Avec Bartolone en Île-de-France, le PS en état... par LeNouvelObservateur
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Avec Bartolone en Île-de-France, le PS en état de léthargie
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Bartolone : "Les statistiques ethniques, ça ne sert à rien"
Bartolone : "Les statistiques ethniques, ça ne... par FranceInfo -
L'actualité des socialistes du 20 au 26 avril (mise à jour)
A la une
L'Obs - Macron veut retrouver "l'esprit industriel du capitalisme" ? Ce n'est pas le rôle du PS
Christian Paul a été choisi par l'aile gauche du Parti socialiste pour la représenter au congrès de Poitiers, prévu en juin. Dans une tribune à "L'Obs", le chef de file des frondeurs regrette que Jean-Christophe Cambadélis refuse de débattre avec lui et critique "l'esprit industriel du capitalisme" cher au ministre de l'Économie Emmanuel Macron.
26 avril
Libé - Hollande appelle «au partage du destin» des Arméniens
Le président français, qui s’est rendu aux cérémonies du centenaire du génocide commis par l’Empire ottoman, a également évoqué, depuis Erevan, le sort des chrétiens d’Orient.
Le commissaire européen Pierre Moscovici, ancien député du Doubs, est contraint de répondre à ses détracteurs, qui lui reprochent d’avoir signé une motion appelant à la « réorientation de l’Europe » pour le congrès du Parti socialiste français, tout en reconnaissant qu’il « aurait sans aucun doute formulé certains passages différemment ». Depuis qu’il a signé la motion « Le Renouveau socialiste » présentée par le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis pour le congrès de Poitiers, le commissaire européen aux affaires économiques s’est attiré les foudres de la droite européenne.
Le Monde - Emmanuel Macron veut « retrouver l’esprit industriel du capitalisme »
Le ministre de l'économie défend, dans une tribune au Monde, sa vision de la transformation de l'industrie française grâce à une nouvelle démocratie actionnariale. Le ministre de l'économie justifie ainsi l'attitude de l'Etat face à Renault, après sa décision de monter au capital du constructeur qui lui permettra d'imposer la mise en œuvre de la loi Florange.Huffington Post, François Kalfon - Île-de-France : pourquoi la gauche peut gagner
Samedi 11 avril. Une date "historique" selon les organisateurs d'un rassemblement autour de Valérie Pécresse qui n'avait de populaire que le nom. Autour de midi, c'est le moment que choisit l'ancienne ministre pour entrer en scène. Une communication hyper préparée, des militants surchauffés, usant et abusant de l'art du tweet et du retweet. La promesse d'une marche sans anicroche vers la victoire pour mieux dissimuler des faits pourtant têtus ?
«Ce qui est important, c’est que les militants socialistes peuvent, par leur vote, reprendre en main leur parti. Jean-Christophe Cambadélis a mené le Parti socialiste là où il est, c’est pour cela qu’il veut fermer les portes et les fenêtres, qu’il ne souhaite pas ce débat», a insisté le député.
Le Figaro - Congrès du PS : Martine Aubry et Claude Bartolone en tandem
Deux semaines avant le vote des motions dans le cadre du Congrès de Poitiers (5 au 7 juin), la maire de Lille et le président de l'Assemblée animeront une réunion le 6 mai au Pré-Saint-Gervais, en Seine-Saint-Denis
La réponse du berger à la bergère. Voilà à quoi a ressemblé l’intervention du chef de file des socialistes « frondeurs », vendredi 24 avril sur i-Télé, après que Jean-Chrisophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, a refusé de débattre avec lui avant le congrès du parti prévu à Poitiers du 5 au 7 juin. « Ce n’est pas auprès de lui que je prendrais des leçons de socialisme, a attaqué le député de la Nièvre Christian Paul. Je ne suis pas disposé à entendre en permanence des leçons qui s’adressent à des parlementaires qui veulent faire réussir le quinquennat de François Hollande. »25 avrilMediapart - Faisons de Lampedusa l’Ellis Island de l’Union européenne
« Assumer l'immigration, et changer de regard » : c'est l'appel que lancent plusieurs élus socialistes, dont Christian Paul, Aurélie Filippetti, Benoît Hamon, Pouria Amirshahi, Laurence Dumont, Isabelle Thomas, Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann, après les récents naufrages de bateaux de migrants en Méditerranée. « Qui fera croire que les 507 millions d’Européens ne sont pas capables d’accueillir 100 000 à 200 000 migrants ? », écrivent-ils alors que se tient ce jeudi à Bruxelles un conseil européen extraordinaire consacré au sujet.
Le Point - Contrôles au faciès : la gauche de la gauche rappelle Hollande à ses promesses
L'idée des récépissés avait été écartée à l'été 2012 par le gouvernement, quelques semaines après l'élection de François Hollande.
23 et 24 avril
L’attaque insidieuse de Pascal Cherki contre les tentations de magouilles au congrès du PS
REMEMBER REIMS - Il y a, au Parti socialiste, une jurisprudence en matière de congrès contestés (Ségolène Royal en sait quelque chose). Mais le PS n’a pas l’apanage de ces arrangements avec la sincérité du scrutin, rappelez-vous le duel Copé-Fillon pour la présidence de l’UMP. Et Pascal Cherki, fort de son expérience de 30 ans, au parti de la rue de Solférino, ne l’oublie pas.
Le Lab - François Hollande veut "réparer les erreurs" libyennes de Nicolas Sarkozy
Intervenir en Libye, en 2011, le Parti socialiste et François Hollande n’étaient pas contre. En revanche, la gestion de l’après-intervention militaire les rend plus dubitatifs. Ce jeudi 23 avril, après la multiplication de naufrages dramatiques de migrants en mer Méditerranée, François Hollande a estimé que pour mettre fin à ces tragédies, il fallait notamment "réparer les erreurs du passé" en Libye, visant implicitement son prédécesseur Nicolas Sarkozy.
Le Figaro - Hamon: burn-out, maladie professionnelle
L'ancien ministre PS Benoît Hamon s'est déclaré déterminé, aujourd'hui sur I-TELE, à obtenir "la reconnaissance comme maladie professionnelle" du burn-out.
Le Figaro - L'agenda secret de François Hollande
Lors d'une réunion de stratégie, qui s'est tenue mardi soir à l'Élysée, le chef de l'État a décidé de multiplier les déplacements de terrain dans les prochaines semaines. Le président, qui pense à 2017, veut tenter de retisser le lien avec les Français.
Ouest-France - Christian Paul, le révolté tranquille du PS
Un frondeur, on penserait que ça vitupère. Christian Paul, le rival de Jean-Christophe Cambadélis au congrès de Poitiers, fronde sans emphase. On peut avoir fait Sciences Po et l’Ena sans se cogner les chevilles.
Ses vacheries semblent douces à côté des confuses flamboyances d’Arnaud Montebourg, des injonctions dirigistes de Benoît Hamon ou des boudeuses certitudes de Martine Aubry, dont il coordonna l’ouvrage Pour changer de civilisation. « Je ne dis pas frondeur. Je préfère rassembleur. Ou éclaireur. » Plus judoka que boxeur ? « Ca me va bien. »Le Monde - « La Fabrique » veut créer la surprise au congrès du PS
C’est la petite motion qui entend « créer la surprise ». « La Fabrique socialiste », portée par la députée des Hautes-Alpes Karine Berger, présentait mardi 21 avril son dispositif de campagne en vue du congrès du PS organisé à Poitiers du 5 au 7 juin. Avec pour objectif affiché de terminer dans les deux premiers à l’issue du vote sur les motions, prévu le 21 mai, et donc de pouvoir concourir au poste de premier secrétaire, le 28 mai.En juin les socialistes organisent leur congrès à Poitiers. Tous les fidèles de Montebourg, passés par Frangy se sont rangés derrière la motion du Nivernais Christian Paul.Jean-Christophe Cambadélis a refusé aujourd’hui la demande de Christian Paul, premier signataire de la motion de l’aile gauche et des « frondeurs » du PS, d’un débat public dans le cadre de la campagne pour le congrès de Poitiers en juin.Karine Berger a lancé mardi la campagne de sa motion pour le congrès de Poitiers. « La Fabrique » compte bien exister face aux frondeurs et surtout face à Jean-Christophe Cambadélis qui réunit autour de lui le gouvernement.Après sa défaite aux départementales, le PS doit adapter ses structures à la nouvelle donne, car qui dit moins d’élus dit moins de fonds.En Seine-Maritime, la perte de deux sièges aux départementales et la désaffection d’adhérents ont joué sur le train de vie de la fédération.SI J’AVAIS SU… - Devenu commissaire européen, Pierre Moscovici ne sera pas, pour la première fois, un acteur du prochain congrès du Parti socialiste. Un PS qu’il aurait rêvé, fut un temps, de diriger. A l’instar de Vincent Peillon, également en retrait, l’ancien ministre de l’Economie a finalement signé la motion du Premier secrétaire de Solférino, Jean-Christophe Cambadélis.
