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Actualités socialistes - Page 2

  • L'Obs - Salomé Saqué face à François Hollande : leur grand débat sur la jeunesse

    21 mars 2024

    Quelle place faut-il faire aux moins de 30 ans dans une société vieillissante ? Pour comprendre leurs attentes et leurs angoisses face à un avenir incertain, "le Nouvel Obs" fait débattre Salomé Saqué, autrice du best-seller "Sois jeune et tais-toi" (Payot), avec François Hollande l’ancien président de la République. Un échange vif et direct sur le choc des générations.

  • Fondation Jean Jaurès - Défaite de l’Occident ou défaite du marché des idées ? Sur le dernier ouvrage d’Emmanuel Todd

    Le dernier livre d’Emmanuel Todd a fait l’objet d’une large couverture médiatique, et bénéficié d’un accueil bienveillant dans certains cercles, y compris à gauche. Dans cette recension implacable, Olivier Schmitt, professeur de science politique au Centre sur les études de guerre de l’université du Sud-Danemark, démasque un pamphlet réactionnaire maquillé en essai. À lire pour saisir la nature réelle ce cet ouvrage et de son auteur qui, au-delà d’erreurs grossières, de contre-vérités avérées et d’une consciencieuse reprise des éléments de langage de la propagande russe, semble désormais s’inscrire pleinement dans le combat culturel des droites radicales européennes et américaine.

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  • L’union des marchés de capitaux et l’avenir de la zone euro, une conversation exclusive avec le Président de l’Eurogroupe Paschal Donohoe

    Ce jeudi, au Conseil européen, l’architecture de la zone euro fait son retour à l’agenda.

    Sur l’union des marchés de capitaux et l’union bancaire, quelles seront les annonces ? Dans une conversation de fond, nous sommes entretenus en amont avec le président de l’Eurogroupe Paschal Donohoe. 

    Alors que la question de l’architecture de la zone euro a été largement désertée depuis la déclaration de Meseberg de 2018, les ministres des finances, la Banque centrale européenne et la Commission s’apprêtent à remettre ces sujets institutionnels sur le métier. 

    Ils seront notamment à l’agenda du Conseil européen des 21 et 22 mars pendant lequel la Présidente  de la Banque centrale européenne Christine Lagarde et le Président de l’Eurogroupe Paschal Donohoe présenteront des pistes d’avancées sur l’union des marchés de capitaux, l’union bancaire et, en toile de fond, la question fondamentale de la transformation hamiltonienne de la zone euro

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  • PS - Nous avons fait échouer le CETA au Sénat

    Nous avons fait échouer le CETA au Sénat

    – Jeudi 21 mars 2024

    Le Parti socialiste et le groupe Socialiste, Écologiste et Républicain au Sénat

    Les sénatrices et sénateurs du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain (SER) se sont opposés au projet de loi de ratification du CETA, accord de libre échange qui lie l’Union européenne avec le Canada. Un accord d’un autre temps, négocié dans l’opacité la plus totale et appliqué sans que le Gouvernement ne juge utile de le faire ratifier par le Parlement français. Alors que la droite était divisée, les groupes de gauche ont permis de faire échouer le texte.

    Cela fait cinq ans que le Gouvernement refuse le débat sur le CETA. Cinq ans que ses dispositions économiques et commerciales – diminution des droits de douane, réduction des réglementations... – s’appliquent sans que la représentation nationale n’ait son mot à dire. Les sénatrices et sénateurs du groupe SER se réjouissent qu’un débat ait enfin pu se tenir sur cet accord, mettant fin à une véritable anomalie démocratique.

