A la une
Francetvinfo - Rechute de popularité pour Hollande et Valls
Après le bond spectaculaire du mois de janvier, le chef de l'Etat et son Premier ministre voient leur cote de popularité reculer en février, selon un sondage publié dans "Le journal du dimanche".
22 février
Slate - Le choc brutal des légitimités économique et démocratique
Sur la loi Macron comme en Grèce se joue un affrontement entre les engagements pris devant les électeurs et les contraintes extra-politiques, entre les promesses et le savoir économique.
Razzy Hammadi ne veut pas revivre le psychodrame de la loi Macron. Et pour cela, le député de Seine-Saint-Denis a une proposition simple: interdire aux députés PS de voter contre les textes du gouvernement. Une mesure que l'élu verrait bien être intégrée au "règlement du parti" lors du congrès de Poitiers, comme il le confiait au Figaro jeudi . Problème ? Cela n'est pas vraiment compatible avec la Constitution qui stipule dans son article 27 que "tout mandat impératif est nul" et que le "droit de vote des membres du Parlement est personnel." Vendredi 20 février, l'ancien président du MJS a donc été obligé de mettre un peu d'eau dans son vin.
Is it a plane ? Is it a bird ? No, it's Arnaud Montebourg. Qu'on se le dise : ce n'est pas un miroir, fut-il gigantesque, qui va empêcher l'ancien ministre de l'Économie de faire ce qu'il lui plait. Arnaud Montebourg sera donc bien à Princeton lundi 23 février pour donner une conférence. Ce qui n'était pas garanti.
Le Lab - Comment les socialistes ont essayé de gagner la voix de Thomas Thévenoud sur la loi Macron
Le gouvernement de Manuel Valls n'était pas prêt à tout pour faire voter la fameuse loi Macron. Pas question, par exemple de devoir l'adoption à un député centriste ou UMP. Mais l'exécutif se serait quand même bien accommodé de la voix de Thomas Thévenoud.
L'Obs - Six Français sur dix pensent que le PS va imploser après la loi Macron
Six Français sur dix pensent que le Parti socialiste va imploser, à la suite des divisions nées du débat sur la loi Macron, selon un sondage Odoxa pour CQFD et iTELE publié vendredi.
DNA - Élections départementales : de 30 à 40 départements pourraient basculer
21 février
Libé - Frondeurs: ressentiment et interrogations chez les socialistes
Le coup d’éclat des «frondeurs» sur la loi Macron a laissé des traces profondes de ressentiment chez plusieurs socialistes qui, pour certains, vont jusqu’à prôner l’exclusion pure et simple de ces députés rebelles.
Cette solution radicale de l’exclusion n’a toutefois pas les faveurs d’importantes personnalités socialistes, qui reconnaissent cependant que le PS doit observer une plus stricte discipline majoritaire.
Europe 1 - Pour Valls, le 49-3 est la faute de… Cambadélis
L’exécutif veut tirer les leçons de "l'épisode 49.3". Et surtout comprendre comment il en est arrivé à être contraint d'utiliser cette arme constitutionnelle pour faire passer la loi Macron. Selon les informations d'Europe 1, un homme est particulièrement dans le viseur de Manuel Valls : Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du parti socialiste est clairement accusé de ne pas avoir fait son job.
Difficile de s'y retrouver dans la loi Macron, car il y a tout et n'importe quoi : libéralisation du transport de car, travail le dimanche, révision des modalités de licenciement, financement des entreprises, etc. Mais il y a un article de loi injustement méconnu : il s'agit de l'article 34 sur l'allègement de la fiscalité des actions gratuites.
LCP - Thierry Mandon : les frondeurs « ne peuvent pas avoir des responsabilités » au PS
Le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat et à la Simplification était l’invité de Parlement hebdo sur Public Sénat et LCP-AN ce vendredi. Interrogé sur les « frondeurs » du PS qui ont contraint Manuel Valls à avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour passer en force sur la loi Macron, il a appelé à une forme de sanction
Les Echos - "Loi Macron" : et maintenant ?
Le texte a été adopté en première lecture à l'Assemblée au prix d'un recours douloureux à l'article 49-3. Il doit maintenant être examiné par le Sénat avant de subir l'épreuve de la seconde lecture au Palais-Bourbon. Dans quelles conditions ?
