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ps - Page 65

  • Geo - Il y a 50 ans, le congrès d'Epinay fait renaître le Parti socialiste sous l'égide de Mitterrand

    Il y a 50 ans, les 11, 12 et 13 juin 1971, se tenait le congrès d'Epinay, marquant la renaissance d'un Parti socialiste unifié sous l'égide de François Mitterrand, leader charismatique, qui redonna de l'espoir à la gauche en faisant du PS une machine à gagner le pouvoir, jusqu'à la victoire de 1981.

    "On s'est dit que personne ne nous empêcherait de gagner un jour", se remémore auprès de l'AFP l'ex-ministre Pierre Joxe, mitterrandien de la première heure et l'un des principaux acteurs du congrès.

    Le futur premier président socialiste de la Ve République réussit à Epinay (Seine-Saint-Denis) à rassembler une famille politique éclatée en une multitude de chapelles se paralysant les unes les autres. Commençait alors une longue marche qui devait ramener la gauche au pouvoir en 1981, après 23 ans de règne sans partage de la droite. En 1971, le Front populaire de 1936, dominé par la figure tutélaire du socialiste Léon Blum, était un lointain souvenir, aussi exaltant fut-il, pour une gauche que le passage à Matignon, vingt ans plus tard, du discret Guy Mollet, Premier ministre de 1956 à 1957, n'avait pas réussir à revigorer.

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  • La Croix - Régionales 2021 : en Bourgogne-Franche-Comté, la gauche socialiste joue sa survie

    La recomposition politique continue de déstabiliser la gauche. La Bourgogne-Franche-Comté est un bon observatoire de la fragilité du parti socialiste qui y joue sa survie.

    Il y a tout juste cinquante ans, le 11 juin 1971, débutait le congrès d’Épinay (Seine-Saint-Denis) qui marque la naissance d’un Parti socialiste unifié. François Mitterrand réussit à rassembler une famille politique éclatée, jusqu’à la victoire de 1981. « Aujourd’hui, ce qui se passe en Bourgogne-Franche-Comté est révélateur de la fin d’un cycle », résume l’historien Jean Vigreux, directeur de la maison des sciences de l’homme de Dijon (Côte d’Or).

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  • Héritiers de l'avenir : Marisol Touraine

    Marisol Touraine revient, dans cet entretien avec Émeric Bréhier, sur son parcours. Jeune haut fonctionnaire, elle rejoint les groupes de réflexion autour de Michel Rocard au milieu des années 1980. En 1988, elle intègre son cabinet à Matignon pour suivre les questions stratégiques et militaires. En 1993, comme d'autres rocardiens, la question de l'implantation électorale se pose, impliquant une première adhésion au Parti socialiste, dans la section du 10e arrondissement de Paris. De 1995 à 1997, elle seconde Pierre Moscovici à la direction du Parti au secteur Études, et prépare ainsi les conventions thématiques en vue des élections législatives prévues en 1998 mises en place par Lionel Jospin. Dès 1996, elle choisit de s'implanter en Indre-et-Loire, et devient députée en 1997, puis conseillère générale en 1998. En 1997, elle remplace Élisabeth Guigou à la direction du PS sur les questions des solidarités et des affaires sociales. Députée lors de la réforme Fillon sur les retraites, elle défend alors l'allongement de la durée des cotisations et la prise en compte de la pénibilité du travail. Ce sera le centre de la réforme qu'elle portera après 2012 quand elle deviendra ministre des Affaires sociales et de la Santé. En s'appuyant sur ces expériences, elle revient sur les questions qui ont animé la gauche durant l'exercice du pouvoir de 2012 à 2017

  • L'Obs - Régionales 2021 : Audrey Pulvar veut créer une banque publique d’investissement

    Cette banque devra « soutenir les artisans, les TPE et les PME », en priorité ceux « qui s’engagent dans une démarche écoresponsable, sociale et de production locale », promet la candidate du PS aux élections régionales en Ile-de-France les 20 et 27 juin.

    Audrey Pulvar, candidate du PS aux élections régionales en Ile-de-France les 20 et 27 juin, entend créer si elle est élue une banque publique d’investissement pour « la conversion écologique et l’emploi local », explique-t-elle dans le « JDD » ce dimanche.

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  • Libé - Les régionales dans le rétro (4/6) 2004 : pour le Parti socialiste et Ségolène Royal, l’année de la reconquête

  • Les Echos - Assurance-chômage : les socialistes repartent à la charge contre une réforme « infernale »

    A l'approche des élections départementales et régionales, le PS et ses parlementaires ont publié ce mardi une étude sur l'impact territorial de la réforme de l'assurance-chômage, qui entre en vigueur le 1 er juillet.

    Une mise en scène très calculée pour une nouvelle offensive très politique. C'est devant l'agence Pôle emploi d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis - l'un des départements les plus pauvres de France -, que les socialistes sont repartis à la charge, ce mardi, contre la réforme de l'assurance-chômage , qualifiée de « brutale » et « injuste ». Avec la volonté d'en faire un marqueur du bilan d'Emmanuel Macron, accusé de « s'obstiner de manière idéologique et dogmatique » (dixit la numéro deux du PS, Corinne Narassiguin), et de se poser eux-mêmes en héraut de la justice sociale à l'approche des élections départementales et régionales . « Les 20 et 27 juin, exigeons une nouvelle fois le retrait de cette réforme », insiste le PS.

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  • Public Sénat - Départementales : les socialistes peuvent voir revenir « 4 ou 5 départements » dans leur giron, selon Patrick Kanner

    Lourdement défait en 2015, le Parti socialiste souhaite faire des élections départementales une base de « reconquête » et affiche des objectifs ambitieux. Les sénateurs socialistes préfèrent rester mesurés dans un contexte « d’abstention chronique et désespérante ».

    Sans trop s’avancer, gageons qu’ils ne pourront pas faire pire qu’en 2015. Lors des dernières élections départementales, alors qu’un président issu de leur rang dirigeait le pays en faisant face à des députés frondeurs, les socialistes avaient enregistré une sacrée déroute. La plus symbolique, peut-être : la perte de la Corrèze, département conquis en 2008 par François Hollande, fier d’avoir fait sien le fief chiraquien. Alors Premier ministre, Manuel Valls avait reconnu une victoire « incontestable » de la droite et un « net recul » de son camp. En tout, 29 départements étaient tombés dans l’escarcelle de la droite.

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