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Communiqué - Page 22

  • J-C.Cambadélis : « La position du Parti socialiste ce sont les candidatures autonomes; nous ne sommes pas dans la majorité présidentielle. »

    La campagne des élections législatives débute officiellement aujourd’hui, et à cette occasion, Jean-Christophe Cambadélis était l’invité de la matinale de France Inter.

    Parmi les candidats socialistes, le Premier secrétaire a critiqué la quinzaine de candidats s’affichant avec la formule « majorité présidentielle », en contradiction avec la position du Parti socialiste.

    Le Premier secrétaire a rappelé l’importance du clivage gauche/droite sur la question sociale ou encore sur le principe même de solidarité à l’origine des services publics faisant référence à la future réforme du code du travail ou la volonté affichée par le candidat Macron de supprimer des postes de fonctionnaires.

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  • PS - Annonce du Gouvernement : réaction du Parti socialiste

    17 mai 2017

    En choisissant de confier « Bercy » à Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, le Premier Ministre Edouard Philippe aura l’assurance de pouvoir mener une politique économique « de droite et en même temps… de droite » dont les priorités consisteront à augmenter la CSG, supprimer l’ISF, remettre en cause les protections des salariés, réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires et casser les services publics.
     
    Au-delà même du choix des hommes dont Nicolas Hulot peine à être celui qui cache une forêt d’énarques et de vieux routiers de la politique, on s’étonnera de l’abandon rapide de la priorité donnée à l’éducation dans ce quinquennat, ce ministère étant relégué au 11ème rang de l’ordre protocolaire.
     
     
    Pire encore, le logement qui constitue une préoccupation indiscutable pour les Français, a tout simplement disparu du dispositif gouvernemental.
     
     
    Enfin, on regrettera le non respect de plusieurs engagements pris par Emmanuel Macron devant les Français : le gouvernement regroupe 22 membres au lieu des 15 promis et il n’y aura pas de ministère plein et entier des Droits des Femmes.
     
     
    Après la nomination d’un Premier ministre de droite, la composition de ce gouvernement démontre que le vote socialiste aux élections législatives est le seul moyen de répondre au besoin de gauche et à l’exigence de justice sociale nécessaires à la réussite de la France.
  • PS - Décisions de la commission électorale du Parti socialiste

    16 mai 2017

    Réunie lundi 15 mai, la commission électorale du Parti socialiste a procédé à l’investiture de nouveaux candidats aux élections législatives dans diverses circonscriptions qui restaient à pourvoir.

    Par ailleurs, la commission électorale a arrêté que les candidats précédemment investis par le Parti socialiste qui ont dorénavant reçu l’investiture du mouvement la « République En Marche », sont désormais désinvestis par le Parti socialiste. En outre, ces candidats verront se présenter face à eux des candidats soutenus par le Parti socialiste, à l’exception de quelques circonscriptions dans lesquelles cela entrainerait presque assurément une victoire du Front national. Dans ces cas, en responsabilité, fidèle à sa tradition de barrage contre l’extrême-droite et de retrait républicain, le Parti socialiste ne présentera pas de candidat.

    Ces décisions ont été validées à l’unanimité par le Bureau national qui s’est tenu ce même jour.

  • PS - Décès de Corinne Erhel : réaction du Parti socialiste

    C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris hier soir le décès brutal de Corinne Erhel, députée des Côtes d’Armor, à l’âge de 50 ans.

    Parlementaire socialiste depuis 2007 et conseillère régionale de Bretagne, Corinne Erhel était passionnée par les sujets liés aux territoires et au numérique. Tous connaissaient la qualité de son expertise, l’attachement à sa circonscription et la rigueur dont elle savait faire preuve pour défendre ses convictions.

    Le Parti socialiste adresse ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches.

  • PS - Le Parti socialiste réunira ses candidats aux législatives le 9 mai à Paris

    29 avril 2017

    Le Lab d’Europe 1 annonçant que la campagne des élections législatives serait dirigée par cinq hommes, publie une information sans fondement.

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Jean Christophe Cambadélis, a indiqué sur France info le 27 avril que le Parti socialiste n’attendrait pas un congrès pour marquer un renouvellement et un renouveau.