    Malgré ses positions opportunistes pendant la crise agricole, le Gouvernement s'entête à soutenir un modèle de libéralisation dérégulée. Bien qu’il n’ait pas augmenté les échanges de manière aussi significative qu’annoncé, le CETA est aux antipodes de ce que les socialistes revendiquent en matière de commerce international :

    • Il est en contradiction avec l’accord de Paris : 40 % des échanges entre l’UE et le Canada concernent des énergies fossiles et à fort potentiel d’émission de gaz à effet de serre (fer, acier, plastique, aluminium, béton, produits chimiques...) ;
    • Il inclut, dans la libéralisation des échanges, la libéralisation des services publics ;
    • Il prévoit une coopération réglementaire et un tribunal arbitral qui permettront respectivement au Canada et aux investisseurs, de peser sur les normes sanitaires et environnementales européennes ;
    • Il favoriserait l’import de bœuf canadien, élevé dans des fermes avec plusieurs milliers de têtes et nourri aux activateurs de croissance à base d’antibiotiques et aux farines animales, tous deux interdits pour nos producteurs. Les quotas autorisés pourraient représenter jusqu’à 17% du marché européen.

    Si les socialistes ne sont pas opposés au partenariat stratégique avec le Canada, ils demandent au Gouvernement de respecter le vote du Sénat, de revoir sa copie et de renégocier le CETA, dans le cadre d’un vrai débat démocratique.

    Nous prônons un autre modèle de relations commerciales internationales : plus juste, plus équilibré et plus durable, dans une approche moins mercantiliste et moins naïve, qui protège les producteurs français face à une concurrence internationale qui peut être déloyale, avec des contreparties telles que les clauses-miroirs et les clauses de sauvegarde, des politiques anti-dumping et de défense commerciale de l’UE, qui impose le respect des règles européennes sociales et environnementales, au premier rang desquels l’accord de Paris. Les élections européennes doivent être l'occasion de porter avec les citoyens une nouvelle vision des relations commerciales de l’UE avec les pays tiers.

  • Le Grand Continent - Fabriquer le triomphe de Poutine : 42 images d’une farce démocratique

    Pour pénétrer dans les contradictions du système qui a permis à Poutine d’obtenir plus de 88 % des voix, il suffit d’analyser d’un œil critique les nombreuses images des Russes aux urnes qui circulaient sur Telegram et les médias du régime. On en tire une leçon : c’est parce que le processus est une farce que le carnaval devient la seule forme d’engagement possible avec l’élection.

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  • En campagnes et en sondages pour les Européennes (mise à jour du 25 mars)

    A LA UNE

    Le Journal - R.Glucksmann : Macron «incapable de faire primer l’intérêt général sur des intérêts particuliers puissants» par Valérie Lecasble |  publié le 15/03/2024

    L’Ukraine, la question sociale, l’écologie et la défense, le ni Macron ni Mélenchon, le PS et la gauche, la social-démocratie, la présidentielle et bien sûr l’Europe… le candidat tête de liste du PS aux élections européennes s’explique

    25 mars

    IFOP - Les intentions de vote aux élections européennes

    A près de deux mois des élections européennes, Ifop-Fiducial pour le Figaro, LCI et Sud Radio ont interrogé les Français quant à leurs intentions de vote.

    Le Rassemblement National en pole position depuis plusieurs mois, confirme la dynamique enclenchée depuis les dernières intentions de vote et rassemble 30% des intentions de vote, soit +1 point depuis le mois dernier. Dans le détail, la liste de Jordan rassemble une partie importante des salariés, qui seraient 37% à donner leur voix à cette liste

    TF 1 - SONDAGE EXCLUSIF LCI - Européennes : le RN toujours largement en tête devant le camp présidentiel

    D'après une enquête Ifop-Fiducial pour LCI, "Le Figaro" et Sud Radio, le Rassemblement national est toujours largement en tête des intentions de vote pour les élections européennes.
     
    La liste de Jordan Bardella devance celle de Valérie Hayer pour la majorité présidentielle.
     
    Selon ce sondage, le PS demeure en tête de la gauche.

    Le PS, première force de gauche

    Elle devance celle du Parti socialiste, qui complète le podium et s'impose comme la première force de gauche. La liste portée par Raphaël Glucksmann obtient 11% des intentions de vote (+2), et fait mieux que les autres partis de gauche représentés à l'Assemblée nationale : les Écologistes (7%, -1), la France insoumise (6%, -2) et le Parti communiste (3%, -0,5).

