Actualités socialistes - Page 957
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Leïla Slimani nous présente , « Sexe et mensonges : La vie sexuelle au Maroc »
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PS - Présentation des ordonnances Macron-Pénicaud devant le conseil des Ministres
Le Parti Socialiste a rencontré la plupart des syndicats représentatifs des salariés durant le mois de septembre et a entendu leurs analyses et leurs commentaires sur les ordonnances Macron-Pénicaud visant à modifier le code du travail.Ce qui ressort de ces échanges est clair : l’application des ordonnances ne bénéficiera pas aux travailleurs. Le Parti Socialiste maintient son opposition contre ces ordonnances.Cette volonté de bouleverser le code du travail n’apportera aucune solution nouvelle dans la lutte contre le chômage, ni aucun progrès social pour les salariés.Non, faciliter les licenciements n’améliorera pas la condition des travailleurs.Non, prévoir le coût d’un licenciement abusif, à travers le plafonnement des indemnités prud’homales, n’améliorera pas la condition des travailleurs.Non, exclure les syndicats des négociations dans les petites et moyennes entreprises n’améliorera pas la condition des travailleurs.Par ailleurs, les ordonnances ne répondent pas aux besoins réels des entreprises. Elles n’ont pas besoin de pouvoir licencier plus facilement pour recruter mais de carnets de commande remplis et d’une relance de l’investissement productif et de l’innovation.Enfin, ces ordonnances sont archaïques. Elles ne tiennent pas compte de la mutation des formes de travail et oublient les victimes de l’ubérisation croissante. Elles n’apportent rien non plus à la sécurisation des parcours professionnels, initiée par la gauche et laissée à l’abandon pour le gouvernement d’Edouard Philippe.Pour toutes ces raisons, le Parti Socialiste appelle le gouvernement à se ressaisir, à écouter les syndicats, à organiser de nouvelles concertations et à revoir sa copie. -
Mediapart - Emmanuel Todd: les mutations de l'Occident
Pour Emmanuel Todd, la déflagration inégalitaire qui menace nos démocraties n’est pas seulement liée à des configurations économiques, mais aussi à l’action inconsciente, et divergente, d’archétypes familiaux et religieux ancrés dans l’inconscient des territoires. Entretien méthodologique et politique.
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La Gazette des communes - Face à Emmanuel Macron, le PS veut redevenir le parti de la décentralisation
Le Parti socialiste tire à boulet rouge sur la « casse territoriale ». Une manière pour le PS de se refaire une virginité girondine à la veille d’un scrutin sénatorial du 24 septembre prochain.
Le PS bouge encore. Lors d’une conférence de presse, le 21 septembre 2017, il a dit tout le mal que lui inspirait la politique du nouveau pouvoir en matière territoriale. Le patron de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains François Rebsamen, maire de Dijon et deux cadres du parti montés en graine ces dernières semaines, les conseillers régionaux Rachid Temal et Nadège Azzaz ont fustigé pêle-mêle « la baisse des contrats aidés », « la suppression de la taxe d’habitation » et l’effort financier supplémentaire de trois milliards d’euros au regard des engagements du candidat Macron…
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La Tribune - Code du travail : 68% des Français estiment que la réforme va "favoriser les licenciements"
Syndicats affaiblis, précarité en hausse des salariés, les Français interrogés par Viavoice - dont le sondage a été révélé par Libération - sont plutôt critiques face à la réforme du Code du travail décidée par le gouvernement.
La réforme du Code du travail n'a pas la cote. Plus des deux tiers des Français (68%) estiment que les ordonnances vont "favoriser les licenciements" et 53% considèrent que la politique du gouvernement bénéficie "aux plus aisés", selon un sondage réalisé par Viavoice et publié par Libération.*
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Slate - La vie après la politique est plus compliquée quand on est de gauche
Les règles de non-cumul des mandats vont-elles signer la fin des professionnels de la politique?
La cause serait entendue, les professionnels de la politique se détourneraient de ce métier pour rejoindre la société civile. Les reconversions récentes des anciens premiers ministres François Fillon, comme associé d’une société d’investissement, et Bernard Cazeneuve, comme avocat, l’illustreraient. Du côté droit de l’échiquier politique, parmi les 68 anciens ministres ou secrétaires d’État des gouvernements Fillon, ils ne sont que quatre à avoir réélus députés en 2017, alors qu’ils étaient 30 en 2012. Du côté gauche, ils sont bien neuf (dont Annick Girardin restée au gouvernement) à avoir, parmi les 74 anciens ministres ou secrétaires d’État des gouvernements Ayrault, Valls et Cazeneuve, été réélus députés en juin. Mais ils sont 23 à avoir été battus, alors que les anciens ministres de Sarkozy ne sont que cinq à avoir subi le même sort.
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Invité : Luc Carvounas - Territoires d'Infos (21/09/2017)
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Stéphane Le Foll se prononce sur l'interdiction du glyphosate
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LCP : Luc Carvounas, l'Invité Politique Matin du 19/09/2017
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Stéphane Le Foll était l'invité de RTL le 20 septembre 2017
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OFCE - Une reprise à durée déterminée par Bruno Ducoudré et Xavier Timbeau
La ministre du Travail, Madame Muriel Pénicaud, a décidé de ne plus commenter mensuellement le chiffre des demandeurs d’emploi en fin de mois mais de consacrer un point presse chaque trimestre à un tour d’horizon plus général de la situation du marché du travail et, espérons, un bilan des mesures engagées par le gouvernement pour améliorer le marché du travail. Curieusement, en effet, chaque mois les différents ministres du Travail avaient pris l’habitude de commenter, par un communiqué de presse, l’évolution du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois, alors que d’autres statistiques, comme les créations d’emplois ou encore la publication par l’INSEE du taux chômage au sens du BIT à partir de l’enquête Emploi, ne faisait pas l’objet d’une attention égale du ministre et rencontrait dans l’espace médiatique une couverture moindre. En faisant du chômage un objectif central de la politique économique – François Hollande l’avait érigé en condition de sa candidature à sa réélection – les différents gouvernements ont encore accentué la centralité de toute information sur le chômage.
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