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  • La revue de presse du 13 au 19 mai

    Les actualités de la NUPES (mise à jour quotidienne)

    Les gauches en route vers les législatives (du 13 au 19 mai)

    A LA UNE : JEAN VIARD

    Fondation Jean Jaurès, Jean Viard - Vingt thèses sur la situation post-présidentielle

    Après l’élection présidentielle, le sociologue Jean Viard pose vingt thèses pour analyser ce que ses résultats disent de la société française, tout en formulant des propositions audacieuses pour des politiques radicalement renouvelées et un projet à portée universelle.

    Introduction

    Que nous apprennent les résultats du 24 avril 2022 sur la société française ?

    La leçon majeure est celle de la modification du rôle du politique. Auparavant, les partis avaient pour ambition de changer la société pour la faire coller à leurs projets. Aujourd’hui, avec le changement climatique et les révolutions numériques successives, le monde évolue seul et très rapidement. Le changement est impulsé par le réel et non plus par le politique. Le rôle de ce dernier est alors de faire en sorte que la société s’adapte à ces changements, d’en faire le récit et de satisfaire les immenses désirs de protection de populations de plus en plus individuels face à ces bouleversements rapides et angoissants

    GRENOBLE

    Marianne - "Eric, sur le burkini, tu as déconné", estime Sadok Bouzaïene, ex-adjoint aux sports à Grenoble

    Sadok Bouzaïene faisait partie de la majorité municipale grenobloise avant de quitter ses fonctions en 2020, officiellement pour des « raisons personnelles ». Il explique à « Marianne » aujourd'hui que la position fluctuante du maire Éric Piolle sur le port du burkini dans les piscines a été l'une des raisons de son départ. Pour l'ancien adjoint aux Sports, l'édile a cédé aux revendications d'un islam politique.

    Charlie Hebdo - Burkini : une trahison du féminisme

    C’est un revirement spectaculaire.

    ECOLOGIE POLITIQUE

    L’économie par terre ou sur terre ? Le blog de Jean-Marie Harribey  L'effondrement de l'écologie de marché ? le

    Les trois premiers alinéas du texte qui suit ont été publiés par Politis, le 21 avril 2022. Le dernier alinéa est postérieur au second tour de la présidentielle.

    Pourquoi ce hiatus entre la prise de conscience (trop lente mais réelle tout de même) de la nécessité d’une transformation écologique du modèle productif et consumériste et la perte de vitesse de l’écologie politique façon EELV ? Peut-on s’en tenir à un effet « vote utile » au dernier moment ? Le premier tour de la présidentielle a illustré un point essentiel. L’écologie politique qui prétend avoir le monopole de l’écologie sombre parce qu’elle n’associe pas véritablement à égalité l’écologie et le social, c’est-à-dire la remise en cause du productivisme et celle du rapport capital/travail fondant le mode de production capitaliste.

     BORNE

    Reporterre - Élisabeth Borne, la Première ministre spécialiste des autoroutes

    Emmanuel Macron a nommé à Matignon l’actuelle ministre du Travail, anciennement en charge des Transports et de la Transition écologique. L’écologie sera une de ses priorités, mais son bilan dans le domaine n’est pas convaincant.

    Après trois semaines d’attente, Emmanuel Macron a nommé, lundi 16 mai, l’actuelle ministre du Travail, Élisabeth Borne, au poste de Première ministre. Elle est la seconde femme à accéder à cette fonction – avant elle, la socialiste Édith Cresson avait occupé Matignon de 1991 à 1992, sous la présidence de François Mitterrand. En 2017, après son élection, Emmanuel Macron avait déjà avancé l’idée de nommer une autre femme à ce poste… avant de donner le job à Édouard Philippe, puis à Jean Castex (Les Républicains).

    Marianne - Remaniement : ni sociale, ni écolo, Élisabeth Borne nommée Première ministre

    Après une longue attente, vingt-deux jours depuis sa réélection, Emmanuel Macron a choisi Élisabeth Borne pour devenir sa Première ministre. La ministre du Travail succède à Jean Castex qui a présenté la démission de son gouvernement plus tôt dans l'après-midi.

