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Claude Bartolone: «Oui on peut combattre Daech, oui on peut triompher de Daech!»
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Bartolone : "Il faut savoir reconnaître ses amis et ses ennemis"
Bartolone : "Il faut savoir reconnaître ses... par Europe1fr -
Claude Bartolone "Ce que les terroristes ont voulu tuer, c'est notre art de vivre"
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L'actualité des socialistes du 3 au 15 novembre (mise à jour)
A la une
RTL - Attentats à Paris : "La France pleure ses morts", dit Jean-Christophe Cambadélis
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a réagi samedi 14 novembre à l'attaque terroriste qui a touché Paris et Saint-Denis, vendredi soir.
14 et 15 novemrbe
A l'issue de près de deux heures de débat intense dans un hémicycle inhabituellement garni pour un débat budgétaire, les députés ont donné leur feu vert, 35 voix contre 21, à l'amendement de Jean-Marc Ayrault et de Pierre-Alain Muet (PS), présenté dans le cadre du projet de budget de l'Etat pour 2016.
La Tribune - Amendement Ayrault-Muet : vers une CSG progressive ?
La CSG va-t-elle devenir progressive ? Sans doute pas, mais une petite brèche a été ouverte avec le vote de l'amendement au projet de loi de finances 2016, défendu par les deux députés PS, Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, était adopté. Il faut dire que cet amendement a reçu un accueil favorable de 161 députés socialistes - soit plus de la moitié du groupe - mais aussi des députés écologistes et d'une partie des radicaux de gauche. Aussi, à son corps défendant Manuel Valls a dû accepter la présentation de cet amendement.
Le Figaro - CSG : Ayrault passe en force contre le gouvernement
Le gouvernement ne voulait pas de cet amendement. Mais cent soixante députés socialistes l'avaient paraphé. Jeudi après-midi, l'examen à l'Assemblée nationale de l'amendement de Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet qui amorce une progressivité de la CSG a provoqué une bataille feutrée entre l'exécutif et la majorité. Il a été adopté avec 35 voix pour et 21 contre sur 56 votants. Sans passion et sans que le ministre des Finances s'y oppose.L'ex-Premier ministre propose de remplacer une part de la future prime d’activité par une baisse de la CSG. L'Assemblée l'a suivi malgré les réserves du gouvernement.Sur l’amendement Ayrault-Muet, le gouvernement était contre mais a dû plier devant la mobilisation de sa majorité, donnant à nouveau un sentiment de confusion sur un sujet, il est vrai, très technique.12 et 13 novembre
Public Sénat - Régionales: Jean-Christophe Cambadélis (PS) appelle Valls à la « cohérence »
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a appelé jeudi « tous les socialistes », y compris Manuel Valls, à la « cohérence » et à "se concentrer sur le premier tour" des élections régionales, alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes avec la droite face au FN.
Pierre de Saintignon, tête de liste PS aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé jeudi à Manuel Valls de "cesser ces petites phrases qui nuisent à notre campagne", alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes gauche-droite face au FN.
Public Sénat - Fusion des listes PS/LR : Le dernier « tabou » de Manuel Valls en passe d’être levé
A trois semaines des régionales, Manuel Valls a réaffirmé cet après midi la possibilité d’une fusion entre les deux tours des listes PS et les Républicains dans les régions où le FN est en tête des sondages. Un plan anti-FN rejeté par la droite mais qui fait son chemin à gauche.
Slate - Montebourg 2017, la possibilité d'une candidature
Les événements inciteraient irrésistiblement Montebourg à se porter candidat à la primaire socialiste de 2016.
Quelque part en France, un homme fougueux se débat avec une vie un tantinet compliquée. Papa d’un bébé né bien avant terme, il ne saurait négliger sa vie de famille. Entrepreneur néophyte, le voici confronté à des responsabilités inédites pour lui. Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Arnaud Montebourg guette, dans la «marche vers le désastre» conduite vaillamment par François Hollande, l’opportunité de revenir au centre de la vie publique.
Europe 1 - Fusion des listes aux régionales : Aubry s'oppose à Valls
La maire de Lille n'apprécie pas du tout l'idée de Matignon de fusionner les listes de gauche avec celle des Républicains pour barrer la route au FN.
INFO EUROPE 1 - Comme l'a révélé Europe 1, le Premier ministre Manuel Valls plaide pour une fusion des listes de gauche avec celle des Républicains dans l'hypothèse où le FN arriverait largement en tête au deuxième tour des régionales dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Marine Le Pen est donnée favorite. Et cela ne plaît pas du tout à Martine Aubry.
Le Point - CSG : le gouvernement se prépare à soutenir l'amendement Ayrault
EXCLUSIF. L'amendement de l'ancien Premier ministre devrait être adopté. Matignon confirme son soutien sous réserve de lever les derniers obstacles techniques.
Boursorama - CSG : objectifs et obstacles de "l'impôt citoyen" de Jean-Marc Ayrault
Dans un amendement, Jean-Marc Ayrault, propose de réunir la CSG et l'impôt sur le revenu. Grâce à un report d'une partie de la prime d'activité, la CSG serait également réduite pour les bas revenus (moins de 1,3 smic). L'ancien premier ministre aurait réuni près de 190 députés autour de sa proposition, dont 161 socialistes. Le gouvernement de Manuel Valls pourrait être contraint de suivre.
10 et 11 novembre
L’ancien Premier ministre est venu défendre à Matignon son amendement, soutenu par plus de 160 députés PS, amorçant le rapprochement entre l’impôt sur le revenu et la CSG. Manuel Valls a évoqué la perspective d'un «accord», à condition de lever «toutes les difficultés techniques, juridiques». Le texte doit être débattu jeudi à l’Assemblée.Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a exprimé mardi ses réserves sur l'amendement de l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault visant à amorcer le rapprochement entre l'impôt sur le revenu et la CSG, estimant que cette dernière avait des "vertus".C'est un pavé dans la mare de François Hollande et Manuel Valls. L'ancien Premier ministre et député PS Jean-Marc Ayrault a déposé un amendement détonnant au projet de loi de finances 2016. Ce texte amorce une fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG.Le Front de gauche ne soutiendra pas l'amendement Ayrault-Muet visant à amorcer un rapprochement entre impôt sur le revenu et CSG, car il refuse une évolution de cette contribution en "levier de fiscalité", a indiqué mardi son chef de file à l'Assemblée, André Chassaigne.Le Point - Amendement CSG : Ayrault sera reçu par Valls
Les deux hommes discuteront mardi matin de la proposition de rendre la CSG progressive qui avait obtenu le soutien d'un centaine de députés PS.
Le JDD - Impôts : quand Ayrault convainc Hollande
L’exécutif cherche un compromis avec l’ancien Premier ministre sur une réforme de la CSG, jusqu’ici repoussée, qui s’appliquerait en 2017. La mesure est largement soutenue à gauche.
