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Communiqué - Page 18

  • Le Parti socialiste rend hommage à la mémoire du parachutiste mort en zone irako-syrienne

    24 septembre 2017

    C’est avec tristesse que nous avons appris, hier soir, la mort d’un adjudant du treizième régiment de dragons parachutistes dans la zone irako-syrienne.
     
    D’après les éléments apportés par le porte-parole de l’état-major des armées, ce membre des forces spéciales réalisait une mission de conseil auprès des forces locales au combat contre l’organisation Etat islamique.
     
    Le Parti socialiste adresse ses condoléances respectueuses à sa famille, ses proches et ses frères d’armes. En ce jour de deuil, chacun a conscience que si aucune démocratie ne peut se soustraire à la lutte contre la barbarie méthodiquement mise en oeuvre par les organisations terroristes, elle est conduite au prix d’un engagement ultime, celui de la vie de nos soldats. Qu’il leur soit rendu hommage.
  • PS - Présentation des ordonnances Macron-Pénicaud devant le conseil des Ministres

    Le Parti Socialiste a rencontré la plupart des syndicats représentatifs des salariés durant le mois de septembre et a entendu leurs analyses et leurs commentaires sur les ordonnances Macron-Pénicaud visant à modifier le code du travail.
     
    Ce qui ressort de ces échanges est clair : l’application des ordonnances ne bénéficiera pas aux travailleurs. Le Parti Socialiste maintient son opposition contre ces ordonnances.
     
    Cette volonté de bouleverser le code du travail n’apportera aucune solution nouvelle dans la lutte contre le chômage, ni aucun progrès social pour les salariés.
     
    Non, faciliter les licenciements n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, prévoir le coût d’un licenciement abusif, à travers le plafonnement des indemnités prud’homales, n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, exclure les syndicats des négociations dans les petites et moyennes entreprises n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Par ailleurs, les ordonnances ne répondent pas aux besoins réels des entreprises. Elles n’ont pas besoin de pouvoir licencier plus facilement pour recruter mais de carnets de commande remplis et d’une relance de l’investissement productif et de l’innovation.
     
    Enfin, ces ordonnances sont archaïques. Elles ne tiennent pas compte de la mutation des formes de travail et oublient les victimes de l’ubérisation croissante. Elles n’apportent rien non plus à la sécurisation des parcours professionnels, initiée par la gauche et laissée à l’abandon pour le gouvernement d’Edouard Philippe.
     
    Pour toutes ces raisons, le Parti Socialiste appelle le gouvernement à se ressaisir, à écouter les syndicats, à organiser de nouvelles concertations et à revoir sa copie.

  • PS - Iran : le Parti socialiste alerte sur la situation humanitaire des prisonniers politiques

    Depuis plusieurs semaines, 17 prisonniers politiques, journalistes, étudiants de la minorité spirituelle bahaï, sont en grève de faim. Ils dénoncent leurs conditions de vie, qualifiées «d’inhumaines» par Amnesty International.

    Il y a deux semaines, l’activiste et syndicaliste Reza Shahabi a également été arrêté. Détenu à plusieurs reprises dans le passé pour ses activités syndicales, M. Shahabi a rejoint les grévistes de faim.

    Les organisations de défense des droits de l’homme, les organisations syndicales internationales et le rapporteur spécial de l’ONU pour les droits de l’homme en Iran ont également réagi.

    Le Parti socialiste dénonce cette situation inacceptable, en Iran comme ailleurs. Il apporte son soutien aux prisonniers politiques iraniens et demande leur libération immédiate. Plus largement, le Parti socialiste renouvelle son soutien à toutes celles et tout ceux qui, en Iran, militent pacifiquement pour le respect des droits fondamentaux et la liberté.

  • PS - Budget 2018, un objectif d’économies revu à la baisse : le président Macron découvre la réalité du terrain

    19 septembre 2017

    Alors que le candidat aux élections présidentielles, Emmanuel Macron, promettait une réduction drastique des dépenses publiques, le président élu ne semble pas totalement respecter ses engagements.

    Le gouvernement a en effet annoncé que le plan d’économie prévu dans le projet de loi finances 2018 ne serait pas de 20 milliards, comme initialement attendu, mais de 16 milliards d’euros. La dépense publique baissera de 0,7 point de PIB en 2018 et non de 0,9 point, alors que tous les membres du gouvernement avaient communiqué sur cet objectif durant l’été.

