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Communiqué - Page 15

  • Autriche : le Parti socialiste condamne la coalition gouvernementale droite extrême-droite

    Après de longues négociations, le leader conservateur Sebastian Kurz a formé un gouvernement avec le parti d’extrême droite, le FPÖ. Depuis que l’Autriche a rejoint l’Union européenne, c’est la deuxième fois qu’un parti membre du PPE s’allie avec l’extrême-droite. Après la Hongrie et la Pologne, voici l’Autriche sombrer du côté du nationalisme à quelques mois de sa présidence du Conseil européen, à partir de juillet prochain.

    Alors que l’élection présidentielle avait vu le candidat d’extrême-droite se qualifier pour le second tour, les législatives de l’automne ont créé les conditions d’un retour de l’extrême-droite dans une coalition gouvernementale. Cette situation est d’autant plus inquiétante que cette dernière obtient les ministères de la Défense et de l’Intérieur, en plus d’un contrôle sur les services secrets. On peut notamment craindre que la question des migrants ne devienne la cible de prédilection de ce gouvernement rétrograde.

    En 1999-2000, la constitution d’une première coalition avec l’extrême droite en Autriche avait vu des dirigeants européens mettre le pays à l’écart, sans que ces mesures ne soient vraiment efficaces. D’évidence, les membres de l’Union européenne ne sauraient aujourd’hui faire l’économie d’une réaction forte, individuelle et collective, tant l’indifférence conduirait à la banalisation et la banalisation à tous les maux que nous n’avons déjà que trop subis sur le vieux continent.

    Le Parti socialiste a toujours combattu l’extrême-droite, sous toutes ses formes et il a toujours condamné les alliances entre des partis démocratiques et les héritiers de l’idéologie mortifère. C’est pourquoi, dans un moment de crise démocratique sans précédent pour le modèle européen, les socialistes persistent et signent : combattre l’extrême-droite partout, ne pas détourner le regard, condamner toutes les alliances. Il est urgent de réinventer le projet européen, celui de l’humanisme, de la démocratie et de la solidarité, seule digue contre la vague des populismes.

  • Conférence nationale des territoires : le Parti socialiste veillera à ce que l’action de l’Etat concerne tous les territoires

    Le déplacement de Matignon à Cahors à l’occasion de la deuxième Conférence nationale des territoires (CNT) est une décision symbolique qui aura eu le mérite de braquer les projecteurs sur les difficultés que connaît la capitale du Quercy à l’instar de nombreuses villes moyennes françaises.

    Parmi les volets prioritaires annoncés à la CNT, on note la création d’un plan « Cœurs de ville » doté de 5 milliards d’euros sur cinq ans et adossé à un outil central, les opérations de revitalisation des territoire (ORT). Le Parti socialiste se félicite de ce plan qui va permettre de lutter contre le déclin de l’activité économique et commerciale des centre-bourgs des villes moyennes mais regrette toutefois que le périmètre retenu exclue les quartiers périphériques, les petites villes ou certains villages confrontés eux aussi à la disparition de services publics, commerces,…

    Si, comme nous l’avions demandé à plusieurs reprises, le gouvernement a semblé enfin chercher les voies d’un apaisement avec les collectivités territoriales à travers des assouplissements en matière de discipline budgétaire, les propositions sont insuffisantes. Il faudra, a minima, qu’elles soient améliorées lors de la deuxième lecture du projet de loi de programmation des finances publiques 2018-2022 au Sénat, mardi prochain. Mais, dans le contexte d’extrême réduction de l’autonomie budgétaire des collectivités territoriales, la contractualisation ne saurait faire figure de panacée. Le Parti socialiste souhaite que le gouvernement entende les propositions des associations pluralistes d’élus afin de trouver un compromis satisfaisant et pérenne.