Un ex-Premier ministre qui convainc son président de lancer une réforme fiscale jusque-là repoussée, c'est l'étonnante histoire en passe de se dérouler cette semaine. Les députés doivent examiner jeudi un amendement de Jean-Marc Ayrault signé par 160 socialistes dont plusieurs anciens ministres (Kader Arif, Michèle Delaunay, Frédéric Cuvillier…). Son but est de réduire la CSG des salariés modestes directement sur leur feuille de paie, par imputation de la nouvelle prime d'activité (ex-RSA). Une forme de rapprochement de la CSG avec l'impôt sur le revenu, qui sera prélevé à la source en 2018. Une façon de tenir cette promesse, jamais appliquée, du candidat Hollande. "Cet amendement correspond au souhait d'une majorité du groupe de poursuivre le chantier des réformes et de donner des signaux à la gauche sans compliquer la tâche de l'exécutif", argumente Jean-Marc Ayrault.
Le Figaro - Pour Valls, «les Français sont à cran vis-à-vis de l'impôt»
Il y a un mois, Michel Sapin avait trouvé l'idée «intéressante» mais «complexe». Ce dimanche, Manuel Valls a employé la même méthode pour commenter la proposition de son prédécesseur Jean-Marc Ayrault de remplacer l'impôt sur le revenu et la CSG par un impôt citoyen sur le revenu. «C'est une belle idée, mais je ne suis pas sûr que les Français lient automatiquement l'impôt et la citoyenneté», a-t-il déclaré sur i-Télé et Europe 1. Refuser, mais sans froisser. C'est pourquoi l'amendement sera «examiné de la manière la plus précise possible» dans le débat sur le budget 2016 à partir de jeudi à l'Assemblée nationale.
ON VA PAS PINAILLER - Le matin, la porte-parole du PS est d'humeur badine. Sur le plateau de LCP, lundi 9 novembre, Juliette Méadel a balayé d'un revers de main les critiques des écologistes sur l'annonce par le gouvernement de la reprise des travaux de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique. Interrogée sur les difficultés que ce débat pourrait ajouter à l'union de la gauche pour le second tour, la jeune socialiste a livré une explication pour le moins inattendue.
Francetvinfo - Régionales : le FN provoque un dilemme au PS
La percée du FN pour les élections régionales place le PS en position délicate. Dans certaines régions, la gauche n'arriverait qu'en 3e position et se retrouverait face à un dilemme : se maintenir avec le risque de voir gagner le FN ou se retirer et disparaître.
La Tribune - Pourquoi la nouvelle coalition au Portugal est une chance pour l'Europe
Le gouvernement portugais de droite devrait chuter mardi 10 novembre, renversé par une alliance de gauche. Ce nouveau gouvernement représente une nouvelle chance pour la zone euro. Saura-t-elle la saisir?
A gauche, "Mouvement commun" se veut un "Podemos" à la française
Le "Mouvement commun", issu d'une initiative du député PS frondeur Pouria Amirshahi, a été lancé dimanche. Réunissant notamment Cécile Duflot, ou encore Pierre Laurent, il ambitionne "une autre façon d'agir" en politique, à gauche.
9 novembre
Le député PS Pouria Amirshahi lance, avec Noël Mamère et Marie-Noëlle Lienemann notamment, une initiative politico-citoyenne visant à rapprocher les élus de la société civile et à nourrir le débat idéologique à gauche.Dimanche après-midi, Pouria Amirshahi lancera à Montreuil le "Mouvement commun". L’idée est de créer une sorte de "lobby citoyen" menant des campagnes d’opinion. Dans une gauche en décomposition, cette initiative, qui n’est pas la première du genre, parviendra-t-elle à durer et à peser? Les avis sont déjà partagés.
Libé - Pouria Amirshahi lance son Mouvement commun
Un nouveau-né. Ce dimanche, le député socialiste Pouria Amirshahi ouvre la porte du Mouvement commun, «un lobby citoyen», «un grand mouvement qui prépare la France». L'inauguration aura lieu à la maison de l'arbre, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Les organisateurs espèrent attirer «plus de 500 personnes». Au programme : ateliers, rencontres, plénières et lancement d'une Web TV. Sur Internet, le Mouvement commun compte près de 1 500 signataires. Pas mal pour un début. Parmi les participants, on retrouve des politiques, classés à gauche, de premier rang. Ils représentent près de 15 % des signataires. Mais la force est ailleurs. La majorité des âmes est issue de la société civile : sans emplois, étudiants, enseignants, agriculteurs, profs ou artistes.
Basta Mag - Vers un « mouvement commun » ouvert aux citoyens pour refonder la gauche ?
Un énième appel à refonder la gauche ? Pas si sûr. Le « mouvement commun » sera lancé ce 8 novembre à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Initié par le député socialiste Pouria Amirshahi, l’appel affiche de grandes « audaces démocratiques, sociales et écologiques ». Il ambitionne de « construire la France et l’Europe de demain » en inventant « un espoir commun, dans la délibération collective, plutôt que dans l’aventure personnelle ». Pas question, pour le député, de se lancer dans une vaine recomposition d’appareils politiques en déliquescence. « Ce n’est pas un parti de plus, mais un mouvement politique », assure à Basta ! Pouria Amirshahi. « Aller sur le terrain de la compétition électorale est à mon avis contre-productif. » Et ce, quels que soient les résultats des élections régionales et la configuration des scrutins présidentiels en 2017. Le député frondeur veut au contraire « prendre du temps ». Malgré les débâcles annoncées.
Libé - Pierre de Saintignon, l’inconnu socialiste qui se révèle âpre débatteur
Chez Jean-Jacques Bourdin, chez Léa Salamé, en débat face à Marine Le Pen et Xavier Bertrand sur i-Télé : l’inconnu socialiste Pierre de Saintignon s’est retrouvé partout, et on l’a vu se battre. Comme un boxeur, le souffle court. Moins expérimenté que ses deux adversaires, il a une longueur d’avance comme vice-président à la région Nord Pas-de-Calais depuis dix-sept ans, à la fois proche des milieux patronaux, et à l’aise avec les syndicats.
Le Parti socialiste est en ordre de bataille pour les élections régionales, les 6 et 13 décembre prochains. C’est ce qu’affirment les socialistes, disciples de la méthode Coué, alors que la quasi-totalité des sondages annoncent de grandes pertes à gauche.
Challenges - Valls sonne la mobilisation générale contre le Front National et se paie Sarkozy
Le Premier ministre a déclaré qu'il faudra "tout faire" pour éviter que des régions soient gagnées par le FN, et réitéré des propos sous-entendant que le PS serait prêt à pratiquer un "front républicain" avec la droite.
8 novembre
Valls sur Facebook - L’autorité : une exigence, une éthique, des actes.
