Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualités socialistes - Page 976

  • «En direct de Mediapart»: le procès des comparutions immédiates (3) Marylise Lebranchu

    Le tribunal (Serge Portelli, Mathilde Zylberberg et Katia Dubreuil) entend Marylise Lebranchu (ex-ministre de la justice), Frédéric Lauféron, directeur de l’Association de politique criminelle appliquée et de réinsertion sociale (APCARS), structure chargée de retracer le récent parcours de vie d'un prévenu et sa situation ; et Virginie Gautron, sociologue, maître de conférences en droit pénal et sciences criminelles à l'université de Nantes, évoque la situation sociale des prévenus.

  • Fondation Jean Jaurès - Numérique et destruction d'emplois : de fausses peurs ?

    Alors que les révolutions technologiques successives se sont accompagnées jusqu’à présent d’un développement de l’emploi, l’automatisation et la numérisation alimentent des peurs autour d’un « futur sans emploi ». L'Observatoire du dialogue social de la Fondation Jean-Jaurès aborde cette question sans tabous pour éclairer le débat public, avec Marie-Claire Carrère-Gée, présidente du Conseil d’orientation pour l’emploi depuis 2007, et Vanessa Jereb, membre de l’Observatoire du dialogue social de la Fondation Jean-Jaurès.

  • L'actualité des socialistes du 23 au 30 juin

     
     
    Muriel Pénicaud a dévoilé ce mercredi le projet de loi d’habilitation à réformer par ordonnances le Code du travail. Les entreprises savent sur quoi elles pourront ou non négocier.

    On a suffisamment reproché au gouvernement de rester flou sur ses intentions pour ne pas se satisfaire d'avoir, enfin, des propositions claires sur la réforme du Code du travail. Il s'agit de « propositions que nous entendons soumettre aux partenaires sociaux », a affirmé ce mercredi Muriel Pénicaud, en dévoilant le projet de loi d'habilitation à réformer par ordonnances. « Ce ne sont pas des décisions », a-t-elle insisté.

  • Observatoire des inégalités - Les maladies professionnelles touchent les moins qualifiés

    27 juin 2017 - Le nombre de patients souffrant de maladies professionnelles reconnues est 37 fois plus élevé chez les ouvriers que chez les cadres. Les femmes des catégories populaires sont particulièrement touchées par les troubles musculo-squelettiques.

    Les maladies professionnelles [1] frappent avant tout les milieux populaires. Sur 52 500 cas en 2012 (dernière année disponible), près des trois quarts concernent des ouvriers. 23 % touchent des employés et 4 % seulement, des cadres supérieurs ou des professions intermédiaires [2]. Les secteurs les plus exposés sont l’industrie de la viande, de l’habillement, des équipements du foyer, la blanchisserie, les activités d’hypermarchés et de supermarchés, l’aide à domicile et la construction, des secteurs qui emploient une grande part de salariés non qualifiés.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Marianne - Droit d'inventaire Eduardo Rihan-Cypel : "Le PS a été victime de sa paresse intellectuelle"

    Ancien député PS battu aux législatives, Eduardo Rihan-Cypel tire un bilan sévère de l’effondrement des socialistes et prévient : "On peut assister à l'extinction de l'espèce socialiste".

    Pourquoi les socialistes ont-ils été balayés, à la présidentielle puis aux législatives ?

    C’est le résultat de toute notre oeuvre. Le spectacle meurtrier de nos divisions a été fatal. Certaines mesures et décisions prises, notamment à la fin du quinquennat, étaient en contradiction avec des symboles puissants de la gauche : la déchéance de nationalité et la loi Travail ont été des fautes politiques qui ont ruiné toutes nos chances de victoire. Il y a eu également une forme d’arrogance au pouvoir, qui s’est illustrée par le spectacle des egos permanents.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Le Parti socialiste salue la mémoire de Simone Veil, fille prodige de la République

    30 juin 2017

    Au-delà des clivages politiques, le décès de Simone Veil plonge toute la France dans la peine, le deuil et la mémoire.

