne pas détruire" le Nouveau Front populaire. À quelques heures d'une réunion entre Emmanuel Macron avec notamment les socialistes, le PCF et les écologistes, Jean-Luc Mélenchon prophétise que les négociations "n'aboutiront pas".
8 décembre
Le Figaro - Gouvernement : Mélenchon menace les socialistes de «continuer le NFP sans eux»
Alors que les socialistes souhaitent engager des discussions avec la macronie sur la base de «concessions réciproques», le leader insoumis affirme qu’il ne soutiendra «aucun autre gouvernement que celui du Nouveau Front Populaire».
« Marianne » publie en avant-première cet appel pour défendre la filiale Fret de la SNCF menacée de démantèlement au moment où l’urgence écologique commande plutôt de développer ce mode de transport. Des parlementaires communistes, socialistes, écologistes mais aussi centristes et de la droite républicaine figurent parmi les premiers signataires de ce texte auxquels se sont déjà joints 600 autres élus du pays.
6 décembre
Le premier secrétaire du PS a rencontré le chef de l’Etat ce vendredi, déplorant que les autres membres du NFP ne soient pas consultés. Il a assuré que ses troupes socialistes ne participeraient « en aucun cas à un gouvernement dirigé par un Premier ministre de droite ».
Le Premier secrétaire du Parti socialiste appelle Emmanuel Macron à désigner un « préfigurateur » pour organiser les négociations en vue de former un gouvernement.
5 décembre
Le NFP, qui a voté en bloc la censure du gouvernement Barnier, est plus divisé sur la stratégie à suivre pour la suite. Socialistes, écologistes et communistes avancent la possibilité d’un accord avec des forces du « front républicain », laissant les Insoumis seuls sur une ligne beaucoup plus fermée.
Dans un message partagé sur X, le chef de La France insoumise a pesté contre la rencontre entre les dirigeants socialistes, dont Olivier Faure, et Emmanuel Macron. Un échange à huis clos alors que le président de la République cherche son nouveau Premier ministre.
Boris Vallaud avait lui même pris la parole à la tribune de l'Assemblée nationale lors des débats précédents le vote de la motion de censure, mercredi. Il avait fustigé "l'échec de la méthode Barnier" et la "trahison du front républicain". Il appelle désormais aux compromis à gauche.
Au lendemain de la censure du gouvernement de Michel Barnier, Mathilde Panot a prévenu que La France insoumise censurerait tout futur Premier ministre qui ne serait pas issu du Nouveau Front populaire.
4 décembre
Fondation Jean Jaurès - Calendrier public et politique de décembre 2024
Quels sont les événements à venir au mois de décembre 2024 ? Antoine Pavamani propose un calendrier des actualités politiques, diplomatiques, juridiques, sportives et culturelles en France et à l’étranger jusqu’au 31 décembre 2024, un trimestre qui s’achèvera avec les vœux du président de la République.
Partisans de la censure du gouvernement de Michel Barnier, les 66 députés socialistes veulent imposer un « Premier ministre de gauche » en échange de compromis avec le bloc macroniste.
Devant sa tarte aux poires, Olivier Faure concède volontiers qu’il n’a pas réponse à tout. Mais il sait une chose : la probable censure à venir du gouvernement de Michel Barnier va faire basculer le pays dans une grande incertitude politique voire, qui sait, une crise financière. « Vous imaginez si Macron nomme un nouveau Premier ministre de droite et qu’il présente le même budget le 19 décembre, on repart sur une nouvelle motion de censure à Noël ? Et après ? On est un peu en terre inconnue », interroge-t-il, l’air inquiet.
3 novembre
Le patron du PS juge que l’ancien Premier ministre n’a pas la légitimité requise pour représenter l’ensemble du NFP.
Alors que le bail de Michel Barnier est sur le point de se terminer, les spéculations concernant son remplaçant commencent déjà. De leur côté, les socialistes réclament « un Premier ministre partageant les valeurs de la gauche sur les chantiers prioritaires du Nouveau Front populaire » et jugent, à l’instar du chef des députés PS Boris Vallaud, que « la question des conditions d’une non-censure » avec les autres groupes doit être posée.
Plusieurs élus du Nouveau Front populaire n’ont pas signé la motion de censure. L’une d’entre eux explique l’avoir fait par esprit de «responsabilité».
Sept députés manquent à l’appel. La motion de censure déposée par le Nouveau Front populaire (NFP) lundi précise dans son en-tête qu’elle est «présentée» par les quatre présidents de groupe de gauche «et 181 de leurs collègues». Soit 185 élus de l’Hémicycle au total. Or les quatre groupes du NFP cumulent 192 élus.
Dans une tribune publiée chez nos confrères de Ouest-France, les deux femmes politiques ont souligné l’urgence de « construire un projet commun » à gauche en vue des présidentielles de 2027, malgré les tensions actuelles au sein du Nouveau Front Populaire.
1er novembre
Fondation Jean Jaurès - Petit manuel de partage du pouvoir dans l’entreprise
Au lendemain du 7 juillet 2024, alors que les citoyens français ont fait barrage à l’extrême droite, il apparaît nécessaire de pérenniser ce « réveil démocratique ». Pour Laurence Ruffin, présidente de la Scop Alma et vice-présidente de la Confédération des Scop et des Scic (CG Scop), l’exercice démocratique doit être encouragé dans un espace de décision et de pouvoir souvent négligé : l’entreprise elle-même.
Au soir du 7 juillet 2024, 66,7% des électeurs s’étaient déplacés aux urnes, atteignant un taux de participation jamais vu depuis 1997 pour conjurer la menace imminente d’une prise de pouvoir de l’extrême droite1. Cet élan de participation tranche nettement avec un comportement électoral documenté depuis plusieurs décennies par les travaux des sociologues et politistes : au fil des scrutins électoraux, l’abstention se renforce et la confiance citoyenne envers les institutions s’érode. Ce constat s’enracine dans la crise de la démocratie représentative et l’affaiblissement de la démocratie sociale, rendue sensible par une maigre participation syndicale et peu d’adhésion aux partis politiques.
