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Communiqué - Page 5

  • Le plan national santé environnement 2020-2024 (PNSE4) souligne l’incohérence de l’action du gouvernement en matière de santé environnementale

     

    Jeudi 5 novembre 2020

    Stéphane Troussel, secrétaire national à la Santé et aux Politiques de solidarité
    Jean-François Debat, secrétaire national à l'Environnement et à la Transition énergétique


    Alors que la crise sanitaire liée au Covid-19 a rappelé le lien étroit entre environnement et santé humaine, il est plus que temps d’agir pour faire de la santé environnementale une priorité de nos politiques publiques.

    Le PNSE4, ouvert à la consultation par le gouvernement, constitue une occasion favorable pour établir un diagnostic de la situation, convenir d’objectifs prioritaires pour les prochaines années et nous doter d’outils d’évaluation robustes.

    Force est de constater qu’en l’état, le PNSE4 fait plutôt figure de déclaration d’intention générale alors que le contexte exige de mettre en œuvre des actions ambitieuses pour prévenir les futures crise sanitaires liées aux différentes formes de pollutions de l’air, des sols et de l’eau.

    Comment ne pas noter l’incohérence que représente l’adoption du projet de loi réautorisant l’utilisation des néonicotinoïdes au moment même où le PNSE4 est soumis à la consultation des citoyen·ne·s, d’associations environnementales et des parties prenantes pour la plupart opposées à l’utilisation de ce produit dévastateur pour la santé et l’environnement ?

    Incohérence, encore, que le PNSE4 élude totalement la question budgétaire dans une période où le plan de relance devrait nous permettre de favoriser la transition agricole et alimentaire, de renforcer nos efforts en matière de recherche et d’accompagner les collectivités territoriales dans leurs actions en matière de santé et d’écologie.

    Alors que la France fait figure de mauvais élève européen en matière de santé environnementale, le PNSE4 ne doit pas être une nouvelle occasion manquée pour adapter nos moyens d’action aux futures crises climatiques et sanitaires. 

  • ÉTATS-UNIS : le Parti socialiste se réjouit d'une victoire démocrate porteuse de nouveaux espoirs

     

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Jean-Marc Germain, secrétaire national aux Relations internationales

    Le Parti socialiste salue la victoire incontestable du démocrate Joe Biden et se réjouit de l’accession à la vice-présidence de Kamala Harris, première femme à accéder à ce poste. Ce succès marque un retour prochain à l'apaisement, à la raison et à la vérité. Il porte aussi les promesses de nouveaux espoirs pour le peuple américain d'abord, et aussi pour un monde multilatéraliste qui doit être plus uni face aux combats communs mondiaux, à commencer par le sauvetage de la planète et la lutte contre des inégalités qui montent en flèche : « America is back ».

    Si le record de votes réunis par Joe Biden dans toute l'histoire des élections américaines est une belle nouvelle, le soutien à haut niveau de son prédécesseur traduit la réalité d'une société américaine divisée. Celle-ci va requérir une grande concentration d'efforts de la part des démocrates, dans l'ensemble de ses sensibilités, pour réconcilier le pays et réparer les dégâts d'une gouvernance irresponsable.

    Aussi, dans ce contexte où l'Union européenne peut se sentir soulagée de retrouver un partenaire à l'écoute et de liens transatlantiques renoués, le monde actuel impose à l'Europe de cultiver aussi sa propre destinée d’une Union européenne crédible pour ses alliés et solide face à ses rivaux.

     

    - Dimanche 8 novembre 2020

  • Rassemblement en hommage à Samuel Paty, en soutien aux enseignants, pour la liberté et contre la terreur.

    Samedi 17 octobre 

    Samuel Paty, enseignant, a été assassiné pour avoir montré des caricatures de Mahomet à sa classe lors d’un cours d’éducation civique sur la liberté d’expression. Il est une nouvelle victime du terrorisme islamiste. Notre intransigeance et notre détermination sont totales contre la barbarie fanatique qui voudrait nous imposer son ordre. Cette fois, à travers lui, c’est l’école républicaine, laïque et émancipatrice qui a été visée.

    L’horreur absolue de ce crime suppose une réaction d’unité de la nation. C’est pourquoi Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste, a formulé la demande au chef de l’Etat d’associer l’ensemble des Françaises et des Français à des obsèques nationales et que soit décrété un deuil national.