    C’est le mardi 9 mai lors d’une réunion à Paris, avec l’ensemble des candidats aux élections législatives, que le Parti socialiste présentera sa nouvelle plateforme, ses nouveaux candidats et sa nouvelle organisation de campagne.

    D’ici là, les socialistes restent mobilisés pour faire battre Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle.

  • Convention pour la 6° République (C6R) - Vers toujours plus de présidentialisme ?

    Les effets des résultats de ce 1° tour des Présidentielles peuvent affecter profondément le régime de la V° République. La Convention pour la 6° République met en garde contre certaines tentations.

    Les résultats du premier tour des élections présidentielles augurent d’une vraie crise du système qu’est la V° République. Les deux partis qui l’ont soutenu tout au long de son histoire se trouvent éliminés et avec eux l’artificielle bipolarisation.  La traditionnelle soumission des élections législatives à ce scrutin est remise en cause. Une fois éliminée la candidate de l’extrême-droite, le président élu le 7 mai, non seulement ne représentera  qu’une minorité des Français mais risque fort de ne pas avoir de majorité automatique à l’Assemblée Nationale. Les défenseurs du système (notamment les deux candidats de ce deuxième tour) qui ont toujours dénoncé l’aspiration à une VI° République comme étant un retour à la IV° pourraient  se trouver confrontés à une instabilité ministérielle digne de ce régime. Les risques d’une fuite vers toujours plus de présidentialisme (déjà annoncé par, entre autre l’annonce du gouvernement par ordonnances et le recours au 49-3) seront une tentation bien réelle. Il faut donc se préparer à poursuivre le combat pour une République démocratique qui a été porté et partagé par deux candidats qui ont réuni plus du quart des électeurs ce 23 avril. La Convention pour la 6° République se tient disponible pour conforter l’unité plus que jamais indispensable à cette entreprise.

    Le Conseil d’Administration de la
    Convention pour la 6° République (C6R)
    Le 24 avril 2017

  • Primaires citoyennes de la gauche : les électeurs inscrits sur les listes électorales au cours de l’année 2016 pourront voter

    Nous constatons un afflux de nouveaux inscrits sur les listes électorales au cours du mois de décembre 2016, avec des records battus dans de nombreuses villes au regard des chiffres habituels de veille d’élection présidentielle.

    Depuis plusieurs semaines, nous sommes sollicités par ces électeurs nouvellement inscrits sur les listes électorales en 2016 pour savoir s’ils auront le droit de voter les 22 et 29 janvier lors de la primaire de la gauche et des écologistes. La réponse est oui.

    Le Comité National d’Organisation des Primaires citoyennes (CNOP) qui se réunira le 3 janvier étudiera les modalités pratiques de leur vote et elles seront rendues publiques le 4 janvier.

  • Cambadelis : Le Parti socialiste profondément choqué et solidaire après l’attaque du marché de Noël de Berlin

    Hier soir, un camion a foncé dans la foule du marché de Noël à Berlin. Cet acte d’horreur a provoqué la mort d’une douzaine de personnes et blessé au moins une cinquantaine d’autres.

    L’Europe est en deuil. Le Parti socialiste exprime son effroi et sa solidarité avec les Berlinois et le peuple allemand. Il adresse ses sincères condoléances aux familles touchées.

    L’Europe est de nouveau touchée par le terrorisme. L’Europe est plus que jamais nécessaire pour répondre à la menace terroriste.

  • PS - Syrie : Le Parti socialiste est solidaire de la population martyre d’Alep

    07 décembre 2016

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a reçu ce jour M. Brita Hagi Hasan, Président du Conseil local d’Alep et les représentants des associations qui, en France, se mobilisent pour sauver la population d’Alep affamée et massacrée.

    Le Parti socialiste réaffirme son soutien à un changement démocratique en Syrie, soumise aujourd’hui à une violence inhumaine.

    Il appelle les autorités russes à arrêter immédiatement les bombardements pour permettre l’évacuation de la population assiégée d’Alep via un couloir humanitaire sécurisé.

    Après les vetos russe et chinois au dernier projet de résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies, le Parti socialiste demande aux opinions publiques russe et chinoise de se mobiliser en se souvenant des atrocités commises lors du massacre de Nankin (1937) et du siège de Leningrad (1941-1944) par la barbarie fasciste.

