Actualités socialistes - Page 929
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Le Monde - Philippe Torreton : « Sans mon prof de cinquième, je ferais partie des exclus de la culture »
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France Inter - Régis Debray répond aux questions de Nicolas Demorand
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Les Crises en thème (1/4) Steve Keen : "Les économistes étaient très fiers avant la crise"
L'économiste australien Steve Keen, auteur du fameux livre L'imposture économique, dans lequel il critique la pensée néo-classique dominante, vient nous présenter ses théories, pourquoi il a su voir venir la crise de 2008 et comment on pourrait penser autrement l'économie.
Aujourd’hui, c’est le premier jour de notre nouvelle série consacrée aux crises.
Cette semaine les chercheurs vont nous livrer leurs analyses et leurs critiques du phénomène économique le plus redouté. Nous allons tenter de comprendre comment les grandes théories économiques envisagent les crises - leur apparition et leurs résolutions - mais aussi les représentations que la fiction nous en offre.
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Gérard Grunberg - La gauche, Mélenchon et la démocratie
En mai 2016, j’appelais dans ces colonnes Jean-Luc Mélenchon à prendre une position ferme sur la dérive dictatoriale du régime chaviste dirigé par Nicolas Maduro. Peu de temps auparavant, en effet, il voyait encore dans le Venezuela bolivarien une source d’inspiration et « l’idéal inépuisable de l’espérance humaniste ». Chavez, affirmait-il, « n’a pas seulement fait progresser la condition humaine des Vénézuéliens, il a fait progresser d’une manière considérable la démocratie. C’est sans doute, ajoutait-il, sa contribution majeure à la lutte socialiste de notre siècle. » Exemple significatif à ses yeux de la supériorité de la démocratie chaviste sur nos vieux Etats de droit libéraux, Mélenchon, en 2012, citait en premier la création « des référendums révocatoires permettant de faire partir un député, un gouverneur (…) voire même le président de la République ».
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Marianne - Hamon et Cambadélis n'en finissent plus de se renvoyer l'échec socialiste à la présidentielle
Pas facile de tourner la page en politique. Benoît Hamon et Jean-Christophe Cambadélis le prouvent, se déchirant encore aujourd'hui sur les raisons de l'échec socialiste à la présidentielle. Chacun se renvoyant soigneusement la balle.
En politique, le temps n'efface jamais l'amertume. Surtout après une défaite électorale majeure. Et plutôt que d'en assumer la responsabilité, le jeu se résume souvent à refaire l'histoire en pointant les coupables. Les divergences entre Benoît Hamon et Jean-Christophe Cambadélis, les deux principaux acteurs de la campagne présidentielle socialiste, sur les raisons de la défaite historique du candidat du PS, en donnent un vibrant exemple.
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PS - BÉLARUS : le Parti socialiste dénonce l’arrestation de Mikola Statkevich
Depuis le 22 septembre 2017, le président du Parti social-démocrate du Bélarus, Mikola Statkevich, est à nouveau arbitrairement détenu par les autorités du Bélarus pour une quinzaine de jours. Plusieurs fois emprisonné pendant des mois entre décembre 2010 et août 2015, il est l’une des principales figures de l’opposition démocratique et a été candidat face au président Loukachenko en 2010. En mars 2017, le Parti socialiste avait pu rencontrer cette personnalité lors du XXVe congrès de l’Internationale socialiste.Dès le début des années 1990, Mikola Statkevich a milité pour que chacun des peuples de l’ex-URSS puisse définir démocratiquement son propre chemin, en toute indépendance.Le Parti socialiste réaffirme sa vive préoccupation envers le sort du dirigeant social-démocrate et celui de tous les opposants. Il demande aux autorités françaises d’agir auprès des autorités du Bélarus pour une libération immédiate de Mikola Statkevich, en lien avec l’Union européenne et tous les États susceptibles d’y contribuer. -
Le Monde Festival : Ville vivable, ville durable ?
Le Monde - Un débat entre le directeur délégué d’Enedis Nicolas Machtou, le géographe Michel Lussault et le conseiller de Paris et adjoint à la Maire de Paris Jean-Louis Missika. -
Luc Carvounas (NG): «La Loi Finances va pénaliser le pouvoir d’achat des Français»
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Jean-Christophe Cambadélis sur Emmanuel Macron : "Il décide tout, je le trouve très seul"
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Le PS a hypothéqué son siège rue de Solférino
Le PS a hypothéqué son siège de la rue de Solférino pour boucler un emprunt auprès du Crédit coopératif destiné à financer la campagne de Benoît Hamon, a affirmé aujourd'hui à l'AFP le trésorier du PS, Jean-François Debat, confirmant une information de la Lettre A. Le 19 septembre, M. Debat avait annoncé que la direction avait pris la décision de principe de vendre le siège du PS. Un appel à candidatures sera publié mi-octobre, a précisé le parti mercredi.
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Conférence nationale des Territoires : le gouvernement doit revenir sur la baisse de dotation aux collectivités territoriales
Le Parti socialiste prend acte de la décision de Régions de France de quitter la Conférence nationale des Territoires et comprend la colère des élus régionaux face aux annonces du PLF 2018.
Il demande l’application par le gouvernement de l’ensemble des engagements pris par l’Etat devant les Régions lorsque Manuel Valls était premier ministre et qui ont fait l’objet d’un vote du parlement dans le PLF initiale 2017.
Si, pour assurer le financement des Régions, le transfert de la DGF en une fraction de la TVA a bien été confirmé par le Premier ministre, Edouard Philippe, le fonds de soutien de 450 millions n’a lui pas été reconduit. Or celui-ci visait à accompagner le transfert de compétences en matière économique des départements aux Régions dans le cadre de la loi NOTRe. Cette suppression brutale va pénaliser les acteurs économiques, notamment les PME et les ETI.
Le Parti socialiste demande au Premier ministre de revenir sur la baisse de dotation aux collectivités territoriales et l’invite une nouvelle fois à renouer le dialogue avec elles dans le respect de leurs prérogatives.