    Aujourd'hui, dimanche 18 octobre un rassemblement se tiendra à 15h place de la République à Paris. Olivier Faure y sera présent et appelle les élus et militants socialistes à prendre part à cette initiative, et celles qui se tiendront partout en France, en hommage à Samuel Paty et en soutien aux enseignant.e.s, à l’école premier maillon dans la transmission des valeurs de la République.

  • HAUT-KARABAKH : le Parti socialiste dénonce la nouvelle agression des forces azerbaïdjanaises et appelle à l'implication du Conseil de sécurité des Nations unies

    Dimanche 27 septembre 2020

    Aujourd'hui, 27 septembre 2020, après une nouvelle agression des forces azerbaïdjanaises, des combats meurtriers ont eu lieu contre la République d’Artsakh (anciennement appelée Haut-Karabakh). Depuis le référendum du 2 septembre 1991 organisé dans cette région historiquement peuplée d'Arméniens, l'Azerbaïdjan conteste son indépendance. Après les heurts de juillet, c'est la seconde recrudescence du conflit entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie.

    Le Parti socialiste exprime sa vive préoccupation face à ce retour aux hostilités armées et dénonce ces nouvelles attaques qui ont entraîné la mort de plusieurs civils, notamment sous les tirs de drones tueurs guidés par l'Azerbaïdjan. Le soutien politique et militaire inconditionnel de la Turquie à l'Azerbaïdjan porte une part importante des responsabilités dans la gravité de la situation.
           
    Le Parti socialiste appelle la France, en sa qualité de coprésidente du groupe de Minsk en charge de la médiation dans ce conflit, ainsi que l'Union européenne, à agir immédiatement pour obtenir un retour sur la voie du dialogue. Il appelle également le Conseil de sécurité de l'ONU à se saisir de cette crise majeure, en coordination avec l'UE et l'OSCE, au vu des puissances impliquées dans la prolongation de ce conflit et des enjeux importants pour la stabilité du Caucase. La reprise des violences est une provocation envers l'appel du secrétaire général Antonio Guterres qui, le 22 septembre, à l'ouverture de l'Assemblée générale des Nations unies, a lancé un nouvel appel aux cessez-le-feu dans le monde dans les prochains cent jours.

  • Parti Socialiste - Plan de relance : une occasion manquée - Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste Vincent Duchaussoy, secrétaire national au

    Si le Parti socialiste se réjouit de voir certaines de ses propositions reprises, à l’image de la possibilité de coupler formation et chômage partiel, le plan de relance n’apparaît globalement pas à la hauteur de l’urgence de la crise et prépare insuffisamment l’avenir.

    C’est un plan déséquilibré. Il est centré pour un tiers sur une baisse des impôts de production, vieille rengaine patronale que le gouvernement exauce en usant du prétexte de la compétitivité, dont on sait pourtant que la fiscalité n’est pas le déterminant principal.

    Cette aide massive n’est pas assortie de conditionnalités sociales et environnementales comme le proposaient les socialistes. Le ministre de l’Économie revendique avoir demandé des « contreparties » ; l’histoire montre pourtant que compter sur le bon vouloir des entreprises n’est pas suffisant. Où est l’affirmation de l’État ? Le gouvernement s’enferre dans sa vision libérale.

    Le plan de relance manque le rendez-vous du pouvoir d’achat, alors que la crise que nous traversons est moins une crise de l’offre que de la demande. Pour se défendre, le gouvernement agite une chimère : la hausse du niveau d’épargne pendant le confinement. C’est ne rien comprendre au principe même des inégalités, car cette hausse du niveau total de l’épargne n’est portée que par quelques-uns, dont le pouvoir d’achat se porte bien. C’est pourquoi nous demandons d’agir sur le taux de TVA, comme vient de le faire l’Allemagne, et de travailler à une meilleure reconnaissance de l’utilité sociale des métiers.

     Force est de constater que la reconnaissance des « premier·es de tranchées » n’est pas au rendez-vous ! Le gouvernement fait preuve de mépris à leur égard, considérant que leur donner l’aumône à coup de primes serait à la hauteur du service qu’ils ont rendu à la nation.