    Fin du suspense. Élisabeth Borne vient d'être nommée Première ministre, ce lundi 16 mai, vingt-deux jours après la réélection d'Emmanuel Macron. Une éternité pour les soutiens du président. Si leur attente a été si longue, c'est que le profil de la successeure de Jean Castex semblait difficile à trouver.

    MEDEF

    Reporterre - L’écologie selon le Medef : « Le capitalisme a toujours trouvé des solutions »

    L’organisation patronale a présenté le 16 mai les résultats d’une étude sur la transition écologique. Misant tout sur la technologie, elle prône la croissance « sobre ». Et assure que le capitalisme « a toujours trouvé des solutions ».

    Le président du Mouvement des entreprises de France (Medef), Geoffroy Roux de Bézieux, l’assure : au sein de l’organisation patronale, on prend la transition écologique « au sérieux ». Et pour cause : « C’est un sujet trop sérieux pour être laissé aux seuls écologistes. » Lundi 16 mai, le dirigeant d’entreprise a présenté les résultats d’une étude réalisée par l’institut d’études économiques Rexecode pour le Medef. Le titre de la présentation : « Décarboner l’économie, combien ça coûte ? ». Cher, ont conclu les analystes. Leur recommandation : alléger la fiscalité des entreprises, sans remettre en cause notre modèle économique et nos modes de vie.

    FINANCES

    Hémisphère Gauche - L’opacité du système financier, un problème démocratique devenu géopolitique

    En permettant aux individus et aux entreprises de se soustraire à leurs obligations fiscales, les paradis fiscaux sapent le contrat social des démocraties en même temps qu’ils appauvrissent les États. Cependant, alors que la guerre en Ukraine secoue l’Europe, le manque de transparence financière n’est plus seulement un problème démocratique : il remet également en cause le pouvoir de sanction des pays occidentaux, en offrant la possibilité aux oligarques russes d’échapper aux sanctions dont ils sont la cible grâce à des montages financiers complexes. Dans ce contexte, l’intérêt géopolitique converge avec l’intérêt démocratique, et commande d’agir avec détermination pour rendre le système financier plus transparent.

    INEGALITES

    Observatoire des inégalités - Un million de travailleurs pauvres en France

    Données 12 mai 2022

    Un peu plus d’un million de travailleurs vivent avec moins de 918 euros par mois. Avoir un emploi ne protège pas de la pauvreté, notamment pour ceux qui travaillent à temps partiel ou alternent des périodes de travail précaire et de chômage.

    1,2 million de personnes exercent un emploi mais disposent d’un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté fixé à la moitié du niveau de vie médian (918 euros par mois pour une personne seule), selon les données 2019 de l’Insee. Si on fixe le seuil de pauvreté à 60 % du niveau de vie médian (1 102 euros par mois), on en compte 2,1 millions.

    NUPES

    Charlie - Nupes : la gauche « et en même temps »

    La gauche bouge encore, elle vient de signer un compromis pour les législatives en adoptant la méthode Macron : celle du « et en même temps ». Car lorsqu'on fait la liste de tout ce qui sépare ces partis - Europe, écologie, nucléaire, islamisme, laïcité, Russie, Chine - on se demande bien sur quoi ils se sont mis d'accord. Avant même les élections législatives vient de commencer la première cohabitation : celle où la gauche va devoir cohabiter avec elle-même.

    Le Monde - Qu’impliquerait la « désobéissance » aux règles européennes promue par la Nupes ?

    Le programme définitif de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale n’est pas encore détaillé, mais LFI revendique une stratégie de « désobéissance » à certaines dispositions des traités européens pour rester dans l’UE sans en subir les blocages.

    La Nouvelle Union populaire, écologique et sociale (Nupes), née des accords entre les quatre grandes formations de la gauche française (La France insoumise, LFI ; Europe Ecologie-Les Verts, EELV ; le Parti communiste français, PCF ; le Parti socialiste, PS) pour les législatives, entend rompre avec les politiques économiques libérales menées par Emmanuel Macron, même en sachant que le cadre légal européen ne l’y autorisera pas entièrement. Le programme de LFI, sur lequel se sont appuyées les négociations, prévoit de passer outre certaines dispositions des traités de l’Union européenne (UE) s’ils sont « moins bien-disants » que le droit national, afin de mener des politiques sociales et écologiques plus ambitieuses.