Dans un monde en perpétuelle effervescence, des images et des faits ont, ces dernières semaines, interpellé nos concitoyens : les violences à Air France ; les scènes d’émeutes de Moirans ; une fusillade mortelle à Marseille ; un violent règlement de compte en marge d’une fête foraine, à Clermont-Ferrand…Tous ces faits sont distincts et indépendants. Ils n’ont ni le même poids, ni la même portée. Pourtant, un débat s’est ouvert. Un débat qui n’a rien de nouveau, mais qui nécessite, une fois encore, des réponses approfondies.
Le Monde - Le PS a-t-il renoncé au front républicain ?
Les élections régionales auront lieu les 6 et 13 décembre. L’idée d’un désistement du Parti socialiste au second tour pour faire obstacle à une victoire du Front national ne fait plus consensus chez les militants.
Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, explique que « l’unité de la gauche maintenant acquise », le PS prendra ses responsabilités pour gagner au second tour. « Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief ».
4, 5, 6 et 7 novembreLe premier ministre Manuel Valls a défendu jeudi 5 novembre son action constante pour défendre l’autorité, face aux accusations de laxisme du Front national et d’une partie de la droite, qu’il accuse à son tour de « singer l’autorité », dans une tribune publiée sur Internet.Alors que Laurent Wauquiez a participé lundi à une réunion organisé par les militants de la Manif pour Tous, le candidat républicain est accusé de "braconner sur les terres du Front National" par le Parti Socialiste.
Libé - Ile-de France : Bartolone, à gauche toute
.... Aide personnalisée au logement rabotée pour les étudiants, demi-part des veufs, don du sang autorisé aux homosexuels abstinents depuis un an... Le cafouillage sur l’allocation handicapés lui inspire cette réflexion : «A Bercy, dans un bureau, il y a un mec qui a pensé : "Pas de bras, pas d’alloc" et on laisse faire ça...» Entre les patinages de la semaine et la sortie de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers définitivement enterré, ce militant tente quand même de se rassurer : «Je sais que Claude a cette distance avec l’exécutif». Sous-entendu, qui le protège. «Je pensais que nous allions totalement décrocher, ajoute-t-il. Et puis non».
Mais si le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement en attribuait la responsabilité à l'ancienne majorité de droite, Jean-Marie Le Guen prétendait alors que le gouvernement n'avait pas vu venir ces augmentations: "Sur la question de la fiscalité des petites retraites, il y avait du mécontentent et on n'avait pas beaucoup d'arguments pour dire que c'était une mesure juste, puisqu'en fait, elle nous avait échappée" reconnaissait-il sur LCP.
Le JDD - Cambadélis défie Valls sur le droit de vote des étrangers
Jean-Christophe Cambadélis s’oppose à Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers. Le Premier ministre veut enterrer la réforme. Le patron du PS tient à concrétiser le programme de François Hollande.
RTL- Droit de vote des étrangers : le Parti socialiste se divise
Manuel Valls a mis les socialistes dans l'embarras en annonçant que le droit de vote des étrangers n'était plus à l'agenda du gouvernement et du parti socialiste lors d'un débat avec les étudiants de Sciences Po mardi 2 novembre.
Libé - Pourquoi le dossier Notre-Dame-des-Landes revient-il en piste ?
Vendredi soir, un communiqué de la préfecture de Loire-Atlantique remet le feu à Notre-Dame-des-Landes. Voilà qu’après le rejet, par le tribunal administratif de Nantes en juillet, des recours déposés par les opposants au projet de nouvel aéroport du Grand-Ouest, des appels d’offres ont été lancés pour que débutent les travaux en 2016. Drôle de timing, à cinq semaines des régionales et moins d’un mois de la COP21.
Boursier - Code du travail : Manuel Valls veut "révolutionner" sans toucher aux 35H
La réforme du Code du Travail, présentée mardi, s'étalera sur deux ans, en commençant par le temps de travail. Le Premier ministre a confié à Robert Badinter une mission pour fixer un socle de droits garantis à tous.
RTL - Un choc fiscal pour huit Français sur dix
REPLAY - REPLAY / INVITÉ RTL - Christophe Caresche, député socialiste de Paris et membre de la commission des finances à l'Assemblée renvient sur le "Portrait social" publié par l'Insee.
PS - « Vous avez dit Front républicain ? »
Dans le tricampisme, le PS et ses alliés assument leur combat au premier tour pour des régions solidaires et écologiques. Nous nous battrons pour créer la surprise dès le premier tour. Puis nous analyserons la situation. L’unité de la gauche maintenant acquise, nous prendrons nos responsabilités pour gagner au second tour. Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief.
Libé, L'édito - François Hollande et l’excellence écologique ? La bonne blague !
En matière d’écologie, on savait l’exécutif champion du grand écart entre le discours et les actes. Alors que François Hollande jurait en 2012 vouloir «faire de la France la nation de l’excellence environnementale», il n’a cessé, depuis, de faire preuve d’incohérence et d’agir exactement dans le sens opposé. Abandon de l’écotaxe poids lourds, choix du tout-routier au détriment de modes de transport plus écologiques, innombrables gages accordés à l’agriculture industrielle, visite présidentielle en Alberta (Canada), là où est extrait des sables bitumineux le pétrole le plus sale du monde, atermoiements sans fin pour cesser les aides à l’exportation des centrales à charbon ou les avantages fiscaux accordés au diesel, coupes incessantes dans les budgets du ministère de l’Ecologie… La liste est loin d’être exhaustive. On avait presque fini par s’y faire. Et même par en rire jaune - c’est meilleur pour la santé et ça permet de ne pas se ruiner en mouchoirs.
Devant l’unanimité des critiques, le gouvernenent a revu sa copie sur la réforme du calcul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Mardi 3 novembre au soir, la secrétaire d’Etat aux personnes handicapées, Ségolène Neuville, a annoncé le retrait de cette disposition du projet de budget 2016.A près d’un mois des régionales et quelques jours après le zigzag sur les impôts des retraités modestes, Manuel Valls a annoncé mardi le report d’un an de l’entrée en vigueur de la réforme controversée des dotations aux collectivités territoriales.
L'Obs - Pouria Amirshahi (PS) lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
"On veut créer un lobby citoyen, (un) grand mouvement qui prépare la France d'après", a expliqué lundi sur RFI le député des Français de l'étranger.
Il voulait créer un Podemos à la française. Voilà donc sa naissance. Comme le révèle Le Monde le 31 octobre, le député PS Pouria Amirshahi va lancer le 8 novembre prochain son "Mouvement commun".
L’idée est simple : créer un mouvement social issu de la société civile pour apporter des propositions concrètes au monde politique. À l'heure où nous écrivons ces lignes, un peu plus de 850 personnes ont signé l'appel.
L'Humanité - Pouria Amirshahi lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
2 et 3 novembre
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions.
Libé - Retraités et impôts locaux: une promesse, beaucoup de flou
Payer sa taxe d’habitation? Ne pas payer? Etre remboursé? Comment? Qui est concerné? Pour quel coût budgétaire? Les promesses faites à certains retraités dont les impôts locaux s’envolent, posent bien des questions, loin de l’apaisement fiscal prôné par l’exécutif.