    Le plan de relance ne peut pas ignorer les premières victimes de la crise. Il se doit d’activer des mécanismes de solidarité pour les plus pauvres. Or, l’aide aux plus précaires représente moins de 1 % du plan. C’est pourquoi nous réitérons notre demande d’abroger totalement la réforme de l’assurance-chômage, repoussée au 1er janvier 2021. Nous demandons également la revalorisation des APL en tenant compte des impayés de loyer, la revalorisation du RSA dès 18 ans, ainsi qu’un moratoire sur les frais bancaires pour les plus démunis.

    Le plan de relance manque le rendez-vous de la jeunesse, alors que la crise obscurcit l’avenir d’une génération. C’est pourquoi nous proposons une aide individuelle à l’émancipation solidaire (AILES), composée d’un revenu pour tous dès 18 ans (564 €) et d’une allocation de majorité à hauteur de 5 000 €. Ni l’un ni l’autre ne sont des cadeaux, ce sont les obligations d’une nation envers sa jeunesse, celle de lui donner les moyens de ne pas subir mais de construire sa vie.

    Le plan de relance n’est pas non plus à la hauteur de l’enjeu climatique. La transition écologique représente à peine un dixième du plan, dont 5 milliards seulement pour la rénovation thermique, loin des besoins estimés à 17 milliards annuels sur 30 ans. L’investissement dans le fret ferroviaire va dans le bon sens, à condition qu’il profite au service public du rail, point sur lequel nous serons vigilants. Pour être mené à bien, il appelle des mesures de réorientation du secteur routier. C’est pourquoi nous proposons, pour investir dans les infrastructures et atteindre 30 % du transport de marchandises d’ici à 2030, de prélever chaque année 1 milliard sur les profits réalisés par les sociétés autoroutières et d’accorder un bonus aux entreprises qui réalisent 50 % de leur transport de marchandise par rail. Comme souvent, le gouvernement ne fixe aucun objectif concernant la part du fret dans les années à venir et se contente d’incantations. Sur l’écologie, depuis l’élection d’Emmanuel Macron, rien n’a changé, hormis les ministres qui se sont succédé.

    On notera par ailleurs une différence majeure d’approche entre les secteurs de ce plan de relance. Lorsque la transition écologique bénéficie de crédits ponctuels, la disparition de recettes fiscales sans conditions a vocation à être pérenne. Un « deux poids, deux mesures » à rebours des enjeux de notre temps.

    En définitive, le plan de relance du gouvernement manque l’occasion de réorienter notre modèle de production et de consommation. Il s’inscrit au contraire dans la veine de la politique libérale menée depuis 2017. Preuve en est, aucune réforme fiscale n’est proposée qui aurait pu servir une véritable réorientation politique, mais qui aurait éloigné le président Macron de son électorat et de son ambition de rassemblement de la droite.

    Enfin, il ignore totalement les collectivités locales, dont le rôle dans le redressement économique, comme la transition écologique, est pourtant essentiel. L’évocation lyrique des « territoires » par le Premier ministre paraît bien lointaine.

    Nous nous souvenons des saillies du président à l’encontre de l’esprit français, qui ne goûterait pas assez le risque et le changement. Aujourd’hui, c’est Emmanuel Macron qui a peur. Peur de se saisir de cette crise sanitaire, économique et sociale pour se hisser à la hauteur des enjeux contemporains et de la transformer en opportunité sans précédent pour construire le monde d’après.

     

    4 septembre 2020

     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Parti Socialiste - Rentrée scolaire 2020-2021 : relever le défi des inégalités - Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste Yannick Trigance, secr

    En ce jour de rentrée pour les enseignants, le Parti socialiste salue l’engagement des équipes éducatives et des collectivités locales dans un contexte sanitaire tout à fait inédit et une gestion ministérielle anxiogène.

    Les décisions du ministre Blanquer sont, la plupart du temps, prises sans concertation et au dernier moment, plaçant les enseignants, les parents et les élus devant le fait accompli.

    Le refus du gouvernement de fournir les masques gratuitement aux familles, tandis que nos voisins grecs ou italiens le font dès lors que le masque est obligatoire, a contraint nos collectivités les plus pauvres à pallier les choix gouvernementaux.