    Le Parti socialiste salue en Simone Veil une noblesse politique et une droiture morale qui, avec ses combats et ses accomplissements, resteront un exemple pour les générations à venir.

    Jeune fille arrachée à l’insouciance de l’adolescence par la barbarie nazie, rescapée de la déportation et du processus d’extermination qui a emporté ses parents et son frère, ce n’est pas par hasard qu’elle consacra ensuite sa vie entière à la Justice.

    D’elle, le pays retiendra la grande loi sur l’IVG votée, avec le soutien de la gauche, au terme de débats d’une rare violence dont elle aura été la première cible, mais face à laquelle elle ne n’abdiqua pas une once de sa dignité.

    Rappelons que la richesse de son parcours l’a conduisit également à être, en fervente militante du projet européen, la première présidente du Parlement européen, après les élections européennes en 1979.

    De l’arène politique au Conseil constitutionnel jusqu’à l’Académie française, Simone Veil a incarné une certaine idée de la France, s’inscrivant ainsi dans une longue tradition, celle de la défense des valeurs républicaines, de l’Etat de droit et des libertés, celle de leur défense en règle par le verbe haut et juste.

    Le Parti socialiste adresse ses condoléances à sa famille et à ses proches. Si nous n’étions pas de son camp politique, nous rendons hommage à une grande démocrate, une européenne convaincu, une fille prodige de la République.

  • L'express - Carvounas (PS): Macron se rend compte qu'"il a tous les pouvoirs"

    Paris - Le député PS Luc Carvounas a estimé jeudi qu'Emmanuel Macron ne cherchait "pas à humilier" son Premier ministre en parlant devant le Congrès avant sa déclaration de politique générale, mais qu'il avait surtout compris "plus vite que ses prédécesseurs qu'il a tous les pouvoirs".

    "Il ne va pas humilier le Premier ministre, on l'a déjà vu dans tous les quinquennats, le président de la République, c'est le patron, et il rappelle de temps à autre à son Premier ministre qu'il est le patron", a expliqué le député du Val-de-Marne sur LCI. 

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Réforme du code du travail : vers un « capitalisme western » ? – Entretien avec David Cayla

    Les contours de la nouvelle Loi Travail, affichée comme la priorité du quinquennat d’Emmanuel Macron, ont été esquissés cette semaine par le gouvernement. Sans surprises, le projet laisse présager une déréglementation accrue du marché du travail et l’accélération de la course au moins-disant social. Quels en sont les enjeux ? A quel impact peut-on s’attendre sur l’activité économique et les salariés ? Décryptage avec David Cayla, maître de conférences en économie à l’Université d’Angers et membre des Économistes Atterrés. 

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • RTL - Parti socialiste : "Et si nous ne contemplions que les lueurs d'un astre zombie ?"


    Parti socialiste : "Et si nous ne contemplions... par rtl-fr

  • Laurent Berger sur la loi Travail: "Etre dans la concertation, ce n'est pas être dans l'acceptation"


    Laurent Berger sur la loi Travail: "Etre dans... par Europe1fr

  • La Croix - Le groupe PS à l’Assemblée abandonne la dénomination « socialiste »

    Pour la première fois depuis 1885, aucun groupe ne portera la dénomination « socialiste » au sein de l’hémicycle..... En laissant tomber cette désignation, les députés socialistes réalisent un coup de com. Ils cherchent aussi à se détacher d’une image qui était apparue comme un repoussoir durant les législatives. « L’avantage de nouvelle gauche, c’est que tout le monde peut s’y retrouver, aussi bien ceux qui sont proches de Macron que ceux qui sont proches de Hamon. C’est une appellation ambiguë : ça peut être la gauche modernisée à la version sociale libérale ou modernisée à la version Hamon », décrypte Rémi Lefebvre, professeur de sciences politique à l’université Lille 2.

    Lire la suite
    __________________
    __________________