Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualités socialistes - Page 972

  • L'Express - Attentats: "Les djihadistes sont des soldats politiques menant une guerre folle"

    Une étude sociologique, menée auprès de djihadistes incarcérés, dessine les trajectoires de ces terroristes et éclaire de manière inédite leur processus de radicalisation.

    Une camionnette a foncé jeudi après-midi dans la foule sur les Ramblas, l'avenue la plus touristique de Barcelone, en Espagne. Quelques heures plus tard, une voiture fonce dans la foule à Cambrils. Ces attaques ont tué quinze personnes. Une douzaine de suspects composeraient la cellule djihadiste qui a perpétré cet attentat. Habitants de longue date de la Catalogne, aucun n'était connu des services de police pour des faits en lien avec le terrorisme

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le Parisien - PS : Lienemann pas prête à céder la marque «Les Socialistes» à Le Foll

    La sénatrice PS de Paris, propriétaire du nom «Les socialistes», explique pourquoi elle l'a déposé à l'INPI.

    Et si le Parti Socialiste changeait de nom ? Comme Le Parisien le révèle ce vendredi matin dans ses colonnes, Stéphane Le Foll, fidèle parmi les fidèles de François Hollande, propose de rebaptiser le PS «Les Socialistes». Sauf que le nom a déjà été déposé à l’INPI, l’organisme qui gère le dépôt des marques, par la sénatrice PS de Paris... et frondeuse Marie-Nöelle Lienemann. Oups ! Stéphane Le Foll n’y avait pas pensé avant de faire sa proposition. Comment l’accueille-t-elle ? Nous lui avons demandé...

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • François Kalfon: «Le gouvernement doit assurer la rentrée malgré la baisse des contrats aidés»

  • Le Figaro - «Face à l'islamisme, certains reproduisent les erreurs de leurs aînés face au nazisme»

    Pour la philosophe Renée Fregosi, la réponse au nouveau totalitarisme islamiste passe par le réarmement tant idéologique que militaire. Il faut en finir avec la mentalité pacifiste, prétexte à tous les renoncements.

    Après chaque attentat, ce sont les mêmes scènes de pleurs et de prières œcuméniques, bougies, fleurs et peluches étalées sur le bitume, minute de silence pour les victimes, appels à la paix et au «vivre ensemble». Cherche-t-on à détourner les futurs candidats djihadistes de leurs funestes projets en les convertissant au peace and love? Aussi absurde que de tenter de trouver une thérapie psychiatrique miracle pour tous ces «déséquilibrés», ces «malades mentaux» que seraient les terroristes! Certes pour planifier l'assassinat de milliers d'inconnus qui ne leur ont pas fait d'autre offense que de vivre hors des règles rigoristes de leur islam, faut-il que ces islamistes soient fous.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Non Fiction - Comment nous sommes devenus américains : entretien avec Régis Debray

    La culture française peut-elle désormais être autre chose que l’affirmation d’un certain particularisme au sein d’une civilisation occidentale finalement américaine ? Pour le philosophe Régis Debray, le glas a sonné sur la vieille civilisation européenne désormais en marche au rythme des GAFAM. Dans cet entretien, il revient sur ce constat posé on gré de son dernier livre, Civilisation. Comment nous sommes devenus américains (Gallimard, 2017).

    Nonfiction : Dans Civilisation, vous répétez, en bon homme de science, que la fin de la civilisation européenne ne doit pas susciter de nostalgie, et que d’une destruction peut naître une heureuse nouveauté. Cependant, les pages où vous vous peignez en Hibernatus dévoilent un Debray mélancolique, qui ne reconnaît plus sa chère patrie. N’y a-t-il pas contradiction entre ce postulat de neutralité et la tristesse qui paraît parfois vous accabler ?

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Non Fiction - La politique est-elle une vocation ?

    Depuis l'analyse magistrale de Max Weber dans Le savant et le politique, l'étude des responsables politiques est devenue un classique de la sociologie. Vivant par et pour la politique, selon la formule célèbre de Weber, les hommes (et, bien plus tardivement, les femmes) politiques ont progressivement fait de leur activité une vocation (Beruf en allemand, dans le texte de Weber), sinon une profession ou un métier, alors même que l'exercice des fonctions politiques pour les notables traditionnels était complémentaire de leur activité principale (avocat ou médecin par exemple), comme l'avait expliqué Daniel Halévy dans son célèbre essai La fin des notables.

    Aujourd'hui, alors que la professionalisation du champ politique est volontiers critiquée par les citoyens, qui considèrent souvent que les responsables politiques ne doivent pas vivre uniquement de leurs activités d'élus, et tandis que les récentes élections législatives (les premières depuis la loi sur le non-cumul des mandats) ont témoigné d'un profond renouvellement du personnel parlementaire classique, où en est-on à ce sujet ?

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________

  • Le Parisien - PS : un dernier tour pour Cambadélis ?

    Le premier secrétaire du parti, en séminaire ce week-end, qui avait annoncé son retrait après les déroutes électorales, doit bientôt tirer sa révérence. Vraiment ?

    Jean-Christophe y es-tu ? Que fais-tu ? Comme le loup de la comptine, le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, joue à cache-cache. Depuis son retrait le 18 juin, au lendemain de la cinglante défaite de son parti aux législatives (dont il avait été lui-même éliminé dès le 1er tour à Paris), les militants socialistes le guettent partout.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Gérard Filoche sur la réforme Travail: «une vraie rupture qui s'aggrave avec Macron»

  • Huffington Post - Ces trois signes qui montrent que le Parti socialiste n'est pas (encore) mort

    La direction organise un séminaire pour refonder le mouvement, qui vient de connaître une double débâcle historique.

    Peut-être changera-t-il de nom (Stéphane Le Foll opterait pour "Les socialistes"), sans doute déménagera-t-il de la rue de Solférino, mais les cadres du Parti socialiste sont persuadés que leur mouvement ne va pas disparaître.

    "Une bataille s'annonce, une scission est désormais inéluctable au PS, expliquait le politologue Rémi Lefebvre juste après l'appel de Manuel Valls à voter Emmanuel Macron plutôt que Benoît Hamon. Cela ne veut pas dire pour autant que la structure va disparaître." C'est pour réfléchir à la refondation de leur parti que les cadres du PS ont été conviés ce samedi 26 août pour un séminaire de deux jours organisé à Paris.

    Lire la suite
    ________________
    ________________