30 novembre
L’héritage, perçu comme la possibilité de léguer un patrimoine à ses enfants et le fruit d’une vie de labeur, représente également un symbole de la mobilité sociale. Cette double fonction participe à l’attachement des Français à l’héritage. Mais celui-ci présente un caractère extrêmement inégalitaire et risque de rétablir une société dans laquelle le poids des dynasties patrimoniales l’emporte sur les résultats de l’effort et du travail. Pour enrayer le processus, Alexandre Ouizille, Théo Iberrakene et Boris Julien-Vauzelle proposent de mettre davantage à contribution les très grandes transmissions, celles touchant les 1% des Français les plus riches, afin d’investir dans l’avenir collectif de notre pays.
28 novembre*
Les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.Bien Public - François Hollande abandonne l'option Lucie Castets à Matignon en cas de censure
Invité de France Inter ce jeudi matin, l'ex-président de la République a affirmé qu'il faudrait « chercher un Premier ministre qui puisse avoir l'assentiment d'une majorité ». Il s'oppose également à une démission d'Emmanuel Macron.
27 novembre
Boris Vallaud est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il revient notamment sur le vote du budget et la possibilité d'une motion de censure, la possible abrogation de la réforme des retraites, et sur la proposition émanant d'un député LFI de supprimer le délit d'apologie du terrorisme.
"Nous ne soutenons pas" la proposition de loi de LFI, a confirmé ce dimanche le chef des députés socialistes, Boris Vallaud. Il a réagi à la proposition de loi déposée par l'insoumis Ugo Bernalicis, qui vise à supprimer le délit d'apologie du terrorisme créé par une loi de 2014.
26 novembre
Le titre de BFM est en contradiction avec le contenu de l'article
Les députés socialistes voteront jeudi l'abrogation de la réforme des retraites portée par les Insoumis a affirmé le patron du groupe PS à l'Assemblée Boris Vallaud..... "Moi, je pense que nous devons revenir à un âge légal de 62 ans et que nous devons maintenir la réforme Touraine", a expliqué dimanche sur le plateau de Questions politiques (France inter/Le Monde/ France TV) Boris Vallaud, disant son "attachement" à cette réforme "qui s'accompagne de mesures sur les carrières longues et sur la pénibilité".
25 novembre
Le Vent se lève - Sécurité Sociale de l’Alimentation : de l’utopie à la réalité
Étendre le principe de la Sécurité sociale à l’alimentation en permettant à tous les Français d’acheter des produits conventionnés, choisis démocratiquement, grâce à une carte dédiée. Le principe de la Sécurité sociale alimentaire est simple, sa mise en oeuvre moins. Celle-ci implique en effet une bataille majeure contre les acteurs qui gèrent aujourd’hui ce secteur, notamment l’agro-business et la grande distribution, mais aussi l’obsession libre-échangiste de l’Union européenne. Petit à petit, l’idée essaime pourtant un peu partout en France, à travers des expérimentations locales. Alors qu’une proposition de loi pour une massification a été déposée, des questions majeures, portant notamment sur le financement, cherchent encore des réponses.
22 novembre
HuffPost -Budget : en cas de 49.3, le Nouveau Front populaire promet une censure à Michel Barnier
Dans une tribune au « Monde », les responsables de la coalition de gauche font monter la pression sur le Premier ministre.
« Avec un objectif simple : protéger nos concitoyens de l’impact d’un budget qui n’ouvre pas la voie à un nouvel avenir pour le pays mais prolonge la casse sociale, l’irresponsabilité écologique et la brutalité antidémocratique », poursuivent les signataires, qui déplorent que le budget « profondément transformé à l’Assemblée nationale » n’ait pas été retenu par l’exécutif et le « socle commun » soutenant le gouvernement.
21 novembre
L'Humanité - Que le Front devienne vraiment populaire
Au-delà d’un indispensable déplacement auprès d’un piquet de grève ou dans un local syndical, les forces politiques de gauche doivent écouter et entendre ensemble les salariés afin d’élaborer avec eux des issues à leurs difficultés. Toutes les luttes en cours et celles qui sont en germination sont en effet d’intérêt général et portent sur le droit de vivre, le sens et l’utilité du travail, la vie de la diversité des territoires et la défense du climat et de la biodiversité.
19 novembre
La victoire de Donald Trump sur Kamala Harris lors de l’élection présidentielle des Etats-Unis, mais aussi celle des républicains « MAGA » (« Make America Great Again ») outranciers sur le parti démocrate au Congrès posent de nombreuses questions : pourquoi les démocrates ont-t-il été délaissés par les « blue collars » états-uniens alors que Joe Biden avait adopté une politique censée répondre à leurs aspirations économiques ? Quelles traces l’inflation a-t-elle laissé dans le vécu des catégories populaires ? Quels effets a produit la propagande identitaire des républicains ?
15 novembre
Après le blues des députés macronistes, qui se sont peu mobilisés dans l'hémicycle, au tour des forces du Nouveau Front populaire d'accuser le coup après des semaines à défendre des amendements balayés par le rejet de la première partie du budget. C'est la version initiale du projet de loi de finances qui est partie au Sénat.
14 novembre
Après le rejet à l’Assemblée du volet recettes du budget 2025 de l’Etat, largement remanié par les députés du Nouveau Front populaire, la question de la stratégie de la gauche se pose.
Gagner des batailles, mais pas la guerre. C’est ce qu’il ressort de l’épisode du budget à l’Assemblée nationale, où les députés du Nouveau Front populaire ont affiché une présence qui a parfois surpris leurs adversaires. Cette mobilisation a permis à la gauche de faire adopter plusieurs amendements dans les débats sur le volet recettes du budget de l’Etat. En revanche, le vote sur l’ensemble du texte, largement remanié par le Nouveau Front populaire, a été rejeté en première lecture, mardi 12 novembre, par l’Assemblée nationale à 362 voix contre et 192 pour, ce qui correspond au nombre de députés de l’alliance de gauche formée pendant les dernières législatives.
