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Actualités socialistes - Page 3

  • Quel budget (mise à jour du 23 décembre)

    L'Opinion - Sébastien Lecornu consulte les forces politiques avant le conseil des ministres et une loi spéciale sur le budget

    Paris - Le Premier ministre Sébastien Lecornu poursuit lundi ses consultations des formations politiques, avant un conseil des ministres en fin de journée pour présenter en urgence une loi spéciale destinée à sortir de l’impasse budgétaire, après l'échec de l’examen parlementaire du budget de l'État.

    Dernier recours pour permettre de financer temporairement l'État et les administrations, un vote devrait intervenir d’ici mardi, à l’Assemblée et au Sénat, pour entériner cette loi spéciale qui vise à reconduire provisoirement le budget 2025, avant la reprise de nouvelles discussions budgétaires en janvier
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    France Info - Budget 2026 : le PS finalement prêt à accepter le recours au 49.3, mais à certaines conditions

    Le temps presse pour faire adopter le budget. Les socialistes, qui présentaient l'abandon de l'article 49.3 comme une victoire arrachée à Sébastien Lecornu, ouvrent désormais la porte à son utilisation.

    Comment faire adopter le budget ? La commission mixte paritaire sur le projet de loi de finances commence vendredi 19 décembre. Sept députés et sept sénateurs vont essayer de trouver un accord, qui doit ensuite être voté par une Assemblée nationale sans majorité, car sur demande du PS, le Premier ministre s'est engagé début octobre à ne pas utiliser le 49.3, cet article qui permet de faire passer un texte sans vote. Mais désormais, les socialistes ouvrent la porte au retour du 49.3.
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    LCP - Budget de l'État : CMP, loi spéciale... les scénarios des prochains jours

    La France doit disposer d'un budget d'ici au 31 décembre. Le temps presse, et tous les regards se tournent désormais vers la commission mixte paritaire qui doit avoir lieu en fin de semaine pour tenter de trouver un compromis entre l'Assemblée et le Sénat sur le projet de loi de finances de l'Etat. LCP vous explique les différents scénarios possibles.
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    France Info - Budget 2026 : les députés adoptent définitivement le projet de loi de financement de la Sécurité sociale

    En seconde comme en première lecture. Les députés ont adopté le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, mardi 16 décembre par 247 voix pour et 232 contre – soit une différence de 15 voix. Le PLFSS est donc définitivement adopté et le texte devient le premier budget adopté sans 49.3 sous le second quinquennat d'Emmanuel Macron. Il contient notamment la suspension de la réforme des retraites portée par Elisabeth Borne, principale concession de Sébastien Lecornu aux députés socialistes. Suivez notre direct.

    Analyse du scrutin n°4696
    Deuxième séance du mardi 9 décembre 2025
    Scrutin public n°4696 sur l'ensemble du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2026 (nouvelle lecture).

    France Info - "Les désaccords sont trop importants" : pourquoi le plus dur commence pour le gouvernement Lecornu, en quête d'un budget de l'Etat

    Si l'exécutif a réussi, au prix d'intenses heures de négociations, à arracher aux députés le vote du PLFSS, rien ne dit qu'il va réitérer l'exploit pour un morceau bien plus costaud : le projet de loi de finances. Surtout avant le 31 décembre, date butoir pour doter le pays d'un budget.
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    Le Figaro - Budget 2026: le socialiste Jérôme Guedj espère un budget avant le 31 décembre

    Députés et sénateurs tenteront de trouver un accord sur le budget le 19 décembre. Un compromis auquel ne croit pas le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui a estimé qu’il n’était pas possible d’éviter une loi spéciale.

    Le député PS Jérôme Guedj a estimé possible sur radio J, dimanche 14 décembre, l'adoption du budget de l'État avant le 31 décembre, jugeant qu'une loi spéciale et une reprise des discussions début 2026 seraient une «perte de temps».
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    SONDAGE BFMTV. Seuls 41% des Français sont favorables à l'adoption du budget de la Sécu, une très large majorité le juge inefficace pour réduire la dette et injuste

    D'après un sondage Elabe/BFMTV, les Français sont très partagés sur l'issue à donner au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026: 41% sont favorables à l'adoption du texte tandis que 26% ne le sont pas.