Libé - Dur, dur, la com du gouvernement sur les baisses d'impôts
Son message phare de l'automne a été percuté par le succès d'un amendement sur la CSG progressive, la décision surprise d’augmenter la taxation du diesel et, désormais, par la contestation à propos des impôts locaux payés par les retraités modestes.
Blog Le Monde - Hollande chez « Lucette », une étape dans une stratégie de quadrillage médiatique
La rentrée de François Hollande a été médiatique. Comme le racontait Le Monde le 20 octobre, le chef de l'Etat a choisi de multiplier les visites et les apparitions publiques, "comme si, en cet automne, pas un lieu, pas une thématique, pas une part de marché médiatique et pas une catégorie sociologique ne devait échapper à François Hollande".
Public Sénat - Régionales: le PS, de nouveau accusé de "faire le jeu" du FN, s'en défend
Le PS fait-il le jeu du Front national, à l'approche des élections régionales? L'accusation, maintes fois adressée à un Parti socialiste soupçonné d'y trouver son compte électoral, refait surface alors que l'exécutif a fait du FN sa cible prioritaire. Les ténors du parti s'en défendent, renvoyant chacun à sa responsabilité.
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Claude Bartolone, invité politique (09.11.15)
Claude Bartolone, invité politique (09.11.15) par radioclassique -
Bartolone en désaccord avec Royal : "Je (la) laisse à sa hauteur"
Bartolone en désaccord avec Royal : "Je (la... par FranceInfo -
L'actualité des socialistes du 5 au 11 octobre (mise à jour)
A la une
Plus de 130 députés PS ont signé l'amendement au projet de budget déposé vendredi par Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, qui entend remplacer une partie de la prime d'activité par une baisse de CSG et à aller vers un "impôt citoyen sur le revenu".
Le Monde - François Hollande décore Michel Rocard, « rêveur idéaliste et réformiste radical »
François Hollande a élevé, vendredi 9 octobre, Michel Rocard au rang de grand-croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française.
Le président, qui n’a jamais fait partie de la mouvance rocardienne, a salué la « fidélité », la « morale » et la popularité de l’ancien premier ministre de François Mitterrand. Le chef de l’Etat a ainsi évoqué le long parcours d’un homme encarté au PS depuis soixante-dix ans, qui a « réformé la France et, à force de persévérance, parfois en avance sur son temps, a porté des textes iconoclastes devenus lois de la République ».
9, 10 et 11 octobreLibé - Budget, le PS en porte-à-faux
Sur le papier, tout y est. Le budget 2016 fournit a priori toutes les raisons d’un bras de fer au sein de la majorité. D’un côté, l’exécutif vante un «budget de cohérence», «de continuité», voire «sans surprise», dixit le ministre des Finances, Michel Sapin. De l’autre, l’aile gauche du PS continue de réclamer une inflexion de la ligne économique et particulièrement la réorientation du «pacte de responsabilité». «Le gouvernement appelle "constance" ce qui est une obstination dans l’erreur», proteste le chef de file des «frondeurs», Christian Paul.
Le Monde - Martine Aubry s’agace des pressions l’incitant à mener les régionales dans le Nord
Elle ne sait plus sur quel ton le dire : Martine Aubry n’a pas du tout l’intention de prendre la tête de la liste PS-PRG-MRC aux élections régionales des 6 et 13 décembre en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Qu’importe si le candidat socialiste désigné, son premier adjoint à la mairie de Lille, Pierre de Saintignon, ne décolle pas dans les sondages face à Xavier Bertrand et à Marine Le Pen, et que le risque d’une victoire finale du FN n’est pas à écarter. Pour Martine Aubry, c’est nonAu sein d'un comité consultatif, l'économiste français et le prix Nobel d'économie américain conseilleront Jeremy Corbyn, le nouveau leader du Labour. Thomas Piketty veut montrer "l'échec de l'austérité au Royaume-Uni".Nous voilà pourvus d’un nouveau rapport pour « refaire la démocratie » dans la V° République. Rendu public vendredi 2 octobre, il n’est jamais que le quatrième en vingt ans et le deuxième en trois ans, sans compter ceux adoptés par les partis de gauche. Ce grand nombre devrait suffire au bonheur des réformateurs du régime. Mais l’impuissance à passer à l’acte dévalue considérablement l’intérêt de ces rapports ; surtout dans ce quinquennat où François Hollande aura enterré les cinq révisions qu’il avait promises et accentué le présidentialisme du régime. Cela suffit (il y en a assez!) de réinventer la poudre si elle ne sert pas à armer le vrai changement démocratique que la société attend.
Du 5 au 8 octobre
Boursier - Le PS espère sauver les meubles aux élections régionales
Le Parti socialiste espère garder le contrôle de quatre régions aux élections régionales des 6 et 13 décembre malgré les divisions de la gauche dans une France recomposée où le Front national paraît en mesure de faire un bon résultat.
La Tribune - Statut des fonctionnaires : Bartolone fusille Macron
Décidément, Emmanuel Macron continue d'en agacer plus d'un... Claude Bartolone, président de l'Assemblée et tête de liste PS aux élections régionales en Ile-de-France, a affirmé dimanche sur Canal + que le ministre de l'Economie avait fait "une erreur" et "une faute politique" en critiquant le statut des fonctionnaires. "Il faut faire très attention, surtout quand on est ministre, à employer les termes qu'il convient. Le service public est le patrimoine de ceux qui n'ont pas de patrimoine", a affirmé Claude Bartolone, lors de l'émission Le supplément.
Huffington Post - Référendum du PS: quand la gauche de la gauche trolle Cambadélis
C'est à s'y méprendre. Si l'on ne regarde pas attentivement, impossible de faire la différence (sur le papier) entre le référendum lancé il y a quelques jours par le Parti socialiste de Jean-Christophe Cambadélis et celui dont plusieurs membres de la gauche de la gauche ont pris l'initiative lundi 5 octobre.
Le Parisien - Gauche : le contre-référendum qui va agacer le PS
Voilà qui risque fort d'agacer Jean-Christophe Cambadélis. Alors que le premier secrétaire du PS organise les 16, 17 et 18 octobre un référendum sur l'union de la gauche aux régionales, des «déçus» de la politique de François Hollande organisent leur propre référendum les mêmes jours.
Boursorama - Impôt obligatoire pour tous : le PS hostile, Hammadi maintient l'amendement
On le sait : on peut être socialiste et ne pas être sur la même longueur d'onde. Dernière illustration en date, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, s'est dit lundi opposé à un amendement du député PS Razzy Hammadi visant à établir un impôt sur le revenu minimum obligatoire.