    22 mars

    AFP - Raphaël Glucksmann, un pro-européen devenu espoir de la social-démocratie

    Homme à abattre pour une partie de la gauche et la majorité, Raphaël Glucksmann, tête de liste pour le PS et Place publique aux européennes, s'est forgé une stature de défenseur des droits de l'homme, pro-Europe et pro-Ukraine, propulsé espoir de la social-démocratie.

    En meeting dimanche près de Toulouse, l'essayiste de 44 ans est actuellement troisième dans les intentions de vote et en tête de la gauche, navigant entre 9 et 13% selon les sondages. Loin de son résultat de 2019 où, déjà tête de liste, il avait péniblement atteint 6,19%.

    21 mars

    Le Télégramme - Élection européenne : le Brestois Tristan Foveau nommé directeur adjoint de la campagne de Raphaël Glucksmann

    L’élu socialiste brestois Tristan Foveau vient d’être nommé directeur adjoint de la campagne de Raphaël Glucksmann, la tête de liste de Place publique pour l’élection européenne.

    Le Figaro - «Moi, je connais le Donbass, contrairement à Aymeric Caron»: Glucksmann étrille les partisans du «poutino-pacifisme»

    Dans une interview à L’Opinion, la tête de liste PS-Place publique aux élections européennes a dénoncé les propos du député LFI qui a parlé mardi soir de «territoires disputés» dans le Donbass.

    France Info - VRAI OU FAUX. "Les importations de poulet ukrainien" ne représentent-elles "rien par rapport aux importations de poulet brésilien", comme l'affirme Raphaël Glucksmann ?

    En plein débat sur les importations agricoles venues d'Ukraine, la tête de liste PS/Place publique Raphaël Glucksmann affirme que "les importations de poulet ukrainien aujourd'hui c'est rien par rapport aux importations de poulet brésilien". L'Union européenne importe plus de poulet brésilien, mais l'Ukraine arrive en deuxième position.

    France 24 - Européennes : les partis de gauche en France jouent la division… et les seconds rôles

    Les partis fondateurs de la Nupes se présentent divisés aux élections européennes du 9 juin, poursuivant des logiques d’appareil et insistant sur leurs différences pour se démarquer les uns des autres. Résultat : Europe Écologie-Les Verts, La France insoumise, Parti socialiste et Parti communiste devront se contenter de jouer les seconds rôles derrière le match entre Rassemblement national et Renaissanc

    20 mars

    L'Indépendant - Élections européennes – Aude : le socialiste narbonnais Éric Andrieu sera le directeur de campagne de Raphaël Glucksmann

    Pour les élections européennes de 2023, le candidat du Parti socialiste et Place publique, Raphaël Glucksmann s’offre les services de l’ancien député européen socialiste narbonnais, Éric Andrieu. L’Audois a été choisi pour être le directeur de campagne de la tête de liste après un commun accord entre le premier secrétaire national du PS, Olivier Faure et le candidat Raphaël Glucksmann. "Il a été désigné pour faire le lien entre tout le monde car c’est un homme qui fait l’unanimité", précise une personnalité forte du PS audois.

    Harris Interactive - Baromètre d’intentions de vote aux élections européennes 2024 – Vague 2

    À 3 mois du scrutin et à l’issue du premier débat entre la plupart des candidats, le Rassemblement National apparait largement en tête des intentions de vote exprimées (30%), devant une liste Renaissance, MoDem et Horizons menée par Valérie Hayer (18%). La liste du Parti socialiste et de Place Publique menée par Raphaël Glucksmann arriverait en 3 position (13%), devant celle de la France insoumise (8%), des Républicains et des Ecologistes (à égalité à 7%), ainsi que la liste Reconquête (6%).

    Challenges - Elections européennes : la percée de Glucksmann se confirme

    SONDAGE EXCLUSIF - Pour la première fois, la tête de liste Place Publique-Parti Socialiste atteint la barre des 13 % dans notre sondage exclusif Harris Interactive. De quoi alerter la majorité, à la peine, à deux mois et demi des élections européennes.