  • Conseil du Parti socialiste européen : le Parti socialiste français obtient des avancées sur la démocratie et l’intégration sociale

    01 décembre 2017

    Les 1er et 2 décembre, se tient le Conseil du Parti socialiste européen à Lisbonne.

    Au Portugal, le seul pays d’Europe où un gouvernement de gauche bénéficie du soutien de toutes les forces progressistes et qui réussit à relever le pays après une brutale cure d’austérité, les socialistes européens sont venus réaffirmer leur volonté de changer l’Europe.

    La délégation conduite par Rachid Temal, Coordinateur du Parti socialiste, a défendu avec succès une avancée démocratique avec un programme et un-e candidat-e communs des socialistes européens et l’idée de listes transnationales – après le Brexit – pour renforcer l’européanisation des élections européennes.

    Cette démocratisation passe aussi par l’ouverture de possibilités de primaires pour choisir le candidat-e socialiste à présidence de la Commission européenne.

    Il faut aussi un bon programme pour réorienter l’Europe. C’est aussi ce que les socialistes européens veulent construire. Le Parti socialiste sera un acteur majeur dans la construction de ce programme commun pour une Europe de gauche.

    Participaient aussi à la délégation, Olivier Faure, président du groupe Nouvelle gauche à l’Assemblée nationale, Christine Revault d’Allonnes- Bonnefoy, présidente de la délégation socialiste au Parlement européen Pervenche Berès et Emmanuel Maurel, députés européens ainsi que les secrétaires nationales Florence Augier et Rita Maalouf et les secrétaires nationaux Maurice Braud et Antoine Varoquié.

  • Hommage des socialistes à Johnny Hallyday

    06 décembre 2017

    Le Parti socialiste a appris avec tristesse la disparition de Johnny Hallyday à l’âge de 74 ans.

    Si le mot « star » est à notre époque souvent galvaudé, il convient pleinement à Johnny Hallyday et c’est pourquoi l’émotion populaire est si vive aujourd’hui dans notre pays.

    Une star est l’excellence même dans son art. Johnny, à la voix à nulle autre pareille, légende du rock n’roll à la française, qui faisait vivre la scène de son énergie et de son charisme, appartient à la culture populaire.

    Cette authenticité, cette sensibilité aussi, étaient perceptibles à l’écran, chez Godard, Lellouch, Leconte, Johnnie To. Ce don de soi et ce talent singulier avaient forgé un lien indéfectible avec son public.

    C’est cela aussi, une star. Une vie qui accompagne les nôtres, une personnalité qui, plus grande qu’elle-même, marque de son empreinte durable une collectivité. Que de Souvenirs, souvenirs pour chacune et chacun : les paroles et les musiques des chansons de Johnny Hallyday, les étapes de son itinéraire artistique toujours réinventé et pourtant continu, font partie des mythologies françaises.

    Voilà pourquoi l’hommage est unanime et la tristesse est grande.

    À la famille de Johnny Hallyday et à ses proches, les socialistes adressent leurs pensées.

  • PS : Un parti socialiste féministe : tolérance zéro face aux violences sexistes et sexuelles

    Le Parti socialiste a fait du respect des droits des femmes, de la lutte contre les violences sexistes, sexuelles et physiques, une priorité de ses politiques publiques. Dans le contexte anxiogène de l’affaire Weintsein et de la multiplication des dénonciations de faits de harcèlement et d’agressions sexuelles, le Parti socialiste souhaite apporter une réponse forte. Aucune violence physique ou sexuelle, aucun fait de harcèlement ne seront toléré.e.s dans notre organisation. La libération de la parole des femmes doit s’accompagner d’un changement des pratiques en interne.

    Parce que nous sommes féministes, nous ferons du Parti socialiste un parti exemplaire dans la lutte contre toutes les violences envers les femmes. Nous saluons le courage de toutes les femmes qui osent briser la loi du silence et nous leur assurons de notre total soutien contre leurs agresseurs. Ces violences sont massives et doivent être comprises comme le résultat d’une société sexiste. Présentes dans toutes les sphères, professions et tous les milieux sociaux, en 2017 les violences faites aux femmes demeurent encore taboues.

