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Actualités socialistes - Page 6

  • Ils fuient l’Amérique de TRUMP | Reportage | ARTE Regards

    1 oct. 2025 #trump #espagne #arte
    Reportage disponible jusqu'au 24/06/2028 Deux fois plus d’Américains aux Pays-Bas. Trois fois plus au Portugal. En Espagne, aussi, les demandes de visa ont bondi. La plupart formulées dans le but de quitter l’Amérique de Trump...

    Depuis la réélection de Donald Trump, la société américaine n’a jamais semblé autant fracturée. L’homme d’affaires républicain serait à l’origine d’une vague de départs, commencés lors de son premier mandat en 2016. Les questions liées à l’expatriation ont augmenté de 1500 % sur les moteurs de recherche. 

    Les ressortissants installés aux Pays-Bas sont passés de 15 000 à 24 000. Leur nombre a triplé au Portugal, soit 15 000 personnes à ce jour. Les demandes de visa pour l'Espagne ont, elles, augmenté de 70 % en neuf ans - il y a désormais plus de 41.000 Américains résidents permanents en Espagne. Si l’arrivée d’Américains fortunés génère quelques préoccupations, ce sont aujourd'hui des familles de la classe moyenne, des mères célibataires et des universitaires qui s'installent en Espagne.

    Parmi elles, Chris Kelly 62 ans, et sa fille Theresa, 17 ans, ont tout quitté pour démarrer une nouvelle vie à Barcelone. Ne se sentant plus en phase avec cette nouvelle Amérique, les deux exilés ont décidé de fuir la Californie. Loin de la violence qui a gâché ses dernières années de scolarité à San Diego, la lycéenne est impatiente de découvrir sa nouvelle classe. Chris de son côté, espère pouvoir lui offrir une meilleure qualité de vie. À 45 ans, Cepee Tabibian fait partie de la diaspora américaine en Espagne depuis une décennie.

    Travaillant autrefois dans les ressources humaines, elle a laissé la vie de bureau aux États-Unis. Aujourd’hui à Malaga, elle est devenue influenceuse et coach en expatriation. Depuis l’élection de Donald Trump, ses vidéos pour rejoindre l'Europe sont de plus en plus visionnées. L’idée première de Cepee était de partager sa propre expérience : celle d’une femme qui s’adresse en priorité à d’autres femmes. Vanessa Velasquez, comme 15.000 autres Américains, a choisi Madrid. Originaire d’une famille colombienne, parler espagnol a été primordiale dans le choix de sa terre d’accueil. La jeune femme est lesbienne et vivait en terre républicaine, au Texas. Son identité sexuelle est au cœur de sa prise de décision car elle considère que les montées de violence anti-trans et homophobe sont liées à cette élection.

  • Observatoire des inégalités - Idée fausse : les Français n’aiment pas les riches

    Ni gentils, ni méchants. Contrairement au lieu commun souvent véhiculé par les médias, les Français éprouvent rarement de l’hostilité envers les personnes qui sont riches, mais plutôt de l’indifférence. L’analyse de Louis Maurin.

    « Les Français n’aiment pas les riches » est un lieu commun médiatique, alimenté par certains experts [1]. Au fond, qu’en disent vraiment les Français ? Une grande majorité s’en moque : 58 % expriment de l’indifférence, selon une enquête Ifop menée pour le magazine Le Point en décembre 2022 [2]. 5 % de la population est hostile aux riches, 16 % expriment de la méfiance. Chez les ouvriers, le niveau d’hostilité est le plus élevé (13 %), sans doute du fait de leurs faibles niveaux de vie et de leurs conditions de travail plus difficiles. Dans l’ensemble, 16 % des sondés sont admiratifs des riches et 17 % envieux. Les admirateurs sont les plus nombreux chez les cadres supérieurs (25 %).

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  • Olivier Faure : On ne peut pas laisser les classes populaires payer ce que les milliardaires ne veulent pas payer.

  • Qui était Pauline Kergomard, l'inventrice de l'école maternelle?

    C'est à une femme que nous devons la réforme qui a fait de l'école maternelle le lieu d'enseignement que nous connaissons aujourd'hui. Un lieu adapté à la physiologie des enfants, à leurs besoins et à leurs extraordinaires capacités d'apprentissage. Elle s'appelait Pauline Kergomard.