10 novembre
Estimant que «la gauche n’a aucune chance de gagner cette circonscription si elle n’est pas unie», Amandine Germain a décidé de respecter l’accord du NFP et de se ranger derrière le mélenchoniste Lyès Louffok.
6 novembre
Huff Post - Budget de la Sécu : la gauche réussit à remanier la copie du gouvernement
Les députés ont adopté lundi 4 novembre dans la soirée le volet « recettes » du budget de la Sécurité sociale. Largement remanié à la sauce Nouveau Front populaire.
POLITIQUE - Des équilibres totalement renversés. À rebours d’un socle commun censé donner le la à l’Assemblée, c’est bien le Nouveau Front populaire qui s’est réjoui ce lundi 4 novembre dans la soirée de l’adoption du budget de la Sécurité sociale. « Barnier et Macron sont désavoués, leur projet est rejeté », se sont félicités les députés de La France insoumise dans un communiqué, savourant notamment le fait d’avoir « repoussé les 15 milliards d’euros de coupes sauvages et injustes aux frais des patients, des apprentis, des malades, des retraités ».
Politis - Budget 2025 : quand la gauche rafle la mise… en vain ?
Depuis trois semaines, le Nouveau Front populaire enchaîne les victoires sociales et écologiques dans un hémicycle clairsemé. Au point que la copie actuelle du budget serait, selon Éric Coquerel, « NFP-compatible ». Jusqu’au 49.3 ?
« Ce n’est pas un échec. Je dirai plutôt que ça n’a pas marché. » Il faut, parfois, reconnaître à notre chef de l’État, le sens de la formule. Et celle-ci, tout en litote, ne saurait mieux résumer l’état de la coalition gouvernementale après plus de trois semaines de débats sur le projet de loi de finances (PLF) et le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). En commission, en séance dans l’hémicycle, article par article, amendement par amendement, les soutiens du gouvernement de Michel Barnier se font balayer. Ridiculiser.
1er novembre
La Vie des Idées - Entretien avec Étienne Ollion : l'étrange victoire de l'extrême droite
Dans une publication récente, les chercheurs Michaël Foessel et Étienne Ollion interrogent les raisons qui ont conduit à la "victoire" électorale de l'extrême droite en France
Dans Une étrange victoire : l’extrême droite contre la politique, le philosophe Michaël Foessel et le sociologue Étienne Ollion analysent les facteurs qui ont permis à l'extrême droite de s'installer dans le paysage politique français, au point d'apparaître comme un choix de gouvernement probable, sans que l'on sache combien de temps il pourra encore être contrecarré.
31 octobre
Le Vent se léve - Niche RN sur les retraites : la gauche ne peut pas faire l’autruche
La réforme des retraites serait-elle un moindre mal ? C’est ce que pourrait laisser entendre la posture d’une majorité d’élus de gauche, qui refuse de voter le texte contenant son abrogation, présenté par le RN dans sa niche parlementaire ce jeudi 31 octobre. Si celui-ci est défaillant à bien des égards sur le fond et la méthode, la gauche donne une nouvelle occasion au RN de se présenter médiatiquement comme un outsider. Et court le risque d’apparaître comme l’assurance-vie du macronisme, aux yeux d’une partie importante des travailleurs et des travailleuses. Alors même que le RN a agi comme le grand défenseur des intérêts du capital et des plus riches dans le débat budgétaire.
30 octobre
Les Echos - A gauche, Bernard Cazeneuve n'abdique pas ses ambitions
L'ancien Premier ministre, qui veut recentrer la gauche et éloigner les socialistes de La France insoumise (LFI), joint ses forces à l'effervescence sociale-démocrate. Avec Matignon et la présidentielle de 2027 dans le viseur.
France Inter - En Isère, le nouveau test de résistance du NFP
Le Nouveau Front populaire passe un nouveau « test de résistance » à l’occasion d’une législative partielle à venir dans la première circonscription de l’Isère, qui se transforme en bras de fer entre le PS et la France Insoumise.
27 octobre
La nomination de Stéphane Séjourné à la Comission européenne provoque une élection législative partielle dans la 9e circonscription des Hauts-de-Seine. La section locale du PS a investi une candidate contre l'accord national du Nouveau front populaire.
30 octobre23 octobre
Treize députés du NFP viennent de déposer une proposition de loi d’expérimentation d’une sécurité sociale de l’alimentation (SSA). Ils et elles défendent dans cette tribune la création d’un nouveau droit à l’accès de tous à une alimentation choisie et de qualité.
22 octobre
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Fondation Jean Jaurès, Renaud Large - Lambertisme : les princes de l’ombre républicaine
Pierre Lambert, le « parrain rouge »
Avec ce livre Le parrain rouge. Pierre Lambert, les vies secrètes d’un révolutionnaire2, François Bazin signe une analyse politique d’une qualité et d’une finesse qu’on croyait perdues. Plus important, cette biographie vient combler un vide incongru dans l’histoire politique récente. Pour la première fois, il retrace le parcours politique de Pierre Boussel dit Lambert, militant politique et syndical durant la seconde moitié du XXe siècle, dirigeant d’une branche ésotérique du trotskisme à la française, l’Organisation communiste internationaliste (OCI), pygmalion d’une mouvance d’extrême gauche marquée par son dogmatisme, sa radicalité violente et son goût de l’infiltration, père spirituel subi ou choisi de mastodontes de la gauche du XXIe siècle de Lionel Jospin à Jean-Luc Mélenchon, de Jean-Christophe Cambadélis à Benjamin Stora.