20 minutes - Motion de censure: «L’UMP est dans une obsession de revanche»
INTERVIEW C'est ce qu'estime Pouria Amirshahi, député PS des Français établis à l'étranger, et frondeur qui ne votera pas la motion de censure ce jeudi...
20 février
LCP - Hamon (PS) ne votera "évidemment" pas la motion de censure
Un des porte-voix de l'aile gauche du PS, Benoît Hamon, a dit jeudi qu'il ne voterait "évidemment" pas la motion de censure dans l'après-midi, estimant toutefois que la politique économique et budgétaire du gouvernement "échoue".
Le Point - 49.3 : le fossé se creuse entre PS et frondeurs
Les députés frondeurs n'excluent plus un changement de Premier ministre, tandis que le président du groupe Bruno Le Roux les appelle à "se ressaisir".
Le président de l'Assemblée appelle au rassemblement des socialistes après le traumatisme causé par le recours à l'article 49-3.
Slate - Derrière le 49-3 se cache le congrès du PS
Les grandes déclarations des uns et des autres sur la question du travail le dimanche ne servent que d’éblouissement idéologique alors que les choses importantes se passent dans les sombres coulisses: combien de voix chaque «motion» récoltera en juin? Qui mettra la main sur Solferino?
Le Figaro - Michèle Delaunay : « Le gouvernement a cédé au lobby du tabac »
L'Obs - "Tout cela va se payer" : les députés dans la zone de turbulences
Au PS, frondeurs et partisans du texte d'Emmanuel Macron ont, sans surprise, campé sur leur position ce mercredi. Du pain béni pour l'opposition.
Boursorama - La loi Macron creuse les divisions du PS avant son congrès par Elizabeth Pineau
PARIS, 18 février (Reuters) - Le Parti socialiste sort plus divisé que jamais de la crise politique liée à la loi Macron, à quatre mois d'un congrès interne qui s'annonce aussi orageux que les récents débats entre le gouvernement et une partie de sa majorité.
19 février
Malgré l'annonce du gouvernement de recourir à l'article 49.3 et le fait que la loi Macron sera donc -vraisemblablement- adoptée, tout ne semble pas perdu pour les députés PS frondeurs qui espèrent encore faire plier l'exécutif sur sa ligne économique. Quitte à ce que cela entraîne le départ de Manuel Valls. Le changement de Premier ministre? "C'est une option" confirme Christian Paul, invité sur LCI, mercredi 18 février.
Libé - Loi Macron, Aubry «regrette qu'on n'ait pas continué à discuter»
Les réactions politiques sont nombreuses au lendemain de la décision du Premier ministre d'avoir recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer la loi Macron.
"Ce n'est pas un politique." "Il n'a pas encore tous les codes du milieu." Ces déclarations de ténors socialistes pour parler d'Emmanuel Macron avant le début de l'examen de sa loi prennent désormais un sens nouveau. Au lendemain de la décision de Manuel Valls de passer en force, via le 49.3, c'est bien de l'échec du jeune ministre de l'Economie dont il est question.
Le Monde - Après Macron et Valls, François Hollande justifie le recours au 49-3
Marianne - Loi Macron : mais pourquoi Valls a-t-il choisi le passage en force ?
Manuel Valls vient donc d'annoncer qu'il utilise le mécanisme du 49-3 pour faire passer la loi Macron. Une surprise puisque les pronostics sur les votes étaient plutôt positifs. Une mauvaise nouvelle pour l'exécutif s'il envisageait de jouer la carte du rassemblement...
Hufington Post - Emmanuel Macron n'a pas sa carte de membre du Parti socialiste
Il a poursuivi ce qui devait être le service après-vente de sa loi. Après le 20 heures de France 2 mardi soir, Emmanuel Macron était sur RMC et BFMV ce jeudi matin. Mais le ministre de l'Economie en est réduit dans les deux cas à justifier le passage en force du gouvernement pour faire adopter son texte. "C'est un acte de responsabilité, pas d'autorité", a-t-il tenté de faire croire.
FranceTVinfo - La fracture profonde de la majorité
Au lendemain du passage sans vote de la loi Macron à l'Assemblée, la division est bien marquée entre le gouvernement de Manuel Valls et les dissidents de gauche, notamment socialistes.