    L'Obs - La Nupes, « Renaissance » des gauches ? Par Béligh Nabli Universitaire et cofondateur de la revue Chronik

    CHRONIQUE DE LA BATAILLE CULTURELLE. La Nupes a l’opportunité de pouvoir enfin imposer des thèmes (de la transition écologique à la lutte contre les inégalités) et une approche progressiste, constitutifs d’un projet de société alternatif et concurrent aux blocs libéral et d’extrême droite.

    Alternatives Economiques, Christian Chavagneux - Economie : la Nupes, ce n’est pas les Soviets !

    Emmanuel Macron se veut un « président nouveau » avec un « mandat nouveau », à croire ses déclarations de samedi lors de son investiture. Ce qui est certain, c’est qu’il aura face à lui une gauche nouvelle.

    Les accords passés entre La France insoumise (LFI) et Europe Ecologie-Les Verts (EELV), avec le Parti communiste (PCF) puis le Parti socialiste (PS) dessinent un programme économique renouvelé. Un programme très ancré dans la contestation du modèle économique libéral et productiviste actuel, qui fait peur à certains, et pas seulement à droite, en particulier par sa volonté de désobéir aux règles européennes.

    L'Express - Nupes : "Il y a une régression du débat d'idées à gauche"

    L'historien spécialiste des gauches françaises Gilles Candar décrit un courant pris en étau entre ses idéaux et ses ambitions de conquête du pouvoir.

    "Il y a quelque chose que je comprends pas Papa. Tu dis toujours que les hommes de gauche qui sont au gouvernement font une politique de droite..." - "Oui ! Mais ils en souffrent !" En creux de ce sketch intitulé "L'homme de gauche", l'humoriste des années 80 Alex Metayer posait la grande question qui déchire la gauche depuis ses origines, et s'impose à nouveau au sein de la "Nouvelle union populaire écologique et sociale" (Nupes) : la gauche peut-elle concilier ses grands idéaux, ses luttes intestines, et ses divergences profondes avec ses ambitions d'exercice du pouvoir sans se renier ? Nous avons interrogé l'historien spécialiste de la gauche Gilles Candar, auteur de "Pourquoi la gauche ?" (Ed. PUF). Entretien. 

    LYON

    Lyon Capitale - Maison de la Danse, Subsistances... d'autres lieux culturels à Lyon touchés par les coupes budgétaires de la Région ?

    Fin avril, l’annonce soudaine d’une baisse des subventions accordées par la Région Auvergne-Rhône-Alpes à certaines institutions culturelles avait eu l’effet d’une douche froide du côté de la Villa Gillet, l’Opéra de Lyon et les Biennales. Une coupe isolée ? Rien n’est moins sûr alors que pas moins de cinq autres institutions lyonnaises pourraient bientôt faire les frais de cette "redistribution", dont l’impact global pourrait au final être de l’ordre de 2 millions d’euros à Lyon.

    Le Monde - Shireen Abu Akleh : des obsèques bouleversées par des violences de la police israélienne, l’ONU évoque un « meurtre »

    Le cercueil de la reporter a été transporté vers la Vieille Ville de Jérusalem, où a été célébrée une messe dans une église, avant l’inhumation dans un cimetière. Dans le même temps, c’est unanime que le conseil de sécurité de l’ONU « condamne fermement le meurtre » de l’américano-palestinienne.

    Des milliers de Palestiniens ont dit adieu, vendredi 13 mai, à Jérusalem, à une de leurs journalistes vedettes, Shireen Abu Akleh, tuée d’une balle dans la tête en Cisjordanie occupée, alors qu’elle couvrait un raid militaire israélien, sur fond de violences persistantes.