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Ruffin-Mélenchon : la guerre est déclarée - L'Edito Politique de Patrick Cohen
13 sept. 2024 François Ruffin accuse Jean-Luc Mélenchon et les Insoumis de monter des murs entre les Français, en fonction de leur origine ou de leur religion. Après la rupture, le réquisitoire… Les explications de Patrick Cohen.
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Après le second tour des Législatives (mise à jour du 29 juillet)
A LA UNE
Le Figaro - Impôts : Lucie Castets prône une «grande réforme fiscale»
«Il faut aussi que les expatriés fiscaux payent leurs impôts au fisc français, comme le font les Américains expatriés vis-à-vis du fisc des États-Unis», déclare notamment celle que le Nouveau Front populaire veut envoyer à Matignon, dans un entretien à La Tribune dimanche.
BFM - Nouveau Front populaire: Lucie Castets vise 150 milliards d'euros de recettes fiscales
La candidate du Nouveau Front populaire à Matignon n'entend pas respecter le pacte de stabilité européen et veut aller "chercher des recettes fiscales et sociales à hauteur de 150 milliards d'euros à l'horizon 2027".
29 juillet
Le député socialiste estime que "s'il n'y a pas de compromis, il n'y aura pas de stabilité gouvernementale" et au final "il y aura une crise et à la fin une démission du président de la République".Fondation Jean Jaurès - Retour sur le vote Nouveau Front populaire aux élections législatives
Les élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet 2024 ont vu le Nouveau Front populaire obtenir le plus grand nombre de députés à l’Assemblée nationale. Jean-Daniel Lévy, directeur délégué de Harris Interactive, revient sur les motivations de vote des électeurs du NFP, leur profil, mais aussi leurs espoirs à la fois quant à l’application de son programme comme au choix du futur Premier ministre.
Dans un contexte où le Nouveau Front populaire (NFP) dispose du plus grand nombre de députés à l’Assemblée nationale, de nombreuses questions émergent. Quelles ont été les motivations de vote des électeurs du NFP ? Sont-elles uniformes selon l’âge, le genre, la catégorie sociale ou encore la proximité politique de cet électorat ? Souhaitent-ils l’application stricto sensu du programme proposé par cette alliance ou des aménagements apparaissent-ils possibles/envisageables ?
26 juillet
Lors d’un conseil national, le courant du maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol, et celui d’Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin, ont réclamé « une convention de clarification » de la position du PS dans le NFP
Les Echos - Le PS se divise sur le Nouveau Front populaire
Deux courants minoritaires du Parti socialiste réclament une convention de « clarification » de la ligne, vis-à-vis du Nouveau Front populaire et de sa volonté de gouverner.
Au moment où le pays traverse une crise politique et institutionnelle majeure, la parole de terrain doit être écoutée et le chemin de la réconciliation nationale passera nécessairement par le local. Florian Bercault, maire de Laval, livre son analyse d’élu local en première ligne et montre que la crise démocratique n’est pas une fatalité : ce qui se fait à Laval est symptomatique de cette crise mais constitue aussi un laboratoire d’actions pour y répondre.
La déflagration politique résultant de la dissolution de l’Assemblée nationale voulue par le président de la République le soir des résultats des élections européennes dit beaucoup à la fois de l’état de fragilité de notre pays mais aussi des attentes fortes de nos concitoyens. C’est comme si notre pays avait perdu sa boussole et ses repères au gré des intempéries vécues ces dernières années.
25 juillet
Agée de 37 ans, jeune énarque et porte-parole du collectif Nos services publics, Lucie Castets espère prendre la tête d'un gouvernement Nouveau Front populaire, malgré le refus d'Emmanuel Macron.22 juillet
HuffPost - À l’Assemblée nationale, le NFP obtient la majorité absolue au sein du bureau
À la surprise générale, le Nouveau Front populaire a décroché la majorité des sièges au sein du bureau de l’Assemblée. Une instance peu connue, mais aux pouvoirs importants.
La candidate des socialistes, des communistes et des écologistes a annoncé dans une lettre « prendre acte » des oppositions au sein de la coalition de gauche. « Tout cela ne semble pas mener à l’apaisement dont nous avons tant besoin », constate-t-elle.
L’Insoumis Eric Coquerel a été réélu samedi à la commission des Finances de l’Assemblée nationale mais le Nouveau Front populaire a été défait pour la quasi-totalité des autres présidences de commission.
Un nouveau sondage Odoxa pour Le Figaro révèle l’opinion de la société française par rapport aux conséquences politiques des élections législatives. 54 % des Français estiment que le président devrait nommer un ministre qui n’est pas issu du NFP. Ils souhaitent des coalitions et l’incapacité des partis politiques à en construire continue de dégrader leur image.
21 juillet
A défaut de s’entendre sur un nom pour Matignon, socialistes, insoumis, communistes et écologistes se sont entendus ce mercredi 17 juillet sur André Chassaigne pour tenter de conquérir, jeudi, le perchoir de la Chambre basse.Alternatives Economiques - Le programme fiscal du Nouveau Front populaire est-il confiscatoire ? Le Nouveau front populaire a permis de rouvrir le débat sur la fiscalité : des hausses d’impôts ciblées sont possibles sans craindre une baisse de l’activité, même si plusieurs mesures du programme doivent être revues.
17 juillet
Economiste, diplomate, cheville ouvrière de l’Accord de Paris… C’est la personnalité de la société civile proposée par les socialistes, les écologistes et les communistes pour briguer Matignon au nom du Nouveau Front populaire. Une figure trop proche d’Emmanuel Macron, jugent les insoumis.
15 juillet
Les socialistes ont notamment été accusés par certains cadres de La France insoumise d'avoir bloqué la candidature d'Huguette Bello pour devenir Premier ministre du Nouveau Front populaire.Le Nouveau Front populaire poursuit les négociations pour proposer le nom d'un Premier ministre issu de ses rangs. Invité de France 2 ce lundi 15 juillet, Olivier Faure estime qu'il est normal que cela "prenne du temps".