    Euronews Élections européennes : un sondage exclusif donne la coalition pro-UE gagnante

    L'essor de l'extrême droite et l'effondrement des Verts et des Libéraux ne changeront pas fondamentalement la configuration du Parlement européen après les élections de juin, selon l'enquête inédite d'Euronews/Ipsos.

    Le soutien à l'extrême droite devrait augmenter lors des prochaines élections européennes, mais les partis pro-européens détiendraient toujours 63 % des sièges, selon un sondage réalisé par Ipsos pour Euronews, publié ce mardi.

    IPSOS le 19 mars - Européennes : vers une progression de la droite radicale au Parlement européen ?

    La progression de la droite radicale lors de plusieurs élections nationales qui se sont déroulées en Europe au cours des dernières années (France, Suède, Italie, Bulgarie, Pays-Bas, Portugal…) fait dire à de nombreux analystes que cette famille politique devrait effectuer une véritable percée à l’occasion des élections européennes qui se dérouleront du 6 au 9 juin prochain. Dans ce contexte, Euronews a demandé à Ipsos de réaliser à trois mois du scrutin une projection de la composition en sièges du prochain Parlement européen afin d’avoir un aperçu objectif et clair de la situation actuelle.

    19 mars

    Toute l'Europe - La liste PP/PS

    Raphaël Glucksmann, Aurore Lalucq, Nora Mebarek, Christophe Clergeau… découvrez les candidats qui figurent sur la liste du Parti socialiste et de Place publique pour les élections européennes du 9 juin 2024 en France.
    Elections européennes 2024 : qui sont les candidats de la liste Parti socialiste (PS) / Place publique (PP) ?
     
    Les deux têtes de liste offrent un boulevard à la chaîne de Vincent Bolloré pour affirmer que sa volonté d’être pluraliste est entravée par le refus d’une partie de la gauche de venir sur son antenne. Si on partage ce choix en temps normal, on a un doute quand il s’agit d’un débat électoral.
     
     
    Au micro de BFMTV ce dimanche 17 mars, le chef de file du Parti socialiste et de Place publique aux européennes a promis qu'il défendrait l'adhésion de l'Ukraine au sein de l'UE une fois réélu à Bruxelles. Au risque d'attiser les tensions géopolitiques. Et de tirer les salaires des travailleurs français vers le bas.
     

    La tête de liste Place publique - PS pour l’élection européenne du 9 juin était l’invité de « BFM Politique », en partenariat avec notre journal. Il a souligné le caractère « gravissime » de la situation.

    Euractiv - Médicaments : l’Europe vote la levée des brevets en prévision de futures crises sanitaires

    Lors de la séance plénière du Parlement européen mercredi (13 mars), les eurodéputés ont adopté leur position sur une loi qui permettrait aux entreprises de produire des médicaments sans l’autorisation du détenteur du brevet dans des situations d’urgence sanitaire.

    L’octroi de licences obligatoires au sein de l’UE et des pays tiers en cas de crise, telle qu’une pandémie, garantirait la disponibilité de produits essentiels dans tous les États membres.

    Au total, 484 eurodéputés ont voté en faveur de la position de négociation du Parlement, 121 s’y sont opposés et 20 se sont abstenus.

    18 mars

    Le Monde - Jean-Luc Mélenchon et Raphaël Glucksmann veulent tous les deux unir la gauche après les élections européennes

    En ordre dispersé pour le scrutin du 9 juin, « insoumis », socialistes, écologistes et communistes se livrent bataille pour incarner le vote à gauche, et assument leurs divergences.

    Télérama - CNews : Raphaël Glucksmann refuse de participer au débat sur les élections européennes

    La tête de liste PS a justifié son choix, ne voulant pas cautionner une chaîne “qui promeut des thématiques d’extrême droite”. C’est le deuxième boycott, après celui de l’écologiste Marie Toussaint.
     