En comparant le programme du FN à celui d’un « tract du PCF des années 1970 », le discours anti-immigré en moins, François Hollande commet une faute historique, mais sait très bien où il va politiquement, renouant avec les « transcourants » des années 1980.
22 avril
Mediapart - Ayrault et Montebourg constatent le désastre politique de Florange
Comment le FN a-t-il pris pied dans l'un des plus anciens bastions du syndicalisme ouvrier, le pays de l'acier lorrain ? Diffusé lundi 20 avril à 21 heures sur Canal Plus, le documentaire Danse avec le FN donne la parole à ces syndicalistes et ouvriers d'ArcelorMittal qui ont basculé lorsque le projet de nationalisation de Florange a été abandonné. Extrait et entretiens avec Jean-Marc Ayrault et Arnaud Montebourg.
Le Monde - Qui pourra bénéficier de la « prime d’activité » ?
L’élargissement de la « prime d’activité », annoncé dimanche 19 avril par François Hollande, a encore des contours bien imprécis. Le projet de loi sur le dialogue social, qui doit être présenté mercredi en conseil des ministres et détaillé dans la foulée par le ministre du travail François Rebsamen, prévoit d’instaurer cette nouvelle prime destinée à plus de 5 millions de personnes actives, dont environ 1 million de jeunes âgés de 18 à 25 ans, payées entre 0,8 et 1,2 smic, soit moins de 1 400 euros net mensuels.Le chef de l’Etat a annoncé la saisine du Conseil constitutionnel sur le projet de loi sur le renseignement décrié, se voulant ainsi au-dessus de la mêlée.Le Monde - Régionales en Ile-de-France : le PS se penche sur la candidature de Bartolone
Depuis la vague bleue des départementales, les socialistes écartent de moins en moins la perspective de perdre la région Ile-de-France, sauf à trouver un candidat providentiel. Et si c’était lui, Claude Bartolone, se dit-on au siège du Parti socialiste. Le PS a testé grâce à un sondage la candidature du président de l’Assemblée nationale aux régionales de décembre. Censé rester confidentiel, l’enquête commandée par la rue de Solférino a été révélée par Le Journal du dimanche, samedi 18 avril.Dans le cadre du congrès du Parti socialiste prévu pour juin prochain, le chef de file de la motion des frondeurs voulait débattre avec le premier secrétaire du parti.
21 avril
Rue 89 - Bernard Cazeneuve répond à Rue89 : « Un double mauvais procès »
Le débat sur la loi renseignement est un débat légitime. C’est un débat que le gouvernement s’honore d’avoir suscité, en faisant le choix de lancer un long travail d’élaboration qui l’a conduit avec ce projet de loi devant la représentation nationale.
Libé - Analogie FN-PCF : une sortie du tac au tract
Les propos tenus par Hollande dimanche ont provoqué l’indignation de l’extrême gauche.On imagine Pierre Laurent, dimanche, à l’heure du déjeuner. Le secrétaire national du PCF est chez lui, installé sur son canapé, un verre de rouge à la main. Tranquille. Il regarde François Hollande sur Canal + et échange des textos avec ses camarades pour commenter l’émission.
Le Monde - Le projet de loi Rebsamen prévoit le maintien des CHSCT
Le but du projet de loi « relatif au dialogue social et au soutien à l’activité des salariés » est de transformer l’échec de la négociation entre les syndicats et le patronat sur le dialogue social, le 22 janvier, en « progrès social majeur », selon la formule du ministre du travail. Le Monde s’est procuré le texte que M. Rebsamen présentera au conseil des ministres, mercredi 22 avril. Il comporte 26 articles dont voici les points essentiels.20 avrilMarianne - Hollande, l’incompréhension face au FN
Le reportage était cruel mais tellement révélateur pour François Hollande et l'ensemble de la gauche. Les équipes du Supplément se sont rendues à Grenay, un bastion historique de la gauche dans le Nord-Pas-De Calais, qui a voté Hollande à 60% en 2012. Aux départementales, ils ont choisi de soutenir les candidats FN. Face aux questionnements de ces déçus de la gauche, François Hollande a montré, laborieusement en peine, que le chemin de la reconquête de cette France là serait long. S'il est seulement possible.
Rue 89 - Hollande ne sait pas parler aux électeurs de gauche passés au FN
Ce fut le moment de vérité de l’émission, et François Hollande n’a pas réellement eu de réponse. Des mots, mais pas les mots justes.
Au cours de ses deux heures d’émission sur Canal+, ce dimanche, le Président a été confronté à plusieurs reportages, dont l’un auprès des électeurs d’une commune populaire du Pas-de-Calais, Grenay, qui avaient voté pour lui en 2012, mais sont aujourd’hui passés au Front national.
C'était l'événement politico-médiatique de ce 19 avril. En s'invitant sur le plateau dominical branché du "Supplément" de Canal+, François Hollande a brièvement fendu l'armure du costume présidentiel en descendant quelques marches de sa tour d'ivoire élyséenne. L'objectif était limpide: prendre les devants d'un bilan de trois ans peu reluisant en donnant au passage un coup de jeune à un quinquennat qui a justement beaucoup promis à la jeunesse.Engagé dans une stratégie de communication tous azimuts pour marquer ses trois ans à l’Élysée, le chef de l’État s’est exprimé dimanche 19 avril durant deux heures à l’émission « Le supplément », sur Canal+.La prime d’activité est élargie à tous les moins de 25 ans qui travaillent. Le président saisit lui-même les Sages sur le projet de loi renseignement.Le JDD - Valls : le troublant autoportrait
LA POLITIQUE EN COULISSES - Dominique de Montvalon, rédacteur en chef au Journal du Dimanche, décrypte l'actualité politique. Cette semaine, il revient sur l'opération com' de Manuel Valls.
L'Express - 79% des Français désapprouvent l'action de François Hollande
Après trois années à la tête de l'Etat, le Président n'a pas du tout la cote. Selon un sondage OpinionWay, plus des trois-quarts des Français se disent "mécontents" de son action.Le JDD - Régionales en Ile-de-France : le sondage confidentiel du PSSelon une enquête d’opinion que s’est procurée le JDD, Valérie Pécresse (UMP) arriverait en tête, suivie de près par Jean-Paul Huchon (PS). Avant la primaire du 28 mai, le président sortant distancerait sa rivale socialiste Marie-Pierre de la Gontrie.
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L'actualité des socialistes du 30 mars au 5 avril (mise à jour)
A la une
Le JDD - L'aile gauche partira groupée au congrès du PS
Malgré la rivalité entre Emmanuel Maurel et Benoît Hamon, un dirigeant assure que les "frondeurs" iraient unis au congrès du PS en juin.
Libé - Congrès PS: vers un rassemblement des plus à gauche
A une semaine du dépôt des motions pour le congrès de Poitiers, les sensibilités socialistes en désaccord avec la politique économique du gouvernement se rapprochent.
5 avril
Challenges - Les Français soutiennent la ligne social-libérale de Valls !
Le Premier ministre peut se féliciter du sondage publié par Le Journal du Dimanche, mais il démontre toute la difficulté du moment: rassembler la gauche sans changer de cap économique ...
Le Point - Hamon (PS): une "parole collective" monte à gauche
L'ex-ministre PS Benoît Hamon a affirmé jeudi qu'une "parole collective" montait à gauche, à l'approche du Congrès du PS, pour réclamer des "changements" dans la politique du gouvernement.
"Il y a beaucoup de gens qui disent la même chose. Quand on écoute aujourd'hui le diagnostic posé par Martine Aubry, Arnaud Montebourg, Aurélie Filippetti, Christiane Taubira dans un autre registre (...) il y a des constats qui sont les mêmes et qui sont assez simples, sauf à être totalement dans le déni et à vouloir plonger bien profond la tête dans le sable", a déclaré Benoît Hamon sur LCI et Radio Classique.