    LES  DOC DE LA SEMAINE

  • Marianne - "Eric, sur le burkini, tu as déconné", estime Sadok Bouzaïene, ex-adjoint aux sports à Grenoble

    Sadok Bouzaïene faisait partie de la majorité municipale grenobloise avant de quitter ses fonctions en 2020, officiellement pour des « raisons personnelles ». Il explique à « Marianne » aujourd'hui que la position fluctuante du maire Éric Piolle sur le port du burkini dans les piscines a été l'une des raisons de son départ. Pour l'ancien adjoint aux Sports, l'édile a cédé aux revendications d'un islam politique.

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  • Marianne - À Grenoble, la municipalité d'Éric Piolle se fracture sur le front du burkini

    Jeudi 20 janvier, Chloé Le Bret, conseillère municipale de Grenoble déléguée à l’Égalité, a démissionné de son mandat avec fracas. La cause ? Des désaccords dans l'équipe d'Éric Piolle autour des « opérations burkini » dans les piscines de l’agglomération, menées par l'association Alliance citoyenne. Une énième illustration des déchirements à gauche face à l'islam politique.

    Avis de tempête autour des piscines grenobloises. En cause, le règlement dictant la longueur des maillots pour se baigner dans ces équipements municipaux. Le sujet n’est pas anodin dans la capitale des Alpes, puisqu’il a conduit ce jeudi 20 janvier la conseillère municipale déléguée à l’Égalité Chloé Le Bret à démissionner de son mandat.

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  • Reporterre - Le nucléaire est-il écologique ? Piolle et Montebourg

    Le nucléaire est-il écologique ? On en discute sur Reporterre !

    Un débat en direct sur les réseaux sociaux entre :

    ➡️Arnaud Montebourg, ancien ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique.
    ➡️ Éric Piolle, premier maire écologiste d’une grande ville française, Grenoble.

  • France Culture - La révolution culturelle de l’écologie politique à Grenoble Par Frédéric Martel

    Depuis sept années, le maire écologiste Éric Piolle a imaginé une nouvelle politique culturelle à Grenoble : une « transition écologique et culturelle » à la fois citoyenne et radicale. Ce bilan est aujourd’hui sévèrement critiqué par les milieux culturels. Enquête à Grenoble.

    Ce reportage sur la politique culturelle des Verts à Grenoble est l’article compagnon d’une émission de France Culture que vous pouvez réécouter ici. Plusieurs entretiens audio non diffusés, faute de temps d’antenne, ont également été ajoutés.

    Par où commencer ? Entre happenings politiques, désorganisation culturelle, remue-ménage salutaire et démissions à répétition, comment rester objectif ? Quels mots trouver pour définir la situation culturelle grenobloise entre expérimentation culturelle innovante, joyeux bordel, psychodrame permanent et guerre idéologique sans merci ? Comment analyser un projet audacieux de refonte intégrale de la politique culturelle inédit en France depuis André Malraux et Jack Lang ?

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  • Fondation Jean Jaurès - Les leçons du « laboratoire grenoblois »

    Parmi les grandes villes désormais qualifiées de métropoles, Grenoble dispose d’une solide réputation de ville laboratoire, place d’innovation sociale et technologique qui conserve une longueur d’avance dans les transformations à chaque époque. Il y a cinquante ans, le journaliste du Monde Pierre Frappat avait montré en quoi cette réputation et cette image relevaient en partie du « mythe blessé[1] ». Depuis les GAM (Groupes d’action municipale) de l’époque Hubert Dubedout jusqu’à la « métropole verte » d’Éric Piolle, Grenoble a toujours su construire et diffuser une représentation emblématique d’elle-même : en France, il y a le « cas marseillais », « l’expérience rennaise », parfois « l’exemple lyonnais » et, toujours, le « laboratoire grenoblois ».

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  • Le JDD - Présidentielle : Hidalgo, Montebourg, Jadot, Piolle, Roussel… Comment les départager?

    Anne Hidalgo et Arnaud Montebourg ont fait un pas de plus le week-end dernier vers une candidature à la présidentielle de 2022. Mais ils ne sont pas les seuls en lice et la question du rassemblement en vue de se qualifier pour le second tour est loin d'être évidente.