    Au-delà, le Parti socialiste tient à rappeler que l’aggravation des inégalités pendant le confinement ne peut rester sans réponse sous peine de pénaliser plus encore les enfants issus des familles les plus modestes.
    Il convient pour cela de s’attaquer résolument au traitement de la difficulté scolaire et nous avons, dès le mois de juin, à travers notre plan de rebond pour l’école, posé dans le débat de nombreuses propositions : renforcement du réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté, différenciation pédagogique au sein des classes pour mieux suivre les élèves selon leur niveau, sécurisation du statut et de la formation continue des AESH auprès des élèves porteurs de handicap, renforcement des moyens alloués aux Rep et Rep+...

    Le Parti socialiste appelle en particulier l’attention sur la situation du second degré. Le gouvernement a fait voter la suppression de 440 emplois alors qu’il faudra accueillir 30 000 élèves supplémentaires dans le secondaire. Il conviendrait à l’inverse de donner des moyens au second degré – enseignement général et professionnel - d’accueillir ce surcroît de collégiens et de lycéens en ouvrant des postes en conséquence aux concours de recrutement.

    Le « Grenelle des professeurs » annoncé par le ministre Blanquer ne doit pas être une énième manœuvre dilatoire mais l’occasion de revaloriser les carrières et les salaires des personnels de l’Éducation nationale. Plus que jamais, les enseignants ont besoin de travailler dans un environnement sécurisé et reconnaissant, à la hauteur de leur niveau de qualification et de leur responsabilité sociale.  

    La promesse d’une loi de programmation pluriannuelle sur la période 2022-2026 devra être tenue, et le montant des enveloppes discuté avec les partenaires sociaux. Enfin l’introduction d’une prime d’équipement, versée tous les 4 ans, pour permettre aux enseignants d’acquérir le matériel et les outils nécessaires à l’exercice de leurs missions, est aujourd’hui plus que jamais d’actualité.

    Tout n’est certes pas réductible à une question de moyens, mais sans moyens suffisants, c’est la meilleure façon de faire échouer les élèves, notamment ceux qui décrochent ou ont de réelles difficultés à suivre en classe et alors que certains élèves vont reprendre demain le chemin de l’école après une rupture de 6 mois.

    - 1er septembre 2020

     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • LIBAN : le Parti socialiste adresse ses condoléances

    Ce 4 août 2020, le port de Beyrouth a subi une double explosion d'origine indéterminée laquelle a causé la mort de dizaines de personnes et blessé environ 2750 autres.

    Le Parti socialiste exprime sa profonde tristesse et ses sincères condoléances aux familles des victimes, mais aussi à l'ensemble du peuple libanais. Ce drame terrible frappe un pays affecté par une crise politique, économique et sociale profonde, que la pandémie de la Covid-19 a accentuée.

    Le Parti socialiste attend de la France et de l'Union européenne d'être aux côtés du Liban pour l'aider à traverser cette nouvelle épreuve qui le fragilise davantage face aux défis à relever sur les plans national et régional.

  • Stratégie de l’UE en faveur de la biodiversité à l’horizon 2030

    La biodiversité est essentielle à la vie. Notre planète et l’économie en dépendent. Lorsque la nature est en bonne santé, elle protège et pourvoit aux besoins. 

    La biodiversité et les écosystèmes nous procurent des denrées alimentaires, des médicaments, des matériaux et des loisirs, et pourvoient à notre santé et notre bien-être. Ils filtrent notre air et notre eau, contribuent à maintenir l’équilibre climatique, transforment les déchets en ressources, pollinisent et fertilisent les cultures, et bien plus encore. 

    La nature pourvoit aux besoins des entreprises: la moitié du produit intérieur brut (PIB) mondial, soit 40 billions d’euros, dépend de la nature. 

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  • PS - Meurtre de George Floyd : la lutte contre le racisme et pour la justice est partout le combat de la gauche

    Le Parti socialiste condamne avec vigueur l’acte inhumain et odieux dont a été victime George Floyd.

    Le Parti socialiste condamne avec vigueur l’acte inhumain et odieux dont a été victime George Floyd.