    La dépense publique sert la croissance et l’emploi et, comme indiqué dans un rapport de l’OFCE, agit comme « un multiplicateur de relance en période de crise ». La réduire de manière trop importante serait préjudiciable à la bonne santé conjoncturelle du pays.

    La République En Marche et ses partenaires découvrent ainsi la réalité économique et admettent ainsi la réalité des comptes publics. Les annonces d’Edouard Philippe sur un soi-disant dérapage sont oubliées, jetant le doute sur le bien-fondé de sa communication estivale : la politique ne doit jamais l’emporter sur les faits.

  • Le Parti socialiste a reçu une délégation brésilienne du Parti des Travailleurs (PT)

    Le dialogue et la coopération entre le Parti socialiste et le Parti des Travailleurs (PT) ont été instaurés de longue date, particulièrement depuis Congrès de Brest en 1997, et se poursuivent régulièrement. Ainsi, une délégation du PS, avec d’autres forces politiques de gauche françaises, était présente au congrès fédéral du PT en juin dernier. Aujourd’hui, c’est une délégation du Parti des Travailleurs (PT) conduite par le député fédéral et ancien président de l’Ordre des avocats du Brésil, Wadih Damous, qui a été accueillie au siège du PS.

    Cet échange a permis l’examen détaillé des enjeux politiques et démocratiques qui sont au cœur des affaires de corruption rapportées par les médias. Les liens étroits de certains corps de la justice brésilienne avec les milieux conservateurs ont été soulignés. La procédure parlementaire qui a conduit au départ de Dilma Rousseff de la présidence du pays apparaît très discutable, voire inique, au regard du maintien en fonction de son successeur pourtant liés à des faits de corruptions avérés.

    Le Parti socialiste partage avec le Parti des Travailleurs la nécessité impérieuse de lutter contre la corruption. Le Parti socialiste affirme son opposition à toute offensive contre les fondements de la démocratie et contre les acquis sociaux réalisés par les présidences successives de Lula da Silva puis Dilma Rousseff. Il renouvelle sa solidarité avec le Parti des Travailleurs (PT) et avec les forces sociales et syndicales qui l’animent.

  • PS - Le Parti socialiste salue la nouvelle direction d’Ettakatol issue de son 3ème Congrès (Tunisie)

    13 septembre 2017

    Le Parti socialiste salue le succès du 3e congrès d’Ettakatol et l’élection d’une nouvelle direction avec à sa tête nos amis Khelil Ezzaouia comme Secrétaire général et Hela Ben Youssef Ouardani comme Vice-présidente.

    C’est aussi l’occasion de rendre un hommage appuyé à Mustafa Ben Jaafar qui restera dans l’Histoire de la Tunisie comme le père de la Constitution de l’après Ben Ali.

    Le PS salue tous les militants d’Ettakatol qui ont fait le choix difficile de travailler d’abord sur les institutions pour assurer la stabilité de leur pays.

    Cette nouvelle génération à la tête de ce petit parti, qui veut inventer une voie tunisienne vers la social-démocratie, contraste avec le pouvoir actuel dans ce pays. En effet, depuis son arrivée, ce pouvoir donne l’impression de recycler les vieilles équipes qui n’ont pas complètement rompu avec de vieilles pratiques.

    Khelil Ezzaouia, militant de longue date de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme et membre de l’UGTT a été ministre des affaires sociales et il était intervenu en 2011 à l’Université d’été du Parti socialiste.

    Hela Ben Youssef Ouardani a dirigé la fédération France Nord d’Ettakatol et elle est une militante socialiste de la fédération des Yvelines.

    Tous deux représentent cette génération politique ancrée dans le mouvement social.

    Le PS continue de militer en faveur de l’élargissement de ce front démocratique et progressiste dans lequel la gauche laïque doit converger pour proposer à la Tunisie une alternative face aux conservateurs religieux et libéraux actuellement au pouvoir.

  • Le Parti socialiste présent à la fête de l’Humanité

    16 septembre 2017

    Samedi 16 septembre, une délégation du Parti socialiste s’est rendue à « la fête  de l’Humanité » à l’invitation de Pierre Laurent, Secrétaire national du Parti communiste.

