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Actualités socialistes - Page 22

  • Fondation Jean Jaurès - Fondation Jean Jaurès - Législatives de 2024 : de la sidération à l’effarement (Émeric Bréhier, Sébastien Roy)

    Quels sont les grands enseignements des élections législatives du 30 juin et du 7 juillet derniers ? À quelle(s) force(s) politique(s) le front républicain a-t-il bénéficié ? Émeric Bréhier et Sébastien Roy, respectivement directeur et membre de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation, passent au crible les résultats circonscription par circonscription, révélant ainsi la photographie d’un paysage politique quasi-tripartite, qui devrait nous pousser à changer de culture politique.

    La dissolution constitue une arme dans les seules mains du président de la République par la grâce de l’article 12 et de l’article 19 puisqu’il peut la mettre en œuvre sans contreseing ministériel. C’est de ce droit constitutionnel qu’a usé Emmanuel Macron le 9 juin au soir dernier. 

    Elle fut utilisée un nombre de fois significatif dans l’histoire de la Ve République. En 1962, à la suite de la motion de censure visant le nouveau gouvernement de Georges Pompidou. Six ans plus tard, et seulement une année après le renouvellement général de 1967 qui avait failli conduire la majorité gaulliste à sa perte, le Général De Gaulle aux lendemains des événements de mai 1968 provoquait un sursaut légitimiste en usant de cet article 12.

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  • Avec le NFP (mise à jour du 14 septembre)

    A LA UNE

    Le Figaro - «J’assume parfaitement», déclare Olivier Faure à propos de l’alliance entre les socialistes et les Insoumis

    «S'il n'y avait pas eu de Front populaire, l'extrême droite serait en train de gouverner», assure ce matin au micro d’Europe 1 le premier secrétaire du PS, critiqué au sein de son propre parti pour ne pas avoir soutenu l’hypothèse de Bernard Cazeneuve à Matignon.

    14 septembre

    Les Echos - SONDAGE EXCLUSIF - Lucie Castets, nouvelle coqueluche du peuple de gauche

    La candidate malheureuse du Nouveau Front populaire à Matignon réalise une percée éclair dans l'électorat de gauche, montre le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Elle devient la deuxième personnalité préférée de son camp.

    13 septembre

    Politis- L’unité à gauche, un bien précieux

    S’il y a bien une gauche qui n’a rien fait pour gouverner après que le NFP est arrivé en tête aux législatives, c’est bien celle qui veut renouer avec le hollando-cazeneuvisme. La principale bataille des temps prochains sera de maintenir l’unité du Nouveau Front populaire.

    ll a beaucoup été reproché aux insoumis de ne pas vouloir gouverner. En tout cas, pas maintenant. Jamais on ne s’interroge sur la volonté réelle des socialistes rebelles – ceux qui n’ont pour projet que de critiquer leur premier secrétaire et de renouer avec le hollando-cazeneuvisme – de prendre le pouvoir. Pourtant, depuis la Nupes, dont ils ne voulaient pas, jusqu’au Nouveau Front populaire (NFP), dont ils ne voulaient guère plus, ceux qu’on appelle les anti-Faure – d’Anne Hidalgo à Nicolas Mayer-Rossignol ou encore Hélène Geoffroy – n’ont eu de cesse de saboter les initiatives du NFP et son aspiration à gouverner le pays, avec Lucie Castets pour hôte de Matignon. 

    12 septembre

    The Conversation, David Noël  - Ce que l’école d’aujourd’hui doit à Jean Zay, ministre du Front populaire

    Le 20 juin 1944, trois miliciens viennent chercher Jean Zay à la maison d’arrêt de Riom où l’ancien ministre du Front populaire est incarcéré depuis 1941 et l’assassinent dans un bois près d’une carrière à Molles, dans l’Allier.