Huffington Post - Loi Macron : les députés frondeurs menacés d'exclusion du PS
Au lendemain du recours à l'article 49-3 de la Constitution, certains défenseurs de la loi Macron l'ont mauvaise. En témoignent les menaces formulées par Stéphane Le Foll ou encore Bruno Le Roux à l'encontre des frondeurs qui ont poussé l'exécutif à faire passer en force le texte d'Emmanuel Macron.
Huffington Post - Motion de censure: les frondeurs ont-ils réfléchi au coup d'après?
.... Pas question en effet pour un seul frondeur de joindre sa voix à celle de l'opposition, pas plus que pour les élus écologistes. "Ne perdez pas votre temps avec ça, il n'y aura aucun frondeur qui la votera, la motion de censure", éludait dès mercredi Laurent Baumel qui ne préfère pas réagir aux menaces d'exclusion de la part du gouvernement.
L'Humanité - Les députés de gauche cherchent une parade au 49-3
Après le coup de force de mardi, la tension n’est pas retombée et le fossé ouvert à gauche est loin d’être comblé entre les deux lignes qui mettent aux prises un gouvernement minoritaire et des députés cherchant à faire respecter le Parlement. Au cœur des débats, le vote sur la motion de censure, prévu cet après-midi.
Professeur à Sciences-Po, le politologue Pascal Perrineau tire les enseignements du recours au 49-3 sur la loi Macron, et met en garde la classe politique : « L’opinion est inquiète et même en colère ».
Le Monde, Les décodeurs - Pourquoi la motion de censure a très peu de chances de passer
Pour la première fois sous le quinquennat de François Hollande, le gouvernement a décidé, ce mardi 17 février, d'avoir recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution sur la loi Macron. Cet article autorise le gouvernement à faire adopter un texte sans vote, le seul moyen de l’empêcher étant le vote d’une motion de censure par la majorité absolue des députés dans les 24 heures.
La Tribune - Loi Macron : Valls dégaine le "49-3" pour faire passer le texte en force
Inquiet de ne pas avoir de majorité, Manuel Valls a décidé d'utiliser l'article 49-3 pour faire passer la loi Macron
18 fevrier
INFO LCI. La loi Macron sera-t-elle votée ? Conseil des ministres exceptionnel à l'Elysée
Le Premier ministre a déclaré mardi matin devant les députés socialistes qu'à ce stade, le projet de loi Macron "ne passe pas" le cap du vote de l'Assemblée, ont rapporté plusieurs parlementaires à l'AFP. Selon nos informations, un conseil des ministres exceptionnel doit avoir lieu à 14h30 à l'Elysée.
Le JDD - Manuel Valls craint un rejet de la loi Macron
A quelques heures du vote prévu à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Manuel Valls a affirmé mardi matin devant les députés PS qu'à ce stade, "la loi Macron ne (passait) pas". Une partie des frondeurs socialistes envisage en effet de voter contre le texte du ministre de l'Economie, de même qu'une grande majorité des députés écologistes et des élus Front de gauche.
15, 16 et 17 février
Libé - Benoît Hamon (PS) votera contre la loi Macron
L’ancien ministre et député socialiste Benoît Hamon a annoncé dimanche qu’il voterait «contre» la loi Macron, regrettant que le gouvernement n’ait pas introduit dans le texte un plancher minimum de compensations pour les travailleurs du dimanche.
Non, Arnaud Montebourg ne s'est pas rangé parmi les soutiens de la loi Macron, qui doit être votée ce mardi 17 février à l'Assemblée. Un écho du Parisien relayait des propos de l'ancien ministre appelant les députés socialistes à voter le texte. Auprès du Lab, l'ancien ministre dément cette déclaration. Ce qu'avait souligné ce matin Benoît Hamon sur France Inter.
RTL - Hamon tacle Cambadélis, Valls le recadre : un mini congrès PS avant l'heure
LE DÉCODEUR POLITIQUE - En 24 heures, les piques lancées entre Benoît Hamon et Manuel Valls ont donné un avant-goût du congrès socialiste qui se tiendra en juin
Le JDD - Loi Macron : Hamon et les frondeurs font de la résistance
L'ancien ministre Benoît Hamon comme plusieurs députés frondeurs devraient voter mardi contre la loi Macron. Une position qui agace au plus haut point l'exécutif.
Libé - Loi Macron : la pêche aux voix in extremis
Après des semaines de débat, l’adoption définitive du texte a lieu ce mardi. Le nombre de votes contre côté PS s’annonce inédit.