Le Monde - PS : première motion déposée avant le congrès de Poitiers
La compétition au PS est déjà sur les rails. Le courant « cohérence socialiste », mené par les quatre députés Karine Berger, Valérie Rabault, Yann Galut et Alexis Bachelay, a décidé de déposer sa propre motion pour le congrès de Poitiers du 5 au 7 juin. Ils font alliance pour l'occasion avec trois autres premiers signataires de contributions générales, Dominique Bertinotti, l'ancienne ministre de la famille, Nicolas Brien et Madeleine Ngombet.4 avril
Libé - François Hollande fait un petit pas vers sa gauche dans l'Oise
Ce vendredi, le Président a annoncé la création d'un compte personnel d'activité. Une mesure sociale censée rassurer sa majorité avant le congrès du PS en juin, sans toutefois toucher à ses mesures phares.
Le Point - Le "compte personnel d'activité" : le geste de Hollande sur sa gauche
Le Parti socialiste a salué "une avancée importante dans le processus de sécurisation des parcours professionnels", demandé par les fidèles de Martine Aubry.
Le Monde - Hollande annonce des mesures pour favoriser l’investissement dans les PME
Après l’usine PSA de Trémery (Moselle) la semaine précédente, le président continuait inlassablement son tour de « la France qui gagne », vendredi 3 avril, dans une forge de Trie-Château (Oise). Mais en plus des traditionnelles assurances sur l’imminence d’une reprise, égrenées avec insistance depuis un mois, François Hollande y a apporté dans sa besace des annonces : des mesures destinées à favoriser l’investissement industriel dans les PME.Le gouvernement préfère ne pas mettre sur la table les questions de simplification du contrat de travail et de la durée du travail. Et ce pour ne pas attiser les frictions au sein du parti socialiste en pleine préparation de son congrès.
France Bleu - Régionales : Jean-Jack Queyranne annonce sa candidature
L'actuel président de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne, a annoncé officiellement sa candidature à l'investiture PS pour la présidence de la future région Rhône-Alpes Auvergne. Le président en a également profité pour répondre aux attaques de la droite, concernant notamment le financement de l'autoroute A45.
Le Monde - Pour Sapin, la reprise dépend désormais des entrepreneurs
Le ministre de l’économie Michel Sapin a déclaré, vendredi 3 avril sur RTL, qu’il est désormais de la « responsabilité du monde économique » de transformer en « décisions » et en « investissements » les « marges » qu’elles ont dégagées dans un contexte de « petite reprise » de la croissance. Jeudi, l’Insee a légèrement revu à la hausse ses prévisions et s’attend à une progression de 0,4 % du PIB au premier trimestre puis 0,3 % au deuxième.S'il n'est pas tout à fait frondeur, Jean-Marc Germain, député socialiste des Hauts-de-Seine, ne désavoue pas, pour autant, le courant hostile à Manuel Valls. Sans dévoiler les intentions de celle pour qui il roule, ce proche de Martine Aubry et époux, à la ville, d'Anne Hidalgo, tire les conséquences de la déroute des socialistes.Après Arnaud Montebourg, Cécile Duflot et même la garde des sceaux Christiane Taubira, Benoît Hamon a apporté sa contribution, jeudi 2 avril, au flot de critiques venues de gauche qui accablent le gouvernement après sa cuisante défaite aux élections départementales. « Il est temps que le quinquennat soit associé à une amélioration de la vie des Français », a déclaré sur Radio Classique et LCI l’ex-ministre de l’éducation, membre de l’aile gauche du Parti socialiste, qui a quitté le gouvernement en août 2014 sur un désaccord avec la politique menée par Manuel Valls.Après la défaite de la gauche aux départementales, l’ex-ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique sort de son silence dans «Les Echos».3 avrilSeulement huit femmes figurent parmi les 98 présidents de conseils départementaux élus jeudi. Elles n'étaient que quatre auparavant.L'Humanité - Face à la ligne Valls, Martine Aubry passe à l’offensive
Deux jours après la déroute du PS aux élections départementales, la maire de Lille passe à la vitesse supérieure.
Les Echos - Le dilemme de Martine Aubry
La maire de Lille a huit jours pour décider si elle dépose ou non une motion au congrès du PS. En clair, si elle compose ou entre en guerre avec François Hollande.
La claque des départementales à peine digérée, le coup de sifflet du sprint du congrès est sifflé. Le calendrier est serré puisque le 11 avril, le Conseil national du PS entérinera les différentes motions qui feront l’objet d’un vote des militants. Un congrès prévu pour début juin qui pourrait, en cas de victoire de la ligne critique au gouvernement, obliger François Hollande à infléchir sa politique économique.LCP - Baumel (PS) demande à Hollande des "inflexions politiques" sans "se renier"
Le député frondeur espère que le chef de l’État acceptera d’apporter des "équilibres un peu différents" après la défaite socialiste lors des élections départementales."Il y a un petit paradoxe à nationaliser une élection locale et ensuite, en l’ayant perdue, à dire ’je continue la même politique, je ne change pas de cap’." Laurent Baumel, le député socialiste frondeur d’Indre-et-Loire, a demandé à l’exécutif, mercredi sur le plateau de Politique Matin, "d’apporter des inflexions" à sa politique afin de la rendre plus "équilibrée", après la défaite de la gauche aux élections départementales.
Le JDD - Martine Aubry attend "des signes forts et non des vaguelettes"
Lors d'une réunion avec ses soutiens,à laquelle se sont joints une partie des frondeurs, mardi soir, la maire socialiste de Lille Martine Aubry a fortement critiqué la ligne Valls. Avec le prochain congrès du PS en ligne de mire.
Regards - Emmanuel Maurel : « Notre électorat est plus unitaire que nous »
Le frondeur Emmanuel Maurel s’attriste de voir l’exécutif mener le Parti socialiste de revers électoral en revers électoral. Mais espère lui faire changer son cap social-libéral grâce à une entente entre les différentes forces de gauche... rangées derrière le PS.
2 avril
INFO RTL - La maire de Lille a réuni une centaine de ses proches, au lendemain de la défaite socialiste aux départementales et a obtenu des garanties de la part du Président.Le Figaro - Devant ses troupes, Martine Aubry lâche ses coups contre Manuel Valls
Lors d'une réunion avec ses soutiens mardi soir à l'Assemblée, la maire de Lille a fustigé la stratégie du premier ministre pour les départementales. Elle pourrait déposer sa propre motion pour le congrès du parti.
Le lab - Martine Aubry laisse planer le doute quant à sa candidature au congrès du PS
LA GRANDE INCONNUE - Ce n'est pas encore aujourd'hui que l'on connaîtra avec précision les intentions de Martine Aubry. Mais à défaut de dévoiler son jeu, la maire de Lille entretient savamment le doute. Devant ses soutiens à l'Assemblée nationale, mardi 31 mars, l'ancienne Première secrétaire du PS a en tous cas laissé planer l'éventualité d'une candidature de sa part au congrès du parti, qui se tiendra à Poitiers début juin.
France 3 - Réunion d'une centaine de parlementaires et d'élus locaux autour de Martine Aubry
La maire de Lille, Martine Aubry, a réuni mardi soir à l'Assemblée nationale ses soutiens parlementaires, ainsi que des élus locaux, pour faire le point après les départementales et avant le dépôt des motions en vue du congrès du PS, en juin à Poitiers.
Le JDD - Comment Valls a tenté de remobiliser les socialistes
Manuel Valls, qui considère avoir le soutien des Français pour rester à son poste de Premier ministre un an pile après sa nomination, s'est adressé mardi aux députés socialistes pour les convaincre d'"approfondir les réformes" sans changement de cap vers la gauche.
Le Monde - Scrutin après scrutin, Hollande perd ce qu’il a gagné
Le premier secrétaire avait tout gagné. Le président est en passe de tout perdre. Après des municipales dévastatrices, qui avaient laissé la gauche délestée de quelque 150 villes de plus de 9 000 habitants en mars 2014, le second tour des élections départementales, avec 28 départements perdus, dimanche 29 mars, a aggravé la saignée, annonçant un scrutin régional du même acabit. En décembre, François Hollande pourrait bien avoir liquidé la majeure partie des positions de pouvoir tenues par la gauche dans les collectivités territoriales. C’est sur la conquête de celles-ci qu’il avait édifié onze ans durant, à la tête du PS, la rampe de lancement de ses ambitions présidentielles.1er avrilAlors que le Front national se targuait d'être « le premier parti de France » après les élections municipales et les européennes de 2014, la droite républicaine et ses alliés sont sortis largement victorieux des élections départementales, dont le second tour se déroulait dimanche 29 mars. A l'issue de ce scrutin local, qui peut revendiquer le titre de premier parti de France ?