    C’est en 1826 qu’apparaissent en France les salles d’asile, destinées à accueillir les enfants des classes populaires âgés de 18 mois et 7 ans pendant que leurs parents travaillent. Ces établissements étaient alors placés sous l’égide d’un "comité des dames" et financés par la charité de généreux donateurs privés. Une grande partie de ces salles d’asile, ou “écoles à tricoter”, étaient chapeautées par des religieuses et visaient avant tout à permettre à ces enfants pauvres d’accéder à "une vie honnête, décente et chrétienne", mais sans véritable programme pédagogique. Elles évoluent au fil des années, passant sous le contrôle du ministère de l’Instruction publique, mais c’est avec Pauline Kergomard, institutrice et pédagogue née à Bordeaux en 1838, que les salles d’asile deviennent des écoles maternelles à part entière.

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  • Euractiv - L’UE continue de soutenir un prêt de réparation pour l’Ukraine basé sur les avoirs russes immobilisés, malgré le blocage belge

    La présidente de la Commission et des dirigeants européens ont réitéré mardi 28 octobre leur soutien à un plan de prêt de 140 milliards d’euros pour l’Ukraine basé sur les actifs russes immobilisés, alors que la Belgique refuse catégoriquement de soutenir la proposition et évoque le recours à la dette commune de l’UE à la place.

    S’adressant aux journalistes à Stockholm à l’issue d’une réunion avec des dirigeants européens, la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré que le prêt de réparation pour l’Ukraine, qui s’appuierait sur les actifs souverains russes détenus par la chambre de compensation Euroclear basée à Bruxelles restait « juridiquement valable ».

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  • On vous explique la différence entre la taxe Zucman et sa version « light »

    29 oct. 2025
    Pour amadouer le bloc central, les socialistes ont proposé une nouvelle version de la taxe Zucman. On vous explique les différences. Votera, votera pas ? Après plusieurs remous d’agenda parlementaire, la taxe Zucman est attendue dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale d’ici la fin de la semaine.
    Le sujet sera abordé par les députés à l’occasion de l’examen de l’article 3 du projet de loi de finances pour 2026 qui prévoit notamment la création d’une taxe sur les holdings.
    Après avoir négocié la non-censure de Sébastien Lecornu en échange de la suspension de la réforme des retraites, les socialistes ont fait monter les enchères autour de l’impôt plancher proposé par l’économiste Gabriel Zucman.
  • Le Grand Continent, Alberto Melloni - Le nouvel antisémitisme

    Nous n'avons pas encore mesuré toutes les conséquences du plus grand succès stratégique du Hamas : depuis le 7 octobre, un nouvel antisémitisme s'est enraciné en Occident.

    Alberto Melloni signe un texte important : la méditation lucide et angoissée d'un des plus grands historiens du christianisme.
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    Pour l’historien, il y a des questions particulièrement lancinantes. Et lorsque les comptes ne tombent pas juste — les comptes intellectuels, s’entend —, elles refont surface comme un présage sinistre et inéluctable, le signe de cette « mondialisation de l’impuissance » que dénonce le pape Léon XIV — en admettant par là-même qu’il en est lui aussi victime.

    L’une de ces questions topiques a trait à la manière, aux temporalités et aux étapes par lesquelles s’est formé cet objet historique dense, complexe et stratifié que nous appelons antisémitisme — et qu’il serait plus précis et utile d’appeler die Sache-Antisemitismus.

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  • François Ruffin - Le Parlement balkanisé ?

    27 oct. 2025
    Du dehors, vous ne comprenez rien au débat parlementaire ? De l'intérieur, c'est pas simple non plus ! Les macronistes contre le gouvernement, les Insoumis, les LR, le RN avec des alliances de circonstance, les ministres qui cherchent un accord avec les socialistes, etc... Entre la tambouille et les embrouilles, nous avons une Assemblée balkanisée... qui correspond à une France archipellisée ?
  • "Il n'y a pas de deal" avec Sébastien Lecornu : Boris Vallaud sur RTL

    "Il n'y a pas de deal" : sur RTL, Boris Vallaud ne rejette pas l'hypothèse d'une censure du gouvernement Invité de RTL ce lundi 27 octobre, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a rappelé ses conditions au gouvernement pour éviter une censure