    Quelle vision les électeurs ont-ils de l’Union européenne et comment perçoivent-ils l’imbrication entre l’identité nationale et l’identité européenne ? Théo Verdier, co-directeur de l’Observatoire Europe de la Fondation, analyse les résultats de l’Enquête électorale française, réalisée par Ipsos pour le Cevipof, l’Institut Montaigne, Le Monde et la Fondation Jean-Jaurès, et identifie trois familles politiques – fédéraliste, souverainiste et composite – dans le rapport des Français au projet européen.
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    17 mars
     
     
     
    "Ce que la situation exige de nous aujourd'hui, ce n'est pas d'envoyer des troupes sur le terrain", a souligné le député européen sur le plateau de BFM Politique ce dimanche 17 mars.
     
     
    Le candidat PS-Place publique aux Européennes Raphaël Glucksmann a critiqué samedi les votes des macronistes au Parlement européen et les prises de position d'Emmanuel Macron. «Il est incapable de faire primer l'intérêt général sur des intérêts particuliers puissants et mène une politique au service des plus riches et des plus forts de notre société», déclare l'eurodéputé dans un entretien au site Journal.info.
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    15 mars

    Public Sénat - « Petit télégraphiste du Kremlin », « patriote de pacotille » : affrontement entre Raphaël Glucksmann et Thierry Mariani sur ses liens avec la Russie

    A l’occasion du Grand Débat sur les élections européennes, diffusé ce jeudi 14 mars sur Public Sénat, le député européen RN, Thierry Mariani, a été pris à parti par plusieurs têtes de liste de gauche, lui reprochant sa proximité avec le régime de Vladimir Poutine. « « Petit télégraphiste du Kremlin », « patriote de pacotille », « agent russe », les attaques se sont succédé envers l’ex-secrétaire d’Etat de Nicolas Sarkozy, qui a tenté de se défendre, affirmant que la ligne de son parti était de « soutenir l’Ukraine ».
     
    Les principaux candidats au scrutin du 9 juin se sont affrontés ce jeudi autour de différentes thématiques comme l’agriculture, l’immigration ou encore la guerre en Ukraine sur Public Sénat. Et Thierry Mariani, le représentant du RN, n’a pas été à la fête.
     

    Lors du débat sur l’écologie des candidats aux élections européennes, les échanges ont largement porté sur l’agriculture. Les arguments des candidats de gauche se sont heurtés aux dénigrements de la droite et l’extrême droite.

    Coup d’envoi de la campagne des élections européennes. Le 14 mars, en fin de journée, sept des huit têtes de liste ont débattu devant les caméras de Public Sénat. Dans moins de trois mois, le dimanche 9 juin, les Françaises et les Français devront élire 81 des 720 députés du Parlement européen. Pour décrocher ces mandats de cinq ans dans l’hémicycle tant convoité, les listes en lice devront obtenir au minimum 5 % des suffrages exprimés.

    Public Sénat - Européennes 2024 : revivez les temps forts du débat entre les principales têtes de liste

    Public Sénat organisait ce jeudi le premier grand débat des européennes en partenariat avec le groupe Ebra, avec les principales têtes de liste. Clash, propositions, positionnements, retrouvez les temps forts du débat.
     
    Le premier débat télévisé entre les têtes de liste pour les élections européennes diffusé jeudi (14 mars) sur Public Sénat fut l’occasion de faire ressortir les différences en matière d’énergie, notamment sur le nucléaire et le marché européen de l’électricité. ... 

    Une situation intolérable pour M. Glucksmann, qui rappelle que l’hégémonie chinoise dans la fabrication de panneaux photovoltaïques par exemple, se fait à coût de subventions et de ventes à perte, et au détriment du respect des Droits de l’homme sur la minorité Ouïghours.

    Dès lors, l’industrie doit être réinvestie, défend-il. À ce titre, les États membres et le Parlement européen viennent de se mettre d’accord sur un réglement (Net zero industry act, NZIA, en anglais) visant à développer la production des technologies nécessaires à la transition énergétique européenne sur le sol européen.

    La Dépêche - Débat pour les élections européennes : Glucksmann seul contre le RN et Thierry Mariani qualifié de "petit télégraphiste du Kremlin"

    Le député européen investi par le PS s’est nettement imposé ce jeudi 14 mars face à Thierry Mariani qui représentait Jordan Bardella. La candidate de la majorité présidentielle, Valérie Hayer, a en revanche eu bien du mal à exister. 