Trois jours après la défaite du Parti socialiste aux élections départementales, Manuel Valls ne dévie pas de sa ligne politique : il faut rassembler la gauche, mais pas question de revenir sur les grandes orientations économiques décidées par son gouvernement.Libé - Valls s'essaye à la manière pas forte
S'exprimant devant le groupe PS de l'Assemblée, deux jours après la défaite départementale, le Premier ministre n'a rien concédé sur le fond mais sans en rajouter sur la forme.
Le Monde - Départementales : la coûteuse défaite du PS
La sévère défaite de la gauche aux élections départementales risque de coûter cher au Parti socialiste. Un an après l'échec aux municipales, ce nouveau revers, dimanche 29 mars, est une nouvelle fois synonyme pour le parti au pouvoir d'un recul sur le plan local.Au Parti socialiste, la défaite n'est pas seulement politique. Elle est aussi financière et humaine. Tous les conseillers départementaux du PS sont tenus de reverser à la fédération de leur département entre 5 % et 10 % de leur indemnité. «Entre 1400 et 2000 euros de cotisation annuelle par conseiller départemental», indique le trésorier de la Rue de Solferino, Jean-François Debat. Face au reflux, celui-ci envisage la fermeture de certaines permanences locales.Candidat malheureux à la réélection dans son canton de Lons-Le-Saunier, l'ancien président socialiste du département du Jura a annoncé son retrait de la vie politique. Invité sur l’antenne de France info, Christophe Perny n’a pas mâché ses mots pour critiquer la politique de Manuel Vall
31 marsDans une société travaillée par les aspirations individualistes et les pulsions de repli identitaire, le vote FN ouvre une nouvelle ère politique.
Au lendemain du second tour des élections départementales, c’est Benoit Hamon qui a été l’un des premiers appelés à poser des mots sur les plaies, dans les différentes émissions matinales du lundi 30 mars. « C’est une défaite » a sobrement estimé l’ancien porte-parole du parti socialiste lundi matin sur RTL. « Pas besoin », pour lui, d’aller puiser dans un vocabulaire plus chargé en superlatifs. « C’est une défaite, incontestable », a juste répété Benoit Hamon, préférant sans tarder en analyser les raisons. Pour le député des Yvelines, l’explication tient dans « la division de la gauche » d’un côté, et de l’autre dans « des résultats qui se font attendre sur les questions essentielles, le pouvoir d’achat, la situation des petits retraités, l’emploi évidemment… ».
Emmanuel Maurel, député européen et conseiller régional d’Ile-de-France, réagit vivement aux résultats du second tour des élections départementales et à la déclaration de Manuel Valls. Pour lui, « il faut faire preuve de lucidité et avoir l’intelligence de changer de politique ».30 marsLes socialistes subissent une lourde défaite, ne conservant qu’une trentaine de départements. Face à la vague bleue, le Premier ministre promet de garder le cap.
L’alternance politique n’est pas qu’une abstraction. Parfois, elle se ressent physiquement. Il est 23 heures, dimanche 29 mars, dans le hall de la préfecture d’Evry. Le président sortant du conseil général, le socialiste Jérôme Guedj, arrive avec quelques proches, tandis que Georges Tron et les nouveaux élus UMP répondent aux médias et profitent du buffet. Perdants et gagnants se frôlent et se toisent. Sans un mot. « Voilà le nouveau visage de l’Essonne… », lâche un conseiller de M. Guedj en observant les nouvelles têtes et leurs sourires.Mardi, à l'Assemblée nationale les proches de l'ex-première secrétaire du PS, doivent se retrouver pour faire un bilan du scrutin de dimanche et préparer le congrès PS.Le Monde - Suivez en direct les résultats du second tour des départementalesLa droite pourrait conquérir 20 à 40 départements à l'issue du second tour, tandis que le score du FN sera guetté. A 17 heures, la participation s'élevait à 41,94 %.
Libé - Canton par canton, retrouvez tous les résultats à partir de 20 heuresL'aile gauche du PS profite de la déroute de son parti aux élections départementales pour lancer un nouvel appel. Les frondeurs veulent un "contrat de rassemblement" avec l'ensemble de la gauche. Une manière de mettre la pression sur le gouvernement de Manuel Valls.Ce dimanche soir, chaque parti pourra peut-être avancer, avec plus ou moins de bonne foi, des motifs de satisfaction.... Le PS a «gagné» si…Il sauve plus de vingt-cinq départementsDans ce département à gauche depuis 1976, le second tour s'annonce très serré entre les socialistes et l'UMP. -
Claude Bartolone, invité de Guillaume Durand avec LCI (24.03.15)
Claude Bartolone, invité de Guillaume Durand... by radioclassique -
Départementales : pour Claude Bartolone, "le PS résiste bien"
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L'actualité des socialistes du 16 au 22 mars (mise à jour)
Fin de campagne.... prochaine mise à jour dimanche à 20h
A la une
Départementales : une campagne éclipsée par la menace du FN
C’est une drôle de campagne qui raconte une France prête à tout instant à verser dans l’irrationalité. Comme cet homme qui interpelle sa conseillère générale dans le Tarn-et-Garonne, à propos de l’impossible édification de son pigeonnier pour cause de zone inondable. « Qu’est ce que vous allez faire pour moi ? », lance-t-il comme une supplique. Quand l’élue lui répond que cela ne relève pas des compétences du conseil général, il rétorque, désabusé : « Décidément, il n’y a que Marine qui s’occupe de nous… »
20, 21 et 22 mars
Le député PS vient de rendre un rapport sur l’emploi des jeunes en Europe. Il répond aux questions de Contexte.
Le ministre de l'Économie était en déplacement jeudi à Fresnes à la rencontre des militants à trois jours du premier tour des départementales.Un petit pas pour le socialisme mais un grand pas pour celui qui, bien que n’ayant pas en poche la carte du parti du même nom, tenait meeting, jeudi 19 mars, pour les élections départementales. Certes, la salle était modeste, mais elle était pleine. Deux cents personnes s’étaient déplacées à Fresnes (Val-de-Marne), tout autant pour encourager les candidats du PS, dans ce département – un des deux derniers – dirigé par le PCF, que pour écouter la tête d’affiche du jour : Emmanuel Macron.Manuel Valls s'est rendu dans le fief du président, en Corrèze, à trois jours du premier tour des départementales. Au menu : taper sur Sarkozy, déconstruire le discours du FN, et assurer de sa fidélité au chef de l'Etat.L’épisode de pollution se poursuivant à Paris, la maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a réitéré sa demande de mise en place de la circulation alternée pour la journée de samedi, en raison de la persistance du pic de pollution aux particules fines PM10.
Les Echos - Benoît Hamon à la recherche de la gauche perdue
L'ancien ministre de Manuel Valls, débarqué fin août, a fait son retour dans le jeu politique comme « haut-parleur des frondeurs ». A trois mois du congrès du PS, cet électron libre oscille entre doute et envie d'agir.Le Monde - Hollande choisit le magazine « Society » pour corriger son image
Par petites touches, François Hollande, à l’approche du troisième anniversaire de son élection, s’emploie à corriger son image. Et sur des supports de plus en plus inattendus. Entre confidences personnelles et vision régalienne, le président accorde ainsi un entretien fleuve au tout nouveau magazine Society, dans son deuxième numéro, à paraître vendredi 20 mars. Un média apparemment décalé pour une stratégie de présentation de lui-même qui se précise, visant à souligner une forme de présidentialité acquise lors des attentats de janvier sans pour autant gommer un sens de la proximité, qui, en campagne, avait constitué l’une de ses forces.Libé - Montebourg chez Habitat
Reconversion. L'ancien ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a été nommé vice-président du conseil d'administration de la chaîne d'ameublement française Habitat.
Le Monde - La gauche peut-elle perdre la Seine-Saint-Denis ?
