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Communiqué - Page 26

  • Jean-Christophe Cambadélis élu Premier secrétaire du Parti socialiste - composition du Secrétariat national

    Premier secrétaire – Jean-Christophe CAMBADELIS
     
    Coordination, études – Guillaume BACHELAY 
    Trésorerie – Jean-François DEBAT 
    Élections, animation des SN fonctionnels - Christophe BORGEL 
    Fédérations, sections – Alain FONTANEL 
    Relations extérieures – Luc CARVOUNAS 
    Communication, réseaux sociaux, mobilisations militantes, campagnes du Parti – Sarah PROUST 
    Formation militante, rénovation du Parti – Emeric BREHIER 
    Organisation et adhésions – Laurent GRANDGUILLAUME 
    Suivi de l’opinion – Christine REVAULT-D’ALLONNES 

    4 Porte-parole [animation du porte-parolat : coordination]

    • Carlos DA SILVA 

    • Olivier FAURE 

    • Corine NARASSIGUIN

    • Rafika REZGUI 

     
    Pôle « Mondialisation / régulation / coopération » - Jean-Marc GERMAIN 
    International, francophonie – Jean-Marc GERMAIN 
    Europe – Philippe CORDERY 
    Défense – Eduardo RIHAN CYPEL 
    Immigration, co-développement – Sandrine MAZETIER 
     
    Pôle « Production / répartition des richesses » - Karine BERGER 
    Politique industrielle, numérique, économie sociale et solidaire – Juliette MEADEL 
    Innovations, PME – Patrice PRAT 
    Économie, fiscalité et comptes publics – Karine BERGER 
    Travail, emploi, formation professionnelle, dialogue social – François KALFON 
     
    Pôle « Préparation de l'avenir » - Clotilde VALTER 
    Transition écologique, énergies, croissance bleue – Clotilde VALTER 
    Éducation, formation, culture – Colombe BROSSEL 
    Jeunesse, sports, vie associative, éducation populaire – Elsa DI MEO 
    Enseignement supérieur, recherche – Isabelle THIS SAINT JEAN 
     
    Pôle « Justice sociale / cohésion territoriale » - Carole DELGA 
    Santé, petite enfance, protection sociale, autonomie – Marc MANCEL 
    Handicap, lutte contre l'exclusion – Kamel CHIBLI 
    Logement, ville, quartiers populaires – Samia GHALI 
    Ruralité, agriculture – Carole DELGA 
    Services publics, décentralisation, modernisation de l'Etat – Estelle GRELIER 
     
    Pôle « République / citoyenneté » 
    Justice, libertés – Marie-Pierre DE LA GONTRIE 
    Sécurité publique – Myriam EL KHOMRI 
    Laïcité, institutions – Mathias FEKL 
    Droits des femmes, parité – Adeline HAZAN
     
    Université d’été et Université permanente du PS – David ASSOULINE
    David LEBON continuera à animer les fédérations d’Outremers
  • Communiqué des initiateurs de l’appel des Parlementaires

    Le 5 avril, au lendemain d’une défaite historique de la gauche, nous avons rendu public un appel baptisé « Les conditions de la confiance. Pour un nouveau contrat de majorité », immédiatement approuvé par une centaine de parlementaires.

    Cet acte inédit, précédant une déclaration de politique générale, témoigne de notre ferme volonté de redonner de la vitalité au Parlement. La défiance populaire des derniers mois réclame des réponses nouvelles. Nous avons présenté des propositions précises, pour nous rassembler et retrouver la fierté et le sens de l’action collective.

    En conscience, beaucoup d’entre nous ont choisi de participer à l’investiture du nouveau Gouvernement. D’autres ont choisi l’abstention. Nous restons solidaires dans une démarche collective. Ni chèque en blanc, ni agitation stérile, notre objectif est bien de construire confiance et vigilance.

    Nous confirmons qu’après ce vote d’investiture, nous ne saurions  adopter le pacte de responsabilité en l’état.

    Nous ferons des contre-propositions et des amendements pour concentrer les marges de manœuvre de la France en priorité sur celles des entreprises qui embauchent, investissent, forment leurs salariés ou se battent dans la compétition mondiale et pour que la gestion sérieuse des comptes publics soit fondée sur une meilleure organisation du pays et pas sur un recul des protections sociales et des services publics.

    À l’avenir, cette démarche collective va se poursuivre et s’amplifier, avec la même détermination et les mêmes buts. Chaque semaine, nos votes en témoigneront.
    Christian PAUL, Laurence DUMONT, Laurent BAUMEL, Pouria AMIRSHAHI, Fanélie CARREY-CONTE, Jean-Marc GERMAIN, Jérôme GUEDJ, Nathalie CHABANNE, Arnaud LEROY, Daniel GOLDBERG

  • Gauche Populaire : Sans réorientation rapide de la politique, le vote de la confiance au futur gouvernement n’est pas acquis

    Le second tour des élections municipales a confirmé et amplifié le message envoyé par les électeurs au premier tour. Malgré leurs bons bilans municipaux et leurs engagements quotidiens au service de leurs concitoyens, les élus socialistes sortants ont injustement payé les erreurs et les déséquilibres de la politique nationale.

    Aussi nécessaire soit-il, un remaniement gouvernemental sans inflexion de la politique menée ne serait qu’un leurre. Le temps des ruses tactiques et des opérations de communication est révolu. Nous n’avons plus le luxe de biaiser avec la démocratie. Plus qu’un changement de femmes et d’hommes, il faut une réorientation urgente et profonde de la politique que nous menons.

    Depuis de longs mois, la Gauche populaire affirme que la lutte nécessaire contre le chômage ne justifie pas la politique purement idéologique de cadeaux fiscaux massifs et sans contreparties aux entreprises et que l’urgence est plutôt de réorienter la politique européenne pour sortir de l’austérité actuelle. Depuis de longs mois, la Gauche populaire considère que la gauche au pouvoir se détourne de sa mission si elle ne répond pas d’abord aux attentes des couches populaires et moyennes en matière de justice sociale et de pouvoir d’achat, à travers notamment une grande réforme fiscale redistributive.

    Sans cette réorientation, nous ne réussirons pas le quinquennat.

    Le Président et le gouvernement sont placés devant leurs responsabilités historiques. Mais nous prendrons également les notre, là où nous sommes. Sans réorientation réelle de la politique de la gauche au pouvoir, notre vote de confiance au futur gouvernement n’est pas aujourd’hui acquis.