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Actualités socialistes - Page 242

  • Idées d'été - IDDRI - Quel bilan tirer de la COP 26 de Glasgow ?

    Bien que des progrès aient été accomplis depuis la signature de l'Accord de Paris sur le climat, les engagements des pays sont encore loin de limiter le réchauffement bien en dessous de 2°C/de viser 1,5°C, et leur mise en œuvre l'est encore plus. Mais la COP 26 a enregistré des avancées à la fois concrètes et symboliques pour concentrer le processus multilatéral sur l'objectif de 1,5°C spécifiquement et pour le garder « vivant » en appelant les pays à présenter des plans plus solides l'année prochaine, en augmentant la pression sur les transitions fossiles, en renforçant les règles multilatérales dans le cadre de la Convention Climat (CCNUCC) et en offrant une plateforme aux initiatives pilotes prometteuses de la coopération internationale. Cependant, la COP 26 n'a pas été à la hauteur de la solidarité internationale, en ne parvenant pas à compenser l'incapacité des pays développés à atteindre l'objectif symbolique et de longue date de 100 milliards de dollars pour les pays en développement, dans un contexte d'inégalités exacerbées dans le cadre de la Covid-19. Pour aller de l'avant, il faudra mettre davantage l'accent sur la coopération internationale en faveur du développement durable, s'attaquer de front aux questions posées par les pertes et les dommages, et renforcer la redevabilité des engagements pris par les pays et les entreprises.

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  • Idées d'été - Telos - L’imaginaire politique de la gauche culturelle, Monique Dagnaud

    Face au virage droitier de l’électorat, demeure un bastion de gauche désespéré de se voir marginalisé en regard des intentions de votes – l’initiative passablement chaotique de la primaire populaire l’atteste. Cette déception est d’autant plus vive qu’elle touche des individus hautement diplômés habitués à être du côté des gagnants. On peut décrypter ce « bloc de gauche » version 2022, son imaginaire et son socle de valeurs grâce à l’enquête Et maintenant.

    Cette enquête que j’ai coordonnée et qui a été menée dans le cadre d’un partenariat Arte et France Culture a permis de recueillir les opinions politiques de 60 000 internautes de tous âges (avec une nette surreprésentation des 18-34 ans[1]), pour une immense majorité des urbains, bien diplômés[2], y compris pour les plus âgés.

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  • Idées d'été - LVSL - La longue agonie du fret ferroviaire

    Le 22 octobre dernier, le premier ministre inaugurait en grande pompe la reprise du train des primeurs : le Perpignan-Rungis. Après deux ans de suspension, ce retour fait écho aux mesures annoncées le 27 juillet pour relancer le fret ferroviaire. Cette initiative semble pourtant déjà s’inscrire dans une longue liste de plans de relance qui n’ont pas donné les effets escomptés. Alors, comment expliquer ce déclin du fret ferroviaire ?

    En 1827, la première ligne de chemin de fer ne transportait pas des voyageurs mais des marchandises. Avec seulement 18 kilomètres de voies, la ligne de Saint-Étienne à Andrézieux, tractée par des chevaux, servait à transporter de la houille depuis le port fluvial. Le transport de marchandises par train s’est ensuite développé de manière exponentielle au travers de compagnies privées. En 1882, la France possède alors la plus forte densité de chemin de fer au monde avec 26 000 km de voies. Les marchandises sont échangées dans des halles adjacentes aux gares, avant que le trafic ne soit peu à peu séparé des voyageurs.

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  • Chansons d'été - Talibans être beaux - Les Goguettes (en trio mais à quatre)

    Sur l'air de "T'as beau pas être beau" de Louis Chedid 
    Live Session acoustique enregistrée au Channel - Scène Nationale de Calais 

  • [Regards croisés] Peut-on faire confiance à la science ? Avec Etienne Klein et Cynthia Fleury

    Quel type de vérité la parole scientifique apporte-t-elle ? La vérité scientifique peut-elle être partagée, discutée, interrogée ? Quelle est la place du doute et de l’incertitude en science ? Quelle place pour l’éthique ? Echange entre Cynthia Fleury, philosophe et psychanalyste et Etienne Klein, philosophe des sciences et physicien au CEA. Animé par Sylvain Bourmeau, journaliste, producteur de "La Suite dans les idées" sur France Culture.

  • Faut-il s'inspirer des aborigènes ? Entretien avec Barbara Glowczewski - 27 | ARTE

    Pour ce Grand entretien, Nora Hamadi reçoit Barbara Glowczewski, anthropologue, ethnologue, directrice de recherche et médaille d’argent du CNRS. Elle travaille depuis plus de 40 ans sur le terrain, aux côtés des aborigènes d’Australie. En Amazonie, tous les voyants sont au rouge. Le poumon vert de la planète est en proie à une déforestation record, la forêt perd en résilience et selon les experts, elle pourrait bientôt se transformer en savane. Face à ce constat sans appel, devons-nous mettre en place un gouvernement mondial de la nature pour sauver les forêts ?