L’ancienne banlieue rouge a pris quelques bleus. Dirigée pendant quarante et un ans par les communistes, puis par les socialistes depuis 2008, la Seine-Saint-Denis est un bastion de la gauche depuis la naissance du département, en 1968. « D’habitude, on connaît l’issue des élections à l’avance », confirme Stéphane Troussel, le président socialiste du conseil général. La gauche ou la gauche. Mais si celle-ci reste favorite pour le scrutin départemental des 22 et 29 mars, prévient-il, « l’incertitude existe avec la droite ».En meeting mercredi soir dans le Pas-de-Calais, le Premier ministre a dû s’employer pour booster les socialistes dans un département à haut risque FN.
Libé - En cas de cession, le gouvernement à reculons sur le droit des salariés
Selon «les Echos», la sanction en cas de non respect du droit à l'information des salariés lors de la vente de leur entreprise serait allégée. Hamon juge la réforme «non opportune».
19 mars
Le Monde - Départementales : la déroute annoncée du PS
S'attendant à une sévère défaite, le Parti socialiste fait profil bas avant les élections départementales des 22 et 29 mars. Dépourvue de bilan solide en matière économique, traversée par une ligne de fracture depuis en plus en plus profonde entre légitimistes et « frondeurs », la majorité, et au premier chef Manuel Valls, ont fait du Front national leur principal cible.En meeting lundi soir à Evry, le Premier ministre a vivement répliqué à Nicolas Sarkozy, à quelques jours du premier tour des départementales.Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a une impunité pour le FN »
Pour Jean-Christophe Cambadélis, « il y a aujourd’hui dans notre pays une impunité pour le Front national et l’extrême droite ». Invité du « Forum France Bleu-France Info », mercredi 18 mars, à quelques jours du premier tour des élections départementales, le premier secrétaire du PS, a poursuivi : « Aujourd’hui, on peut dire ce que l’on veut dans l’espace public, on peut faire ce que l’on veut, être soutenu par les banques poutiniennes, détourner les fonds du Parlement européen pour financier l’ensemble de son appareil politique, ça n’intéresse personne. »Le Monde - Aubry brouille les pistes sur sa succession à Lille
Après l’annonce surprise de l’installation à Lille de l’ancien ministre de la ville François Lamy, le 15 novembre 2014, les rumeurs allaient bon train sur l’avenir de l’ancien conseiller municipal d’opposition de Palaiseau (Essonne). Martine Aubry préparait-elle sa succession en mairie de Lille ? A défaut de clarifier ses intentions pour les élections municipales de 2020, l’ancien ministre du gouvernement Ayrault a confirmé son intention de prendre place de manière durable dans la capitale des Flandres.Libé - Loi prostitution : démission soudaine d'un sénateur PS opposé à la pénalisation des clients
En désaccord avec le gouvernement, Jean-Pierre Godefroy a démissionné de la commission spéciale sur la loi prostitution.
Le Monde - Ayrault à l’heure des comptes
Une interview à Ouest France pour mobiliser la gauche et régler ses comptes avec Manuel Valls. Jean-Marc Ayrault n'a pas attendu le résultat des élections départementales pour se démarquer fortement de son successeur.
18 mars
Le Monde - Jean-Marc Ayrault, un premier ministre dans les yeux de sa fille
Jean-Marc Ayrault ne semble pas amer, ou rancunier. Un peu interdit plutôt, meurtri aussi, par ces deux années à Matignon et par la façon dont elles se sont terminées. C’est sa fille, Elise, qui, au terme du documentaire qu’elle lui consacre - « Mon père, ce Ayrault », diffusé en avril sur France 3 - le dit : pour elle, sa démission fut un « soulagement ». « Tu souffrais pour moi… », relance l’intéressé.Le JDD - Départementales : deux économistes prédisent une grande vague bleue
Deux économistes chercheurs à l'université Paris II prédisent une grande vague bleue aux élections départementales, en fonction d'un modèle économétrique qui intègre l'évolution du chômage et la popularité de l'exécutif. L'UMP emporterait environ trois cantons sur quatre. La gauche perdrait des bastions comme le Pas-de-Calais, et le FN remporterait plus de 100 cantons.
LCP - Guedj (PS) : "problème éthique et moral" dans le soutien de Sarkozy à Tron
Jérôme Guedj, le président (PS) du conseil général de l'Essonne, a qualifié lundi de "petit problème éthique et moral" le fait que Nicolas Sarkozy vienne soutenir lundi soir Georges Tron, renvoyé aux assises pour viols et agressions sexuelles.
17 mars
Dans le cadre du projet de loi santé, deux amendements interdisant le recours aux mannequins dénutris et l’apologie de l’anorexie ont été déposés ce matin à l’Assemblée nationale par le député PS de l’Isère, le Dr Olivier Véran, neurologue au CHU de Grenoble, par ailleurs rapporteur du volet Promotion et prévention du projet de loi.
Le Figaro - Bouches-du-Rhône : le socialiste Mennucci veut en finir avec Guérini
Le député de Marseille appelle les électeurs à ne pas voter pour le président sortant du Conseil général des Bouches du Rhône mais pour les socialistes.
Libé - PS, UMP, et FN : «La tripartition est un système transitoire»
Jérôme Fourquet, directeur à l’Ifop, analyse les conséquences de la montée de l’extrême droite.
Pour Jérôme Fourquet, directeur du département opinion publique à l’Ifop, l’élimination toujours plus fréquente des candidats PS ou UMP aux premiers tours des scrutins majoritaires peut précipiter la recomposition du paysage politique. De Valls à Juppé, plusieurs responsables de partis ne disent pas autre chose.
16 mars
La journaliste reçoit Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti Socialiste. Son portrait, dans l'exercice de sa fonction, ainsi qu'un débat autour d'un thème d'actualité sont les temps forts de l'émission qui se termine par la réponse aux questions diverses, sur la base de SMS ou de questions postéessur les réseaux sociaux par les téléspectateurs.
Rendre le vote obligatoire permettrait-il de résoudre la crise démocratique qui sévit en France ? L’écologiste François de Rugy le pense, lui qui a déposé une proposition de loi en ce sens. Il a trouvé ce dimanche 15 mars deux soutiens de poids dans la majorité socialiste alors qu'une note d'un think-tank proche du PS plaide en ce sens.
Libé - Sondage: popularité en baisse pour Hollande et Valls
François Hollande et Manuel Valls continuent de perdre les points de popularité acquis après les attentats de janvier avec respectivement 27% et 40% de bonnes opinions, selon un sondage BVA-Orange-iTELE publié samedi.
Le Lab - Manuel Valls met en garde les communistes, qui "peuvent disparaître"
Quoi qu’il en dise, Manuel Valls ne réserve pas ses coups au seul Front national. Dans le Journal du Dimanche de ce 15 mars, le Premier ministre en campagne adresse une sérieuse mise en garde aux communistes dans la perspective de 2017.
Libé - En visite à Amiens, Najat Vallaud-Belkacem joue à domicile
A quelques jours des départementales, la ministre de l'Education nationale s'est rendue vendredi soir dans le quartier de son enfance, pour une visite politique aux airs de retour aux sources.
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Claude Bartolone "je le dis et je ne suis pas sous ectasy : le pays est en train de bouger"
Claude Bartonole, président de l'Assemblée nationale est l'invité de Marc Fauvelle avec Clarisse Verhnes de France 3 et Henri Vernet du Parisien-Aujourd'hui en France.
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L'actualité des socialistes du 9 au 22 février (mise à jour)
A la une
Francetvinfo - Rechute de popularité pour Hollande et Valls
Après le bond spectaculaire du mois de janvier, le chef de l'Etat et son Premier ministre voient leur cote de popularité reculer en février, selon un sondage publié dans "Le journal du dimanche".
22 février
Slate - Le choc brutal des légitimités économique et démocratique
Sur la loi Macron comme en Grèce se joue un affrontement entre les engagements pris devant les électeurs et les contraintes extra-politiques, entre les promesses et le savoir économique.
Razzy Hammadi ne veut pas revivre le psychodrame de la loi Macron. Et pour cela, le député de Seine-Saint-Denis a une proposition simple: interdire aux députés PS de voter contre les textes du gouvernement. Une mesure que l'élu verrait bien être intégrée au "règlement du parti" lors du congrès de Poitiers, comme il le confiait au Figaro jeudi . Problème ? Cela n'est pas vraiment compatible avec la Constitution qui stipule dans son article 27 que "tout mandat impératif est nul" et que le "droit de vote des membres du Parlement est personnel." Vendredi 20 février, l'ancien président du MJS a donc été obligé de mettre un peu d'eau dans son vin.