L'Obs - Valls "sous influence juive" : BHL dénonce une "phrase immonde"
Répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin, l'ancien ministre PS Roland Dumas a provoqué un tollé en affirmant que Manuel Valls était "probablement" sous "influence juive".
Le Monde - Départementales : les écologistes préfèrent s’allier au Front de gauche
Le député PS "frondeur" Laurent Baumel souhaite que le système politique français se rééquilibre au profit du parlement, ce qui permettrait, à ses yeux, la suppression du droit de dissolution et de l'article 49/3. Dans une interview à L'Obs publiée aujourd'hui, l'élu d'Indre-et-Loire parle de "monarchie républicaine sans contre-pouvoirs parlementaires". Il déplore une "relégation des parlementaires au profit des cabinets ministériels", ce qui "coupe le pouvoir des réalités sociales".
Challenges - Travail dominical: "un recul démocratique" selon Hidalgo
C'est la dernière ligne droite pour le projet de loi Macron à l'Assemblée Nationale. Le débat se focalise sur la réforme du travail dominical, contre laquelle la maire de Paris s'insurge
RTL -Travail le dimanche : Macron dit non aux frondeurs
Agitant la menace de ne pas voter la loi, les députés PS "frondeurs" ont appelé Emmanuel Macron au "compromis politique" ce samedi.
Libé - Travail dominical: les frondeurs appellent Macron au «compromis», celui-ci dit non
Les députés PS «frondeurs» ont appelé samedi Emmanuel Macron au «compromis politique» sur le travail le dimanche, menaçant de ne pas voter son projet de loi mardi, mais le ministre a rejeté tout «compromis de façade» pour «rallier des voix».
Libé - Loi Macron: match en vue sur le volet social
Tout le monde attend le match gouvernement-frondeurs qui devrait se jouer ce week-end sur les bancs de l’Assemblée nationale. En jeu, les discussions sur le volet social du projet de loi pour l’activité, la croissance et l’égalité des chances économiques du ministre de l’Économie, Emmanuel Macron. Réforme des licenciements collectifs, allégement des sanctions applicables en cas d’entrave au fonctionnement des institutions représentatives du personnel, réforme prud’homale et mise en place d’un barème des indemnités de licenciement: les sujets de désaccord s’annoncent nombreux avant le vote global, mardi après-midi. Sans oublier l’enjeu du travail dominical qui divise la majorité.
Libé - Loi Macron : les frondeurs réduits à suivre le mouvement
Malgré des interventions visant à attaquer le projet de loi, les députés PS contestataires pèseront peu dans la balance lors du vote.
Libé - La caution de deux «frondeurs» sur le travail dominical
Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux, les appelle ses «super-héros». Sa «carte maîtresse» pour emporter la pleine adhésion des socialistes lors du vote du projet de loi Macron le 17 février. C’est que Stéphane Travert et Denys Robiliard, rapporteurs thématiques des deux chapitres du texte les plus polémiques à gauche - l’ouverture des commerces le dimanche et la réforme du droit de licenciement économique -, sont étiquetés «frondeurs».
FranceTVinfo - Loi Macron : feu vert au travail du dimanche
En France, le texte sur le travail du dimanche va être assoupli et étendu. L'article du projet de loi Macron a été voté par les députés ce samedi 14 février.
Le Parisien - Les ministres bâillonnés pour le congrès du PS
Pour éviter les couacs, Matignon a donné l'ordre aux ministres de ne pas signer de contribution en vue du congrès du PS, en juin. Des consignes qui agacent.
Le Parisien - PS : le coup de force de Cambadélis
Jean-Christophe Cambadélis fait plus que jamais figure de favori pour garder la tête du PS. L'actuel patron des socialistes dévoile ce matin la liste de ses soutiens en vue du congrès prévu en juin à Poitiers (Vienne). Selon nos informations, pas moins de 270 parlementaires le rejoignent.
12, 13 et 14 février
Boursier.com - Les cotes de François Hollande et Manuel Valls retombent
Un mois après les attentats de Paris, François Hollande et Manuel Valls perdent respectivement 5 et 6 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio.
L'Express - Le régime des intermittents introduit dans la loi au printemps
Paris, 11 fév 2015 - Le Premier ministre Manuel Valls a précisé mercredi que le régime spécifique des intermittents du spectacle serait inscrit dans la loi "rapidement, dès la mi-2015", probablement dans le projet de loi de modernisation du dialogue social présenté au printemps.