    Pour le régime de Vichy et la presse collaborationniste, Jean Zay est une figure honnie. Ce radical, né en 1904 à Orléans, issu d’une famille juive, mais élevé dans la foi protestante, franc-maçon et membre de la Ligue des droits de l’homme, est pour le camp nationaliste l’incarnation même de cette IIIe République abhorrée et rendue responsable du désastre de 1940.

    11 septembre

    Public Sénat - Après la nomination de Michel Barnier, les secousses continuent au PS

    Depuis la nomination de Michel Barnier à Matignon, la ligne du Parti socialiste opposée à Olivier Faure multiplie les prises de parole tenant sa direction pour responsable dans l’échec de la nomination de Bernard Cazeneuve. Une accusation dont elle se défend, alors que le parti à la rose souhaite peser davantage à gauche.

    France Info - "Ils n'échapperont pas à la pression" : comment le Nouveau Front populaire compte s'opposer à Michel Barnier et Emmanuel Macron

    Les élus des quatre partis de gauche font leur rentrée parlementaire en promettant de tout mettre en œuvre pour censurer le futur gouvernement. La France insoumise veut même destituer le chef de l'Etat. Sans assurance, pour l'instant, d'arriver à ses fins. 

    10 septembre

    Radio France - La gauche a-t-elle laissé passer sa chance ?

    Le NFP est apparu victorieux lors du résultat des élections législatives, mais se présente désormais comme le grand perdant. En refusant tout compromis, la gauche a-t-elle manqué à son devoir de parti de gouvernement? A-t-elle encore seulement les moyens de gouverner?

    Avec
    • Stéphanie Roza Chargée de recherches au CNRS, spécialiste des Lumières et de la Révolution française.
    • Frédéric Sawicki Professeur de science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne

    France Info - Pas nommée à Matignon, que va faire la candidate du Nouveau Front populaire Lucie Castets ?

    Lucie Castets n'a pas été nommée Première ministre par Emmanuel Macron. La candidate du Nouveau Front populaire va d'abord prendre un peu de champ et ne retournera pas travailler à la mairie de Paris, où elle était directrice des finances. 

    Après avoir été très présente dans les médias tout l'été, Lucie Castets va lever le pied sur les interviews. Elle en est consciente, avec l'arrivée de Michel Barnier à Matignon, jeudi 6 septembre, on est dans une autre séquence. Continuer à courir les plateaux télé histoire de faire campagne pour devenir Première ministre n'aurait pas grand sens. La candidate déçue, et en colère, du NFP, va donc profiter des prochaines semaines pour se reposer, après un été à un rythme effréné

    France Culture - Lucie Castets : "J’ai tout de suite été indépendante des partis"

    "Personne n'est prêt à ça. C'est une tâche immense, c'est vertigineux" a déclaré dans l'émission Sens politique, la candidate du NFP à Matignon à propos de sa propulsion sur le devant de la scène politique comme Première ministre putative de la Gauche.

    7 septembre

    Michel Barnier, issu des LR, a été choisi par Emmanuel Macron comme successeur de Gabriel Attal. Une décision contestée au regard du résultat des élections législatives.

     

    Les chausse-trappes de la retraite à points, Publié le 05/09/2019 Par CFDT-Fonctions publiques

    Dans l’article que nous reproduisons ci-dessous, « Alternatives Economiques » énumère « les chausse-trappes de la retraite à points ».

    Guillaume Duval,  journaliste à « Alternatives Economiques », dans son article daté du 4 septembre 2019 inventorie des questions sur le projet de réforme des retraites qui valident une partie des interrogations de la CFDT. 