14 juillet
France 24 - Le PS ne valide pas Huguette Bello pour Matignon, LFI lui reproche de "tout bloquer"
Le Conseil national du Parti Socialiste à annoncé samedi soir ne pas valider la candidature de la Réunionnaise Huguette Bello au poste de Première ministre, et a appelé à poursuivre les discussions au sein du Nouveau Front populaire pour trouver un nom qui fait consensus. Le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard a reproché samedi au PS de "tout bloquer" et a convoqué dimanche les instances de LFI.
La présidente du conseil régional de La Réunion, soutenue par LFI, les Ecologistes et le PCF, a dit « prendre acte » que sa candidature « n’est pas soutenue par le PS ». Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, veut prendre « le temps de discuter » et promet un nom pour Matignon le 18 juillet.
13 juillet
François Ruffin prend ses distances avec les Insoumis - C à Vous - 11/07/2024
12 juillet
L'"Association pour une République écologique et sociale (L'Après)" a pour vocation d'être "au service du Nouveau Front populaire", ont fait savoir ses membres.
L’ancien Premier ministre estime que c’est au Nouveau Front populaire, arrivé en tête, de former un gouvernement. Il reconnaît toutefois que « ce n’est pas un cadeau ».
Les négociations se poursuivent entre les quatre forces du NFP. Le Parti socialiste pousse toujours le nom d'Olivier Faure, mais La France insoumise ne veut pas céder à cette seule proposition.Olivier Faure, le flegmatique patron du PS qui se voit à Matignon
Longtemps accusé d'avoir voulu effacer le Parti socialiste, dont il a pris les rênes en 2018, Olivier Faure, discret apparatchik mais savant manœuvrier, s'affirme et tente de s'imposer comme potentiel Premier ministre du Nouveau Front populaire, dont il défend l'unité.
A 55 ans, le Premier secrétaire du PS se dit "prêt à assumer" la fonction et demande au chef de l'Etat de "respecter le vote des Français" après l'arrivée en tête des législatives du Nouveau Front populaire.
Alternatives Economiques - Législatives Ecologie : ce qu’il faudra clarifier dans le programme du Nouveau Front populaire Rédigé dans l’urgence, le programme écologique du Nouveau Front populaire a fait des impasses sur des sujets clivants. Pour faire avancer la transition, il faudra construire du consensus.
11 juillet
L'alliance de la gauche "met en garde" le président "contre toute tentative de détournement des institutions".Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale s'oppose à l'idée de coalition centrale voulue par le camp macroniste.
Quatre jour après la victoire du NFP aux législatives, les cadres de gauche n’ont pas encore réussi à s’entendre pour proposer un nom pour Matignon. Les discussions vont trop lentement pour certains.
Le Nouvel Obs - Boris Vallaud réélu président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale
L’ancien Porte-parole du Parti Socialiste, Boris Vallaud, a été réélu président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale « à l’unanimité », mercredi 10 juillet. Un poste qu’il occupait déjà avant la dissolution du 9 juin dernier.
L'alliance de gauche, arrivée en tête des élections législatives anticipées, propose notamment l'augmentation du salaire minimum à 1 600 euros net. Quatre questions pour comprendre cette mesure qui divise les économistes.L’ensemble des socialistes, plusieurs membres de l’opposition interne compris, estiment que leur Premier secrétaire s’impose comme le seul candidat possible à Matignon. Et le font savoir.
Les députés du Nouveau Front populaire ont pris leurs quartiers au Palais Bourbon, alors que les négociations pour Matignon se poursuivent. Ils pressent Emmanuel Macron de leur confier la charge de gouverner.
10 juillet
Les parlementaires socialistes sont de plus en plus nombreux à évoquer, pour pouvoir gouverner, une extension du Nouveau Front populaire vers le bloc central. Ce qui impliquerait d’amender le programme porté par la gauche, au risque de fracturer une alliance fragile et de décevoir leurs électeurs.Législatives : une victoire de la gauche ? - C à Vous - 08/07/2024
Fabien Roussel prêt à lâcher les insoumis ? - C à Vous - 09/07/2024
Les forces de gauche pensent pouvoir gouverner seules malgré leur absence de majorité absolue, et enchaînent les réunions pour tenter de s’entendre sur le nom d’un futur chef du gouvernement.
Considéré depuis quelques années comme un "astre mort", menacé de disparition, le PS reprend des couleurs à l'issue du scrutin de dimanche."C'est le rôle du Nouveau Front populaire, et en son cœur, de notre famille – la famille socialiste – de refonder un projet collectif pour notre pays." Lorsqu'Olivier Faure, numéro un du PS, prend la parole, dimanche 7 juillet à l'issue du second tour des élections législatives, il salue un travail collectif dans la première place surprise obtenue par le Nouveau Front populaire (NFP). Mais il souligne surtout le poids, au sein du bloc de gauche, d'une formation régulièrement qualifiée "d'astre mort" depuis 2015.
Après les législatives, la France s’est réveillée italienne. Elle va devoir apprendre l’art du compromis.
Comment gérer un Parlement sans majorité claire ? Comment gouverner sans coalition évidente ? Après avoir passé la campagne des législatives à Paris, le professeur de droit et juge constitutionnel Sabino Cassese, rouage central de plusieurs gouvernements techniques italien, nous introduit aux secrets d’une formule dont la France ignore presque tout.
9 juillet
Le chef de file sortant du groupe PS à l'Assemblée nationale juge que «les socialistes ont leur légitimité» pour proposer un nom de premier ministre.
Le secrétaire général du Parti socialiste et député européen Pierre Jouvet a affirmé ce mardi auprès de l'AFP que "le seul profil qui peut rassurer et être Premier ministre" était Olivier Faure, le premier secrétaire du PS.
Euractiv - Législatives : la France à la recherche d’une coalition « à l’européenne »
Le Nouveau Front populaire (NFP) a obtenu une victoire inespérée au second tour des élections législatives, mais la coalition des partis de gauche pourrait déjà être menacée, alors que des alliances au centre seront nécessaires pour former une nouvelle majorité, comme au Parlement européen.
