En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Bienvenue sur Télé Vioc, la chaîne qui parle des vieux autrement ! Pour ce deuxième épisode, on s’intéresse à l’habitat, aux innovations technologiques pour les vieux, à la question de l’argent… et toujours à la vie telle qu’elle se vit vraiment.
Bienvenue sur Télé Vioc, la chaîne qui parle des vieux autrement ! Pour ce premier épisode, Laure Adler et Francis Carrier explorent le regard sur la vieillesse et la façon dont on la vit. Au programme : un micro-trottoir sans filtre, un grand entretien avec Mohamed El Khatib sur sa pièce La vie secrète des vieux, un coup de gueule sur la pub âgiste, un focus sur la revue "Vieux", et une tranche de vie émouvante avec Monique, 98 ans.
C’est une histoire hors-du-commun que nous allons maintenant vous raconter, celle d’une fratrie palestinienne d'artistes exilés en France… deux frères, Abod et Amer NASSER, qui ont pu fuir Gaza, il y a un mois grâce à un programme d'accueil d’urgence des artistes. La semaine dernière, nous vous avons raconté leurs retrouvailles avec leurs frères aînés, qui eux sont installés à Marseille depuis une dizaine d’années… Auteurs, réalisateurs, les cinéastes sont sélectionnés à Cannes, dans la catégorie un Certain Regard, avec leur film “ONCE UPON A TIME IN GAZA”. Des ruines de Gaza aux marches de Cannes. Leur film a reçu le prix de la mise en scène - Un certain regard, Cannes 2025. Reportage signé Philomène REMY, avec Samuel BERNARD, Axel ROBIN-TELLIER et Djalel BAHI.
Est-ce que les transports publics sont toujours une option plus écologique que la voiture ? Pourquoi est-ce si difficile de déployer rapidement, des métros, des bus, des trams ou du covoiturage ? Comment nous pousser à lâcher nos voitures pour aller vers plus de transports en commun ? Quelles infrastructures imaginer pour une mobilité verte ? Juliette Maulat est géographe, maîtresse de conférences en urbanisme et en aménagement à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle est spécialiste des politiques de mobilités, de l’urbanisme et du transport.
28 mai 2025 #France #parti #Olivier Les adhérents socialistes vont élire leur Premier secrétaire. Trois candidats sont en lice : Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol et Boris Vallaud. Une élection déterminante pour les prochaines élections et pour une éventuelle union de la gauche. L’autre sujet se trouve à l’Assemblée nationale avec le vote solennel sur le texte sur la fin de vie adopté par les députés. Alexandre Ouizille, sénateur PS de l’Oise, qui soutient ce texte "d'équilibre" est l’invité de Mardi politique. #France #parti socialiste #Olivier Faure
56 % des étudiants sont des étudiantes. Les femmes forment 84 % des effectifs des formations paramédicales et sociales, mais représentent seulement 30 % des élèves ingénieurs.
La féminisation de l’enseignement supérieur n’est pas récente. Déjà en 1960 – donnée la plus ancienne disponible (il s’agit de générations nées vers 1940-1942) –, les filles représentaient 43 % des effectifs des facultés. Aujourd’hui, 60 % des étudiants à l’université sont des étudiantes, selon le ministère de l’Enseignement supérieur [1]. La parité a été atteinte dans les années 1980 et continue de progresser très lentement depuis 20 ans. Dans l’ensemble de l’enseignement supérieur, les femmes représentent 56 % des étudiants, une proportion stable ces deux dernières décennies.
Lire la suite _______________________ _______________________
L'accession au pouvoir de l'extrême droite en France est un sujet récurrent. Pierre-Yves Bocquet, auteur de La « Révolution nationale » en 100 jours, et comment l’éviter (Tracts, Gallimard, 2025), décryptera les leviers idéologiques et institutionnels que l'extrême droite pourrait activer dès son arrivée au pouvoir, et Raphaël LLorca, codirecteur de l'Observatoire Marques, imaginaires de la consommation et politique de la Fondation, évoquera les ressorts de la bataille culturelle menée en ce moment par l'extrême droite. —— Reconnue d'utilité publique dès sa création en 1992, la Fondation Jean-Jaurès est la première des fondations politiques françaises. Lieu de réflexion, de dialogue et d'anticipation, elle agit depuis vingt-cinq ans pour construire un monde plus démocratique, comprendre l'histoire du mouvement social et ouvrier et inventer les idées de demain.