Is it a plane ? Is it a bird ? No, it's Arnaud Montebourg. Qu'on se le dise : ce n'est pas un miroir, fut-il gigantesque, qui va empêcher l'ancien ministre de l'Économie de faire ce qu'il lui plait. Arnaud Montebourg sera donc bien à Princeton lundi 23 février pour donner une conférence. Ce qui n'était pas garanti.
Le Lab - Comment les socialistes ont essayé de gagner la voix de Thomas Thévenoud sur la loi Macron
Le gouvernement de Manuel Valls n'était pas prêt à tout pour faire voter la fameuse loi Macron. Pas question, par exemple de devoir l'adoption à un député centriste ou UMP. Mais l'exécutif se serait quand même bien accommodé de la voix de Thomas Thévenoud.
L'Obs - Six Français sur dix pensent que le PS va imploser après la loi Macron
Six Français sur dix pensent que le Parti socialiste va imploser, à la suite des divisions nées du débat sur la loi Macron, selon un sondage Odoxa pour CQFD et iTELE publié vendredi.
DNA - Élections départementales : de 30 à 40 départements pourraient basculer
Entre trente et quarante départements, sur 101, semblent susceptibles de basculer à droite lors des élections départementales des 22 et 29 mars.21 février
Libé - Frondeurs: ressentiment et interrogations chez les socialistes
Le coup d’éclat des «frondeurs» sur la loi Macron a laissé des traces profondes de ressentiment chez plusieurs socialistes qui, pour certains, vont jusqu’à prôner l’exclusion pure et simple de ces députés rebelles.
Cette solution radicale de l’exclusion n’a toutefois pas les faveurs d’importantes personnalités socialistes, qui reconnaissent cependant que le PS doit observer une plus stricte discipline majoritaire.
Europe 1 - Pour Valls, le 49-3 est la faute de… Cambadélis
L’exécutif veut tirer les leçons de "l'épisode 49.3". Et surtout comprendre comment il en est arrivé à être contraint d'utiliser cette arme constitutionnelle pour faire passer la loi Macron. Selon les informations d'Europe 1, un homme est particulièrement dans le viseur de Manuel Valls : Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du parti socialiste est clairement accusé de ne pas avoir fait son job.
Difficile de s'y retrouver dans la loi Macron, car il y a tout et n'importe quoi : libéralisation du transport de car, travail le dimanche, révision des modalités de licenciement, financement des entreprises, etc. Mais il y a un article de loi injustement méconnu : il s'agit de l'article 34 sur l'allègement de la fiscalité des actions gratuites.
LCP - Thierry Mandon : les frondeurs « ne peuvent pas avoir des responsabilités » au PS
Le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat et à la Simplification était l’invité de Parlement hebdo sur Public Sénat et LCP-AN ce vendredi. Interrogé sur les « frondeurs » du PS qui ont contraint Manuel Valls à avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour passer en force sur la loi Macron, il a appelé à une forme de sanction
Les Echos - "Loi Macron" : et maintenant ?
Le texte a été adopté en première lecture à l'Assemblée au prix d'un recours douloureux à l'article 49-3. Il doit maintenant être examiné par le Sénat avant de subir l'épreuve de la seconde lecture au Palais-Bourbon. Dans quelles conditions ?
20 minutes - Motion de censure: «L’UMP est dans une obsession de revanche»
INTERVIEW C'est ce qu'estime Pouria Amirshahi, député PS des Français établis à l'étranger, et frondeur qui ne votera pas la motion de censure ce jeudi...
20 février
LCP - Hamon (PS) ne votera "évidemment" pas la motion de censure
Un des porte-voix de l'aile gauche du PS, Benoît Hamon, a dit jeudi qu'il ne voterait "évidemment" pas la motion de censure dans l'après-midi, estimant toutefois que la politique économique et budgétaire du gouvernement "échoue".
Le Point - 49.3 : le fossé se creuse entre PS et frondeurs
Les députés frondeurs n'excluent plus un changement de Premier ministre, tandis que le président du groupe Bruno Le Roux les appelle à "se ressaisir".
Le président de l'Assemblée appelle au rassemblement des socialistes après le traumatisme causé par le recours à l'article 49-3.
Slate - Derrière le 49-3 se cache le congrès du PS
Les grandes déclarations des uns et des autres sur la question du travail le dimanche ne servent que d’éblouissement idéologique alors que les choses importantes se passent dans les sombres coulisses: combien de voix chaque «motion» récoltera en juin? Qui mettra la main sur Solferino?
Le Figaro - Michèle Delaunay : « Le gouvernement a cédé au lobby du tabac »
INTERVIEW - Pour la députée PS de la Gironde et cancérologue, l'adoption d'un nouveau mode de calcul de la taxe du tabac résulte de la pression des cigarettiers et des buralistes.DÉCRYPTAGE Anticipant une nouvelle vague UMP et la montée du FN, le PS craint également des alliances naissantes à sa gauche.L'Obs - "Tout cela va se payer" : les députés dans la zone de turbulences
Au PS, frondeurs et partisans du texte d'Emmanuel Macron ont, sans surprise, campé sur leur position ce mercredi. Du pain béni pour l'opposition.
Boursorama - La loi Macron creuse les divisions du PS avant son congrès par Elizabeth Pineau
PARIS, 18 février (Reuters) - Le Parti socialiste sort plus divisé que jamais de la crise politique liée à la loi Macron, à quatre mois d'un congrès interne qui s'annonce aussi orageux que les récents débats entre le gouvernement et une partie de sa majorité.
19 février
Malgré l'annonce du gouvernement de recourir à l'article 49.3 et le fait que la loi Macron sera donc -vraisemblablement- adoptée, tout ne semble pas perdu pour les députés PS frondeurs qui espèrent encore faire plier l'exécutif sur sa ligne économique. Quitte à ce que cela entraîne le départ de Manuel Valls. Le changement de Premier ministre? "C'est une option" confirme Christian Paul, invité sur LCI, mercredi 18 février.
Libé - Loi Macron, Aubry «regrette qu'on n'ait pas continué à discuter»
Les réactions politiques sont nombreuses au lendemain de la décision du Premier ministre d'avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer la loi Macron.
"Ce n'est pas un politique." "Il n'a pas encore tous les codes du milieu." Ces déclarations de ténors socialistes pour parler d'Emmanuel Macron avant le début de l'examen de sa loi prennent désormais un sens nouveau. Au lendemain de la décision de Manuel Valls de passer en force, via le 49.3, c'est bien de l'échec du jeune ministre de l'Economie dont il est question.
Le Monde - Après Macron et Valls, François Hollande justifie le recours au 49-3
Après Emmanuel Macron et Manuel Valls, c'est au tour de François Hollande de justifier le recours à l'article 49-3 pour le projet de loi Macron.Marianne - Loi Macron : mais pourquoi Valls a-t-il choisi le passage en force ?
Manuel Valls vient donc d'annoncer qu'il utilise le mécanisme du 49-3 pour faire passer la loi Macron. Une surprise puisque les pronostics sur les votes étaient plutôt positifs. Une mauvaise nouvelle pour l'exécutif s'il envisageait de jouer la carte du rassemblement...
Hufington Post - Emmanuel Macron n'a pas sa carte de membre du Parti socialiste
Il a poursuivi ce qui devait être le service après-vente de sa loi. Après le 20 heures de France 2 mardi soir, Emmanuel Macron était sur RMC et BFMV ce jeudi matin. Mais le ministre de l'Economie en est réduit dans les deux cas à justifier le passage en force du gouvernement pour faire adopter son texte. "C'est un acte de responsabilité, pas d'autorité", a-t-il tenté de faire croire.
FranceTVinfo - La fracture profonde de la majorité
Au lendemain du passage sans vote de la loi Macron à l'Assemblée, la division est bien marquée entre le gouvernement de Manuel Valls et les dissidents de gauche, notamment socialistes.
Huffington Post - Loi Macron : les députés frondeurs menacés d'exclusion du PS
Au lendemain du recours à l'article 49-3 de la Constitution, certains défenseurs de la loi Macron l'ont mauvaise. En témoignent les menaces formulées par Stéphane Le Foll ou encore Bruno Le Roux à l'encontre des frondeurs qui ont poussé l'exécutif à faire passer en force le texte d'Emmanuel Macron.
