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Actualités socialistes - Page 955

  • L'Obs - Changement de nom, Solférino et plan social... Les chantiers des 28 nouveaux patrons du PS

    Les 28 membres de cette nouvelle direction se réunissent ce lundi 17 juillet pour faire le point sur l'état, délabré, du Parti socialiste.

    A la sortie du conseil national du Parti socialiste le 8 juillet, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire démissionnaire, avait vanté la composition "homogène" de la nouvelle direction. Il aurait pu choisir un autre adjectif : la composition "multiple".

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  • Olivier Faure et le PS contre la suppression de la réserve parlementaire : "Elle était devenue transparente"

  • Réaction du Parti socialiste au décès de Max Gallo

    20 juillet 2017

    C’est avec tristesse que nous venons d’apprendre la disparition de Max Gallo.

    Ce fils d’immigrés italiens était un homme de lettres et d’action.
    Fils d’un résistant, il aura été toute sa vie très fortement imprégné d’une certaine idée de la République.

    Technicien, puis historien, enseignant notamment à Science Po et à l’Université de Vincennes, journaliste également, il était un militant cultivé et exigeant.

    Écrivain fécond, parfois controversé, Il était un de ces intellectuels en politique, fortement engagés.

    Son engagement militant se fit d’abord dans les rangs du Parti communiste jusqu’en 1956, puis, plus tard, au Parti socialiste qu’il quitta avec Jean-Pierre Chevènement pour fonder le Mouvement des citoyens.

    Durant sa période « socialiste », ce niçois de d’origine et de cœur fut Porte-parole du Gouvernement de Pierre Mauroy et eut pour directeur de cabinet François Hollande.

    Député des Alpes-Maritimes, Député européen, Gallo s’était éloigné de la gauche. Il avait d’ailleurs soutenu Nicolas Sarkozy en 2007.

    Mais nous gardons de lui le souvenir d’un homme attaché à la République et à la France, dont les nombreux ouvrages témoignent de sa grande curiosité et de son grand talent.

    Les socialistes adressent leurs condoléances à ses proches et ses compagnons de route. De Max Gallo, ils retiendront à jamais son intervention, au Congrès de Rennes, le jour même où les premières élections libres se déroulaient en Allemagne de l’Est : « Quand la politique fait silence, c’est toujours qu’il y a des choix politiques inavouables ». Plus net, il assénait : « Pourquoi en sommes-nous là ? – Parce que nous avons arrêté de faire de la politique ».

  • Le Lab - Le fatalisme de Kalfon sur le tournage de Baron Noir au siège du PS : "On sert de propre décor à nos turpitudes"

    Après deux débâcles électorales à la présidentielle puis aux législatives, le Parti socialiste doit affronter les conséquences financières qui en découlent. Et le tournage en cours de la saison 2 de Baron Noir au siège de la rue de Solférino, à Paris, doit permettre au PS de renflouer ses caisses de "quelques milliers d’euros"… en attendant les possibles vente ou hypothèque du bâtiment, envisagées par le trésorier Jean-François Debat.

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  • Ouest-France - Le PS va lancer une « grande consultation » dans les « 15 prochains jours »

    La nouvelle direction collégiale provisoire du PS s’est réunie pour la première fois lundi, avec sur sa table des sujets multiples qui devront être tranchés dans la « bienveillance », selon les participants. Parmi ces sujets, l'organisation d'une « grande consultation » dans les « 15 prochains jours ».

    La direction collégiale provisoire du parti socialiste, désignée le 8 juillet dernier, s'est réunie pour la première fois lundi 17 juillet, à huis clos. L’équipe d’une vingtaine de membres de la direction et des collectifs associés (28 personnes en tout) se sont retrouvés peu après 15 h au siège du PS, rue de Solférino à Paris, pour une photo de famille puis une réunion de travail.

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  • Paul Quilès, ancien ministre de la défense - État-major "il s'agit d'une crise d'autorité"

  • Un plan d’économies injuste pour les territoires

    18 juillet 2017

    Pour les socialistes, le plan d’économies de 13 milliards d’euros, qui affectera les collectivités territoriales, annoncé aujourd’hui par le président de la République et le gouvernement, est non seulement injuste, mais disproportionné.