    Même si l’analyse et les appréciations ne sont évidemment pas identiques, nous relayons cet article qui fait le choix de « nourrir le débat, sans condamner la réforme. » 

    4 septembre

    Café Pédagogique - Lucie Castets : « La politique de Macron en matière éducative est un échec »

    Que propose le NFP en matière d’éducation ? Alors que les deux ministres démissionnaires Gabriel Attal et Nicole Belloubet ont choisi de se déplacer -séparément- dans des écoles du 92 – deuxième département le plus riche de France-, Lucie Castets a passé la journée de la rentrée dans le 93, département le plus pauvre et le plus jeune de l’hexagone. La communauté éducative du 93, parents d’élèves et professeurs, luttent pour un plan d’urgence depuis des mois sans être entendus. La FCPE, lors de sa conférence de presse qui s’est tenue le matin-même, a fait le même constat de Bondy, dans le 93 également. C’est donc dans le 93 que la candidate du Nouveau Front Populaire Lucie Castets a présenté la vision et le projet du NFP pour l’école. Pour elle, c’est un changement de cap « de fond mais aussi de méthode ».

    HuffPost - Lucie Castets assure n’avoir travaillé que bénévolement pour le Nouveau Front populaire

    Dans un article, « Marianne » évoque un devis de 51 000 euros pour elle et ses équipes transmis aux quatre partis de l’alliance de gauche.

    Pas un euro touché. Lucie Castets, désignée par le Nouveau Front Populaire pour revendiquer Matignon, assure n’avoir jamais été rémunérée par les partis de gauche pour sa nouvelle activité politique. Ce, alors qu’un article de Marianne évoquait un devis et une estimation de rémunération à partir de septembre.

    3 septembre

    Libé - Choix du Premier ministre : Thierry Beaudet, la surprise du chef ?

    Le nom du président du Conseil économique social et environnemental (Cese) est apparu ce lundi 2 septembre dans la liste des prétendants pour Matignon. Selon «l’Obs», l’ancien patron de la Fédération nationale de la mutualité française a accepté le poste dimanche soir.

    BFM - Pour Olivier Faure, Lucie Castets "incarne la société civile organisée"

    Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, était l'invité ce lundi de Face à Face sur RMC et BFMTV. 

    2 septembre

    Franc Info - "Bernard Cazeneuve est un bon serviteur de la République", selon Karim Bouamrane, maire PS de Saint-Ouen, "mais c'est [au président] de choisir"

    Le président de la République doit recevoir Bernard Cazeneuve, mais aussi Xavier Bertrand et Nicolas Sarkozy, toujours à la recherche d'un nouveau Premier ministre.

    LCI - Bernard Cazeneuve est "un adversaire" du Nouveau Front populaire, affirme Éric Coquerel sur LCI

    France Info - Recherche d'un nouveau gouvernement : comment le nom du futur Premier ministre ravive les tensions au sein du Parti socialiste

    Les courants minoritaires du PS souhaitent que le parti poursuive les discussions à l'Elysée et se montre "constructif" vis-à-vis d'Emmanuel Macron. Une stratégie rejetée par Olivier Faure, le patron des socialistes.
     

    A Blois, son nom était sur toutes les lèvres. Mais l’idée de voir l’ex-Premier ministre de François Hollande nommé à Matignon par Emmanuel Macron divise le Parti socialiste.

    Il arrive sur le jingle des JO qui continue d’ambiancer le pays. « Le 26 juillet, en regardant la cérémonie d’ouverture, j’ai cru un temps que la gauche gouvernait la France. Et puis, je me suis réveillé », lance ce samedi 31 août Olivier Faure dans la Halle aux grains de Blois, en clôture du campus d’été du Parti socialiste.

    1er septembre

    Paris Match - Lucie Castets : « Je n’enterre rien du tout, je ne lâcherai pas »

    Malgré le refus d’Emmanuel Macron de la nommer à Matignon ; malgré les premières failles dans l’union qui soutient sa « candidature », au sein du Parti socialiste ; malgré la rumeur Bernard Cazeneuve de plus en plus persistante, Lucie Castets affirme auprès de Paris Match qu’elle n’abandonnera pas. Entretien.