Huffington Post - Motion de censure: les frondeurs ont-ils réfléchi au coup d'après?
.... Pas question en effet pour un seul frondeur de joindre sa voix à celle de l'opposition, pas plus que pour les élus écologistes. "Ne perdez pas votre temps avec ça, il n'y aura aucun frondeur qui la votera, la motion de censure", éludait dès mercredi Laurent Baumel qui ne préfère pas réagir aux menaces d'exclusion de la part du gouvernement.
L'Humanité - Les députés de gauche cherchent une parade au 49-3
Après le coup de force de mardi, la tension n’est pas retombée et le fossé ouvert à gauche est loin d’être comblé entre les deux lignes qui mettent aux prises un gouvernement minoritaire et des députés cherchant à faire respecter le Parlement. Au cœur des débats, le vote sur la motion de censure, prévu cet après-midi.
Professeur à Sciences-Po, le politologue Pascal Perrineau tire les enseignements du recours au 49-3 sur la loi Macron, et met en garde la classe politique : « L’opinion est inquiète et même en colère ».
Le Monde, Les décodeurs - Pourquoi la motion de censure a très peu de chances de passer
Découlant logiquement de l'utilisation de l'alinéa 3 de l'article 49 de la Constitution, l'Assemblée votera, jeudi 19 février, une motion de censure contre le gouvernement. Déposée par l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et l'Union des démocrates et indépendants (UDI), celle-ci a très peu de chances de passer. La motion de censure, si elle est approuvée, entraîne la démission du gouvernement. Jamais cependant une motion de censure n'a été adoptée après l'utilisation du 49-3.Pour la première fois sous le quinquennat de François Hollande, le gouvernement a décidé, ce mardi 17 février, d'avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution sur la loi Macron. Cet article autorise le gouvernement à faire adopter un texte sans vote, le seul moyen de l’empêcher étant le vote d’une motion de censure par la majorité absolue des députés dans les 24 heures.
La Tribune - Loi Macron : Valls dégaine le "49-3" pour faire passer le texte en force
Inquiet de ne pas avoir de majorité, Manuel Valls a décidé d'utiliser l'article 49-3 pour faire passer la loi Macron
18 fevrier
INFO LCI. La loi Macron sera-t-elle votée ? Conseil des ministres exceptionnel à l'Elysée
Le Premier ministre a déclaré mardi matin devant les députés socialistes qu'à ce stade, le projet de loi Macron "ne passe pas" le cap du vote de l'Assemblée, ont rapporté plusieurs parlementaires à l'AFP. Selon nos informations, un conseil des ministres exceptionnel doit avoir lieu à 14h30 à l'Elysée.
Le JDD - Manuel Valls craint un rejet de la loi Macron
A quelques heures du vote prévu à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Manuel Valls a affirmé mardi matin devant les députés PS qu'à ce stade, "la loi Macron ne (passait) pas". Une partie des frondeurs socialistes envisage en effet de voter contre le texte du ministre de l'Economie, de même qu'une grande majorité des députés écologistes et des élus Front de gauche.
15, 16 et 17 février
Libé - Benoît Hamon (PS) votera contre la loi Macron
L’ancien ministre et député socialiste Benoît Hamon a annoncé dimanche qu’il voterait «contre» la loi Macron, regrettant que le gouvernement n’ait pas introduit dans le texte un plancher minimum de compensations pour les travailleurs du dimanche.
Non, Arnaud Montebourg ne s'est pas rangé parmi les soutiens de la loi Macron, qui doit être votée ce mardi 17 février à l'Assemblée. Un écho du Parisien relayait des propos de l'ancien ministre appelant les députés socialistes à voter le texte. Auprès du Lab, l'ancien ministre dément cette déclaration. Ce qu'avait souligné ce matin Benoît Hamon sur France Inter.
RTL - Hamon tacle Cambadélis, Valls le recadre : un mini congrès PS avant l'heure
LE DÉCODEUR POLITIQUE - En 24 heures, les piques lancées entre Benoît Hamon et Manuel Valls ont donné un avant-goût du congrès socialiste qui se tiendra en juin
Le JDD - Loi Macron : Hamon et les frondeurs font de la résistance
L'ancien ministre Benoît Hamon comme plusieurs députés frondeurs devraient voter mardi contre la loi Macron. Une position qui agace au plus haut point l'exécutif.
Libé - Loi Macron : la pêche aux voix in extremis
Après des semaines de débat, l’adoption définitive du texte a lieu ce mardi. Le nombre de votes contre côté PS s’annonce inédit.
L'Obs - Valls "sous influence juive" : BHL dénonce une "phrase immonde"
Répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin, l'ancien ministre PS Roland Dumas a provoqué un tollé en affirmant que Manuel Valls était "probablement" sous "influence juive".
Le Monde - Départementales : les écologistes préfèrent s’allier au Front de gauche
Chez les écologistes, la constitution des listes pour les élections départementales a relevé du travail de dentelle. Dans ce parti décentralisé, chaque région, voire chaque département, a eu toute latitude pour décider de sa stratégie d’alliance et du nom de ses candidats. Dans de nombreux départements, les choix se sont même faits canton par canton, ce qui peut donner un résultat en apparence confus.Le député PS "frondeur" Laurent Baumel souhaite que le système politique français se rééquilibre au profit du parlement, ce qui permettrait, à ses yeux, la suppression du droit de dissolution et de l'article 49/3. Dans une interview à L'Obs publiée aujourd'hui, l'élu d'Indre-et-Loire parle de "monarchie républicaine sans contre-pouvoirs parlementaires". Il déplore une "relégation des parlementaires au profit des cabinets ministériels", ce qui "coupe le pouvoir des réalités sociales".
Challenges - Travail dominical: "un recul démocratique" selon Hidalgo
C'est la dernière ligne droite pour le projet de loi Macron à l'Assemblée Nationale. Le débat se focalise sur la réforme du travail dominical, contre laquelle la maire de Paris s'insurge
RTL -Travail le dimanche : Macron dit non aux frondeurs
Agitant la menace de ne pas voter la loi, les députés PS "frondeurs" ont appelé Emmanuel Macron au "compromis politique" ce samedi.
Libé - Travail dominical: les frondeurs appellent Macron au «compromis», celui-ci dit non
Les députés PS «frondeurs» ont appelé samedi Emmanuel Macron au «compromis politique» sur le travail le dimanche, menaçant de ne pas voter son projet de loi mardi, mais le ministre a rejeté tout «compromis de façade» pour «rallier des voix».
Libé - Loi Macron: match en vue sur le volet social
Tout le monde attend le match gouvernement-frondeurs qui devrait se jouer ce week-end sur les bancs de l’Assemblée nationale. En jeu, les discussions sur le volet social du projet de loi pour l’activité, la croissance et l’égalité des chances économiques du ministre de l’Économie, Emmanuel Macron. Réforme des licenciements collectifs, allégement des sanctions applicables en cas d’entrave au fonctionnement des institutions représentatives du personnel, réforme prud’homale et mise en place d’un barème des indemnités de licenciement: les sujets de désaccord s’annoncent nombreux avant le vote global, mardi après-midi. Sans oublier l’enjeu du travail dominical qui divise la majorité.
Libé - Loi Macron : les frondeurs réduits à suivre le mouvement
Malgré des interventions visant à attaquer le projet de loi, les députés PS contestataires pèseront peu dans la balance lors du vote.
Libé - La caution de deux «frondeurs» sur le travail dominical
Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux, les appelle ses «super-héros». Sa «carte maîtresse» pour emporter la pleine adhésion des socialistes lors du vote du projet de loi Macron le 17 février. C’est que Stéphane Travert et Denys Robiliard, rapporteurs thématiques des deux chapitres du texte les plus polémiques à gauche - l’ouverture des commerces le dimanche et la réforme du droit de licenciement économique -, sont étiquetés «frondeurs».
FranceTVinfo - Loi Macron : feu vert au travail du dimanche
En France, le texte sur le travail du dimanche va être assoupli et étendu. L'article du projet de loi Macron a été voté par les députés ce samedi 14 février.
Le Parisien - Les ministres bâillonnés pour le congrès du PS
Pour éviter les couacs, Matignon a donné l'ordre aux ministres de ne pas signer de contribution en vue du congrès du PS, en juin. Des consignes qui agacent.