« Nous sommes en train de dépasser un vieux clivage entre le Nord et le Sud, les frugaux et les dépensiers. »
Dans une Europe tournée vers l'investissement, Madrid veut sa place au centre du jeu — et l’Espagne entend bien devenir un moteur de la croissance continentale.
Après le choc de la méga-coupure électrique et au cœur des négociations commerciales avec la Maison-Blanche de Donald Trump, nous rencontrons le ministre espagnol de l'Économie, du Tourisme et du Commerce.
Lire la suite ________________________ ________________________
Contre la tendance des experts à vouloir garder le contrôle exclusif du développement technologique – au nom de l’incompétence du grand public –, Adeline Barbin suggère de confier davantage de pouvoir aux citoyens, afin que les techniques et les sciences soient conformes aux valeurs démocratiques.
Déjà autrice d’André Gorz. Travail, économie et liberté (Canopé-CRDP, 2013), Adeline Barbin offre avec La démocratie des techniques un ouvrage important, premier titre de la collection « Technologia » nouvellement créée aux éditions Hermann. Issu d’un travail de doctorat sous la direction de Catherine Larrère, le livre se distingue par la clarté de son propos et l’intelligence de son argumentation. Ainsi que le résume Andrew Feenberg dans la préface, la philosophe défend la double thèse selon laquelle une démocratie des techniques est souhaitable et possible, contre l’idéologie technocratique des élites politiques et scientifiques. Son point de départ est que les innovations et inventions sont orientées par la culture et les intérêts sociaux et ont un impact sur ceux-ci. Puisque la technique nous concerne tous, elle est une affaire de démocratie. Ce constat impose de développer des dispositifs favorisant la discussion et la prise de décision au bénéfice de toute la société. Ce que Barbin entreprend de démontrer avec une grande rigueur.
Lire la suite _________________________ _________________________
Documentaire disponible en rediffusion jusqu'au 25/07/2025 Partout dans le monde, des foules en colère affrontent des forces de l’ordre surarmées. Le journaliste Paul Moreira s’immerge dans des manifestations et interroge des spécialistes pour éclairer les causes de ce glissement répressif. Paris, 8 décembre 2018, acte IV des "gilets jaunes". Pour la première fois à Paris, des véhicules blindés sont utilisés pour contenir un mouvement social. Des manifestants sont blessés, certains vont garder des séquelles. En 2020, aux États-Unis, lors des manifestations contre le racisme et les violences policières organisées après la mort de George Floyd, des images similaires circulent. Le tournant a été pris une vingtaine d'années plus tôt : les mouvements sociaux, jadis disciplinés, ont laissé place à des explosions de colères collectives à laquelle les autorités répondent par une militarisation croissante. Norm Stamper, l'ancien chef de la police de Seattle qui a participé à ce changement de doctrine du maintien de l'ordre, plaide désormais pour une réforme de la police : "Je me suis raconté des mensonges pendant des années.
Pourquoi gazons-nous des citoyens non-violents ?" Comment a-t-on évolué du maintien de l'ordre à un contrôle des foules qui ressemble à une guerre de basse intensité ? Réalisé par le journaliste et reporter Paul Moreira, qui a couvert notamment les manifestations des "gilets jaunes", ce documentaire se penche sur les nouvelles doctrines de maintien de l'ordre en donnant la parole à de nombreux témoins et spécialistes, dont des responsables policiers et des vendeurs d'"armes à létalité réduite".
Mêlant leurs propos d'une désarmante franchise et des immersions, parfois rudes, au sein de cortèges en France, en Allemagne ou aux États-Unis, ces deux épisodes livrent une démonstration : cette évolution du contrôle des manifestants, symbolisée par l'usage massif et non contrôlé des armes à balles en caoutchouc, résulte de schémas pensés et assumés par les hiérarchies policières. La peur se répand dans les cortèges et le constat apparaît aussi évident qu'inquiétant : ce glissement répressif menace les libertés publiques.