     
    Pour le premier débat entre presque toutes les têtes de listes, il n’y aura pas que le duel RN-macronie à scruter. Celui entre la cheffe de file de Renaissance et le leader de la liste PS-Place publique promet également.

    Sondage élections européennes Cluster17 pour Le Point: L’écart se creuse entre le RN et Renaissance

    Malgré une campagne enfin lancée, la liste Renaissance perd 1 point dans notre nouvelle vague d’intentions de vote pour les européennes. Le parti présidentiel est crédité de 17% des intentions de vote. Dans le duel à distance qui l’oppose au Rassemblement National, c’est ce dernier qui sort vainqueur pour l’heure avec une très légère progression d’un demi-point, pour se hisser à 29% des intentions de vote. L’écart est désormais de 12 points entre Renaissance et le Rassemblement National.... Les équilibres à gauche restent globalement les mêmes. La liste PS-Place Publique conduite par Raphaël Glucksmann connaît un recul d’un point, signant ainsi son premier coup d’arrêt après la relative dynamique de la pré-campagne.
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    14 mars

    HuffPost - Européennes 2024 : Glucksmann fait le trou à gauche, Bardella et le RN continuent de grimper - EXCLUSIF

    La liste socialiste menée par l’eurodéputé Place Publique gagne deux points dans le sondage mensuel mené par YouGov pour « Le HuffPost ».

    L’eurodéputé choisi par les socialistes pour être à la tête d’une liste formée de concert avec sa petite formation, Place Publique, gagne deux points dans les intentions de vote en un mois, selon l’étude que nous dévoilons ce mercredi 13 mars. Il atteint, ainsi, la barre des 10 % et sort quelque peu du marasme qui englue les autres chapelles autour de scores dangereusement bas

    Le Figaro - Européennes : un débat opposera Jordan Bardella et Raphaël Glucksmann le 12 avril

    La tête de liste du Rassemblement national, absent du premier débat ce soir sur Public Sénat, affrontera le chef de file des socialistes, le 12 avril prochain sur France Inter.

    INVITÉ RTL le 12 mars - "Jordan Bardella a la France dans la bouche, mais dans ses votes il y a du Poutine", tacle Glucksmann

    Au micro de RTL, la tête de liste du PS et de Place publique aux élections européennes s'en est pris au Rassemblement national et à Jordan Bardella notamment.
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    Le Figaro - Européennes : suivez le meeting de Place Publique avec Raphaël Glucksmann

    Le Monde - Elections européennes : Raphaël Glucksmann appelle le camp présidentiel à ne pas rejouer le « match Macron-Le Pen »

    « Le match qui compte, c’est d’abord celui qui oppose la droite conservatrice et nous, la gauche sociale-démocrate », a lancé dimanche le candidat du Parti socialiste, devant un millier de militants lors d’un meeting à Lyon.

    « Nous ne sommes pas condamnés au duel Macron-extrême droite », a estimé, dimanche 10 mars, le candidat du Parti socialiste, Raphaël Glucksmann aux élections européennes. Les communicants macroniens « vont tout faire pour renationaliser le débat, tout faire pour encore une fois nous rejouer le match Macron-Le Pen, tout faire pour kidnapper à nouveau les élections et nous enfermer à nouveau dans l’appel au barrage », a-t-il lancé devant un millier de militants lors d’un meeting à Lyon.

    AFP vidéo - À Lyon, Glucksmann fustige "la stratégie" du "barrage" d'Emmanuel Macron | AFP Extrait

    France Info - Élections européennes : la gauche lance sa campagne

    Le Parti socialiste et Place publique ont réuni leurs troupes à Lyon, dans le Rhône, dimanche 10 mars. Raphaël Glucksmann réfute un duel entre le Rassemblement national et Renaissance pour les élections européennes. 