Les forces de gauche rassemblées au sein du Nouveau Front populaire (NFP) sont arrivées en tête des élections législatives du dimanche 7 juillet et obtiennent 182 députés sur les 577 que compte l’Assemblée nationale, mais elles seront incapables de former seule une nouvelle majorité.
Plusieurs dizaines de nouveaux députés élus sous la bannière du Nouveau front populaire vont faire leur entrée à l’Assemblée nationale à l’issue du second tour des législatives anticipées. Parmi eux, plusieurs figures peu connues du grand public.
Malgré sa victoire, la gauche a-t-elle perdu ses bastions historiques ? La percée surprise du Nouveau Front populaire n’a pas grand chose à voir avec la conquête du Front populaire original en 1936. Si la logique de coalition électorale anti-RN y est bien sûr pour quelque chose, il faut étudier le premier tour du vote de 2024 pour saisir une leçon de géographie électorale : les anciens bastions de la gauche ont massivement basculé à l’extrême droite.
Après les législatives, la France s’est réveillée italienne. Elle va devoir apprendre l’art du compromis.
Comment gérer un Parlement sans majorité claire ? Comment gouverner sans coalition évidente ? Après avoir passé la campagne des législatives à Paris, le professeur de droit et juge constitutionnel Sabino Cassese, rouage central de plusieurs gouvernements techniques italien, nous introduit aux secrets d’une formule dont la France ignore presque tout.
Plus de 60 députés socialistes siégeront dans le nouvel hémicycle. Une percée qui permet au parti à la rose de faire quasi jeu égal avec La France insoumise.
A la surprise générale, défiant tous les sondages, le Nouveau Front populaire est arrivé en tête du second tour des élections législatives, dimanche 7 juillet. D’après le comptage du « Nouvel Obs », l’union des gauches envoie donc 185 élus dans l’hémicycle. Dans le détail, 75 insoumis, 62 socialistes, 27 écologistes, 10 communistes et 11 « divers » ont été élus.
Arrivé en tête des élections législatives, le Nouveau Front populaire a placé au cœur de son programme le partage des richesses, au travers d’une véritable «révolution fiscale». Avec beaucoup de gagnants, et quelques perdants.
8 juillet
Plusieurs personnalités, allant d’Olivier Faure à Fabien Roussel, en passant par François Hollande et Yannick Jadot, ont déjà à plusieurs reprises exclu Jean-Luc Mélenchon comme éventuel chef du gouvernement.
Plusieurs représentants des partis au sein de l’alliance de gauche défendent une décision par « consensus », voire par vote pour proposer un nom de Premier ministre issu du NFP. Des discussions sont en cours.
Le Nouveau Front populaire (NFP), alliance de gauche arrivée en tête du second tour des élections législatives anticipées dimanche en France, n'acceptera "aucune coalition des contraires", a déclaré le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Olivier Faure. Il s’est exprimé depuis le QG du PS, à Paris.
Dans son émission, "Touche pas à mon poste", Cyril Hanouna avait assuré qu'il quitterait le pays en cas de victoire de La France insoumise. Qu'en est-il maintenant que la victoire du Nouveau Front populaire est confirmée ?
Pour lui, il faut "une proposition avec un gouvernement du Nouveau Front populaire qui permette de représenter l'ensemble des composantes de cette coalition".
Le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard juge que le choix d'un Premier ministre peut se faire "par consensus" et pas forcément par un vote au sein du Nouveau front populaire.
Entre 2022 et 2024, le Parti socialiste a gagné 34 sièges à l'Assemblée, faisant de ce membre du Nouveau Front populaire le grand vainqueur de ces législatives. À l’inverse, le parti d'Emmanuel Macron, Renaissance, a perdu 73 députés en deux ans.
Notre analyse exclusive des données du ministère de l’Intérieur sur la participation à midi à l'échelle départementale révèle deux premières leçons de cette journée de deuxième tour : là où le RN a performé, la participation est la plus forte. De l’autre côté : la participation baisse là où la gauche était plus forte le 30 juin.
Aujourd’hui et ce soir, toutes nos analyses Législatives 2024 sont en accès libre. Ce travail a un coût.
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Ce sondage qui donne François Ruffin au coude-à-coude avec Marine Le Pen en 2027
Picardie Debout, mouvement de François Ruffin, a commandé un sondage pour tester son champion en vue de la présidentielle de 2027. Dans cette étude de l'institut Cluster 17, révélée par Libération, le député insoumis parvient au second tour, où il fait jeu égal avec Marine Le Pen.
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La Dépêche le 27 février - Sondage Odoxa-La Dépêche : Attal recule, Philippe devance Bardella, Glucksmann décolle
Le baromètre politique Odoxa-La Dépêche du mois de février 2024 est impacté par la crise agricole et le futur scrutin européen de juin.
Le baromètre politique Odoxa-Mascaret du mois de février pour Public Sénat et La Dépêche du Midi est percuté à la fois par la crise agricole et la proximité des élections européennes, pour lesquelles il reste 100 jours de campagne.
.... à gauche Mélenchon a perdu son emprise politique au profit de Roussel, Ruffin et Glucksmann. C’est d’ailleurs ce dernier qui enregistre la plus forte hausse auprès des sympathisants de gauche (+9 points). » De quoi conforter la direction du PS.
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LFI : la chasse aux anti-Mélenchon
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Le meilleur de 2023 - Libé : Comment la Nupes a explosé en seulement dix jours
La position des insoumis sur l’attaque du Hamas en Israël semble être l’étincelle qui fait lentement exploser la Nupe. Charlotte Belaïch et Sacha Nelken, journalistes politiques à Libération, analysent les dix jours qui ont achevé l'union lancée par Jean-Luc Mélenchon. #nupes #mélenchon #gauche
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L'union de la Gauche et des écologistes. Où en est-on ? (revue de presse mise à jour le 6 décembre)
Politis - De quoi le tweet de Jean-Luc Mélenchon contre Ruth Elkrief est-il le nom ?