Le Lab - Quand Hollande, Moscovici et Pellerin faisaient l’école buissonnière à la Cour des comptes
La Cour des comptes dévoile ce mercredi 11 février son traditionnel rapport public annuel, diagnostic redouté de la gestion de la dépense publique en France. L’occasion de se pencher sur les jeunes années passées à la Cour des comptes par François Hollande et d’autres figures de la majorité issues de l’institution fondée par Napoléon Ier.
Les Echos - Départementales : dans les Bouches-du-Rhône, Guérini mène toujours le bal à gauche
Le Monde - Les députés ne pourront plus acheter leur permanence avec leur indemnité
L'Express - Congrès du PS: qui défiera vraiment Jean-Christophe Cambadélis?
Par la pluie de textes déposés en amont du Congrès du PS, les socialistes manifestent plus leur envie de débat que de changement de tête. Mais si les départementales se passaient mal, qui pourrait monter au créneau pour briguer le poste de premier secrétaire du parti?
11 février
Le Dauphiné Libéré - Jean-Christophe Cambadélis : « Il y a un risque d’éclatement du PS»
Dans une interview à paraître demain dans notre journal, Jean-Christophe Cambadélis n’exclut pas le risque d’éclatement du parti socialiste, dont il est le Premier secrétaire
Le JDD - Trois ministres se risquent aux départementales
Peu de membres du gouvernement mèneront campagne. Cinq d’entre eux ont un mandat départemental, mais seuls Patrick Kanner, André Vallini et Ségolène Neuville se représentent.
Le Figaro - À Marseille, Manuel Valls tourne la page des attentats
Le déplacement de deux jours du premier ministre dans la Cité phocéenne s'est déroulé dans une ambiance tendue, bien loin de l'état d'esprit des manifestations du 11 janvier.
L'Obs - Barbier devant les députés PS: "cette victoire est collective"
Le socialiste Frédéric Barbier, qui a remporté dimanche face au FN la législative partielle dans le Doubs, a salué mardi devant les députés de son groupe une "victoire collective", a constaté une journaliste de l'AFP.
L'Express - Congrès du PS: à quoi joue Martine Aubry avec sa contribution?
INTERVIEW – La députée socialiste, Karine Berger, se dit "choquée" par l'affaire des Swissleaks, qui met en lumière un vaste système de fraude fiscale via la banque HSBC. Membre de la commission des finances de l'Assemblée nationale et secrétaire national du PS à l'Economie, elle redoute les conséquences de ce nouveau scandale.
10 février
Le Figaro - Sondage : après l'embellie post-Charlie Hebdo, François Hollande replonge
La hausse spectaculaire du président de la République dans les sondages aura été de courte durée selon le baromètre Ipsos-Le Point.
Le Monde - Quand Jean-Christophe Cambadélis cible Bruno Le Maire
Le Monde - Travail le dimanche : Hidalgo conditionne son soutien aux nouvelles zones
Le Point - Législative dans le Doubs : le PS l'emporte d'une courte tête
Le socialiste Frédéric Barbier est élu : il obtient 51,43 % des voix contre 48,57 % à la candidate du Front national Sophie Montel.
Le Parisien - Législative dans le Doubs : Frédéric Barbier (PS), le discret laboureur
... Frédéric Barbier, 54 ans, cadre d'Electricité réseau distribution France (ERDF), est un homme de terroir d'un naturel prudent. Vice-président du conseil général du Doubs depuis 2011, cet enfant du pays (il est né à Audincourt et a grandi à Pont-de-Roide, dont il a été premier adjoint au maire) est propulsé au Palais-Bourbon en 2012 en tant que suppléant de Pierre Moscovici, nommé ministre de l'Economie.
9 février
Marianne - PS : à l'approche du congrès, alerte au tripatouillage !
L'Obs - Le Foll pointe une "radicalisation de droite" de la nouvelle génération UMP
Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, a pointé dimanche "une nouvelle génération" à l'UMP positionnée "sur une radicalisation de droite", citant Laurent Wauquiez et Bruno Le Maire.
Même s'il ne met pas "sur le même plan" l’État hébreu et Daech, Jean-Christophe Cambadélis, numéro un du PS, a déploré dimanche 08 février que l'on assimile les juifs à Israël et les musulmans à l'organisation État islamique.