    Il est en troisième position dans les sondages, mais encore loin du Rassemblement national et du parti Renaissance. Raphaël Glucksmann, tête de liste socialiste aux élections européennes, veut se poser en alternative du duel majorité/extrême droite. Depuis Lyon (Rhône), dimanche 10 mars, il a attaqué Renaissance : "Vous n'êtes pas un barrage, vous êtes un marchepied. Vous aviez promis de faire baisser le Rassemblement national, et il n'a jamais été aussi haut."
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    HuffPost - Européennes 2024 : Raphaël Glucksmann ciblé à la fois par La France insoumise et par Renaissance

    En meeting à Lyon ce dimanche, le candidat Place publique-PS fait face à une « alliance objective » dressée contre lui. Pour les européennes, mais pas seulement.

    Pris en sandwich. Alors que le candidat de la coalition Place publique-PS aux élections européennes accélère sa campagne avec un meeting organisé ce dimanche 10 mars à Lyon, les balles commencent à siffler autour de lui. Depuis plusieurs semaines en effet, Raphaël Glucksmann se retrouve à la fois attaqué sur sa gauche, notamment par la France insoumise qui le dépeint en « va t’en guerre », et par la Macronie, où on l’accuse de s’être soumis, par l’entremise du Parti socialiste, à… Jean-Luc Mélenchon.
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    IPSOS le 11 mars - Européennes 2024 : le Rassemblement National creuse l'écart

    Enquête Ipsos pour le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès, l'Institut Montaigne et Le Monde menée du 1er au 6 mars 2024 auprès de 11 770 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française, inscrite sur les listes électorales, âgée de 18 ans et plus.

    Pour mieux comprendre les logiques de la décision électorale et dans la perspective des élections européennes de juin 2024, Ipsos, le Cevipof, La Fondation Jean Jaurès, l'Institut Montaigne et le Monde ont mis en place un dispositif d'enquête exceptionnel basé sur un panel de plus de 10 000 personnes : l'Enquête électorale Européennes.

    Avec 31% des intentions de vote et un écart de 13 points avec la liste macroniste contre 1 point en 2019, la dynamique du Rassemblement National est incontestable et d’une puissance rarement observée. Certes, à 3 mois du scrutin, les niveaux peuvent encore considérablement évoluer et se resserrer mais quels en sont les aspects les plus remarquables ?

    Le Monde (abonnés) -  Elections européennes 2024 : avec 13 points d’avance, le RN continue de creuser l’écart avec le camp présidentiel

    La liste du parti d’extrême droite mobilise un électorat de plus en plus large et solide, tandis que Renaissance et ses alliés souffrent d’une mobilisation déclinante, selon la troisième vague du sondage Ipsos réalisée pour « Le Monde », le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès et l’Institut Montaigne......

    A trois mois du vote du 9 juin, le face-à-face entre les deux partis menace de se muer en échappée solitaire pour le RN, tandis que le parti présidentiel passe symboliquement sous la barre des 20 %, à moins de 7 points d’écart avec la liste du Parti socialiste (PS) et de Place publique. Troisième, cette liste conduite par Raphaël Glucksmann s’établit à 11,5 % (0,9 point de marge d’erreur) des intentions de vote, en légère progression, de 1 point de pourcentage. Suivent la liste Europe Ecologie-Les Verts conduite par Marie Toussaint, à 8,5 % (0,8 point de marge d’erreur), la liste Les Républicains (LR) de François-Xavier Bellamy et celle de La France insoumise (LFI) de Manon Aubry, toutes deux à 7 % (0,7 point de marge d’erreur).

    Fondation Jean Jaurès, Gilles Finchelstein - La spectaculaire rétraction du macronisme

    À l’approche des élections européennes, la Fondation et ses partenaires publient les résultats de la première vague de l’Enquête électorale française 2024, menée auprès de près de 12 000 personnes1. Gilles Finchelstein, secrétaire général de la Fondation, en tire les enseignements pour la majorité présidentielle et montre l’actuelle rétraction du macronisme sur son cœur, quand il parvenait précédemment à rayonner au-delà.

    Pour la majorité présidentielle, à moins de cent jours du scrutin du 9 juin, la face la plus visible des résultats du panel électoral peut se résumer en trois données très simples : un score de 18% ; un écart de 13 points avec le Rassemblement national ; un recul de 5 points par rapport à 2019. Nul doute que si les résultats de juin étaient conformes aux intentions de vote de mars, ces données écraseraient toute autre analyse pour être interprétées comme une lourde défaite pour le président de la République.