Le Point - Régionales 2015 : Queyranne se rebelle contre le PS
Le candidat PS en Auvergne-Rhône-Alpes n'a pas suivi les injonctions de son parti et ne va donc pas évincer de sa liste la dissidente Farida Boudaoud.
Challenges - La job machine repart, Hollande peut sourire
L'Insee annonce dans sa dernière note de conjoncture une stabilisation du chômage. Fait étonnant: malgré une faible croissance, la France crée des emplois. Une bonne nouvelle qui s'explique grâce aux effets positifs du CICE et du Pacte de responsabilité.
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 septembre (mise à jour)
A la une
REPLAY - INFO RTL - Le chef de file des frondeurs socialistes compte lancer avec l'ancienne patronne des Verts, un nouveau mouvement citoyen.
12 et 13 septembre
Le Monde - Jeremy Corbyn élu au premier tour à la tête du Parti travailliste britannique
Le Labour Party, le Parti travailliste britannique, a annoncé, samedi 12 septembre, le résultat de sa primaire. Jeremy Corbyn, 66 ans, chantre de la gauche radicale, eurosceptique, farouche opposant des politiques d’austérité, dans la lignée des partis grec Syriza et espagnol Podemos prend la direction du principal parti d’opposition britannique, à la tête duquel il a été élu avec 59,5 % des suffrages. La campagne pour la primaire « a montré que notre parti, notre mouvement, passionné, démocrate, divers, était uni et résolument déterminé dans notre quête pour une société meilleure et juste pour tous », a-t-il déclaré
France 3 - Politique : les frondeurs vont-ils rejoindre un nouveau groupe "rose-rouge-vert" ?
Quatre députés de gauche tentent de mettre en place un nouveau groupe "rose-rouge-vert". Mais, les députés PS frondeurs ne les rejoindront pas, assure Christian Paul, député socialiste de la Nièvre et chef de file des frondeurs.
Favoriser l’emploi ne passe jamais par la perte des protections des salariés, même renommée « assouplissements » par certains.
Pour être progressiste, la modernité doit permettre aux salariés et chefs d’entreprises de mieux connaître leurs droits et d’en acquérir de nouveaux.
Le rapport Combrexelle et la volonté affichée par le gouvernement de légiférer rapidement à sa suite partent d’une idée fausse : la législation du travail provoquerait des rigidités qui seraient un frein à l’embauche. Le marché du travail présente d’ores et déjà des souplesses, dont l’amplification ces dernières années au travers d’un maquis conventionnel n’a pas permis la baisse du chômage.
Ces propositions montrent l’absence totale d’imagination dont le gouvernement fait preuve.
Ils sont venus, ils sont tous là ; ils ne quittent à vrai dire jamais la scène : le MEDEF, ses greffiers (JD. Combrexelle, C.Radé) et ses propagandistes.
A l’heure où la meute communie sans vergogne, psalmodiant une même ode à un code du travail enfin sorti de son « obésité » pour être « simplifié », « lisible », « efficace », « juste » et « protecteur », il est de première nécessité pour éviter les constats « partagés » pavloviens de faire retour sur ce qu’ils ont fait et continuent de faire du Code du travail depuis une douzaine d’années.
Libé - COP21 : Hollande, le Vert en demi-teinte
Le président de la République lance ce jeudi la mobilisation de la France pour la conférence climat internationale qui va s'ouvrir fin novembre à Paris. S'il est vu par les écologistes comme encore trop timide, il a entamé une mue climatique.
Le Monde - « Le droit d’asile ne se découpe pas en tranches »
L’entretien accordé par Nicolas Sarkozy au Figaro, jeudi 10 septembre, a suscité de nombreuses réactions des personnalités politiques françaises. Notamment à gauche, où les ténors du Parti socialiste (PS) ont vivement critiqué les propos du président des Républicains sur l’accueil des migrants en France et la remise en question du droit du sol, que M. Sarkozy avait déjà évoquée le 13 juin.Député européen et figure de l’aile gauche du PS, Emmanuel Maurel, tire les leçons de la crise grecque, critiquant au passage la discrétion de la France et de l’Italie.
Le Monde - L’appel du PS pour soutenir les migrants
Le débit est rapide, la voix est ferme, presque sans émotion. « J’étais captive de Daech [acronyme arabe de l’Etat islamique] pendant 3 mois, j’ai été torturée plusieurs mois, enchaînée toute la journée, j’ai dû boire de l’eau dans laquelle il y avait des souris mortes, j’ai été battue, frappée avec un bâton. » Le témoignage de Jinan, jeune femme yézidie irakienne de 19 ans, retenue 12 semaines comme esclave par les djihadistes de l’Etat islamique, assomme la salle du Cirque d’hiver (Paris 11e), où se tenait mardi 8 septembre le meeting de soutien aux réfugiés organisé par le Parti socialiste.
TF1 - Meeting du PS pour l'accueil des réfugiés : "C'est l'appel de la dignité" pour Virgine Ledoyen
Ce mardi, le PS tenait un meeting depuis le Cirque d'hiver à Paris pour évoquer en profondeur l'accueil des réfugiés. La comédienne Virgine Ledoyen, présente dans l'assemblée, a salué la justesse et l'humanité du discours de la maire de Paris Anne Hidalgo.
10 septembre
Libé - Conférence de presse : et Hollande finit agacé...
Généralement à l'aise face aux journalistes, le président de la République a manifesté pour la première fois de l'agacement ce lundi, sur des questions récurrentes portant sur son avenir politique.
RFI - France: le meeting du PS sur les réfugiés perturbé par des militants
Après un long silence cet été, le Parti socialiste entend se saisir de la question de l'accueil des réfugiés. L'appel de Jean-Christophe Cambadélis aux maires de France, la semaine dernière, a été réitéré ce mardi au Cirque d'Hiver, à Paris, lors d’un meeting auquel ont assisté 200 militants et permanents du parti, cependant quelque peu chahutés au cours de la soirée.
Le Monde - Le PS renoue avec la société civile pour soutenir les migrants
Virginie Ledoyen et Claude Bartolone, Jane Birkin et Anne Hidalgo, mais aussi et surtout, en invitée d’honneur, Jinan, la jeune femme yézidie qui fut esclave sexuelle des djihadistes de l’Etat islamique... L’affiche du meeting de soutien aux réfugiés, organisé mardi 8 septembre au Cirque d’hiver (Paris 11e), traduit la volonté du Parti socialiste de renouer avec ses fondamentaux.
Tribune de Lyon - Exclusif. Cambadélis met la pression sur Queyranne
Selon nos informations, le bureau national du Parti Socialiste présidé par Jean-Christophe Cambadélis a décidé hier à Paris de soutenir la fédération socialiste du Rhône. En clair, la rue de Solférino a choisi d'imposer à Jean-Jack Queyranne, le candidat PS aux régionales en Rhône-Alpes-Auvergne, que sa liste métropolitaine soit soumise à l'approbation du bureau national. Une décision qui devrait donc obliger le président du conseil régional sortant à tenir compte de la position des militants PS du Rhône qui s'opposent à sa volonté d'imposer Farida Boudaoud (vice-présidente en charge de la Culture à la Région, exclue du PS en 2014 Ndlr) en 2e place sur sa liste.