    Nous responsables politiques socialistes, secrétaires nationaux.les, fédéraux.les et militant.e.s souhaitons présenter des propositions concrètes à appliquer rapidement pour accompagner la libération de la parole et mettre fin aux violences.

  • Le Bureau national du Parti socialiste vote à l’unanimité l’exclusion de Gérard Filoche

    21 novembre 2017

    Vendredi 17 novembre, Gérard Filoche a posté un tweet antisémite, reprenant manifestement des symboles de l’imagerie nazie. Dans les jours qui ont suivi, entre minimisation et absence d’excuses, ces tentatives d’explications ont prouvé qu’il ne parvenait pas à mesurer la gravité de son acte.

    Le Bureau national du Parti socialiste s’est réuni mardi 21 novembre afin d’examiner le cas particulier d’un comportement qui, en tous points, contrevient aux valeurs du socialisme et aux fondements de l’engagement de ses militants, hier comme aujourd’hui.

    Le Bureau national du Parti socialiste a voté à l’unanimité pour l’exclusion de Gérard Filoche dans une résolution précisant que ce dernier « ne peut désormais se réclamer du Parti socialiste et siéger dans ses instances ».

  • Le Parti socialiste condamne avec la plus grande fermeté le photomontage utilisé par Gérard Filoche et engage sa procédure d’exclusion

    Dans la soirée d’hier, Gérard Filoche, membre du Bureau national du Parti socialiste, a mis en ligne sur son compte Twitter un photomontage mettant en scène le président de la République, Emmanuel Macron, ainsi que d’autres personnalités, dans une imagerie indiscutablement antisémite et reprenant certaines références visuelles du régime nazi.

    Le Parti socialiste condamne avec la plus grande fermeté ce tweet, insupportable, inexcusable et inacceptable. Il porte atteinte aux valeurs mêmes du socialisme, ainsi qu’à l’engagement de chaque jour et à l’action de terrain de ses militants contre le racisme et l’antisémitisme. Il constitue à ce titre un motif d’exclusion.

    C’est pourquoi la direction du Parti socialiste a immédiatement décidé d’engager une procédure d’exclusion.

  • Le Parti socialiste dénonce la marche nationaliste en Pologne

    14 novembre 2017

    A l’occasion de la fête de l’indépendance polonaise, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé dans les rues du pays à l’appel de l’extrême droite.

    Ces marches nationalistes au cour desquelles ont été scandés et brandis des mots d’ordre racistes et homophones, illustrent bien l’ancrage du nationalisme et des replis identitaires en Europe.

    Le jour même où les peuples d’Europe commémoraient la fin du premier conflit mondial qui fut provoqué par l’exacerbation des nationalismes, l’extrême-droite demeure une menace pour la démocratie. Fascisante hier, national populiste aujourd’hui, elle fait de la haine de l’autre un programme politique qui ne peut que mener au chaos.

    Le renforcement de cette idéologie de haine qui a remporté des succès électoraux en Allemagne, en Autriche ou encore en République tchèque ces dernières semaines est une menace pour l’unité de l’Europe et les politiques de justice sociale qui sont une meilleure réponse à la crise que le néolibéralisme.

    Le Parti socialiste renouvelle son engagement à lutter avec toutes les gauches européennes contre le nationalisme qui n’a amené que la désolation sur le continent.

  • PS - Pour penser et réduire les nouvelles inégalités, faut-il revenir aux classes sociales ?