    Les Français semblent aussi partagés que les parlementaires. Au lendemain de l'adoption, de justesse, du budget de la Sécu pour 2026 par l'Assemblée nationale, un sondage Elabe pour BFMTV dévoile que seulement 41% sont également favorables au texte. 26% considèrent cependant qu'il s'agit d'une "mauvaise chose" et 33% des personnes interrogées n'ont pas d'opinion sur le sujet. Et pour cause, 73% des Français jugent que ce projet de loi de financement de la Sécurité sociale est inefficace pour réduire la dette. De même, deux tiers d'entre eux le trouve injuste. Certaines mesures phares du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026 sont tout de même assez populaires.

    BFM - Vote du budget: "Ce n'est pas ce que j'aurai fait, mais ce qui a été proposé par le gouvernement dans le cadre du compromis", déclare Jérôme Guedj, député PS

    HuffPost - On vous raconte l’interminable suspense qui a précédé le vote serré du budget de la Sécu

    Quotidien - Crise budgétaire : l’analyse de Pierre Moscovici, Premier président de la Cour des comptes

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    Olivier Faure misait gros. En mettant tout son poids dans la balance pour faire adopter par l'Assemblée le budget de la Sécu, que peu souhaitaient endosser il y a encore quelques jours, le patron du PS a réussi son pari, celui du compromis avec les macronistes.

    Un rejet du budget de la Sécu "serait un échec personnel pour moi", reconnaissait-il pendant la journée de mardi, quand l'issue du vote était encore incertaine et qu'il cherchait, de son propre aveu, "à convaincre des gens de toutes formations politiques" de voter pour ce texte. Poussant ainsi le député RN Laurent Jacobelli à ironiser: "Olivier Faure devient officiellement ministre des Relations avec le Parlement".

    Grâce à l’abstention d’une partie des écologistes et le soutien du Parti socialiste, le gouvernement est parvenu à faire adopter le budget de la Sécurité sociale par l’Assemblée nationale. Et ce, malgré la division du « socle commun ».

    Politis - Budget : le renoncement socialiste

    Le Parti socialiste, qui avait retrouvé une cohérence en renouant avec la gauche au moment de la Nupes, semble aujourd’hui s’égarer à nouveau. En validant la trajectoire gouvernementale, il fragilise tout le camp progressiste.


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    Le Monde - Budget de la « Sécu » : Olivier Faure appelle les députés PS à voter pour

    Le premier secrétaire du Parti socialiste a estimé sur BFM-TV que le projet de loi de financement de la Sécurité sociale était un texte « de compromis » et a souhaité qu’il soit adopté mardi en nouvelle lecture à l’Assemblée nationale.
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     Budget de la Sécurité sociale: "Ce n'est pas le budget idéal, mais c'est un budget de compromis", affirme Jérôme Guedj, député PS

    Après les mains-tendues du gouvernement, notamment sur les franchises médicales et la CSG, l'Assemblée nationale a adopté en seconde lecture le volet recettes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026.
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    BFM - Jérôme Guedj (PS) au député Horizons Laurent Marcangeli:

    "Nous ne laisserons en aucun cas certains prendre en otage la sécurité sociale, parce qu'ils pensent qu'il y a un calendrier politique

    Public Sénat - Budget de la Sécu : « Tout ne nous satisfera pas, mais nous nous battons pour qu’il y ait le plus de mesures utiles », assure Emmanuel Grégoire

    Invité de la matinale de Public Sénat, le député de Paris, Emmanuel Grégoire défend les négociations menées par le Parti socialiste avec le gouvernement sur le budget de la Sécurité sociale. Ce dernier croit à un la possibilité de nouer un compromis et de faire adopter le budget de la Sécu par l’Assemblée nationale.
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    BFM - "Nous progressons": Olivier Faure estime qu'un "compromis" est possible, après une réunion à Matignon sur le budget

    Public Sénat - Budget : après une rencontre avec Sébastien Lecornu, l’optimisme modéré des socialistes, sur fond de débat autour du 49.3