    Avant un meeting organisé autour d’elle ce vendredi soir à Blois, Lucie Castets a multiplié les entretiens avec les responsables socialistes. Car le PS est tiraillé : une partie des dirigeants affirment désormais qu’il faut reprendre les discussions avec Emmanuel Macron, sans se limiter à son nom à elle pour trouver un Premier ministre…

  • Ruffin-Mélenchon : la guerre est déclarée - L'Edito Politique de Patrick Cohen

    13 sept. 2024 François Ruffin accuse Jean-Luc Mélenchon et les Insoumis de monter des murs entre les Français, en fonction de leur origine ou de leur religion. Après la rupture, le réquisitoire… Les explications de Patrick Cohen.

  • Aurélien Bellanger, Les Derniers Jours du Parti socialiste

    Télérama - Pourquoi le roman à clés d’Aurélien Bellanger fait polémique

    Dans “Les Derniers Jours du Parti socialiste”, il dénonce le sabotage de la gauche par une poignée d’intellectuels complaisants avec l’extrême droite. Vivement critiqué, notamment par ceux qui l’ont inspiré, Raphaël Enthoven en tête, le romancier invoque son droit à la satire.

    Avis de tempête sur la rentrée littéraire. Sorti ce 19 août aux éditions du Seuil, le nouveau roman d’Aurélien Bellanger, Les Derniers Jours du Parti socialiste, n’en finit plus de faire parler. En cause ? Un récit plus vrai que nature dénonçant le sabotage de la gauche par une poignée d’intellectuels peu scrupuleux de badiner avec l’extrême droite. Avec un titre fleurant bon la polémique, l’ouvrage apparaissait déjà, des mois avant sa sortie, sous un jour étrangement prophétique. Et, à la veille du premier tour des élections législatives, l’auteur ne manquait pas d’en clarifier le propos : « Il va sortir trop tard hélas, mais j’ai écrit un livre qui raconte comment une hérésie du Parti socialiste, le Printemps républicain, entouré d’un groupuscule d’intellectuels médiocres, aura rendu possible la victoire de l’extrême droite en France. »

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    France Culture - Derniers jours du Parti socialiste, premiers plaisirs de roman

    Le nouveau livre d'Aurélien Bellanger, dont le titre va sans doute attirer éditorialistes et amoureux de la politique française se révèle être avant tout un roman ludique, qui redonne vie à un milieu figé.

    J’ai évidemment lu les 311 romans français qui paraissent ce mois-ci en librairie, et parmi lesquels celui d’Aurélien Bellanger, intitulé Les derniers jours du Parti socialiste, tout juste sorti aux éditions du Seuil, et qui ne manque pas de faire parler de lui. Il faut dire que ce titre éloquent, un brin pompeux, tombe un contexte politique actuel où la gauche française se porte fort bien - tout le monde peut le constater... ça augurait de petites polémiques, et pourtant ce que j'en retiens moi, ce n’est pas tant le caractère censément partisan du roman mais sa teneur ludique, et aussi une forme de lyrisme bienvenue dans la manière de Bellanger.
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    Regards - Les Derniers Jours du Parti socialiste

    C’est le livre événement de la rentrée littéraire et politique, signé Aurélien Bellanger. Une si belle occasion, Arnaud Viviant ne pouvait omettre d’y consacrer sa chronique.

    Il y a peu, je lisais un tweet sur X qui disait : « Un jour on réalisera le mal profond qu’a fait le Printemps Républicain à la gauche et plus largement à l’unité du pays, en rendant acceptable d’avoir des discours et des actions clairement racistes et xénophobes sous le masque d’un laïcisme perverti ». Eh bien, ce jour est arrivé avec la parution, dans le cadre de la rentrée littéraire, du nouveau roman d’Aurélien Bellanger, Les derniers jours du Parti socialiste.

     
  • Fondation Jean Jaurès - Yannick Trigance - Mixité sociale et scolaire : quels leviers pour quel projet ?