    Le premier entretien de la refondation s’est tenu mardi 7 novembre au siège du Parti socialiste, sur la question du retour des inégalités. Claire Hédon, présidente d’ATD QuartMonde a d’abord rappelé l’importance de changer le regard sur les personnes en grande précarité. « On sera dans une société meilleure, moins inégale, avec une vraie lutte contre la pauvreté quand on associera les personnes concernées aux projets qui les concernent. » L’idée n’est pas de « s’adresser à » mais bien de « construire avec ». Car, souvent, la société ne considère les pauvres que par le prisme de la charité « on leur donne mais jamais on ne leur demande ce qu’ils veulent ». L’association ATD Quart Monde a été créée par Joseph Wresinski, un prêtre qui a lui même vécu dans la précarité et connaît l’humiliation qu’elle implique.

    Aujourd’hui, en France, 14% de la population vit en-dessous du seuil de pauvreté, soit 1 080 euros par mois (60 % du revenu médian). Cela représente 9 millions de personnes. 2,3 millions de personnes vivent avec moins de 670 euros par mois. « On vit très mal dans ces conditions », a souligné Claire Hédon, rappelant que « le RSA, c’est encore moins, 545 euros ». Dans les zones où le logement est cher, « il leur reste 58 euros par mois pour se nourrir, moins de 2 euros par jour ».

    Depuis 10 ans, 800.000 personnes supplémentaires vivent en-dessous du seuil de pauvreté. La pauvreté ne diminue pas. Au contraire, « il y a un renouvellement de génération en génération », a déploré la présidente d’ATD Quart Monde. Les inégalités se perpétuent faute notamment d’accès à une éducation de qualité. Et Claire Hédon de plaider pour que le regard de la société change : « il faut arrêter de penser que les personnes en grande précarité profitent du système, on vit mal au RSA, ces personnes ont envie de travailler, de s’en sortir ». Alors qu’on parle beaucoup des fraudes aux minimas sociaux, la réalité, c’est que 30 % des personnes ayant droit au RSA ne le demandent même pas.

    Le journaliste Gérald Andrieu a écrit un livre sur « la France périphérique » intitulé Le peuple de la frontière. Pendant six mois, en pleine campagne électorale pour l’élection présidentielle, il a arpenté à pieds la frontière de Dunkerque à Menton, en voulant « renouer avec le réel ». « Cette France qu’on dit périphérique, elle représente 90 % des communes et 60 % de la population, c’est donc juste la France ». Mais elle reste à l’écart des lieux d’emplois, de production. « Ici, à Paris, au siège du PS, on s’interroge sur « faut-il revenir aux classes sociales» mais dans la France périphérique, ils ne se posent pas la question, ils y sont revenus : il y a eux et nous, les élites politiques, médiatiques ».

    Pour le journaliste, il est important de prendre conscience des difficultés du quotidien : « 90 % des salariés de la France périphérique, hors des métropoles donc, utilisent leur voiture pour aller travailler. Ces territoires sont vides, les petits commerces ferment, il n’y a plus de lieux où on se rencontre, plus de services publics ». Et le journaliste de citer l’exemple de la ville de Fourmies, dans le Nord. « Le salaire horaire moyen est 3 euros moins important que dans le reste de la France. Il y a des gens qui n’ont pas connu l’emploi depuis trois générations. Ils n’ont pas vu leurs parents ni leurs grands-parents se lever. C’est une ville enclavée, il faut deux heures pour aller à Lille. On vit dans la peur de perdre son emploi quand on en a un ». Autre exemple, la centrale de Fessenheim. « 40 % des employés sont Alsaciens. Si elle ferme, il faudra faire encore des dizaines de kilomètres en plus pour aller travailler. Pour Macron, ce n’est pas loin, mais pour celui qui a mis toutes ses économies dans sa maison, c’est loin ! ».

    En France, le système redistributif permet d’atténuer légère- ment les inégalités, comme l’a expliqué Guillaume Duval, rédacteur en chef d’Alternatives économiques. «On relève une aggravation de la situation des personnes pauvres, mais la France reste l’un des pays d’Europe où les inégalités de revenus sont les moins importantes. » C’est l’un des aspects positifs de l’action de François Hollande qui a rétabli les impôts progressifs (ISF, succession, revenu). L’effet a été sensible sur l’évolution des revenus : les revenus des 5 % les plus riches avaient augmenté entre 2008 et 2011 mais ont légèrement baissé entre 2011 et 2015. Mais, a-t-il prévenu, « cet acquis pourrait être remis en cause avec les mesures fiscales mises en place ».