    Ce meurtre pose une nouvelle fois la question de l'exercice de l'autorité par la police aux États-Unis. En État de droit, détenir le monopole de la violence légitime ne doit pas légitimer toutes les violences. Si des avancées ont été accomplies ces dernières années, en particulier dans de nombreuses villes progressistes, il reste encore beaucoup à faire dans un pays marqué par une histoire de ségrégation raciale.

    Le Parti socialiste déplore les violences et les pillages qui n'offrent aucune perspective et, pire, contribuent à décrédibiliser le mouvement, pacifique et juste, né au lendemain de l’homicide de George Floyd.

    Ce meurtre est l'expression du racisme systémique et des profondes inégalités économiques et sociales qui frappent tout particulièrement les Afro-Américains, et qui sont à la source des violences et des divisions de la société américaine.

    Le Parti socialiste apporte son soutien aux Américaines et Américains qui exigent, par des actions pacifiques et de solidarité, que justice soit rendue.

    Ce crime, diffusé dans le monde entier, met Donald Trump face à de grandes responsabilités, celles d’exiger une justice impartiale et d’apaiser le pays. Or, celui-ci ne semble pas en prendre le chemin. Le président américain a minimisé ce crime raciste et opté pour une stratégie de la tension dans l'espoir d'en tirer un bénéfice électoral en novembre prochain. Ce « moi ou le chaos » pourrait bien conduire l'Amérique au précipice.

    Le Parti socialiste se tient au côté des familles endeuillées, des militants antiracistes et des minorités qui subissent la relégation et la violence. Partout, les forces de l'ordre ont le devoir d'être irréprochables et, dans ce domaine, la France a vocation à donner l’exemple.

    La lutte contre le racisme n'est jamais un combat acquis. Il oblige toujours à s'ajuster face à de nouvelles menaces. Partout où il s'exprime, aux États-Unis, en France ou dans n'importe quel pays du monde, le racisme étouffe. Partout où le racisme se manifeste, la gauche est à sa place dans le combat.

  • Construire la France d’Après : #JeParticipe

    PAS DE GRANDS PLANS POUR LE PAYS (AVEC NOS IMPÔTS) SANS NOUS

    Plan de sauvetage, plan de relance, plan de transformation, plan de sortie de crise, plan qui ne dit pas son nom… On le sait déjà, chacun et chacune d’entre nous financera les centaines de milliards d’euros dédiés à ce “chemin” pour sortir de la crise. Ce sont nos milliards, nos impôts et nos vies qui seront impactées pour des dizaines d’années..... Nous refusons des règles du jeu où ce sont toujours les mêmes qui paient les pots cassés. Cette fois nous ne voulons pas que notre argent finance le monde d’avant, nous voulons un plan de transformation vers le monde d’après, qui prenne en compte l’urgence climatique et l’impératif de justice sociale.

    https://cutt.ly/jyfRyVD

    #MondeAprès

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  • PS - Déclaration du Premier secrétaire - 16 mars 2020

    La situation sanitaire de notre pays doit guider l'ensemble de nos décisions. Tout le reste est secondaire. Les projections des experts doivent tous nous alarmer. Chacun d'entre nous a sa part de responsabilité dans la victoire contre le virus.

    Les données épidémiologiques sont connues. Les scientifiques ont déjà parlé. Les médecins hospitaliers ont d'ores et déjà fait part du risque imminent de saturation de leurs services. La décision appartient désormais au seul pouvoir politique.
    La stratégie doit être claire pour être comprise et intégrée par l’ensemble de nos concitoyens. Les évolutions graduelles toutes les 24 heures sont anxiogènes et laissent penser que la situation n'est pas maîtrisée. Il faut aller droit au but. Les mesures de confinement doivent être annoncées au plus vite. Chaque journée perdue accroît les risques de propagation massive.

    Dans ce contexte, organiser le second tour des élections municipales apparaîtrait comme lunaire. Il doit donc être différé.
    S'agissant du premier tour, les résultats doivent être validés et sanctuarisés. Au-delà de la question électorale, c'est la crédibilité de la parole publique et de l'État qui est en jeu. On ne déplace pas les Français en pleine crise sanitaire pour leur expliquer ensuite qu’il s'agissait d'une simple répétition.

    Dans cette épreuve, l’unité nationale est un impératif. Comme depuis le début de cette crise, nous ferons bloc avec l'ensemble de nos élus locaux dans cette guerre contre le covid-19.