Le patron des insoumis use des réseaux sociaux pour dominer le débat public. Une stratégie non sans risques pour sa crédibilité et celle de LFI.
Le serial-twitteur Jean-Luc Mélenchon a encore frappé. Le patron de LFI a déclenché une nouvelle tempête politico-médiatique dimanche en ciblant la journaliste Ruth Elkrief, la qualifiant de « fanatique » qui « méprise les musulmans », suite à un échange des plus vifs entre la journaliste et Manuel Bompard sur LCI. La petite phrase fait l’effet d’une bombe. LFI se retrouve à nouveau soupçonnée d’antisémitisme par toute l’éditocratie, d’Apolline de Malherbe (BFM) à Pascal Praud (News) ou encore Frédéric Haziza (Radio J), ce dernier allant jusqu’à le comparer à Jean-Marie Le Pen. Un réquisitoire qui ulcère le premier cercle de Jean-Luc Mélenchon : « Critiquer le travail d’une journaliste, c’est être antisémite, désormais ? Jean-Luc n’a jamais été condamné, contrairement à Jean-Marie Le Pen, c’est ignoble de faire ce lien », s’indigne son entourage, sollicité par Politis.
En pleine polémique sur les propos de Jean-Luc Mélenchon sur la journaliste Ruth Elkrief, des militants de gauche rencontrés lors d'un meeting affichent un certain embarras.La gauche veut avancer loin des posts de Jean-Luc Mélenchon. Plusieurs meetings contre le projet de loi immigration sont organisés en ce moment, avant l'arrivée du texte à l'Assemblée nationale, lundi 11 décembre, le premier avait lieu lundi soir à la Bellevilloise, à Paris. Et en pleine polémique sur les propos du leader insoumis sur la journaliste Ruth Elkrief, plusieurs militants le disent clairement : ils veulent parler d'autre chose.Terrain de jeu favori de Donald Trump pendant son mandat, Twitter - depuis renommé X - est devenu l’arme communicationnelle de prédilection du leader de La France insoumise (LFI). Avec quelque 2,7 millions d’abonnés sur le réseau social, Jean-Luc Mélenchon provoque invariablement une déflagration médiatique à chaque nouvelle publication. La dernière en date a pris la forme d’un dénigrement ad hominem de la journaliste Ruth Elkrief.Le leader de La France insoumise avait qualifié l’éditorialiste de LCI de « fanatique », l’accusant de mépriser les musulmans.
Un post qualifié de « cible dans le dos », et des conséquences concrètes. Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé, lundi 4 décembre, avoir mis sous protection policière la journaliste de LCI Ruth Elkrief, accusée dimanche par Jean-Luc Mélenchon sur le réseau social X d’être une « fanatique » et de mépriser les musulmans.
«Ce n’est pas de mon fait» s’il n’y a plus de Nupes, s’est défendu le leader de La France Insoumise ce samedi sur France Inter. Depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, LFI est vivement critiquée par le reste de l’alliance de gauche pour ses prises de position sur le conflit entre l’organisation terroriste et Israël.S’il a acté la fin de la NUPES, Jean-Luc Mélenchon estime qu’il n’en est point responsable. « Déni », lui répondent ses anciens alliés.
C’est celui qui le dit qui l’est. Le patron du PS Olivier Faure et la cheffe des écologistes Marine Tondelier ont répondu ce samedi 2 décembre au leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon qui leur a imputé, ainsi qu’au Parti communiste, la responsabilité de la fin de la NUPES.
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L'avenir de la NUPES (revue de presse mise à jour le 1er décembre)
Le coordinateur de La France insoumise (LFI) Manuel Bompard déplorait ce mercredi le « constat du blocage » de la Nupes en raison de « désaccords stratégiques profonds ». Dès le lendemain, lors d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), Jean-Luc Mélenchon a officiellement enterré la coalition en déclarant : «il n’y a plus de Nupes, alors on fait semblant qu’il y en a toujours une (...) Ce qu'on a construit est déjà détruit.» À peine un an après la conclusion de cet accord historique et à sept mois des Européennes, les relations entre Insoumis et les autres partis de gauche sont plus que jamais exécrables.
Après des mois passés à faire l'inventaire de ses points de désaccord, la NUPES vient de se trouver à nouveau un combat commun : le projet de loi de Gérald Darmanin sur l'immigration. « Une saloperie sans nom », nous lançait la semaine dernière Julien Bayou.
Le Point - Coup de théâtre à gauche : le PRG prépare une liste anti-Nupes aux européennes
Mécontent que le PS n’ait pas rompu avec Jean-Luc Mélenchon, le Parti radical de gauche entend monter sa propre liste, soutenue notamment par Bernard Cazeneuve.
Guillaume Lacroix avait prévenu lors du congrès du Parti radical de gauche (PRG), en mars : si le Parti socialiste (PS), avec lequel il s'était allié aux dernières élections européennes, ne rompait pas clairement avec la Nupes, le PRG présenterait une liste lors de ce scrutin. Réélu à la tête du PRG au congrès avec cette promesse, Guillaume Lacroix devrait mettre sa menace à exécution samedi 25 novembre, lors d'une convention du parti. La liste pourrait y être annoncée. « Nous y travaillons, les discussions vont bon train, confirme-t-il au Point. Les élections européennes sont le dernier scrutin national avant la présidentielle, nous serions irresponsables si la gauche n'était pas rassemblée. »
20 minutes - Au Parti socialiste, le grand brouillard après le « moratoire » sur la Nupes
IMPASSE Entrainés très rapidement, et sans vraiment le vouloir, dans une rupture avec les insoumis, les socialistes pourraient se retrouver dans leur position flottante d’avant 2022....