9 septembreChristian Paul, chef de file des « frondeurs » et de l'aile gauche du PS, a estimé que François Hollande, lors de sa conférence de presse, avait manqué « d'audace » sur le plan de la politique économique, mais a salué une « prise de conscience, même tardive » sur les réfugiés.
Europe 1 - Hollande : cinq petites phrases très politiques
Accueil des réfugiés, baisse des impôts, réforme du droit du travail, lutte contre l'Etat islamique en Syrie… François Hollande a longuement fait le tour de ces sujets brûlants lors de sa conférence de presse, lundi à l'Elysée. Mais au-delà des annonces, le chef de l'Etat a aussi distillé quelques messages politiques. Europe 1 revient sur cinq déclarations lourdes de sens.
8 septembre
Francetvinfo - Revivez la conférence de presse de rentrée de François Hollande
Le président s'est notamment prononcé sur l'extension à la Syrie des frappes contre le groupe Etat islamique, sur l'accueil des réfugiés et sur les baisses fiscales prévues en 2016.
Le Monde - Le plan timide du gouvernement face au drame des migrants
Une dose d’humanitaire et une dose d’expulsion : le plan proposé en conseil des ministres, mercredi, par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, pour répondre aux conséquences en France de la crise migratoire européenne ressemble à un cocktail savamment dosé pour déminer un sujet politiquement explosif. Au risque de fâcher tout le monde…Lyon Mag - Régionales : le PS du Rhône lance un ultimatum à Jean-Jack Queyranne
Rien ne va plus entre Jean-Jack Queyranne et le Parti socialiste du Rhône.
Cela fait plusieurs mois que les tensions existent, mais il y a désormais une trace écrite. Selon le Progrès, David Kimelfeld, premier fédéral, a adressé un courrier au président de la Région Rhône-Alpes pour évoquer les élections régionales.
Dans son ultimatum, il exhorte Queyranne à prendre 50% de socialistes sur sa liste. S'il refuse, le PS du Rhône ne fera pas campagne pour lui, ne financera pas ses actions et ne lui prêtera pas les locaux de la fédération du cours de la Liberté.Lyon Capitale - Régionales : Queyranne ne retient pas Caroline Collomb
Les relations entre Jean-Jack Queyranne et la fédération PS du Rhône continuent de se tendre. Les lyonnais ont ainsi boudé son meeting de lancement de campagne, samedi à Clermont-Ferrand. Alors que Caroline Collomb envisage de retirer sa candidature, le président de la région, qui la relègue de plus en plus bas sur sa liste, a confié que son retrait ne le gênerait pas.
Le JDD - Le JDD a assisté à la rencontre entre les frondeurs et Pablo Iglesias
EXCLUSIF - Plusieurs parlementaires socialistes, dont l'ancien ministre Benoît Hamon, ont rencontré dimanche à Paris, Pablo Iglesias, le chef de file du parti anti-libéral espagnol Podemos. Ils ont convenu de travailler à des "convergences" pour inverser le rapport de force dans l'Union européenne.
Le Point - Outre Mélenchon, Iglesias (Podemos) inspire aussi Hamon et les frondeurs du PS
L'ex-ministre de l'Education Benoît Hamon a salué dimanche des "convergences" avec la formation anti-libérale espagnole Podemos, à l'issue d'une rencontre de plusieurs frondeurs du Parti socialiste et du leader de Podemos, Pablo Iglesias, dimanche à Paris.
7 septembre
RFI - Marie-Noëlle Lienemann: «Il ne faut pas attendre que l'Europe nous contraigne»
Le président de la République française, François Hollande, tient ce lundi 7 septembre, une conférence de presse à l’Elysée. Il sera question de la crise des migrants, de la lutte contre l’organisation Etat islamique, mais aussi du marché du travail en France et de la réduction d’impôts qu’il envisage pour l’année 2016. Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris, membre de la Commission des Affaires économiques au Sénat et ancienne ministre, est l’invitée de Frédéric Rivière.
Invité de France Info ce 28 août, Claude Bartolone a vivement réagi au dernier drame impliquant des migrants en Autriche : entre 20 et 50 personnes ont été retrouvées mortes dans un camion. "C'est la responsabilité de l'Europe de les accueillir", lance-t-il en expliquant qu'il s'agit d'une question "d'honneur".
Le Parisien - PS : Cambadelis met le cap sur 2017
Éclatée façon puzzle, la gauche cherche les voies de l'unité. Lundi soir, à l'occasion d'une réunion de ses principaux dirigeants du PS, à son siège parisien de la rue de Solferino, à Paris, Jean Christophe Cambadelis lancera une série de rencontres avec la myriade de clubs, de partis et les personnalités qui souhaitent la victoire de la gauche lors de la prochaine élection présidentielle de 2017.
France 3 - Rhône-Alpes-Auvergne: Jean-Jack Queyranne (PS) lance sa campagne
Le président sortant de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne (PS), s'est officiellement lancé, samedi à Clermont-Ferrand, dans la "compétition" des élections en Rhône-Alpes-Auvergne, fustigeant au passage "la démagogie et le populisme" de son principal rival, le Républicain Laurent Wauquiez.
Boursorama - Migrants : le PS bat le rappel pour accueillir davantage de réfugiés
Après l'électrochoc provoqué par les photos du petit Aylan, les initiatives se multiplient pour faciliter l'accueil des réfugiés. Appel d'élus socialistes à un réseau de «villes solidaires», pétition, mobilisation citoyenne... Les photographies montrant l'enfant syrien de trois ans trouvé noyé sur une plage turque, ont déclenché un vaste mouvement, sur lequel le Parti socialiste s'est greffé.
La journaliste Léa Salamé estime que le premier secrétaire du PS "spécule" sur le programme du Front national.
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Claude Bartolone veut "permettre le retour des écologistes au gouvernement"
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Bartolone : "Que chacun fasse attention à ses propos"
Bartolone : "Que chacun fasse attention à ses... par FranceInfo -
L'actualité des socialistes du 30 juin au 12 juillet (mise à jour)
A la une
Libé - Grèce : Tsípras a-t-il vraiment capitulé ?
Le Premier ministre grec a cédé à la plupart des exigences de Bruxelles et du FMI mais a sauvé sa tête et sans doute évité le «Grexit».
LCP - Hamon : "Je n’ai pas adhéré au PS pour plafonner les indemnités de licenciement"
Le plafonnement des indemnités de licenciement, adopté dans la loi Macron, irrite toujours l’ancien ministre de l’Éducation : "Je n’ai pas adhéré au Parti socialiste pour plafonner les indemnités des salariés quand ils sont victimes d’un licenciement abusif, en infraction avec la loi ! Cette loi n’est pas socialiste, c’est une évidence, le premier secrétaire du parti socialiste l’a dit lui-même.