    De même, les inégalités de revenus en France sont relativement limitées grâce à la redistribution, dont l’effet se voit dans les territoires. Ainsi, « si l’on baisse la dépense publique cela aura un effet d’abord dans les territoires les moins bien dotés ». Pour rappel, dans les Hauts-de-France la redistribution diminue de moitié les inégalités.

  • PS - Hommage à Françoise Héritier : une grande anthropologue et une intellectuelle engagée

    Le Parti socialiste apprend avec une grande tristesse la disparition de Françoise Héritier le jour de ses 85 ans. Grande figure de l’anthropologie française, elle avait succédé à Claude Lévi-Strauss au Collège de France.

    Elle nous lègue ses travaux sur les systèmes de parenté dans le monde et sur la déconstruction de la hiérarchie entre les genres masculins et féminins, essentiels dans nos débats actuels.

    Intellectuelle engagée, féministe, Françoise avait rejoint l’équipe de Martine Aubry lors de la primaire socialiste de 2011 avant de prendre résolument parti, l’année suivante, pour François Hollande dans la campagne présidentielle.

    Les Socialistes qui l’ont souvent croisée se souviennent de sa vivacité d’esprit, de l’acuité de ses raisonnements tout autant que de sa modestie et de sa disponibilité.

    Le Parti socialiste adresse à sa famille et à ses proches ses sincères condoléances.

  • PS : Contrats aidés : le gouvernement s’entête et décrète un plan social massif

    L’Assemblée a voté dans la nuit ‪de mercredi à jeudi le budget en baisse de la mission « Travail et emploi ». À périmètre constant, les crédits de la mission passent de 15,4 milliards d’euros en 2017 à 13,9 milliards en 2018, soit une diminution de 1,5 milliard.

    Cette baisse est essentiellement liée au coup de rabot sur les contrats aidés dont le nombre sera réduit à 200.000 pour une enveloppe de 1,4 milliard d’euros, soit une baisse d’un milliard d’euros. Concrètement, 120.000 salariés en contrats aidés vont se retrouver au chômage, après les 150.000 touchés en 2017. La prise en charge d’un contrat aidé par l’Etat sera en moyenne ramenée à 50% contre 70% actuellement et diminuera même de 30% pour un contrat CUI-CAE, en passant de 521€ à 369€ par mois selon l’UDES.

    Pour le Parti socialiste, ce « plan social » sans précédent, imposé de manière brutale  et sans aucune concertation par le gouvernement Macron-Philippe, est une triple catastrophe : pour des milliers de salariés privés d’emploi, pour les collectivités territoriales empêchées d’assurer la continuité du service public de proximité, pour nos concitoyens privés des activités organisées par des associations dont l’existence même est aujourd’hui menacée.

    Contrairement aux raccourcis entendus de la part de la Ministre du travail, Muriel Pénicaud, les évaluations les plus sérieuses montrent d’une part que de 41 à 67 % des personnes en contrat aidés sont en emploi six mois après la fin de celui-ci et d’autre part que ces emplois sont occupés en majorité par des femmes, et à plus de 85 % par des personnes très éloignées de l’emploi qui recouvrent non seulement un travail mais aussi un peu de dignité et d’estime de soi.

    Le Parti socialiste, qui est à l’origine du collectif « dignité et solidarité avec les emplois aidés », continue de demander un moratoire sur la suppression des contrats aidés prévus en 2018 et la convocation d’une Conférence nationale pour construire avec les acteurs concernés une sortie organisée des contrats aidés vers un autre système plus efficace.