    Le Parti socialiste souhaite que les gouvernements des États européens expriment concrètement leur solidarité par un ultimatum humanitaire pour l’arrêt des combats et des bombardements et sanctuariser l’espace aérien, afin de permettre des parachutages d’urgence.

    Le Parti socialiste estime opportune une initiative parlementaire française et européenne pour se rendre sur place.

    Enfin, il sera présent à la manifestation organisée par les associations ce samedi 10 décembre à 16h à Paris. Il demande à ses militants et à tous les citoyens épris de paix et de démocratie à exprimer fortement et clairement leur refus de la barbarie.

  • Pisa 2015 consacre le déclin éducatif des années Fillon-Sarkozy

    Le Parti socialiste tient à rappeler que les résultats Pisa 2015 évaluent encore la politique menée entre 2008 et 2012, c’est-à-dire quand Monsieur Fillon était le chef du gouvernement de Monsieur Sarkozy.

    Pisa s’intéresse aux élèves âgés de 15 ans, c’est-à-dire à ceux dont la scolarité, du CP à la 5ème, s’est déroulée sous un gouvernement de droite. Ils n’ont connu, depuis le CE2, que les programmes de 2008 dont l’enquête Timss a récemment révélé les insuffisances. Ce sont les élèves de la « génération sacrifiée» qui sont évalués, celle qui a enduré les suppressions de 80.000 postes et la fin de la formation initiale des enseignants.

    La loi pour le Refondation de l’école de la République de 2013 a été mise en oeuvre quand ces élèves avaient 14 ans – ils n’ont donc pas bénéficié des mesures prises par la gauche en faveur de l’école primaire er de l’éducation prioritaire. Les nouveaux programmes et la réforme du collège ne sont entrés en vigueur qu’après l’étude Pisa. Andreas Schleicher, le directeur de cette enquête pour l’OCDE le dit clairement : « l’impact des réformes amorcées depuis 2012 ne sera pas visible car les données ont été collectées en 2015 ».

    Les résultats Pisa 2015, une fois de plus, font de la France l’un des pays où le déterminisme social agit le plus sur les résultats scolaires : environ 40 % des élèves issus d’un milieu défavorisé sont en difficulté. Ils consacrent le déclin éducatif de la France entre 2008 et 2012, quand le gouvernement de Monsieur Fillon n’a pas consenti les efforts et les réformes nécessaires pour rendre le système éducatif plus juste, plus exigeant et plus ambitieux pour tous les élèves.

    Cette étude vient conforter les choix opérés à travers la Refondation de l’école de la République. Elle engage les responsables politiques à investir de manière massive et durable dans l’éducation. Le programme de Monsieur Fillon, de ce point de vue, est un contre-sens historique majeur.

  • PS - Deux candidats si semblables pour faire reculer la France

    24 novembre 2016

    A l’issue de plusieurs mois de surenchère ultralibérale et réactionnaire dans le cadre de la primaire de la droite, les deux finalistes ne pouvaient qu’affirmer des mesures autoritaires et inégalitaires.

    C’est ce qu’a confirmé le débat qui s’est déroulé ce soir entre François Fillon et Alain Juppé, dans lequel les différences ont été moins marquées que les convergences.

    Ces deux anciens Premiers ministres ont en partage la casse des services publiques, la suppression drastique du nombre de  fonctionnaires, le report de l’âge de la retraite, l’augmentation du temps de travail, l’autoritarisme à tous les étages… Une droite dure et conservatrice, pour ne pas dire réactionnaire. Une droite d’un autre temps.

    Les deux sont donc d’accord sur la cure antisociale qu’ils souhaiteraient imposer aux Français. Ils ne divergent que sur son mode d’administration : par la force et une confrontation totale et radicale pour l’un, par la durée et dans ersatz d’union nationale pour l’autre.

    Alors que tant d’efforts ont été investis pour redresser la France et que ces efforts portent maintenant leurs fruits, alors que tant de mesures de progrès ont été réalisées et qu’elles redessinent déjà notre société,  alors que tant de défis pèsent aujourd’hui sur notre société et que ne pas les relever aurait de graves conséquences, les Français ne doivent pas s’y tromper : aucun de ces deux candidats de droite ne représente un choix souhaitable pour notre pays.
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