    Rachid Temal, Secrétaire national à la Coordination et à l’organisation, Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy, Secrétaire nationale au suivi de l’opinion et présidente de la délégation socialiste française au Parlement européen, Isabelle This Saint-Jean, Secrétaire nationale à la transition énergétique et écologique, et Olivia Polski, Secrétaire nationale à la Communication et aux réseaux sociaux, ont assisté au discours de réception des organisations et associations partenaires.

    Par cette rencontre symbolique, le Parti socialiste réaffirme que seule l’unité permettra de s’opposer véritablement à la déferlante de textes libéraux du gouvernement d’Edouard Philippe.

  • Le Parti socialiste salue la libération du journaliste Loup Bureau

    15 septembre 2017

    Le Parti socialiste se réjouit de la libération de Loup Bureau, après 52 jours de détention en Turquie au seul motif d’y avoir exercé son métier de journaliste.

    La mobilisation sans faille de ses proches, de son comité de soutien et de Reporters sans frontières, ainsi que l’action des autorités françaises, a permis d’aboutir à cette heureuse conclusion et à son prochain retour en France.

    Si le soulagement est réel, le combat pour la liberté de la presse continue. En Turquie comme dans de nombreux autres pays, de nombreux journalistes sont encore détenus ou empêchés d’exercer, en notre nom à tous, le droit à l’information. Le Parti socialiste salue ceux qui ont fait de ce combat leur engagement quotidien et sera toujours à leurs côtés.

  • Le Parti socialiste dénonce le drame humain dont les Rohingya birmans sont victimes

    Depuis le 25 août dernier, les tueries et exécutions se sont multipliées dans l’état de l’Arakan, partie occidentale de la Birmanie. Près de 370 000 Rohingyas sont désormais coincés à la frontière Birmane avec le Bangladesh, dans l’impossibilité de fuir leur pays face aux violences de l’armée birmane. Face à la détresse de cette population, nous appelons à la mise en place d’une solution rapide afin de redonner la dignité qu’ils méritent à ces enfants, femmes et hommes.

    Le processus de démocratisation en Birmanie est en cours. La situation politique et l’équilibre des pouvoirs effectifs est délicate. La constitution du pays octroie encore une place prépondérante aux militaires,  détenant 25% des sièges du Parlement et trois ministères déterminants sur les questions de sécurité.

    Pour renforcer la stabilité du pays, il est primordial d’aider, d’inciter et de convaincre tous les acteurs de la vie politique birmane – particulièrement les démocrates – à travailler à l’inclusion de tous les Birmans quelle que soit leur origine, famille ethnique ou confession.

    Le Parti socialiste est engagé dans cette volonté de dialogue entre les peuples, sujet sur lequel il travaille avec tous les acteurs de la mouvance progressiste et socialiste dans le monde.

  • PS - Ordonnances Macron-Pénicaud : le Parti Socialiste a rencontré la CGT aujourd’hui

    13 septembre 2017

    Le Parti Socialiste continue son travail d’écoute au sujet des ordonnances sur le code du travail.

    Après avoir rencontré, mercredi 6 septembre dernier, les représentants de la CFDT puis, vendredi 8 septembre, les représentants de l’UNSA, le député de Seine-et-Marne Olivier Faure, président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée Nationale, a accueilli une délégation de la direction de la CGT.

    La prochaine rencontre aura lieu vendredi 15 septembre avec les représentants de FO.

    Le Parti socialiste, respectueux de l’indépendance syndicale, continuera d’apprécier l’ensemble des commentaires et des initiatives que prendront les organisations au sujet des ordonnances Macron-Pénicaud.

  • PS - Ordonnances Macron-Pénicaud : le Parti Socialiste a rencontré l’UNSA aujourd’hui

    Le Parti Socialiste poursuit ses entretiens avec les organisations syndicales au sujet des ordonnances sur le code du travail.

    Après avoir rencontré, mercredi 6 septembre dernier, les représentants de la CFDT, une délégation composée de Rita Maalouf, Secrétaire nationale chargée du pôle production et répartition des richesses, et Rachid Temal, Secrétaire national chargé de la coordination et de l’organisation, a accueilli une délégation de la direction de l’UNSA.

    La prochaine rencontre aura lieu mercredi 13 septembre avec les représentants de la CGT.

     Le Parti socialiste, respectueux de l’indépendance syndicale, continuera d’écouter et d’apprécier l’ensemble des analyses et des initiatives que prendront ces organisations face aux ordonnances Macron-Pénicaud.