    Ni impression ni illusion, la ségrégation existe aujourd’hui bel et bien dans les établissements scolaires. Cette ségrégation fait de la France le pays de l’OCDE où le milieu social dont les élèves sont issus conditionne le plus fortement leur réussite scolaire. Comment garantir, le temps de leur scolarité obligatoire, ce « brassage » des élèves qui a des effets positifs indéniables sur les parcours scolaires et professionnels ? Des leviers efficaces peuvent être actionnés. Leur mise en place rapide permettra de vaincre ce séparatisme social qui, en déniant toute promesse d’ascension sociale, mine notre pacte républicain

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  • Radio France - La gauche a-t-elle laissé passer sa chance ?

    Le NFP est apparu victorieux lors du résultat des élections législatives, mais se présente désormais comme le grand perdant. En refusant tout compromis, la gauche a-t-elle manqué à son devoir de parti de gouvernement? A-t-elle encore seulement les moyens de gouverner?

    Avec
    • Stéphanie Roza Chargée de recherches au CNRS, spécialiste des Lumières et de la Révolution française.
    • Frédéric Sawicki Professeur de science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne

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  • Le Grand Continent - Venezuela : que va-t-il se passer maintenant ? Une conversation avec Paulina Astroza, Andrés Malamud et Martín Schapiro

    Il y a un mois, Nicolás Maduro annonçait sa réélection à la présidence du Venezuela après les élections du 28 juillet, dont les résultats sont contestés par l'opposition.

    Dans un régime qui tient en exportant son instabilité, un point de blocage pourrait avoir été atteint. À Caracas, l’avenir se résout désormais à un triangle radical : « soit plus d'autoritarisme, soit une chute — soit une déposition violente. »

    Comment décririez-vous le contexte social, politique, juridique et international dans lequel le gouvernement de Maduro est arrivé aux élections du 28 juillet ?

    Paulina Astroza

    Une grande partie des discussions, en particulier ces dernières semaines, s’est concentrée sur la question des procès-verbaux — c’est-à-dire sur la validation ou non des résultats des élections. Mais en réalité, le Venezuela se trouve dans une situation très grave depuis longtemps — bien avant les élections du 28 juillet.

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  • JO 2024 : CES ATHLÈTES AFGHANES QUI DÉFIENT LES TALIBANS

    8 sept. 2024 #JO #Afghanistan #Taliban

    Femmes et athlètes afghanes, c’est sous le drapeau de l’équipe des réfugiés qu’elles ont brillé pendant les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Trois ans après la prise de pouvoir des talibans en Afghanistan, le régime fondamentaliste vient de passer une nouvelle loi pour « promouvoir la vertu et prévenir le vice », impactant toujours plus les droits de plus de 28 millions de femmes. Sotoda Hashemi est présidente du Collectif N'oublions pas l'Afghanistan. Pour ce nouvel entretien, elle revient sur le combat de ces femmes athlètes qui défient les talibans par le sport.

  • Futur collège des commissaires : les pays européens ne respectent pas la parité des genres

    À l’approche de la date butoir avant laquelle les 27 États de l’Union européenne (UE) doivent avoir soumis les noms de leurs candidats pour le Collège des commissaires, les pays européens ne semblent pas avoir tenu compte des objectifs de parité de la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.

    Les commissaires européens qui formeront le Collège sont proposés par les 27 pays membres de l’UE, nommés par Ursula von der Leyen et ils seront ensuite auditionnés et soumis à l’approbation du Parlement européen, qui dispose d’un droit de veto.

    Pour l’heure, 22 États ont divulgué les noms de leurs candidats, mais à cinq jours de la date limite, le Portugal, la Belgique, le Danemark, l’Italie et la Bulgarie n’ont pas encore annoncé leur choix.

    Sur les 22 candidat(e)s connus, seize sont des hommes et six seulement des femmes. Thierry Breton (France), Valdis Dombrovskis (Lettonie), Wopke Hoekstra (Pays-Bas) et Olivér Várhelyi (Hongrie) — tous des hommes — ont été invités par leur gouvernement respectif à poursuivre leur mandat pour une nouvelle période de cinq ans.

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