    Baptisé 27, comme les vingt-sept membres de l’UE, ce nouveau magazine éclaire les enjeux européens par une approche collaborative. Organisé en trois temps, il est alimenté en amont par une vaste consultation des Européens, via la plate-forme de participation citoyenne Make.org, puis par une séance de réflexion collective réunissant une dizaine de personnes. Place ensuite à l’émission en plateau, que Nora Hamadi, journaliste et ex-présentatrice de "Vox pop", anime avec son confrère Corentin Chrétien Droz. Elle réunit trois invités européens, experts ou citoyens éclairés, qui débattent du sujet soulevé lors de la consultation. 27 se poursuit par un grand entretien entre Nora Hamadi et un invité de marque, qui réagit à la question posée lors du débat et s’exprime sur les sujets d'actualité en Europe. Des extraits de la séance de réflexion collective et des reportages ponctuent l’émission.

    Animé par la journaliste Nora Hamadi, ce nouveau magazine aborde l’Europe sur le versant collaboratif.

  • Le Point - « Sans Mélenchon, la gauche française serait au niveau de la gauche italienne »

    ENTRETIEN. Le député socialiste de la 4e circonscription de l’Eure Philippe Brun exhorte la gauche à ne pas laisser le RN récupérer ses thèmes.

    Deux faits honorent Philippe Brun. Le jeune député socialiste peut se targuer d'avoir empêché le RN de faire carton plein dans l'Eure – toutes les autres circonscriptions ayant basculé dans l'escarcelle du parti de Marine Le Pen. « C'est un honneur mais aussi un avertissement », prévient-il. En s'emparant de la question sociale, le RN est en train d'« absorber » la gauche, estime-t-il. Aussi invite-t-il ses camarades de la Nupes à ne pas avoir de tabou : il faut parler d'insécurité culturelle, d'immigration, d'identité sociale.

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  • Idées d'été - 15 marches - Il était une fois la France d'après

    Du Houellebecquistan au Casselyverse, voyage dans la France sous nos yeux, le livre qui ouvrira les vôtres

    Durant ces vacances j’ai terminé “la France sous nos yeux” de Jérome Fourquet (IFOP) et Jean-Laurent Cassely (journaliste).

    Pour un consultant comme moi qui tente maladroitement de relier urbanisme, économie et modes de vie, cet ouvrage est une source inépuisable de réflexions et d’inspirations. Étant né 10 jours avant Stéphane Plaza, je ne peux que constater à quel point mon pays a changé sans que j’ai toujours eu le loisir - ou la volonté - de bien le comprendre.

    Car la France “sous nos yeux” est en réalité souvent la France “vue à la télé” ou “croisée en bas de l’immeuble”. Une France d’invisibles auxquels on ne s’intéresse que quand ils bloquent des ronds-points ou sont appelés aux urnes. Nos compatriotes forment désormais un tableau complexe et composite que le livre réussit brillamment à brosser.

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  • Le Point - Olivier Falorni : « Olivier Faure, c’est un peu le Georges Marchais de 2022 »

    ENTRETIEN. Le député non-inscrit de Charente-Maritime est sévère sur l’attitude des élus Insoumis, mais aussi avec ses anciens camarades du PS.

    Son titre de gloire est d'avoir battu, sèchement, Ségolène Royal en 2012. Les projecteurs s'étaient alors braqués sur Olivier Falorni par la grâce d'un tweet cinglant de Valérie Trierweiler, à l'époque compagne de François Hollande, en pleine campagne pour les élections législatives : « Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d'années dans un engagement désintéressé. » Depuis, l'ancien patron du PS de Charente-Maritime, exclu du parti en 2012, a renoué avec la discrétion. Il a toutefois été réélu en 2017 puis en 2022, haut la main (66 %) et seul contre presque tous : en juin, il a affronté deux listes concurrentes, l'une du parti macroniste, l'autre de la Nupes… « Ça rend libre ! » s'amuse Olivier Falorni. De cette liberté, il compte user. L'ami de François Hollande tente de constituer à l'Assemblée nationale, d'ici l'automne, un groupe de centre gauche, avec d'autres députés hostiles à la Nupes, comme les socialistes David Habib ou Laurent Panifous. Falorni est persuadé que la social-démocratie, malgré les coups de boutoir de Jean-Luc Mélenchon, a encore un avenir. Il s'en explique.

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  • 20 minutes - Olivier Faure, la nouvelle star de la Nupes ?

    RETOUR DE HYPE Le jusque-là discret premier secrétaire du Parti socialiste semble avoir pris une nouvelle dimension depuis la création de la Nupes

    Olivier Faure a un chien, « qui ne me quitte jamais, à Paris ou en circonscription », précise le premier secrétaire du Parti socialiste (PS). Il passe donc beaucoup de temps dans la rue, à le promener. Jusque-là, rien de très intéressant. Sauf que depuis la signature de l’accord formant la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), « il n’y a pas un jour sans qu’on m’arrête pour me dire merci ». Merci d’avoir participé à l’union de la gauche. Il s’excuse presque de le dire, de peur qu’on croit qu’il affabule. « Je vous assure que je l’ai vu ! Dix ans que je travaille avec lui, je n’avais jamais vu ça », jure une proche collaboratrice.

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