Le Parisien - PS : le coup de force de Cambadélis
Jean-Christophe Cambadélis fait plus que jamais figure de favori pour garder la tête du PS. L'actuel patron des socialistes dévoile ce matin la liste de ses soutiens en vue du congrès prévu en juin à Poitiers (Vienne). Selon nos informations, pas moins de 270 parlementaires le rejoignent.
12, 13 et 14 février
Boursier.com - Les cotes de François Hollande et Manuel Valls retombent
Un mois après les attentats de Paris, François Hollande et Manuel Valls perdent respectivement 5 et 6 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio.
L'Express - Le régime des intermittents introduit dans la loi au printemps
Paris, 11 fév 2015 - Le Premier ministre Manuel Valls a précisé mercredi que le régime spécifique des intermittents du spectacle serait inscrit dans la loi "rapidement, dès la mi-2015", probablement dans le projet de loi de modernisation du dialogue social présenté au printemps.
Le Lab - Quand Hollande, Moscovici et Pellerin faisaient l’école buissonnière à la Cour des comptes
La Cour des comptes dévoile ce mercredi 11 février son traditionnel rapport public annuel, diagnostic redouté de la gestion de la dépense publique en France. L’occasion de se pencher sur les jeunes années passées à la Cour des comptes par François Hollande et d’autres figures de la majorité issues de l’institution fondée par Napoléon Ier.
Les Echos - Départementales : dans les Bouches-du-Rhône, Guérini mène toujours le bal à gauche
L’ex-homme fort du Parti socialiste, qui n’a pas perdu son influence sur la gauche départementale, se présente à Marseille.RECONVERSION BIS - Selon l’AFP, l’ancien ministre de l’Economie et du Redressement productif va donner des cours de macroéconomie à Princeton, une prestigieuse université américaine du New Jersey du 16 au 26 février.Le Monde - Les députés ne pourront plus acheter leur permanence avec leur indemnité
Un pas de plus vers le contrôle. Mercredi 18 février, en recevant le rapport des députés-questeurs en charge des finances du Palais-Bourbon, le bureau de l’Assemblée nationale devrait prendre une décision radicale concernant l’IRFM, cette « indemnité représentative de frais de mandat » dont dispose chaque député. D’un montant de 5 770 euros bruts mensuels, elle s’ajoute à la rémunération nette des élus et est régulièrement l’objet de critiques et de polémiques car elle n’est soumise à aucun contrôle et non imposable. Plusieurs députés se sont déjà fait attraper la main dans le sac, utilisant cette somme normalement réservée à leurs frais professionnels pour des cadeaux ou des voyages personnels. Si le président (PS) de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a déjà fait baisser de 10 % cette indemnité dès le mois de juin 2012, des anomalies persistent dans son utilisation.L'Express - Congrès du PS: qui défiera vraiment Jean-Christophe Cambadélis?
Par la pluie de textes déposés en amont du Congrès du PS, les socialistes manifestent plus leur envie de débat que de changement de tête. Mais si les départementales se passaient mal, qui pourrait monter au créneau pour briguer le poste de premier secrétaire du parti?
11 février
Le Dauphiné Libéré - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a un risque d’éclatement du PS»
Dans une interview à paraître demain dans notre journal, Jean-Christophe Cambadélis n’exclut pas le risque d’éclatement du parti socialiste, dont il est le Premier secrétaire
Le JDD - Trois ministres se risquent aux départementales
Peu de membres du gouvernement mèneront campagne. Cinq d’entre eux ont un mandat départemental, mais seuls Patrick Kanner, André Vallini et Ségolène Neuville se représentent.
Le Figaro - À Marseille, Manuel Valls tourne la page des attentats
Le déplacement de deux jours du premier ministre dans la Cité phocéenne s'est déroulé dans une ambiance tendue, bien loin de l'état d'esprit des manifestations du 11 janvier.
L'Obs - Barbier devant les députés PS: "cette victoire est collective"
Le socialiste Frédéric Barbier, qui a remporté dimanche face au FN la législative partielle dans le Doubs, a salué mardi devant les députés de son groupe une "victoire collective", a constaté une journaliste de l'AFP.
L'Express - Congrès du PS: à quoi joue Martine Aubry avec sa contribution?
Martine Aubry n'a pas signé la contribution de Jean-Christophe Cambadélis, en amont du Congrès de Poitiers. Pire: la maire de Lille a déposé sa propre contribution. Mais elle n'en est pas encore à vouloir reprendre la tête du PS.Le JDD - Karine Berger : "La gauche a le devoir absolu de réhabiliter l'impôt citoyen"INTERVIEW – La députée socialiste, Karine Berger, se dit "choquée" par l'affaire des Swissleaks, qui met en lumière un vaste système de fraude fiscale via la banque HSBC. Membre de la commission des finances de l'Assemblée nationale et secrétaire national du PS à l'Economie, elle redoute les conséquences de ce nouveau scandale.
10 février
Le Figaro - Sondage : après l'embellie post-Charlie Hebdo, François Hollande replonge
La hausse spectaculaire du président de la République dans les sondages aura été de courte durée selon le baromètre Ipsos-Le Point.
Le Monde - Quand Jean-Christophe Cambadélis cible Bruno Le Maire
Bruno le Maire, l’homme le « plus dangereux » à l’UMP ? C’est en tout cas l’avis de Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS. Dimanche, sur Radio J, le premier secrétaire, au lendemain du conseil national de l’UMP, a également estimé que Nicolas Sarkozy « fait flop », Alain Juppé « fait toc ».C'est devenu un classique, à droite, pour justifier une défaite ou évoquer une bataille électorale impliquant le FN et le PS : les renvoyer dos à dos. C'est ce qu'a fait Brice Hortefeux, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, à propos de l'élection partielle du Doubs, remportée sur le fil par le PS.Le Monde - Travail le dimanche : Hidalgo conditionne son soutien aux nouvelles zones
La maire de Paris, Anne Hidalgo (PS), s'est dite ouverte, lundi 9 février, à la création de zones touristiques internationales à Paris, prévues par le volet sur le travail du dimanche de la loi Macron. L'édile a cependant conditionné ce soutien à la condition que le dernier mot revienne aux élus locaux plutôt qu'à l'Etat.Le Point - Législative dans le Doubs : le PS l'emporte d'une courte tête
Le socialiste Frédéric Barbier est élu : il obtient 51,43 % des voix contre 48,57 % à la candidate du Front national Sophie Montel.
Le Parisien - Législative dans le Doubs : Frédéric Barbier (PS), le discret laboureur
... Frédéric Barbier, 54 ans, cadre d'Electricité réseau distribution France (ERDF), est un homme de terroir d'un naturel prudent. Vice-président du conseil général du Doubs depuis 2011, cet enfant du pays (il est né à Audincourt et a grandi à Pont-de-Roide, dont il a été premier adjoint au maire) est propulsé au Palais-Bourbon en 2012 en tant que suppléant de Pierre Moscovici, nommé ministre de l'Economie.
9 février
Marianne - PS : à l'approche du congrès, alerte au tripatouillage !
Le PS réunit son Conseil national ce samedi. A cinq mois du prochain congrès, la tension monte d'un cran entre les différentes sensibilités du parti. En cause, le flou artistique qui règne autour du nombre exact d'adhérents ainsi que des suspicions de "ménages de printemps" qui seraient en cours au sein de certaines fédérations. Entre la direction et l'aile gauche, c'est désormais à couteaux tirés...L'Obs - Le Foll pointe une "radicalisation de droite" de la nouvelle génération UMP
Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, a pointé dimanche "une nouvelle génération" à l'UMP positionnée "sur une radicalisation de droite", citant Laurent Wauquiez et Bruno Le Maire.
Même s'il ne met pas "sur le même plan" l’État hébreu et Daech, Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS, a déploré dimanche 08 février que l'on assimile les juifs à Israël et les musulmans à l'organisation État islamique.
ÉCLAIRAGE - Le parti se lance dans une longue campagne afin que ses militants désignent leur prochain premier secrétaire.Pour le numéro un du PS, Nicolas Sarkozy "fait flop", Alain Juppé "fait toc", et le "plus dangereux" à l'UMP, c'est Bruno le Maire. -
Claude Bartolone: «Il n'y a pas d'avenir à la gauche du PS» par Mediapart
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Claude Bartolone "Sans union la gauche peut être éliminée dans 500 cantons" par Mediapart
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