    « Nous pouvons dire que nous progressons, que nous sommes dans une approche qui peut permettre d’aboutir à un compromis », a salué le premier secrétaire, Olivier Faure, après une nouvelle rencontre avec le premier ministre. Une « discussion cash », qui n’a pas encore permis de lever toutes les interrogations. Alors que le bloc central est divisé, certains au PS, comme le sénateur Rachid Temal, défendent le recours à « un 49.3 de compromis ». Mais Sébastien Lecornu écarte toujours cette possibilité.
    CSG patrimoine, dégel des pensions de retraite, franchises médicales... Lundi, les ténors de l’écurie PS ont fait un passage au stand à Matignon afin de procéder aux derniers réglages techniques avant le grand retour du budget de la Sécurité sociale à l’Assemblée
    Mardi, ce sera au tour des écologistes, emmenés par Cyrielle Chatelain, leur présidente de groupe à l’Assemblée nationale, d’être reçus à Matignon. Une rencontre cruciale puisque sans l’abstention des 38 députés du groupe « Ecologiste et social », le gouvernement ne dispose pas de la majorité nécessaire pour faire adopter le budget de la Sécurité sociale sans recourir au 49.3.
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  • Le meilleur de 2025 : La vie des idees (avril 2025) - Dossier / Ce que l’extrême droite fait au monde Les méfaits du bolsonarisme

    La présidence de Bolsonaro a été marquée par un autoritarisme politique, un conservatisme moral et un néolibéralisme économique. La société brésilienne a subi une violence à laquelle elle a eu, parfois, les moyens de s’opposer.

    La défaite de Jair Bolsonaro aux élections présidentielles d’octobre 2022 et l’investiture de Lula le 1er janvier 2023 ont levé une incertitude : l’alternance après l’exercice direct du pouvoir par l’extrême droite n’est pas réservée aux vieilles démocraties, comme les États-Unis, dont les institutions seraient, à nos yeux nord-occidentaux, plus solides. La démocratie brésilienne, malgré sa jeunesse, a eu elle aussi les épaules pour survivre à l’expérience d’un président ultra-conservateur, grand promoteur de fausses nouvelles et de discours de haine, appuyé sur une partie de l’armée et ouvertement sceptique à l’égard de la séparation des pouvoirs et du jeu électoral

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  • Mercosur : la France a-t-elle raison de le bloquer ? - Le débat économique

    19 déc. 2025
    La France appelait à « un report » de l’accord de libre-échange entre l’UE et les pays sud-américains. Jeudi 18 décembre, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a annoncé le report de la signature à janvier 2026.
  • Mediapart - « La figure du beauf a été inventée par la gauche »

    L’extrême droite prétend représenter la « France des oubliés » en surfant sur l’abandon des territoires ruraux délaissés par l’État et les partis. Comment riposter ? Notre émission spéciale à Auxerre avec Rose Lamy, autrice d’« Ascendant beauf », la sociologue Clara Deville, Agnès Cluzel du Mrap 89 et la journaliste Pauline Maucort.

  • Fondation Jean Jaurès (juin 2025) Simon Clavière-Schiele - Italie : un référendum sur l’immigration pour rien ?

    Alors que la coalition d’extrême droite est au pouvoir en Italie depuis déjà deux ans et demi, s’est tenu les 8 et 9 juin derniers un référendum d’initiative populaire autour de plusieurs questions liées au droit du travail, mais aussi d’une question sur l’obtention de la nationalité italienne. Faute de quorum atteint, cette votation a échoué. Mais elle révèle aussi des ambiguïtés au sein de l’électorat qu’explore Simon Clavière-Schiele, un Français vivant en Italie qui chronique régulièrement la vie de son pays d’adoption.

    Alors que certains partis de droite et d’extrême droite souhaiteraient pouvoir proposer un référendum sur l’immigration en France, en Italie c’est le monde associatif (dont de nombreuses associations appartenant au Conngi, coordination nationale des associations de seconde génération), épaulé de petits partis comme Possibile, +Europa et par le puissant syndicat CGIL, qui a réussi, en réunissant 500 000 signatures, à organiser les 8 et 9 juin derniers un référendum d’initiative populaire sur le sujet de l’accession à la nationalité italienne des immigrés. Faire passer de dix à cinq ans le temps nécessaire de résidence légale sur le sol italien pour une demande de nationalité, tel était l’enjeu de ce référendum qui n’a pas atteint son objectif. Rappelons que seule la réduction de cette période était en jeu et que les autres critères d’obtention de la nationalité, relativement rigides, n’étaient pas concernés par cette proposition d’abrogation de la loi. 

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  • Fondation Jean Jaurès - La gauche a-t-elle encore un mandat social ?