La question se pose alors : le Parti socialiste a-t-il les moyens de son moratoire ? « C’est une bonne question… », reconnaît le même. D’abord sur la forme : le Parti socialiste peut-il s’appliquer à lui-même ce qu’il réclame à la France insoumise, c’est-à-dire renoncer à sa liberté de parole comme parti et s’entendre d’abord sur chaque sujet avec ses partenaires ? Serait-il, par exemple, capable d’accepter sans broncher une coalition de gauche qui décide majoritairement de renoncer à l’autoroute Toulouse-Castres, pour laquelle la présidente PS de l’Occitanie, Carole Delga, se bat ? C’est très douteux.
Slate - Jean-Luc Mélenchon est devenu celui dont (presque) toute la gauche veut se débarrasser
Bâtie pour les législatives de 2022, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale devait être, en sous-main, un instrument au service du leader de La France insoumise. Las, la dislocation de ce cartel électoral met à mal cette stratégie.
C'est peu dire que la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) est très mal en point. Depuis des mois, Jean-Luc Mélenchon, qui en fut l'instigateur dans le cadre de la préparation des élections législatives de juin 2022, après la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, n'a de cesse de donner des coups de boutoir à son cartel électoral.
Sud Radio (vidéo) - Marine Tondelier - "La Nupes est devenue une source de désespoir"
Tous les samedis et dimanches à 18h17, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir Dorian Dreuil, politologue, expert associé à la Fondation Jean Jaurès.
L'ancien chef de l'Etat a profité de la traditionnelle Fête de la Rose à Laguenne-sur-Avalouze (Corrèze) pour délivrer une violente charge à l'encontre de la Nupes et du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon.
À la Fête de la Rose, il y avait comme une épine dans le pied que François Hollande a tenté d'arracher : la Nupes, l'alliance des partis de gauche depuis les dernières élections législatives. Une coalition menée par les députés de la France Insoumise, majoritaires dans le groupe de gauche à l'Assemblée nationale.
"On me dit : il faut que le débat ait lieu à l'interne, on lave le linge sale en famille, raconte Alexis Corbière. Je cherche encore les lieux ou la pièce où ça se passe"."Je que - stionne la stratégie de La France insoumise à l'heure actuelle", confie jeudi 16 novembre sur franceinfo, Alexis Corbière, député LFI de la Seine-Saint-Denis. "Je pense que parfois nous-mêmes, nous créons les conditions pour que ce rassemblement [de la gauche au sein de la Nupes] ne soit pas simple", estime l'insoumis.Si le divorce n’est pas encore prononcé, la rupture est officiellement actée. Après un mois et demi de turbulences au sein de la Nupes, à la faveur de la guerre en Israël et le Hamas, le Parti communiste a décidé de prendre ses distances avec La France Insoumise. Il faut dire que les prises de position ambiguës du parti mélenchoniste sur le conflit au Proche-Orient et à l’égard du Hamas l’ont isolé dans la classe politique et la Nupes. Invité de RTL mercredi soir, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a indiqué que son parti «avait définitivement rompu avec LFI». «Nous avons fait voter une déclaration en Conseil national, votée à 93%, qui a fait le constat que la Nupes était une impasse et qu’il est urgent de reconstruire une union, un rassemblement de la gauche capable de gouverner demain», a ainsi proposé l’ancien candidat à la présidentielle. La main est donc tendue.Europe 1 - L'alliance de la Nupes ne pourra «pas reprendre», estime Jérôme Guedj (PS)
Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne, a déclaré ce mercredi que le Parti Socialiste (PS) ne prendra plus part au travail de coordination de la Nupes. Une décision liée à la prise de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre opposant Israël et le Hamas.
"On ne pourra pas reprendre le travail de coordination" des partis de gauche au sein de la Nupes, a tranché mercredi le député socialiste Jérôme Guedj, enterrant définitivement une alliance mise à mal par les prises de position de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre entre Israël et le Hamas. Le Parti socialiste avait décidé de suspendre sa participation à l'alliance le 18 octobre.
Invité de RTL lundi pour la promotion de leur nouveau film Et la fête continue, le couple du cinéma a dénoncé le comportement des représentants de la gauche dont ils ne supportent plus les divisions.
BFM - Pour Clémentine Autain, "Jean-Luc Mélenchon n'est pas éternel"
Ni la Nupes, ni La France insoumise, ne se réduisent "aux seuls propos de Jean-Luc Mélenchon", souligne Clémentine Autain sur BFMTV-RMC."Frondeur"? Clémentine Autain n'aime pas trop ce terme auquel elle est associée au sein de La France insoumise, aux côtés d'autres députés comme François Ruffin, Raquel Garrido ou Alexis Corbière, non retenus, comme elle, dans la direction du mouvement en décembre 2022. Et auteurs de prises de distances régulières depuis.
L'Express - Marche contre l’antisémitisme : l’absence des insoumis, le malaise au sein de la Nupes
L’ensemble des partis politiques ont participé, dimanche 12 novembre, à la marche contre l’antisémitisme organisée par les deux présidents du Parlement. Tous, à l’exception de La France insoumise, qui provoque l’embarras au sein de l’alliance de gauche.
Il est de tradition de faire savoir aux absents qu’ils ont toujours tort. Mais, dimanche 12 novembre, ce sont eux qui fanfaronnent et montrent du doigt les participants à la marche contre l’antisémitisme, organisée à l’initiative de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et de son homologue du Sénat, Gérard Larcher.
Fabien Roussel enterre définitivement sa participation au sein de la Nupes. L'alliance des partis de gauche, née avant les élections législatives 2022 de l'idée de Jean-Luc Mélenchon, est décidément largement remise en cause, notamment depuis le 7 octobre et le refus d'une partie de La France insoumise de qualifier le Hamas "d'organisation terroriste". Invité dans L'Événement du dimanche LCI, le député et secrétaire national du Parti communiste (PCF), Fabien Roussel, confirme qu'il quitte l'union.