    Il ne tient aucun compte du fait que sur les trois dernières années, les collectivités ont participé à la réduction du déficit pour 50%, alors qu’elles pèsent pour 20% des dépenses publiques. Un effort sans précédent que la Cour des Comptes a d’ailleurs reconnu.

    Aller plus loin, tailler davantage dans le budget des collectivités territoriales, c’est tout simplement  menacer la survie de services publics de proximité dont elles ont la charge : crèches, bibliothèques, centres de loisirs, cantines scolaires, service de l’eau, développement du numérique…

    Qui plus est, la suppression de la taxe d’habitation pour 80% des contribuables ne saurait être portée par les collectivités. Cette réforme, voulue par le Président de la République, puis ajournée, avant d’être à nouveau remise à l’ordre du jour, engage le gouvernement. Qu’elle soit compensée à l’euro près est semble-t-il la moindre des choses.

    Enfin, les socialistes ne peuvent que déplorer l’écart entre les mots et les actes: on ne peut prétendre vouloir attribuer de nouvelles libertés aux collectivités tout en diminuant leurs moyens d’action par une refonte fiscale sans souffrir de contradictions.

    Les socialistes seront vigilants sur le respect de la parole de l’Etat en matière d’investissements et de la promesse d’égalité pour les territoires de la République.

     
  • PS - Réaction du Parti socialiste à la démission du chef d’état-major des armées

    Le Parti socialiste prend acte de la démission du chef d’état-major des armées.

    Si le recadrage du Général de Villiers par le président de la République a tourné à l’humiliation et à la polémique, c’est bien parce qu’il a été fait publiquement. Cela constitue une faute personnelle dans l’exercice du pouvoir.

    Toutefois, l’armée ne saurait, en quelques circonstances que ce soit, décider en lieu et place du chef de l’Etat, qui demeure constitutionnellement chef des armées. Les choix budgétaires, comme l’intégralité des décisions politiques de la nation, restent la prérogative exclusive du pouvoir civil.

    Mais, au-delà des questions de personnes, cette séquence n’apaise en rien les inquiétudes des socialistes quant aux moyens consacrés par la nation en appui à nos soldats. Nul n’ignore que les 850 millions d’euros de réduction budgétaire décidés par le gouvernement ajourneront un renouvellement des équipements pourtant nécessaire, car les lacunes en la matière sont criantes. La trajectoire budgétaire et capacitaire, décidée lors du quinquennat précédent devait y remédier. Elle est aujourd’hui remise en cause.

    Dans un contexte international instable, où les menaces intérieures et extérieures engagent nos troupes au-delà de leurs contrats opérationnels, le Parti socialiste déplore ces choix et appelle gouvernement et parlementaires à prendre des décisions à la hauteur de la situation.

  • François Rebsamen : Le départ de Manuel Valls du PS est un divorce par consentement mutuel

  • Alternatives Economiques, Anne Eydoux - La dérégulation de l’emploi permet-elle de réduire les inégalités ?

    La thèse des économistes libéraux selon laquelle les réformes du marché du travail permettent de lutter contre le chômage a perdu de sa superbe, en raison des contre-performances de la flexibilité de l’emploi. Elle laisse place à une autre thèse, selon laquelle ces réformes réduiraient les inégalités dans l’emploi, ou ce qu’il est convenu d’appeler la « segmentation du marché du travail ». D’où vient cette thèse ? Est-elle empiriquement fondée ?

    Les tenants de l’économie dominante justifient la dérégulation de l’emploi par une analyse singulière de la segmentation de l’emploi. Que certains travailleurs soient exposés à des trajectoires d’emploi précaires tandis que d’autre parviennent à faire carrière dans leur entreprise ou leur profession serait le résultat de régulations « rigides » (inscrites par exemple dans notre volumineux code du travail) ou de contraintes institutionnelles au mieux inutiles (nos coûteuses cotisations sociales). Cette analyse a été d’abord formulée dans un ouvrage d’Assar Lindbeck et Dennis Snower imputant ces raideurs du marché aux « insiders », les travailleurs stables, qui auraient surprotégé leur contrat de travail. Le maillon faible de l’emploi, les outsiders, les précaires, devraient donc leur sort à ces insiders, CDI et autres fonctionnaires, ayant fait le choix de défendre leur propre carrière au détriment des travailleurs plus fragiles 1.

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