11 et 12 juillet
Libé - François Hollande en coach politique
Depuis une semaine, le Président manœuvre pour éviter le Grexit, naviguant habilement entre Angela Merkel et Aléxis Tsípras. Une stratégie qui ravit sa majorité.
L'Obs - "Génération radicale" de Boutih : au placard "le rapport de droite" ?
"Caricature", "pas crédible"... Depuis sa publication, le rapport du député PS fait l'objet de critiques sur la forme comme sur le fond. Au point d'être rapidement enterré ?
Les Echos - Le PS unanime contre le «Grexit», moins sur les moyens de l’éviter
Un débat sans vote se tient mercredi à l’Assemblée. Les socialistes sont unis sur l’essentiel, même s’ils sont divisés sur la suite à donner au règlement de la crise.
Metro - PS du Nord : Bernard Roman accentue la division anti-Aubry
POLITIQUE - Ennemi politique de Martine Aubry depuis des années, Bernard Roman, député PS du Nord, a déclaré ne pas vouloir céder sa circonscription à François Lamy, candidat désigné par la maire de Lille pour lui succéder.
Le Figaro - PS : Macron en vedette de l'Université d'été des réformateurs
L'aile droite du parti se réunira le jeudi 27 août près de Bordeaux. La veille de l'Université d'été du PS, le ministre de l'Économie interviendra
En conseil des ministres François Hollande a ironisé sur la présence de deux frondeurs à Athènes le 5 juillet. Contacté par “Les Inrocks”, l’un des deux intéressés, Gérard Filoche, lui répond.
9 et 10 juillet
Bureau national du PS du lundi 6 juillet 2015 : Intervention de Gérard Filoche
Jean-Christophe, si tu suis les conseils de Didier et Karine et que tu appelles Martin Schultz (il faut « mettre fin à l’ère » Schultz et pas à celle de Syriza, il faut respecter la démocratie quand on se dit social-démocrate) et Sigmar Gabriel (qui exige un « gouvernement de technocrates » contre le gouvernement Syriza légitimement élu), pour leur dire le désaccord du PS français sur les propos qu’ils ont tenu contre les Grecs et Syriza, prends aussi ton téléphone pour appeler Emmanuel Macron, ministre de notre gouvernement pour lui dire notre opposition à ses propos « le FN, c’est une forme de Syriza à la française, d’extrême droite ».
Le Marin - Arnaud Leroy dépose une proposition de loi qui détone
Comme il l’avait promis, le député PS Arnaud Leroy a déposé ce 9 juillet à l’Assemblée nationale une proposition de loi sur l’économie bleue cosignée par les députés PS membres de la commission du développement durable dont le président du groupe socialiste Bruno Le Roux. Elle ouvre notamment le Rif à la grande pêche et aux lignes passagers internationales, propose de nouvelles exonérations de charges et va dans le sens des manutentionnaires pour créer un comité des investisseurs dans les ports.
France Info - Hamon : "si la Grèce sort de l'euro, c'est la désagrégation de l'Europe"
Invité de France Info ce mercredi, le député socialiste des Yvelines Benoît Hamon a comparé la sortie de la Grèce de la zone euro à un "grand vertige", un danger pour "l'avenir de l'Europe".
Benoît Hamon refuse de croire à la sortie de la Grèce de la zone euro, "car sinon c'est un grand vertige et (...) on ouvre grand la perspective d'une désagrégation de l'Europe". Pour l'ancien ministre socialiste, la position d'Alexis Tsipras et la victoire du "non" au référendum vont permettre de recentrer le débat et les négociations : "le gouvernement grec, de gauche, a réussi à remettre de la politique dans les discussions européennes, on ne parle plus seulement de comptes publics".
Du 4 au 8 juillet
Le Monde - Valls tacle Sarkozy sur ses « analyses trop rapides » de la situation grecque
Manuel Valls a critiqué mercredi à l’Assemblée nationale l’ex-président de la République, Nicolas Sarkozy, et ses « analyses trop rapides » sur la situation grecque.
L’ancien président de la République avait estimé que la Grèce s’était placée « de fait » hors de la zone euro.
Libé - Ile-de-France : Bartolone et les leçons du hollando-mitterrandisme
Pour les régionales de décembre, le candidat sait qu'il doit commencer par rassembler son parti. La composition de son équipe de campagne est donc un joli numéro de saupoudrage socialiste.
Libé - Malek Boutih dresse un tableau noir de la jeunesse
Le député de l'Essonne Malek Boutih vient de remettre un rapport sur le jihadisme, au Premier ministre Manuel Valls. Intitulé «Génération radicale», ce document caricature une jeunesse en soif de reconnaissance, radicalisée et qui banalise la violence.
L'Humanité - Réaction du Parti socialiste à l’arrêt éventuel des «Guignols de l’info»
Communiqué de Patrick Bloche, Conseiller chargé des Médias auprès du Premier secrétaireLe Parti socialiste s'inquiète de l'éventuelle disparition des "Guignols de l'info" tant la liberté d'expression et donc de dérision est un des fondements de la démocratie.
Le Figaro - Réferendum grec: des frondeurs PS à Athènes
Deux représentants de l'aile gauche du PS, ainsi qu'une délégation du MRC, seront à Athènes pour le référendum de dimanche, afin de soutenir la gauche radicale Syriza, a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes. Le député PS Pascal Cherki et Gérard Filoche, membre du bureau national du Parti socialiste, ont décidé de faire le déplacement. Pascal Cherki doit prendre la parole ce soir lors d'un meeting de Syriza dans la capitale grecque.
3 juilletChallenges - Podemos, Syriza: pourquoi la gauche française n'y arrive pas
L'ombre des dynamiteros de Syriza et de Podemos plane sur la gauche française. Pas un seul jour ne passe sans que l'un ou l'autre de ses responsables ne salue leur action ou leur modèle à grands renforts de discours ou de proclamations. Frondeurs en tous genre, communistes de toutes obédiences, écolos de toute nature, radicaux de tous poils: les voilà pour une fois réunis autour d'un même combat qui, à leurs yeux, est le seul qui puisse remettre l'Europe dans le droit chemin qui est celui de la démocratie véritable et de la prospérité retrouvée.
Le Lab - Malgré son retour dans les sondages, les ex-strauss-kahniens ne croient pas à un DSK 2017
DSK2017 - Ils ont fait sa campagne pour les primaires internes au PS en 2006...attendu désespérément son retour en 2011 et se sont largement dispersés après l'affaire du Carlton. L'équipe du QG des Planches (du nom de la rue des planches à Paris) qui travaillait à la victoire de son champion en 2007 s'est éparpillée entre direction du PS/gouvernement/fronde et Union européenne. Alors qu'un sondage Viavoice pour Libération publié jeudi 2 juillet donne l'ex-patron du FMI 2ème personnalité de gauche préférée des Français pour la présidentielle après Manuel Valls, Le Lab a interrogé certains ex-soutiens de DSK. Pour eux, pas question de retour.