    Le vaste mouvement social suscité par la réforme des retraites en 2023, sa suspension érigée en « prérequis » à une stabilité gouvernementale éphémère, le pouvoir d’achat demeurant, depuis près d’une décennie, la première préoccupation des Français… Autant de marques qui témoignent du rôle central des enjeux sociaux dans les fractures profondes qui traversent notre société. Ces tensions, récurrentes depuis de nombreuses années, appellent encore des réponses à la hauteur de leur persistance. Michel Yahiel, ancien conseiller social de la Présidence de la République (2012-2017) et auteur de Place de la République (Éditions Le Lys Bleu, 2025), reviendra sur ces questions à l’occasion d’un débat modéré par Jean Grosset, directeur de notre Observatoire du dialogue social, et introduit par Jean-Marc Ayrault, ancien Premier ministre et président de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Observatoire des inégalités - Remise en cause des politiques environnementales : le peuple, un mauvais alibi

    L'article de la fin de semaine sur le blog Actualités Socialistes de Yves Le Pape (Facebook)

    Au nom des ménages les plus pauvres, on recule sur les politiques environnementales. Alors que les plus défavorisés sont les plus touchés par les pollutions et le dérèglement climatique. Les politiques environnementales sont indispensables et elles doivent être justes. Le point de vue d’Anne Brunner de l’Observatoire des inégalités.

    L’écologie serait « punitive » répètent à l’envi une partie des médias et des responsables politiques. En quelques mois, l’Assemblée nationale a voté la réintroduction d’un insecticide toxique [1] et la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), qui limitaient la circulation des voitures à moteur thermique les plus anciennes dans les grandes villes. Le tout au nom des ménages les plus pauvres. Les catégories populaires ne seraient-elles pas concernées par la pollution et le dérèglement climatique ? Rappelons quelques faits.

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  • Le meilleur de 2025 : Le Grand Continent - « La guerre est dans les gènes des Russes » : un entretien inédit avec Sergueï Karaganov, l’architecte de la géopolitique de Poutine

    Pour faire face à la Russie de Poutine il faut comprendre les sources idéologiques et les doctrines du régime qui, en envahissant l’Ukraine, a déclaré une guerre sans fin à l’Europe.

    Le principal de ces « producteurs d’idéologie » poutiniens s’appelle Sergueï Karaganov.

    Il accorde un entretien exclusif au Grand Continent. 

    ergueï Karaganov, directeur du Conseil de politique étrangère et de défense, est souvent présenté comme le principal architecte de la politique étrangère russe. Vladimir Poutine assure qu’il fait partie des auteurs qu’il lit régulièrement. Dans les cercles du pouvoir russe, il est l’une des cautions intellectuelles les plus suivies et écoutées du bellicisme que déploie le régime de Vladimir Poutine en Ukraine et contre l’Europe.

    Connaître les doctrines concurrentes — comprendre ce que les adversaires visent en nous désignant, en s’adonnant à la manipulation et à la propagande, tout en arsenalisant des imaginaires puissants — reste une clef décisive pour la transformation géopolitique de notre continent. C’est pour cette raison qu’après avoir traduit, contextualisé et commenté les principales publications de Sergueï Karaganov 1 — grâce à l’aide précieuse de Marlène Laruelle et de Guillaume Lancereau — nous avons décidé de l’interroger. 

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  • Laurence Ruffin - Contre l’essoufflement démocratique, la coopération au service de la ville

    L'article de la semaine sur le blog Actualités Socialistes de Yves Le Pape (Bluesky, Facebook, Threads)
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    À l’approche des élections municipales en mars prochain et alors que les projets libéraux et réactionnaires gagnent du terrain dans un contexte de défiance, Laurence Ruffin, vice-présidente de la CG Scop et candidate aux municipales à Grenoble, esquisse, dans cette cinquième note de l’atelier « Vivre en coopération », les contours d’un nouvel imaginaire municipal, celui du municipalisme coopératif. Ce projet politique redonnerait, selon l’autrice, la ville à ses habitants et protègerait nos biens communs.

    Introduction

    En 2026, les communes françaises renouvelleront leur exécutif dans un climat tendu, marqué par une fatigue démocratique : seuls 26% des Français déclarent désormais faire confiance à la politique1. Une défiance qui se traduit par une abstention massive et un nombre record de démissions d’élus – multiplié par quatre en seulement trois mandats2.

    Ce désengagement est aggravé par le contexte des communes. Alors que les inégalités se creusent et accroissent les besoins de justice sociale et de redistribution, de nouvelles tensions financières apparaissent : les dépenses de santé et de dépendance augmentent avec le vieillissement démographique, tandis que le dérèglement climatique place les communes en première ligne face aux crises et au financement de la transition.

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    Sur le blog Actualités Socialistes de Yves Le Pape (https://bsky.app/profile/ylepape.bsky.social)
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