    La liste des possibles candidats s'allonge, mais combien seront-ils au final, à gauche, au premier tour de l'élection présidentielle 2022? Ce week-end, des proches d'Arnaud Montebourg ont annoncé le lancement d'un mouvement politique destiné à soutenir une éventuelle candidature de l'ancien ministre. Et ceux d'Anne Hidalgo, dont le nom revient avec insistance depuis plusieurs semaines, la mise en ligne prochaine d'une "plateforme d'idées".

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  • Le JDD - Régionales : en Auvergne-Rhône-Alpes, Verts et PS pas d'accord sur la façon de battre Laurent Wauquiez

    En Auvergne-Rhône-Alpes, les écologistes veulent un candidat au premier tour des régionales de mars prochain, tandis que les socialistes plaident pour une alliance contre Laurent Wauquiez d'emblée.

    En Région Auvergne-Rhône-Alpes, socialistes et écologistes n'ont qu'une idée en tête : battre le président sortant, Laurent Wauquiez, aux élections régionales de mars 2021. Une Région qu'ils regardent avec les yeux de Chimène, et qui pourrait devenir un symbole. "Cette campagne peut devenir un laboratoire pour la présidentielle", estime un influent socialiste. Les écologistes pensent leur heure venue. Selon nos informations, la candidate d'EELV sera très probablement Maud Tavel, adjointe d'Éric Piolle, le maire de Grenoble. Tavel devrait bientôt dévoiler à ses camarades ses ambitions. Du côté de Grenoble comme du côté de Lyon ville conquise par l'écologiste Gregory Doucet aux municipales, son nom fait déjà "consensus", selon un Vert local.

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  • France Bleu - Le PS grenoblois rejoint Eric Piolle après 6 ans de guérilla politique

    Marie-Jo Salat, vice présidente de la métropole de Grenoble, mais opposante farouche à Eric Piolle au sein du conseil municipal de Grenoble, ainsi que Anouch Agobian, rejoindront la majorité RCES aux élections municipales en mars.

    Les élus PS du conseil municipal de Grenoble (Marie-Jo  Salat et Anouch Agobian)  ainsi que le responsable de la section PS de Grenoble  (Maxence Alloto) ont donné une conférence de presse, mercredi soir,  pour annoncer leur ralliement à la liste d'Eric Piolle " l'arc humaniste " pour les élections municipales de mars 2020.

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  • Le meilleur de 2018/19 - Le Monde - A Grenoble, la démocratie participative a fait pschit

    Alors que des « gilets jaunes » réclament un référendum d’initiative citoyenne, le « dispositif de votation citoyenne » mis en place par la municipalité a fini par être retoqué par le tribunal.

    Grenoble a été l’une des villes pionnières dans la mise en place d’un processus de démocratie directe. En février 2016, deux ans après avoir été élue sur une promesse d’« alternative citoyenne », la municipalité d’Eric Piolle (EELV) a en effet tenu l’une de ses promesses de campagne et mis en place un « dispositif d’interpellation et de votation citoyenne ».

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  • France 3 : Comprendre la victoire d’Eric Piolle à Grenoble (3) : l’amplification du second tour

    Troisième et dernier épisode de l’analyse de Simon Labouret, notre politologue de Sciences Po

    En brisant la domination socialiste au premier tour, Éric Piolle a créé les conditions d’un raz de marée en sa faveur au second tour en quadrangulaire (40 % contre 27,5 % pour Jérôme Safar, 24 % pour l’UMP, et 8,5 % pour le FN).

    Le pari de Jérôme Safar

    Devancé de plus de 4 points par Éric Piolle, Jérôme Safar a refusé l’offre de fusion qui lui a été faite par son adversaire-concurrent. S’asseyant sur la garantie de faire élire une vingtaine de personnalités de sa liste et de disposer ainsi d’un poids incontournable dans la nouvelle majorité municipale, Jérôme Safar a invoqué des divergences de fond pour expliquer son maintien. Sans négliger l’importance des différences de vue entre la liste Piolle et la liste Safar sur un certain nombre de sujets, on peut raisonnablement douter que les questions de programme aient été décisives dans le refus de cette fusion.

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