Le Figaro - Djihadisme : le cri d'alarme de Malek Boutih
Dans un rapport qu'il vient de transmettre à Manuel Valls, et que Le Figaro s'est procuré, le député PS Malek Boutih décrit «une jeunesse frustrée, prête à basculer». Il craint que la dérive islamiste en France ne se transforme en phénomène de masse.
Les frondeurs du Parti Socialiste vont se retrouver à Marennes en Charente-Maritime les 27 et 28 août juste avant la traditionnelle Université d'Eté du PS à La Rochelle, le dernier week-end d'août.
2 juillet
Le Figaro - François Hollande ne décolle toujours pas
L'impopularité du chef de l'État, notamment dans son camp, ouvre un espace politique pour Dominique Strauss-Kahn, selon le baromètre TNS Sofres du mois de juillet pour le Figaro Magazine.
TF1 - Crise grecque : "Le référendum grec met l'Europe au pied de ses contradictions"
Invité de l'émission "Choisissez votre Camp" sur LCI, Alexis Buchelay, député PS des Hauts-de-Seine a déclaré : "Le référendum grec nous met au pied de nos contradictions."
Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a qualifié jeudi de "faute" le refus de l'Allemagne de reprendre les négociations avec les...Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a qualifié jeudi de "faute" le refus de l'Allemagne de reprendre les négociations avec les Grecs avant la tenue dimanche du référendum sur les demandes des créanciers du pays.
Le Monde - Les frondeurs du PS vont manifester à Athènes
Plusieurs élus du Parti socialiste, membres des « frondeurs » et de la motion B au congrès de Poitiers, ont décidé d’exprimer leur soutien au peuple grec avant le référendum prévu dimanche 5 juillet. Une délégation doit se rendre à Athènes ce week-end. Parmi les élus qui devraient faire le voyage : le député de Paris Pascal Cherki, les eurodéputés de l’aile gauche du PS Emmanuel Maurel et Isabelle Thomas.Lors de leur premier Bureau national après le congrès de Poitiers, les socialistes ont décidé lundi soir de créer trois groupes de travail.Ils étaient tous là rue de Solférino lundi soir. Les socialistes ont tenu pendant plus de deux heures leur premier Bureau national (BN) depuis le congrès de Poitiers. Cette instance dirigeante dont la composition a été répartie en fonction du score des motions a installé trois commissions de travail sur l'Europe, l'international et la préparation du prochain budget. Objectif: établir en amont la position du parti sur les principaux sujets.Le nouveau Bureau national du Parti socialiste, désigné à la suite du Conseil national du 20 juin, était réuni pour la première fois lundi 29 juinLe Bureau national du Parti socialiste a fait salle comble, « une demande importante du Premier secrétaire depuis le Congrès ». La nouvelle organisation du Bureau national et du Secrétariat national y a été présentée.
Ainis, le Bureau national se tiendra désormais la veille de la réunion des groupes parlementaires, afin que les lignes soient définies au sein du Parti socialiste.
Manuel Valls s'est dit prêt à fermer des mosquées et à dissoudre des associations quand elles se montrent suspectes de complicités avec l'islamisme radicalL’accélération des événements et l’incertitude sur l’avenir de la Grèce ne doivent pas occulter que les créanciers, pendant près de quatre années, ont eu les mains libres en Grèce à travers la tutelle qu’exerçait la « troïka » [Commission de Bruxelles, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international] de facto sur toutes les réformes, entre 2011 et 2014.Le bilan des mesures imposées à la Grèce est catastrophique sur tous les plans : loin de maîtriser la dette grecque, elles l’ont fait exploser ; loin de renouer avec la croissance, elles ont amputé le produit intérieur brut (PIB) du pays de près de 25 % ; enfin, loin de reconstruire des capacités administratives fortes, elles ont déstructuré les administrations sans s’attaquer clairement à la levée de l’impôt.
30 juinEn cette fin du mois de juin, Jean Daniel Lévy revient en exclusivité sur les derniers chiffres du baromètre Harris Interactive / Délits d’Opinion. Hollande et Valls stabilisent leur cote de confiance, dans un contexte général où les politiques voient plutôt leur cote baisser.Respectmag - Hamon (PS): l’utilisation du terme « guerre de civilisation » aura des « conséquences négatives »Le député (PS) des Yvelines Benoît Hamon a jugé lundi que l’utilisation du terme « guerre de civilisation » par Manuel Valls n’était « pas bonne » et pouvait « avoir des conséquences négatives », y compris sur « notre territoire ».
« Je ne suis pas du tout d’accord avec cette analyse du conflit », a déclaré l’ex-ministre dans une interview vidéo sur le site des Echos.fr, interrogé sur la formule utilisée par le Premier ministre après les attentats de vendredi.La situation en Grèce va être « le sujet d’urgence de la semaine », explique l’Elysée, avec l’organisation dimanche 5 juillet du référendum sur le plan d’aide européen. Si François Hollande ne s’est pas entretenu durant le week-end avec le premier ministre grec, Alexis Tsipras, le chef de l’Etat a surveillé de près le risque d’un « Grexit » et la sortie du pays de la zone euro. Une réunion de travail s’est tenue dimanche en fin de journée à l’Elysée, avant un conseil restreint extraordinaire lundi 29 juin au matin.Critiqué pour avoir utilisé l’expression « guerre de civilisation » face au « terrorisme » islamiste lors de l’émission « Le Grand Rendez-vous » d’Europe 1, Le Monde et iTélé, le premier ministre, Manuel Valls, a tenu à préciser ses propos, s’étonnant qu’on lui fasse « un procès sur ce sujet-là ». Beaucoup y ont vu en effet une allusion au Choc des civilisations décrit par le professeur américain Samuel Huntington et repris par les néoconservateurs américains et notamment George W. Bush pour justifier la guerre en Irak.
L'Obs - Une "guerre de civilisation" ? "Certainement pas", répond Martine Aubry à Manuel Valls
L'expression de Manuel Valls passe décidément bien mal. Ce lundi soir, c'est au tour de Martine Aubry de prendre ses distances. A la question de savoir si, comme le Premier ministre, elle aurait utilisé l'expression "guerre de civilisation" après les attentats de vendredi, la maire de Lille répond : "certainement pas".
Mensquare - Valls toujours le candidat PS préféré des français pour la présidentielle
François Hollande n’a pas exclu la possibilité de se représenter à la présidentielle de 2017, mais Manuel Valls est toujours le candidat PS préféré des français.
Un nouveau sondage BVA mis en ligne ce dimanche confirme une nouvelle fois que le premier Ministre est à ce jour le candidat préféré des Français au PS, très loin devant Martine Aubry, Ségolène Royal ou encore François Hollande.