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    Elabe le 9 mars  - Les Français, les élections européennes et la guerre en Ukraine

    A 3 mois du scrutin, le RN reste largement en tête des intentions de vote exprimées (29.5%, +2) devant Renaissance (17%, +0.5)

    A gauche, les listes EELV (9.5%, =), PS (8.5%, -0.5) et FI (7.5%, -1.5) sont au coude-à-coude

    LR (7%, -1) et Reconquête (4.5%, -0.5) seraient distancés

    A gauche, les listes d’Europe Ecologie Les Verts menée par Marie Toussaint (9.5%, =), du Parti Socialiste et de Place Publique menée par Raphaël Glucksmann (8.5%, -0.5) et de la France Insoumise en baisse (7.5%, -1.5) seraient au coude-à-coude. Avec la liste du Parti Communiste menée par Léon Deffontaines (à 3%, +0.5), le bloc de gauche obtiendrait 29% (-1) des voix. La baisse de la liste LFI en 1 mois s’explique par une relative démobilisation de son électorat : 33% (-9) des électeurs de Jean-Luc Mélenchon voteraient pour la liste des Insoumis, 23% pour la liste PS et 15% pour la liste EELV.
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    L'agrégateur de Toute l'Europe

    Derrière le RN et Renaissance, plusieurs listes se battent pour la troisième place, autour des 10 % d’intentions de vote. Le Parti socialiste est régulièrement donné entre 9 et 10 % depuis mai dernier. La France insoumise, sondée au départ aux alentours de 10 % également, a dégringolé dans les études d’opinion jusqu’en décembre (7 %), avant de remonter légèrement depuis, en-dessous de 8 %. Europe Ecologie Les Verts stagne, lui aussi, autour de 8 % depuis décembre.

  • CETA : "Les standards alimentaires au Canada et en Europe sont totalement différents"

    21 mars 2024

    CETA : le Sénat pourrait faire tomber l'accord de libre-échange entre l'Europe et le Canada. Karine Jacquemart, directrice générale de Foodwatch France est l'invitée de 6h20

  • «Le Ceta n’impose absolument pas les mêmes normes aux Canadiens que celles en vigueur en France»

    21 mars 2024

    Examiné par les sénateurs ce jeudi, après avoir été ratifié par les députés en 2019, l’accord de libre-échange entre la France et le Canada est défendu bec et ongles pour le gouvernement. Marine Colli rappelle que le Ceta ne comporte aucune clause miroir visant à imposer les mêmes normes aux Canadiens qu’aux Européens, et alerte sur les conséquences pour la filière bovine française. Elle balaie également l'idée selon laquelle le Ceta serait plus vertueux que l'accord avec le Mercosur, auquel la France est opposée.

  • Reporterre - Habitat et urbanisme Résoudre la crise du logement sans artificialiser les sols, c’est possible

    Surélever des bâtiments existants, taxer davantage les résidences secondaires... La Fondation pour la nature et l’Homme et la Fondation Abbé Pierre dévoilent leurs solutions face au mal-logement et à l’artificialisation.

    Peut-on loger la France sans la couler sous le béton ? Oui, suggèrent la Fondation pour la nature et l’Homme (FNH) et la Fondation Abbé Pierre dans un rapport commun, publié mardi 19 mars. Les deux associations proposent une « palette » de solutions pour offrir un toit aux 4,2 millions de personnes non ou mal logées en France, sans pour autant détruire les derniers îlots de biodiversité du territoire.

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  • Jérôme Guedj défend une motion de rejet préalable sur la proposition de loi Bien Vieillir

    19 mars 2024

    Dans le cadre de l’examen des conclusions de la commission mixte paritaire de la proposition de loi bien vieillir, Jérôme Guedj défend une motion de rejet préalable puisque Gabriel Attal n’a pas repris la promesse d’une loi grand âge faite par Elisabeth Borne à l’Assemblée nationale en novembre dernier.