Actualités socialistes - Page 6
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Le Monde - Une étape-clé franchie pour le budget 2026
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Le débat économique - Trois ans de ChatGPT : l'IA est-elle une véritable révolution ?
28 nov. 2025 -
PS - Le projet : Audition de Lucas Chancel, économiste au Laboratoire sur les Inégalités Mondiales à l’Ecole d’économie de Paris, en direct le 5 décembre à 10h
Planifié pour le 5 déc. 2025 -
Fondation Jean Jaurès - Contre le sport business, le sport en coopération
Les dérives du sport business ne seraient-elles pas le signe d’un essoufflement du système pour les sports collectifs ? Et si cette rentrée sportive marquait la progression des clubs coopératifs pour cette nouvelle saison ? Dans cette première note de l’atelier « Vivre en coopération », Timothée Duverger, codirecteur de l’Observatoire de l’expérimentation et l’innovation locales, montre qu’une autre voie est possible, celle de la coopération dans le sport.
Face aux dérèglements profonds de nos sociétés et pour répondre positivement aux grandes urgences de l’époque, il existe un paradigme alternatif aussi civilisationnel qu’opérationnel, un geste que des millions de Français et d’habitants dans le monde pratiquent déjà au quotidien : la coopération. Pour faire le récit de cette alternative coopérative dans ses réalisations les plus concrètes comme dans ses approches les plus idéologiques, la Fondation Jean-Jaurès et de grands acteurs coopératifs ont créé l’atelier « Vivre en coopération » animé par Fatima Bellaredj, Jérôme Saddier, Thierry Germain et Timothée Duverger. Au travers de notes, entretiens et débats, l’atelier racontera dans la durée contre quoi et pour qui la coopération peut être demain l’alternative majeure face à une société de la compétition que beaucoup défendent encore, et qui épuise dangereusement autant les êtres humains que la planète.
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PS - Une humanité en train de s'effondrer - Catherine Conconne
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Lucie Castets | Quai n°8
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02 12 2026 intervention tribune Jerome Guedj sur PLFSS 2026
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L'Humanité - Pourquoi l’Algérie emprisonne le journaliste français Christophe Gleizes
3 déc. 2025 L'INTERNATIONALEFondation Jean Jaurès - Adelaïde Zulfikarpasic - De « la piste aux étoiles » aux « étoiles plein les yeux » : de la nécessité de réenchanter la politique
S’appuyant sur les résultats de la treizième vague de l’enquête Fractures françaises, menée par Ipsos-BVA pour la Fondation Jean-Jaurès, Le Monde, le Cevipof et l’Institut Montaigne, Adélaïde Zulfikarpasic analyse les réactions des Français concernant la crise politique actuelle et l’érosion du lien de confiance entre le peuple français et ses représentants.
La crise de confiance des Français envers la classe politique n’est pas nouvelle. On l’observe dans les enquêtes d’opinion depuis plus de vingt ans et elle se reflète notamment dans les urnes, à travers une progression quasi linéaire de l’abstention (à quelques exceptions près, comme les dernières élections législatives de 2024)1. Mais la séquence en cours vient indubitablement abîmer plus encore ce lien de confiance déjà ténu entre les Français et leurs dirigeants politiques nationaux, dont l’image est de plus en plus écornée. La crise politique que nous traversons pourrait bien l’anéantir de façon durable, voire irréversible, si aucune réaction à la hauteur de l’enjeu ne permet d’inverser la tendance.
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_____________________Observatoire des inégalités - Idée fausse : les Français n’aiment pas les riches
Ni gentils, ni méchants. Contrairement au lieu commun souvent véhiculé par les médias, les Français éprouvent rarement de l’hostilité envers les personnes qui sont riches, mais plutôt de l’indifférence. L’analyse de Louis Maurin.
« Les Français n’aiment pas les riches » est un lieu commun médiatique, alimenté par certains experts [1]. Au fond, qu’en disent vraiment les Français ? Une grande majorité s’en moque : 58 % expriment de l’indifférence, selon une enquête Ifop menée pour le magazine Le Point en décembre 2022 [2]. 5 % de la population est hostile aux riches, 16 % expriment de la méfiance. Chez les ouvriers, le niveau d’hostilité est le plus élevé (13 %), sans doute du fait de leurs faibles niveaux de vie et de leurs conditions de travail plus difficiles. Dans l’ensemble, 16 % des sondés sont admiratifs des riches et 17 % envieux. Les admirateurs sont les plus nombreux chez les cadres supérieurs (25 %).
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_______________________Fondation Jean Jaurès - S’engager sans se résigner : être syndicaliste au XXIe siècle
Planifié pour le 25 nov. 2025